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Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
QU’Y A-T-IL ?
à Jacques Pré-vence
Premièrement :
Il y a beaucoup de mérite à épouser une femme plus jeune que soi
Il y a beaucoup de mérite à épouser une femme
Il y a beaucoup de mérite à épouser
Il y a beaucoup de mérite
Sans compter les emmerdements.
Deuxièmement :
Il y a beaucoup de mérite à épouser une femme plus vieille que soi
Il y a beaucoup de mérite à épouser une femme
Il y a beaucoup de mérite
À épouser
Il y a beaucoup de mérite
Sans compter qu’il y a des emmerdements.
Troisièmement :
Il y a beaucoup d’emmerdements
Sans compter le mérite d’épouser une femme.
Raven, femme-fontaine
Pays d’origine : USA. Mariée 39 ans.
Rien ne prédisposait Raven à devenir une star du net amateur. Belle femme brunette, au physique avenant, avec une belle poitrine et une vulve en harmonie, comme il en existe des milliers sur la toile. Mais elle est exhibitionniste dans l'âme : elle aime à être vue, à ce que les hommes ( et les femmes) la désirent... Alors, elle se montre sous tous les angles, dans toutes les poses, devant et derrière.. C'est son mari qui la photographie et la filme, au fil des week-ends à la maison et des nuits dans les hôtels de passage...
Mais Raven a un
petit plus, ce quelque chose qui la rend incontournable et plus désirable encore : Raven est une femme fontaine !
En faisant l'amour, au moment de l'orgasme, les femmes-fontaines expulsent un liquide. Ce liquide sort en jet, par saccades,
exactement comme l'éjaculation chez l'homme. C'est pourquoi on parle d' « éjaculation féminine » ! Ce phénomène ne correspond absolument pas à la lubrification vaginale. Il n'a pas la même
composition, n'est pas secrété au même moment et ne provient pas du même endroit. En effet, l'éjaculation féminine sort par l'urètre, orifice par lequel sort aussi l'urine!
L'éjaculation féminine se produit toujours lorsque l'excitation est extrêmement forte et c'est un signe de plaisir très intense.
Un homme peut ainsi se sentir très fier de constater que sa partenaire est une femme fontaine : il sait qu'il lui donne beaucoup de plaisir !
D'où vient ce liquide ?
Il existe plusieurs hypothèses : près de la sortie de l'urètre, il existe des glandes périurétrales qui sont aussi appelées
«prostate féminine ». Elles produisent un fluide qui est certainement un composant de l'éjaculation féminine. Chez certaines filles les glandes sont toutes petites et produisent peu de liquide et
chez d'autres elles sont plus volumineuses. D'autres spécialistes pensent que ce liquide peut aussi venir de la vessie, même s'il ne s'agit pas de la même substance que l'urine. Les reins
pourraient fonctionner différemment pendant le rapport sexuel, produisant un liquide particulier ! D'ailleurs, la plupart des femmes, même celles qui ne sont pas fontaines, peuvent constater
qu'elles ont envie d'uriner après l'amour, et que ce liquide est alors beaucoup plus transparent que l'urine...
Au total, seules 10 % des femmes expérimentent un jour une « éjaculation ». On ne sait pas si toutes les femmes ont la capacité
physique de vivre cette expérience lorsque le plaisir est intense, ou bien si seules certaines peuvent fonctionner de cette manière
Déviations, # 3
Simon démarre, mais il est tellement troublé par ces frôlements éphémères qu’il cale. Cet incident a le don de détendre l’atmosphère. Madame Gautier se moque gentiment de son chauffeur tout en le guidant dans un dédale de petites routes, de croisements et de ronds points en chantier. Après une demi-heure d’errance, ils finissent par déboucher enfin sur une route plus large, plus droite, plus fréquentée aussi. Simon retrouve avec soulagement les panneaux indicateurs. Encore vingt kilomètres jusqu’à l’autoroute.
- Ma sœur n’habite pas très loin de la bretelle d’accès, dit madame Gautier. Cela ne vous fera qu’un tout petit détour.
Tout en roulant, ils papotent : Simon lui parle de ses week-ends en Bretagne, elle lui raconte sa vie de « bonne du curé » bien loin de l’image un peu grivoise de la chanson.
- Si ça ne vous dérange pas, j’aimerais que vous vous arrêtiez au prochain parking, dit-elle soudain.
- Ne me dites pas que c’est ma conduite qui vous donne mal au cœur !
- Non, pas du tout, juste un besoin naturel et plutôt pressant. Trop de thé sans doute !
Simon stoppe bientôt sur une minuscule aire de stationnement en bordure de route : pas d’arbres, pas de fossé, pas de muret pour s’abriter des regards ! Il éteint les phares et coupe le moteur. Descendue de voiture, madame Gautier ouvre les deux portières du côté droit et s’accroupit. Simon éteint les lumières du plafonnier. Dans l’obscurité profonde, il entend distinctement le jet puissant et presque joyeux de la miction qui éclabousse le bitume. C’est long, tellement long que lorsqu’une voiture débouche du virage, le faisceau de ses phares balaie le bas de caisse de la voiture de Simon, et éclaire en plein le cul nu et sans défense de la gouvernante. Pendant quelques secondes, trop brèves à son goût, Simon voit tout : la chair blanche des cuisses au-dessus des bas noirs, la chatte poilue, la vulve qui bâille, le jet d’urine dorée… Il en a une érection spontanée.
La voiture est passée. Retour aux ténèbres. Madame Gautier reprend place aux côtés de Simon qui ne démarre pas… Il y a un long silence qu’elle brise enfin.
- Vous regardiez ? demande-t-elle de sa voix si douce.
- Oui.
- Je suis vraiment désolée, c’est de ma faute.
- Ne vous excusez pas… Je crois qu’il y a des choses beaucoup plus pénibles à voir que le spectacle que vous m’avez involontairement offert…
- Démarrez, s’il vous plaît. Nous ne sommes plus très loin maintenant, dit-elle en posant délicatement sa main gauche sur la
cuisse de Simon, au plus près de son érection persistante.
Tout au long des derniers kilomètres, sans retirer sa main, elle lui parle de sa jeune sœur chez qui elle se rend. Simon apprend ainsi qu’elle se prénomme Myriam, qu’elle est de cinq ans sa cadette, qu’elle est veuve depuis la mort de son mari survenue quelques plus tôt dans un accident de la route, qu’elle est infirmière, qu’elle élève seule ses deux enfants déjà grands et partis étudier à la capitale…
Madame Gautier guide Simon dans les rues de V* jusqu’à un pavillon dans un lotissement récent de la périphérie. Alors qu’il gare sa voiture dans la cour, elle lui dit :
- Vous n’êtes plus à une heure près. J’ai prévenu ma sœur de notre arrivée, elle nous attend pour le dîner. Vous ne pouvez pas refuser…
ça vous plaît ? Oui ? alors à vos fantasmes pour la
suite...
ZOOM n° 89, mai 1982
Photo de couverture réalisée par Georges Tourdjman ( né en 1935 à Casablanca )
- Deux magnifiques et terribles portraits de jeunes femmes algériennes réalisés par Marc Garanger ( né en 1935 ) dans la province du Dirah ( Kabylie) en 1960, dans le cadre d’une campagne de photographies systématiques et obligatoires de la population en vue de la délivrance d’une carte d’identité. Par leur regard, ces femmes pour la première fois dévoilées devant un inconnu (chrétien, colonisateur de surcroît) manifestaient clairement leur résistance et leur haine. Appelé du contingent, Marc Garanger avait ainsi photographié 2000 femmes ( à raison de 200 par jour )
- Deux compositions photographiques très « léchées » de Laurence Robins (originaire de New-York)
La patineuse
La nymphe au clair de lune
- Deux photographies de Peter Pexa ( prises de vues en piscine )
Jayne Mansfield est née en avril 1933 et décédée accidentellement le 29 juin 1967.
De son vrai nom Vera Jane Palmer, elle fut à la fois stéréotype de la blonde platine décervelée, sex-symbol de substitution après la disparition de Marilyn Monroe et accessoirement actrice dans des navets hollywoodiens. Rendue célèbre par sa plastique remarquable (entendez ses seins et son cul !), ses multiples aventures et déboires sentimentaux, ses innombrables toutous de compagnie, son addiction au whisky et aux drogues plus ou moins dures, elle fut comme tant d’autres victime de sa propre image qui était loin de rendre compte de la complexité et de la richesse de son personnage.
En ayant capté les impulsions électriques émises par le pénis, on sait maintenant que l’état de repos chez l’homme, c’est l’érection. Les périodes « molles » viennent de ce que le système nerveux envoie constamment des messages au pénis pour qu’il ne bande pas. Ce qui explique, par exemple, les érections nocturnes aux heures où la conscience se relâche. Etonnant, non ?
La belle et son gode
Sur les sites amateurs et les blogs, voilà un des thèmes qui nourrit les albums photographiques des internautes : l’épouse, l’amante, la copine, la maîtresse en flagrant délit de jouissance avec son gode ! Peu importent la taille de l’instrument, sa couleur, sa forme, sa texture…pourvu qu’il les mène à l’orgasme. Qu’il soit vibrant, tournoyant, vrillant ou simple prothèse manuelle, elles ne lui demandent qu’une seule chose : du plaisir ! Et au vu des photos de leurs vulves grasses, des engins luisants de mouillure, ils sont efficaces. Devant l’objectif, elles se l’enfoncent indifféremment dans le con ou dans le cul. Elles n’éprouvent aucune honte, aucune gêne… Et votre serviteur peut en témoigner, lui qui a, des dizaines de fois, immortalisé dans l’objectif ces instants magiques… Voici donc parmi des milliers d’images quelques moments de pur fantasme masculin…
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