"Crissie et Monsieur K.", chapitre 22 b
Mais Crissie ne fait pas un geste vers l'accorte Sonia. Tout au plus pose-t-elle la main sur le mont de Vénus moelleux pour en apprécier le velouté. Moi je ne tiens plus. J'hésite une seconde entre le con et le cul de la plantureuse, et m'enfonce avec délices dans son sexe offert ouvert. Mon corps chaloupe et danse sur elle, je vois son large dos blanc, et, par intermittences, Crissie, le regard étonné, et son visage qui se ferme peu à peu. On dirait que tout cela ne l'excite pas, ou ne l'excite plus. Emporté par un désir qui n'en finit pas, je continue de labourer la laiteuse Sonia, pendant que Crissie, en quelques secondes, se dégage avec violence, saute de la table, remet à peine sa robe et part en courant, ne prenant même pas ses chaussures.
Je la laisse faire, en colère contre cette fille capricieuse. Je continue de baiser méthodiquement Sonia, large et confortable. Et par jouir avec force.
La chaleur est étouffante. Le silence pesant. Sonia me sourit. Je me réajuste en vitesse et je remonte.
Crissie n'est pas à l'étage. Je sors. Je ne la vois pas non plus. Je me mets à être inquiet, je marche, puis je cours dans les rues avoisinantes : elle est introuvable !
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