Crissie et Monsieur K.

Jeudi 22 octobre 2015 4 22 /10 /Oct /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 22 b

crissie22b-1Mais Crissie ne fait pas un geste vers l'accorte Sonia. Tout au plus pose-t-elle la main sur le mont de Vénus moelleux pour en apprécier le velouté. Moi je ne tiens plus. J'hésite une seconde entre le con et le cul de la plantureuse, et m'enfonce avec délices dans son sexe offert ouvert. Mon corps chaloupe et danse sur elle, je vois son large dos blanc, et, par intermittences, Crissie, le regard étonné, et son visage qui se ferme peu à peu. On dirait que tout cela ne l'excite pas, ou ne l'excite plus. Emporté par un désir qui n'en finit pas, je continue de labourer la laiteuse Sonia, pendant que Crissie, en quelques secondes, se dégage avec violence, saute de la table, remet à peine sa robe et part en courant, ne prenant même pas ses chaussures.

Je la laisse faire, en colère contre cette fille capricieuse. Je continue de baiser méthodiquement Sonia, large et confortable. Et par jouir avec force.

La chaleur est étouffante. Le silence pesant. Sonia me sourit. Je me réajuste en vitesse et je remonte.

 

Crissie n'est pas à l'étage. Je sors. Je ne la vois pas non plus. Je me mets à être inquiet, je marche, puis je cours dans les rues avoisinantes : elle est introuvable !

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Mercredi 21 octobre 2015 3 21 /10 /Oct /2015 08:00

" Crissie et Monsieur K." Chapitre 22 a

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Avec les effluves de la cire, la chaleur dans la cabine est devenue presque suffocante. Sur le front et les tempes de Sonia perlent des gouttes de sueur. Moi-même, je me sens moite. Toi seule donne l’impression de n’être en aucune façon incommodée par la chaleur ; cela semble même te stimuler au plus haut point, si j’en juge par la complaisance que tu mets à te cambrer en écartant les fesses et par la mouillure qui suinte de ta vulve entrebâillée.

Je ne tarde pas à abandonner mes vêtements et à vous rejoindre. Sonia est en nage. Je pose les mains sur ses hanches majestueuses. Comme toi, elle a le ventre intégralement glabre, avec un large pubis aussi dodu et moelleux qu’un édredon, deux gros seins aux aréoles sombres, une peau veloutée habituée aux onguents les plus onctueux. J’ose une caresse sur sa croupe ; elle se laisse faire, m’encourage même à aller plus loin en écartant un peu les jambes. Je bande à mort. Je me penche vers toi et te parle tendrement à l’oreille :

      - Crissie, je crois que Sonia attend que toi aussi tu t’occupes d’elle…

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Jeudi 15 octobre 2015 4 15 /10 /Oct /2015 08:00

" Crissie et Monsieur K.", chapitre 21 b

crissie21b-2Monsieur K me regarde mais il ne sait pas ce que je pense... Et la punisseuse potentielle n'imagine pas un seul instant que je puisse ne pas avoir mal quand on m'épile entre les fesses, ni même que je puisse en éprouver un certain plaisir, ce qui est souvent le cas. J'ai subi  d'autres corrections et supporté  d'autres épreuves. Je la laisse faire en me moquant intérieurement. Je ne sais pas si Monsieur K est dupe ou non... Il continue à être double, à me monter de lui des aspects où il s'abandonne et d'autres où, le regrettant, il manifeste une domination qui est à la lisière de la haine... Je simule, je pousse des petits cris comme si j'avais mal. Sonia, m'écartant les fesses rudement, passe et repasse les bandes de cire là où il n'y a plus rien à ôter. C'est vrai que ça chauffe un peu, à la longue, mais je suis toujours étendue avec volupté, et à aucun moment elle n'a songé à me mettre à quatre pattes, ce que j'aurais subi comme une humiliation.

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Mercredi 14 octobre 2015 3 14 /10 /Oct /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 21 a

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Dans la cabine exiguë, l’atmosphère est tropicale, saturée d’odeurs huilées et de chaleur moite. Le spectacle est stupéfiant de bestialité. J’observe le visage impassible de Sonia, aussi sérieux que celui d’un vétérinaire en plein travail de vêlage. Sa main droite te fouille méthodiquement le vagin, à la recherche d’un improbable point de crissie21a-2jouissance. Tu en as les yeux presque chavirés, mais ce n’est ni du plaisir, ni de la souffrance, juste une sorte d’état second, d’hypnose vaginale. Tout cela s’achève brutalement dans un flot d’urine que rien ne semble devoir tarir. De honte, tu t’enfouis le visage dans le berceau de tes bras repliés.

- Voyez ce qu’elle fait, la souillon, la sale petite pisseuse !  Ça mérite une punition, n’est-ce pas Monsieur K ? Je suggère une bonne épilation à la cire entre ses fesses de salope.

 

Ce disant, Sonia m’adresse un regard plein de cruelle malice. Tu relèves la tête, tournes vers moi tes yeux suppliants. Pourtant, je crois voir danser, tout au fond de tes prunelles, la petite flamme du vice…  

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Jeudi 8 octobre 2015 4 08 /10 /Oct /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 20 b

crissie20b-1 La  plantureuse Sonia salue avec un sourire et nous invite à entrer. Monsieur K a l'air de vouloir rester, à l'inverse de la fois précédente. La jeune femme lui avance un fauteuil. Je demande à Monsieur K de me libérer le temps de la séance, ce qu'il fait de bonne grâce. Puis il me laisse aux mains de l'esthéticienne expérimentée. Elle me demande de me déshabiller et m'installe sur le dos. Je ferme les yeux. Doucement, elle masse mon crâne, tire mes cheveux en arrière, masse longuement mon visage avec un fluide parfumé, le brumise, me dit régulièrement de me laisser aller, ce que je fais sans aucune résistance, commence à se pencher sur mon corps pour en enduire les bras, les épaules, le buste, d'huile parfumée. Elle se penche, ses seins me touchent régulièrement. Les mouvements sont longs, onctueux, veloutés, j'ai peu à peu l'impression d'être une fleur de papier qui se déplie dans l'eau... Laissez-vous aller, laissez-vous aller... Elle tourne autour de la table des plaisirs. Elle masse mes pieds, - je revois une scène d'Épouses et concubines - masse mes jambes, s'appesantit un peu à la fourche des cuisses. Je ne retiens pas un gémissement, tourne autour de moi, je garde les yeux fermés, je sens le frôlement régulier de son corps, je devine qu'elle a ôté sa blouse, je respire des effluves réguliers de parfums ambrés, je ne sais plus ce qui me masse : ses mains, son corps, les deux, laissez-vous aller, laissez-vous aller... Je suis à la fois raide et distendue. J'entends sa voix me dire très doucement de me tourner sur le ventre et je m'exécute. Sonia, après la face nord, caresse la face sud de ses doigts habiles, me masse longuement le dos, dissout les tensions, délie tous les noeuds, laissez-vous aller... Sonia me caresse, me masse, me palpe les fesses. Je sens monter un désir douloureux et subtil. Mais ses gestes restent encore ceux de l'effleurement. Elle me fait attendre, me fait espérer. Tourne, effleure, tourne, effleure, laissez-vous aller... Enfin, devant sans doute mon corps qui se cambre vers elle comme en une supplication, elle entre très doucement un doigt, deux doigts, dans mon con huilé, parfumé, trois doigts, les ressort… Puis je sens sa main entière s'immiscer avec douceur, elle a de longues mains fines, elle me fiste complètement le vagin, tourne, va et vient, n'arrête plus. J'ai la sensation étrange d'être en lévitation.

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Mercredi 7 octobre 2015 3 07 /10 /Oct /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 20 a

Pendant de longues minutes, j’ai l’illusion de te posséder entièrement, corps et âme, et cette sensation me procure un plaisir incommensurable. Tout de toi m’appartient : ton dub133-0sexe que j’ai cadenassé, ton ventre que je tiens en laisse, ton cul où je suis planté, tes seins que je pétris, ta main que je serre dans la mienne, ton image dont je me repais,  tes pensées obscènes, ton plaisir même dont je suis le maître. Pour la première fois de ma pauvre existence, j’éprouve l’ivresse de la domination, du pouvoir. Mon désir comme ma jouissance en sont décuplés. Je lance mon sperme à l’assaut de ton rectum, de tes tripes, de ton cœur. Je ne sais si tu jouis de nouveau ; à vrai dire, peu m’importe. Je suis transporté dans un autre monde où rien d’autre ne compte que la quête de l’orgasme absolu, celui qu’on appelle à juste titre « la petite mort »…

Une fois ressuscité, je t’entraîne à la salle de bain où je te lave comme une enfant. Puis, je te rhabille avec soin de ta courte robe de cotonnade par-dessus un adorable string de saison.

- On a un rendez-vous dans une demi-heure, dis-je en te tendant ton sac à main. On est presque en retard.

Comme d’habitude, tu ne poses aucune question.

Dans le taxi qui nous emmène, je retrousse ta robe, écarte ton string, remets le cadenas en place ainsi que la laisse chromée. C’est ainsi que nous faisons notre entrée dans l’institut de beauté où nous sommes attendus : moi devant, faussement désinvolte, saluant la maîtresse des lieux tout en tenant de la main gauche la poignée de cuir de la chaînette qui remonte entre tes cuisses, sous ta robe plissée.  Je croise des regards de femmes offusquées, d’autres incrédules, plus rarement amusées. Pendant que j’échange des banalités polies avec la patronne, tu te tiens en retrait, immobile, mais la tête levée, l’air hautain, affrontant avec arrogance la multitude des regards qui convergent vers toi, vers cette chaînette chromée qui disparaît entre tes cuisses légèrement entrouvertes.

- Monsieur K, c’est un plaisir de vous revoir. Sonia vous attend, c’est elle qui va s’occuper de votre amie. Si vous voulez bien me suivre.

Elle écarte un rideau cramoisi et nous désigne d’un geste le couloir sombre :

 

- Je vous ai réservé la cabine 17… À tout à l’heure. 

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Mercredi 30 septembre 2015 3 30 /09 /Sep /2015 09:00

" Crissie et Monsieur K.", chapitre 19 b

crissie19b-1J'obéis. J'ôte ma robe. Le seul vêtement qui m'habille désormais, c'est cette lueur pâle de l'or blanc sur mon sexe, et la longue chaîne qui se balance avec lenteur. Le seul accessoire qui va m'orner dans quelques instants, c'est le dildo vertical dressé sous mes fesses, et qui palpite avec vigueur.

Je ne me précipite pas. Je me regarde dans le miroir. Ne pas me précipiter.

Je fais attendre Monsieur K. Son corps est tendu à tout rompre.

Je joue avec son désir. Je m'accroupis. Dans la glace, je me découvre la détermination d'une mante religieuse.

Je crache dans mes doigts, j'humecte le gode vivant de ma salive et le saisis. Sans transition, en un long mouvement continu régulier, je m'empale sur Monsieur K, tellement loin, que j'ai l'impression que les deux verrous d'une même mécanique se sont bloqués à la fois, en un corps unique, hermétique. Le plaisir est immédiat.

 

J'ouvre les yeux par intermittences vers le miroir qui me fait face, je ne vois que quelques images : la tête de Monsieur K qui s'agite et qui ne peut plus se retenir de montrer la jouissance qui le traverse, la grimace de ma bouche qui me dit la même chose.

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Mardi 29 septembre 2015 2 29 /09 /Sep /2015 09:00

" Crissie et Monsieur K.", chapitre 19 a

crissie19a-1Ton silence m'exaspère. Cependant, en examinant au plus près ton corps nu,  je glane quelques indices. Le premier, c'est un minuscule nouveau tatouage au-dessus de ta cheville droite. Cela représente un croissant de lune noire, comme un écho à la petite étoile tatouée sur ton poignet gauche. Je ne peux alors m'empêcher de repenser à la remarque de Géraldine lors de notre "soirée" entre amis. Et puis, il y a ces traces inquiétantes sur ton dos, trois zébrures parallèles semblables à s'y méprendre à des griffures de chat. Elles ont provoqué de légères boursouflures sur ta peau tendre. De toute évidence, c'est récent. Je les effleure du bout des doigts, cela t'arrache un frisson douloureux. Je m'abstiens de te poser encore des questions, car je sais maintenant que je n'obtiendrai aucune réponse, et je ne souhaite pas que tu te sentes obligée de mentir

 

En glissant ma main plus avant entre tes fesses, en y aventurant deux doigts curieux, je ne rencontre plus la réticence habituelle, bien au contraire. Comme si pendant des jours, on t'avait soumise - ou que tu t'étais livrée de ton plein gré - à des intromissions prolongées afin d'assouplir l'anneau musculeux de ton anus, de vaincre sa résistance naturelle. J'y enfonce deux doigts, puis bientôt trois réunis en faisceau. Tu te cambres, tu t'ouvres à ma main, tu te dilates.
Il n'en faut pas plus pour me faire bander. Je t'entraîne dans ma chambre, devant le grand miroir. J'attache la laisse au pied du lit. Je me couche sur le dos, et t'invite à s'asseoir sur mon ventre. 
- Crissie, encule-toi et regarde-toi dans le miroir, comme si tu voyais un film !

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Mercredi 23 septembre 2015 3 23 /09 /Sep /2015 08:30

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 18 b

Tu ne sauras rien. Tu ne sauras jamais rien de mon autre vie Monsieur K. Tu devras te contenter de ce que je montrerai, de ce que je te ferai croire. Ma vie ici est une parenthèse, et elle n'est pas innocente.

Mais je ne dis rien de tout cela. Je regarde Monsieur K avec un sourire candide et je dis : "J'avais besoin de reprendre des forces, de faire le point".

Je le désarçonne. Il ne comprend pas. Il avait envie de me baiser, je sens qu'il a maintenant envie de me faire mal. Il a l'impression  que peut-être je deviens une ennemie, que je le jauge, que je le teste.

 

Il tire un peu plus fort sur son nouveau jouet.

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Mardi 22 septembre 2015 2 22 /09 /Sep /2015 09:00

" Crissie et Monsieur K.", chapitre 18 a

crissie18a-1J'examine de plus près cette nouveauté. Je dois reconnaître que c'est ingénieux et réalisé avec soin. Chacune des petites lèvres a été percée en son centre comme le lobe d'une oreille où passe un petit anneau - d'argent ou d'or blanc, je ne sais - du diamètre d'une alliance. Le petit cadenas permet de réunir les deux anneaux, ce qui bloque de fait l'entrée du vagin. Certes, il y a l'espace pour y glisser un index, mais certainement pas une bite, fût-elle de taille modeste. Lorsque le cadenas  n'est pas en place, les deux anneaux constituent une prise idéale pour t'écarter les lèvres du con et t'ouvrir la vulve en grand. Le dispositif est vraiment astucieux.

D'un geste solennel, tu me confies le cadenas et ses deux clefs. En fouillant dans mon bric-à-brac d'accessoires érotiques, je finis par trouver ce qui va parachever ton nouvel appareillage : il s'agit d'une chaînette chromée, très légère, longue d'un mètre cinquante environ, terminée à une extrémité par une poignée de cuir noir, à l'autre par un petit mousqueton que je m'empresse d'attacher au cadenas. Te voilà tenue en laisse par le con.

Mi-amusés, mi-sérieux, on fait ainsi quelques allées et venues dans l'appartement pour tester le dispositif. Malgré l'heure matinale, tout cela me met d'humeur gaillarde. Il est grand temps que je te baise. Je tire sur la laisse, ton ventre vient à moi.

 

- Alors, ma salope, tu vas me le dire où tu étais passée…

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