Vendredi 20 janvier 2012
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SOUBRETTE. n.f. ( 1640, du provençal soubreto, de l’ancien provençal sobrar « être de trop », du latin superare
)
- Suivante ou servante de comédie
- Bonne, femme de chambre aimable et délurée.
« Vous êtes taillée en soubrette ; vous en avez la figure, le propos, le geste, le jeu ; tenez-vous là, et ne songez point
à vous élever davantage. » ( Bachaumont, mémoires secrètes, 1767)
Par michel koppera
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Publié dans : le musée Koppera
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Jeudi 19 janvier 2012
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Régine DEFORGES, 101, avenue Henri Martin, éditions Ramsay , 1983
Fin du chapitre 3 : scène d'un grand classicisme
« Négligeant de lui répondre, François retira la lourde robe de chambre d’un seul geste. Nu, le sexe dressé, les jambes
écartées de chaque côté d’elle, il la dominait de toute sa taille. Léa ne put réprimer un frémissement voluptueux. Il ressemblait au brigand qu’elle rêvait de rencontrer au détour des allées
forestières des landes lorsqu’elle était petite.
Elle porta la main au creux de ses cuisses. François tomba à genoux devant cette petite main crispée, et déplia doucement les doigts et posa ses lèvres à leur place. Sous cette langue
qui la fouillait, elle se cambra pour mieux s’offrir. Le plaisir la surprit avec une violence qui la fit crier et s’agripper aux cheveux de son amant. Comme à regret, il releva le tête,
contemplant ave un bonheur qui marquait son visage, le bouleversant résultat de ses caresses. Puis s’allongeant sur elle, il la pénétra doucement. »
Par michel koppera
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Mercredi 18 janvier 2012
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Le saviez-vous ? n° 29
Au 18ème siècle, lorsque Marie-Thérèse, impératrice d’Autriche, consulta son médecin pour accélérer une descendance qui tardait à
venir, celui-ci lui répondit : « Je suis de l’avis que la vulve de Votre très Sainte Majesté devrait être titillée pendant un certain temps avant l’acte. » La patiente dut être conquise par la
technique et son empereur de mari ravi de la conversion inattendue, car le coupe impérial acquit une réputation d’amants passionnés, faisant l’amour par plaisir et non plus par obligation, ce qui
eut pour effet de leur fournir seize enfants (parmi lesquels Marie-Antoinette qui eut elle-même le plus grand mal à procréer avec Louis XVI, celui-ci étant pourvu d’un « bracquemart assez
considérable » alors qu’elle souffrait d’une étroitesse du vagin, selon l’historienne Simone Bertrière). (in Le Secret des Femmes, Editions Odile Jacob, 09/2010 )
Par michel koppera
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Mardi 17 janvier 2012
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Une nouvelle petite galerie au couvent consacrée (c'est le mot qui convient) à la pénitence, punition et repentance...
Tout un programme !
Par michel koppera
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Dimanche 15 janvier 2012
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/2012 16:14
G comme GALBE
G comme GÂTERIE (ou comme GOURMANDISE)
G comme GERONTOCRATIE
G comme GICLER
G comme GODE
Par michel koppera
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Dimanche 15 janvier 2012
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/2012 14:52
ZOOM n° 98, Seconde partie
- Quatre photographies de Didier Gaillard. Technique de réalisation : Au départ un tirage en noir et blanc sur
un papier assez dur et légèrement surexposé. Ensuite, virage sépia. Enfin, ajout des couleurs à l’aide de pastels ou de crayons de couleur.
- Portfolio consacré aux illustrateurs français.
Peinture à l’huile de Patricia Lechat
Gouache et crayon de Hélène Majera
Affiche du film « La lune dans le caniveau » de J.J. Beneix réalisée par Pierre Peyrolle ( né en
1945)
(peinture à l’huile)
« Ça ira », couverture de Michel Guiré-Vaka ( encres) né en 1936
Carte postale de Pierre Barraya ( huile) ( né en 1938 )
Pub pour BP réalisée par Pierre Peyrolle ( huile)
Par michel koppera
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Samedi 14 janvier 2012
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/2012 11:36
Sofia Villani Scicolone ( alias Sophia Loren) est née le 20 septembre 1934 à Naples. Montée à Rome avec sa mère, elle figure dès
l’âge de 16 ans dans des romans-photos sous le pseudonyme de Sofia Lazzaro et obtient de petits rôles dans des films où elle apparaît seins nus ( comme dans « Si, si, era lui » en 1951 ou « les
12 nuits de Cléopâtre » en 1953).
Image du film : "Si, si, era lui"
Sophia Loren dans "Les 12 nuits de Cléopâtre"
C’est en 1952 qu’elle prend le pseudonyme de Sophia Loren et entame la carrière cinématographique qu’on lui connaît.

De Sophia Loren, si je ne devais garder qu’un seul souvenir, ce serait celui de son rôle dans le film « Une journée particulière
» d’Ettore Scola en 1977. Elle avait alors 43 ans, mais jamais elle ne m’a paru aussi belle, aussi épanouie, aussi désirable. Je me souviens avoir vu le film plusieurs fois avec érection
spontanée à chacune de ses apparitions sur l’écran.
Après cette abondante galerie de photos glamour de Sophia Loren voici en prime, quelques clichés à l’authenticité contestée de
la star dans des poses plus osées ( ces photos sont censées remonter à ses débuts si l’on en croit les annotations)
Et pour terminer, deux photomontages dont on aimerait tant croire qu’ils soient vrais !
Par michel koppera
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Publié dans : jadis et naguère
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Vendredi 13 janvier 2012
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/2012 12:44
Voici une première série d'illustrations d'un même artiste ( du moins c'est ce que je crois) sur le thème de la partouze. Je
n'ai pu identifier le nom de l'auteur ( il y a bien une signature dans l'angle inférieur droit de la première des images ainsi qu'une date, 1959, mais le nom est très difficile à déchiffrer).
Certaines images sont accompagnées d'un texte manuscrit dans une langue que je ne connais pas... Je fais donc appel à vous pour donner un auteur à ces illustrations. D'avance merci
25 septembre 2013 : Serge, un lecteur de Moscou, m'indique que l'auteur de ces dessins est Alexander Szekely (1901-1968),
d'origine hongroise mais ayant longtemps résidé et travaillé en France.
Par michel koppera
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Publié dans : le musée Koppera
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Jeudi 12 janvier 2012
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/2012 13:47
Pour cet article, je me contenterai dans un premier temps de reprendre ce qu'en dit Wikipedia :
FEMEN est un groupe de protestation ukrainien fondé à Kiev en 2008 et dirigé par Anna Hustol, sociologue et actuellement
présidente du mouvement. L'organisation est devenue internationalement connue pour avoir organisé des manifestations, happening ou performances seins nus pour la défense de la démocratie, de la liberté de la presse, des droits des femmes, de la protection de l'environnement, et contre la corruption, la prostitution, le tourisme sexuel, les agences matrimoniales internationales, le sexisme, la pornographie, la
violence conjugale, le racisme et la pauvreté. Le mouvement FEMEN, comme le mouvement Slutwalk (ou « marche des salopes ») qui a débuté au Canada en 2010, est considéré comme une prémisse de ce
qui pourrait être une «quatrième vague féministe»
Commentaire : Les militantes du mouvement Femen manifestent le plus souvent seins nus (topless) et avec une
couronne de fleurs dans les cheveux ( toutes proportions gardées, un peu à la manière de la Cicciolina en son temps). Si vu de l'Occident, ce mouvement peut apparaître "bon enfant", la perception
qu'en ont certains états autoritaires n'est pas aussi tolérante. Les arrestations, violences ( et je crois même assassinat) à l'encontre des militantes de Femen se multiplient et il est de notre
devoir de défendre et soutenir leur juste cause.
Par michel koppera
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Publié dans : au jour le jour
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Mercredi 11 janvier 2012
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/2012 13:33
Claire CASTILLON, Le Grenier, Editions Anne Carrière ( 2000 )
Le Grenier est le premier roman publié de Claire Castillon ( née en 1975) et, pour un coup d’essai, ce fut un coup de
maître. Le récit est passionnant de bout en bout, écrit dans une langue d’une grande vivacité. Bref, une oeuvre à ne pas manquer !
Pour résumer sans trop déflorer le contenu du récit : la narratrice est follement éprise de Simon. Mais Simon est marié
et papa. Elle souffre et il ne s’en rend pas vraiment compte, ou ne veut pas le savoir.
Extrait :
« Simon, il faut que tu me baises immédiatement sur ce lit d’hôpital, pendant qu’il y a promenade. J’ai perdu mon grenier
et je ne peux sortir d’ici sans m’en être fait greffer un autre. Alors, vas-y.
Quoi pas ici ? Et tu voudrais qu’on fasse ça où ? Il n’y a pas d’autre solution. Ça va se passer ici et maintenant, et
en cinq minutes encore, avant qu’elles remontent. Je t’en prie. Après, je sortirai de là, tu m’emmèneras, je ne déprimerai plus du tout, je te le promets.
Et Simon s’exécute. Ça le fait bander les dépressives, ça lui rappelle sa femme. Il me chevauche rapidement, et je souris,
comblée. Pendant que tu me baises, je te vide. Je te pompe. Je choure tout ton grenier. Tout ce sperme qui avant le paralysait va maintenant faire respirer mon grenier. Ton foutre ressuscite mes
entrailles. Je peux sortir d’ici. À présent, j’ai de quoi tenir. »
Par michel koppera
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