Mercredi 4 avril 2018
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"Vernon Subutex", tome 1
Extrait n° 3 : page 321
Vernon parle à un pote de son amour pour une trans brésilienne :" Sa queue était plus
grosse que la mienne. Moi aussi ça m'a surpris au début, que ça ne me gêne pas. Tu vas pas me croire, mais la conclusion à laquelle j'en suis arrivé, et j'étais le premier étonné mais j'ai dû me
rendre à l'évidence : on s'en fout de la chatte. on s'en fout. C'est pas la chatte qui fait la meuf.
- Sauf pour faire des enfants.
- Je ne parle d'amour, là, je discute pas école maternelle."
Par michel koppera
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Lundi 2 avril 2018
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Si vous ne l'avez pas encore fait, il est encore temps d'organiser une chasse aux œufs avec vos ami(e)s
!
Par michel koppera
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Vendredi 30 mars 2018
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"Vernon Subutex", tome 1
Extrait n° 2 : pages 228-229
Gaëlle parle à Vernon de sa copine : " Elle a vingt ans de moins que moi. Elle veut faire
la fête tout le temps, elle me fatigue, t'imagines pas l'énergie qu'elles ont à cet âge-là... moi, quand j'étais jeune, c'était quand même dur d'être lesbienne. Mais les jeunes, aujourd'hui,
elles ont une vie, elles ont des soirées tous les soirs... elles sont deux mille là-dedans, à frimer dans tous les sens... t'imagines pas comment elles baisent, les garces : elles débarquent,
elles sortent direct le harnais et le gros real skin et tout leur paraît normal. Des trucs que j'ai mis des années à faire, elles commencent par là, les gamines..." Et elle avait commencé à le
chauffer, en faisant semblant de ne pas savoir ce qu'elle faisait, en lui décrivant dans le détail la texture douce et la praticité des nouveaux godes ceintures...
Par michel koppera
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Mercredi 28 mars 2018
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J'ai appris hier à la radio le décès de Stéphane Audran. Le 22 février 2009, je lui avais consacré sur ce blog un
article Stephane Audran accompagné d'un poème à sa gloire.
L'annonce de sa disparition me plonge dans le désarroi : elle fut à l'origine de mes premières érections cinéphiles
et resplendira pour toujours au firmament de mes fantasmes d'adolescent.
Par michel koppera
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Lundi 26 mars 2018
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Virginie Despentes : Vernon Subutex, tome 1(2015)
Editions Le livre de poche n° 34047, 429 pages.
Un chef d'œuvre, un roman qui vous scotche de la première à la dernière page. On ne peut s'empêcher de
s'identifier à l'un ou l'autre des personnages, il y a forcément quelqu'un qui nous ressemble ! Comme toujours avec Virginie Despentes, le sexe est omniprésent, explicite ou latent.
Pages 174-175. " Paul entraîne Lydia dans l'entrée, il y a un recoin derrière l'ascenseur. C'est
la première fois qu'ils s'embrassent, et ils sont tout juste assez alcoolisés pour que ça fluidifie les gestes, mais pas assez pour faire des trucs grotesques. Demain, elle se souviendra de
chaque parcelle de cet instant-là. Parce qu'il n'y a que ça qui l'intéresse, dans la vie, mais ça
l'intéresse à fond : la première fois qu'on s'embrasse, la première fois qu'il soulève son pull et pose une main sur son soutien-gorge, puis fouille du bout des doigts pour l'écarter, s'en
débarrasser, la première fois qu'elle a posé sa main à plat contre sa queue dans son pantalon, et qu'il bandait si dur qu'elle a cru défaillir, la première fois qu'il a caressé son poignet pour
glisser sa paume ouverte contre sa chatte, et que directement deux doigts se sont glissés en elle, qu'il l'a possédée en la doigtant comme jamais elle n'avait été doigtée et qu'elle a joui
direct, debout, bassin soulevé vers lui, les yeux plantés dans les siens pour qu'il puisse voir l'effet qu'il lui faisait. Elle voulait le sucer dans l'entrée mais il a chuchoté "chez toi c'est
pas possible ?" et elle a répondu oui, tu peux venir mon mec n'est pas là. Ils sont sortis chercher un taxi."
Par michel koppera
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Vendredi 23 mars 2018
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Photos n° 18
Le rapport à l'image
Deux photos, deux conceptions en apparence différentes du rapport à l'image.
Mais commençons par l'environnement qui, sur les deux photos est semblable : une chambre à coucher,
un lit, des objets du quotidien (photos de famille, mugs, bibelots et parapharmacie...), même si la table de nuit de la seconde photo est plus encombrée que celle de la première, ce qui dénote
déjà une différence de générations sur laquelle je reviendrai. Poursuivons avec les ressemblances : un lit, une femme sur le lit (on part du principe que c'est la compagne légitime), nue ou
quasiment nue dans une position presque identique : allongée sur le dos, les cuisses généreusement écartées, en train de "se donner de la joie" comme le chantait Trénet !
Les ressemblances s'arrêtent là. Si les intentions sont les mêmes, les méthodes divergent. Sur la
première photo, c'est la "vieille école" de l'érotisme, comme en témoignent le porte-jarretelles et les bas noirs. En photo X, on a encore recours au tirage papier, le gode lui-même a une
technologie et un design dépassés. Tout cela n'enlève rien à la force sensuelle de l'image !
Sur la seconde photo, on est passé à l'ère du numérique : l'image est sur écran qu'on regarde de
près, de trop près !!! Plus besoin de bas pour exciter le partenaire. On est branché, la télécommande de la télé reste à portée de main. La femme se caresse la fente et se branle le clitoris...
Peu nous importe de savoir ce qu'elle regarde (photo ou vidéo), l'essentiel est qu'elle soit captivée par l'univers du web.
Par michel koppera
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Mercredi 21 mars 2018
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/2018 08:00
Le saviez-vous ? # 105
Encore une info dénichée dans le Canard Enchaîné n° 5077 du 14 février
2018
Je résume : Des scientifiques japonais ont testé sur des souris une molécule miraculeuse pour faire repousser les
cheveux. Ils sont allés chercher cette substance magique dans les frites de MacDonald's, plus précisément dans un agent antimoussant qui empêche l'huile bouillante d'éclabousser les cuisiniers.
Les chercheurs de l'université de Yokohama ont plongé des germes folliculaires pileux dans un bain de diméthylpolysiloxane (c'est le nom de l'antimoussant), puis ils ont inoculé ces germes à des
souris imberbes qui sont devenues velues en un rien de temps !
Je sais, vous vous dites, le progrès scientifique, c'est vraiment génial !!! Sauf que le fameux
diméthylpolysiloxane, plus connu sous le code E900, est massivement utilisé dans l'industrie agroalimentaire (chaque année, la France en importe des dizaines de milliers de tonnes !) et on le
retrouve dans les boissons énergisantes, les sodas, des pâtes à beignet ou à nem, des sauces de plats cuisinés à base de poisson ou de viande, des salades toutes prêtes, les bonbons gélifiés, des
confitures, des gelées et marmelades vendues en supermarché. Il est bon de rappeler que le E900 est interdit dans le bio et qu'il s'agit d'une nanoparticule dont on n'a pas encore mesuré les
effets à long terme sur la santé !
En attendant, deux dessins de "souris" qui auraient peut-être abusé du E900 !
Par michel koppera
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Lundi 19 mars 2018
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/2018 08:00
17 secondes, pas une de plus pour cette vidéo selfie tournée en voiture. C'est court, mais quelle intensité dans
ces brefs instants arrachés à la routine du quotidien. Je vous laisse regarder encore et encore, en boucle. C'est addictif !
Pour voir la vidéo, cliquez ICI
Par michel koppera
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Vendredi 16 mars 2018
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Le saviez-vous ? # 104
Lu dans le Canard Enchaîné n° 5079 du 28 février 2018 cet article que je vous propose dans son intégralité :
Décidément, la Chine est surprenante !
Par michel koppera
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Mercredi 14 mars 2018
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/2018 08:00
Mate FERGE est un artiste d'origine hongroise né en 1979. Depuis 2008, il réside en Autriche, à Vienne.
Voici 7 tableaux de l'artiste choisis au hasard. Pour vous donner envie d'en savoir davantage, je vous laisse
naviguer sur la toile...
Par michel koppera
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Publié dans : le musée Koppera
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