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Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Le saviez-vous ? # 33
« Au 19ème siècle, il n’était pas rare que des maris emmènent leur maîtresse en voyage de noces en même temps que leur femme. Certains, comme le prince Napoléon, cousin de napoléon III, les faisaient vivre dans des chambres contiguës. La grande différence entre elles, était que le mâle commun se montrait étonnamment discret sur ses rapports conjugaux, d’où toute volupté était bannie, mais ne tarissait pas de détails sur les extraconjugaux, où tous les raffinements étaient permis. » (Docteur Georges Valensin, « Science de l’amour, La femme révélée », Editions de la table Ronde, 1969)
ZOOM n° 105, mars 1984
- Couverture de Régis ROUSSEAU
- Chiara Boéri, image sur computer tirée de « Nouvelles Images » chez Kodak
- Le cimetière du Père Lachaise vu par Frost Berlin
- Deux photographies de Dean CHAMBERLAIN
- Photographie de Butch MARTIN
- Très beau portrait réalisé par Emile FRECHON en 1903 ( archives Larousse )
Dominique SYLVAIN, Passage du Désir, ( Editions Viviane Hamy, février 2004 )
Extrait du chapitre 20
« Tout devint noir. Un rideau de flammes explosa au fond de la scène, au même moment la voix d’une chanteuse noire américaine scotcha l’audience à son siège.
You can’t love nobody
Unless you love yourself
Don’t take it out on me babe
I’m not the enemy
Elle arriva, galbée dans un fourreau rouge, sa très longue chevelure rousse cascadant sur ses épaules. Grande, musclée, des seins d’une belle fierté, des hanches épanouies, des jambes racées.
Are you the man I love
The man I know loves me ?
Come on talk to me boy
I’m not the enemy. *
- Waouh, souffla Maxime.
Et le strip-tease commença. Classique, sans table dancing, sans barre en inox. Une affaire solide. Une histoire ancestrale. Personne ne pipait mot, ne bougeait un cil. La flamboyante enleva son fourreau, ses bas, son string, ne garda que ses chaussures à talons de plexiglas. Et elle se mit à onduler, se mit à ployer, sinuer, insinuer. À succomber, flancher, revenir. Abandon. Générosité. Les flammes qui brûlaient au fond de la scène chamarraient son corps. Un corps à l’incroyable tatouage dorsal qui partait du cou pour conquérir la croupe et représentait une geisha batifolant avec des carpes joueuses. »
* extrait de « I’m not the enemy » ( Lina)
Ce que j’en pense: Difficile d’accrocher dans ce polar qui se veut littéraire et se révèle poussif. On a du mal à croire aux protagonistes de cette histoire alambiquée, et tout particulièrement au personnage principal (une certaine Lola Jost, commissaire de police boulotte, en rupture de ban, retraitée de fraîche date et portée sur la bonne bouffe, le pinard et les citations d’auteurs…) Mais tout le monde ne peut pas être Maigret !
L'album est paru en 1984, chez Glénat. Un petit supplément gracieux à la "Journée de la Femme"
"Panique à bord"
Je ne sais pas pourquoi j'ai choisi cette photo dans mes archives, peut-être parce qu'elle symbolise plusieurs facettes de la femme : sainte, mère, amante, objet de désir et de vénération...
Pamela GREEN
Pamela Green est née en mars 1929 en Angleterre où elle est également décédée en 2010. De son vrai nom Phyllis Pamela Green ( connue aussi sous les pseudos de Rita Landre ou Princess Sonmar Harricks) elle se fit connaître à partir de 1954 comme modèle glamour.
En 1960, elle joue pour la première fois dans un film, « Peeping Tom », où elle apparaît nue dans une scène. Cette scène est considérée comme la première scène de nu dans un film grand public, d’après-guerre et de langue anglaise. Ce film fit la réputation de Pamela Green et jeta le discrédit sur son réalisateur.
En 1961, on retrouve Pamela dans un film naturiste intitulé « Naked as Nature Intended » Elle poursuivra sa carrière d’actrice et de modèle de charme jusqu’au début des années 70 avant de sombrer peu à peu dans l’oubli.
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