Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Suite au commentaire de Vermine de Clermont-Tonnerre nous informant avoir trouvé sur internet la même photo de notre blonde bourgeoise mais avec un visage différent, il m'a semblé important de vous soumettre les deux photos afin que vous vous fassiez de visu votre opinion (vous noterez qu'il n'y a pas que que le visage qui a changé mais aussi le décor, comme ce cadre au mur qui a disparu lors d'un recadrage de l'image, ce qui m'inclinerait à penser que la photo trouvée par Vermine est sans doute l'originale )
Photos n° 21
Habillée, déshabillée... et désinhibée ?
Nous voici chez M. et Mme Tout-le-monde. Tout y est moyen : le mobilier, les objets, comme les doubles rideaux à motifs floraux, le linoléum du bureau ou le tapis de laine écrue du salon. Chaque chose est à sa place : les papiers sur le bureau, le bouquet de fleurs au centre de la table ronde, les chaises bien rangées tout autour... Il n'y a que deux détails qui viennent perturber cet ordonnancement : la paire de chaussures posée sur le sol à côté de la chaise du bureau (il a fallu faire un choix pour la photo) et surtout, dans l'angle inférieur droit, on devine la photo de couverture d'une pochette de DVD pornographique...
L'épouse blonde - c'est un à priori je le concède - pose d'abord assise devant le bureau. Elle est tout de noir vêtue, mais d'un noir léger, souvent transparent. Elle porte des bijoux dorés au cou, au poignet et même à la cheville gauche. La photo serait convenue si elle ne soulevait pas malicieusement sa robe pour nous montrer ses jambes et surtout ses cuisses gainées de bas aux motifs sinueux. Elle sourit...
Sur la seconde photo, celle prise au salon, sans doute à l'aide d'un retardateur, elle arbore presque le même visage mais son regard ne sourit plus. Il est grave, sérieux. Elle s'est entièrement dévêtue (sa robe noire est posée sur l'accoudoir du fauteuil voisin, et dépouillée de tous ses bijoux, même de ses bagues. Elle est assise à califourchon sur le ventre de son mari, les mains solidement posées sur ses genoux, avec sa queue raide plantée au plus profond de son vagin et ses couilles qui lui excitent le clitoris. Son visage exprime l'intensité de son plaisir, si proche de la douleur. Elle ne va pas tarder à jouir...
Après les fesses de Sun-Hi , voici son sexe...
Et pour finir, d'autres photos dans des moments forts de leur couple amoureux !
Lecteur du blog, Stéphane m'a adressé une contribution très personnelle sous la forme de 16 photos de sa compagne Sun-Hi. Je l'en remercie chaleureusement.
Voici une première série consacrée aux fesses de l'élue de son cœur.
Le saviez-vous ? # 107
Les "Sheela Na Gig" sont des sculptures figuratives de femmes au sexe hypertrophié qui s'écartent les lèvres de la vulve à l'extrême. On trouve ces représentations très anciennes essentiellement en Irlande et dans des îles anglaises, le plus souvent sur des gargouilles ou des corbeaux d'églises ou de châteaux. Pour en savoir plus sur leur origine et leur fonction, je vous renvoie à l'article bien documenté de Wikipédia dont je vous donne ci-dessous le lien
Voir : Article de Wikipedia
Voici quelques exemples "Sheela Na Gig" traditionnels :
Mais ce qui m'intéresse ici, ce sont les rapprochements possibles avec d'autres civilisations, comme ce bas-relief sur un temple hindou...
... ou comme, à notre époque, l'hyperbolisme des illustrations "hentaï" japonaises...
... ou encore les photos naturelles ou de composition (merci Photoshop) que l'on peut trouver sur les sites pornos du net
Printemps : jeunes filles en fleurs, montées de sève, sexes épanouis, sortilège des couleurs et des senteurs...
Harumi Hironaka est un artiste nippo-péruvien, résidant et travaillant actuellement à Sao-Paulo. Il a vécu toute son adolescence au Japon où il s'est imprégné de la culture manga dont on retrouve l'influence dans ses illustrations. Ses tableaux sont presque tous consacrés à la femme, toujours jeune, figure ultra-moderne, hyper maquillée qui bouscule les tabous. On notera la présence récurrente du tabac, de l'alcool et sans doute de la drogue, jamais montrée mais fortement suggérée...
Sur les autoroutes, depuis le début des grèves perlées à la SNCF, les panneaux d'information affichent ce message à l'intention des usagers: " Grèves, pensez au covoiturage".
Oui, c'est une bonne idée : partage des frais d'essence, mais aussi des sens...
Et puis, dans quelques semaines, ce seront les départs pour les vacances d'été. Alors, pensez au covoiturage !
"La métisse du Cap Vert", nouvelle inédite # 8
Il faisait beau ce jour-là ; le soleil printanier déversait une douce chaleur sur les pelouses d’un
vert tendre. Flora était arrivée en avance et m’attendait, assise sur un banc, non loin d’un bac à sable où jouaient des enfants. Elle devait avoir une trentaine d’années et me parut encore plus
belle que naguère. Il y avait sur son visage cette sorte de plénitude sereine qui ne vient qu’à la maturité. Elle portait une robe légère, bleue à pois blancs, qui lui découvrait les genoux, et
une paire d’escarpins à bride argentée. Comme d’habitude, son maquillage était très discret : juste un peu de gloss sur les lèvres… Je me sentis tellement mal à l’aise en sa présence qu’une
fois épuisées les formules de politesse d’usage dans ce genre de situation, je ne trouvai rien à lui dire. Heureusement, elle prit les devants :
- Je suis allée voir votre exposition. Il y a de très belles photos. Je ne m’attendais pas du tout à ça…
- Ah ! Et à quoi vous attendiez-vous ?
- Voyons, ne faites pas l’idiot ! Vous savez très bien de quoi je parle ! À propos, avez-vous des nouvelles de Pascal ?
C’était donc pour cela qu’elle avait souhaité me rencontrer ! Mais je n’en savais guère plus qu’elle-même. Quelques mois après mon départ pour l’étranger, Pascal G* avait épousé dans la plus grande discrétion une femme fortunée et n’avait, depuis, plus donné signe de vie. Il n’habitait plus la demeure dans le parc aux marronniers. Il se disait que le couple vivait désormais dans le sud du pays, sans plus de précision… Si Flora fut déçue, elle n’en laissa rien paraître. Au contraire, l’évocation de Pascal parut la mettre d’humeur joyeuse.
- Il savait y faire avec les femmes, dit-elle, un sourire sur les lèvres, le regard au loin.
- Il vous a manqué ?
- Pas vraiment ! Disons que j’ai repris une vie plus sage, moins excentrique…
- Plus de photos ? C’est dommage, j’ai l’impression que vous êtes encore plus désirable qu’avant…
Soudain, il y eut un long silence, de nouveau comme une gêne entre nous…
Venue tout droit du bac à sable, une petite fille en jupette s’approcha de notre banc.
- Maman ! J’ai soif ! dit-elle en prenant la main de Flora.
- Je vous présente ma fille… Agnès, dis bonjour au monsieur !
- Bonjour, monsieur… Maman, j’ai soif !
La gamine devait avoir quatre ou cinq ans. Elle avait le teint très mat, les yeux noisette aux reflets verts et une belle chevelure blonde, avec une mèche qui lui tombait sur le front.
- Oui, ma chérie, on va y aller…
Au moment de partir, Flora se tourna une dernière fois vers moi.
- Sur internet, lancez une recherche avec donaflor, en un seul mot… On ne sait jamais.
© Michel Koppera
FIN
Derniers Commentaires