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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Elmer Food Beat : " Le plastique c'est fantastique" (1990)
Bang, Beng, t'as le coeur à l'envers
Juste avant de rouler des mécaniques
Tu sais que pour lui faire l'affaire
Il faudrait mieux sortir les élastiques.
Ouh hi hou hou
Ouh hi hou hou
Ouh hi hou hou
Bang, Bang, les guibolles en compote
Lorsqu'il est temps de passer à l'action
Petit lapin couvre-toi la carotte
Si tu sens qu'elle en a après tes rognons.
D'accord ce n'est pas réellement du gâteau
Mais la Cellophane te préserve le morceau
Surtout ne reviens pas sur ta décision
Tant pis si tu y perds de l'inclinaison.
Bienvenue au club et félicitations
Le plastique c'est fantastique
Le caoutchouc super doux
Nous l'affirmons sans complexe
Nous sommes adeptes du latex.
Non, non plus jamais les chocottes
De te choper la mort ou bien un mouflet
Pas vraiment nu quand tu ôtes la culotte
Mais il vaut mieux ça que d'éternels regrets.
Plus la peine de fêter tous les lavabos
Chaque fois qu'une fille te rendra amour-fou
Il te suffit d'enrober la libido
Pour passer la nuit à lui faire le voyou
Bienvenue au club on est tous avec vous
Le plastique c'est fantastique
Le caoutchouc super doux
Nous l'affirmons sans complexe
Nous sommes adeptes du latex.
Et puis ne serait-il pas un peu trop facile
De faire la chose sans rien se mettre tout au bout
Il nous semble aise de n'être qu'érectile
Lorsque l'on peut être élégant de partout.
Le plastique c'est fantastique
Le caoutchouc super doux
Nous l'affirmons sans complexe
Nous sommes adeptes du latex.
Pour visionner le clip vidéo, cliquez ICI
Le saviez-vous ? # 101
Ève et la pomme
En Europe, le fruit défendu est symbolisé par une pomme. Or, dans la Génèse, il n'est question que d'un arbre dont le fruit n'est pas nommé. Ainsi lorsque Dieu s'adresse à Adam il lui dit :" Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras".
Plus loin après la création d'Ève, celle-ci se laisse convaincre par le serpent de désobéir à l'interdiction divine :" La femme vit que l'arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu'il était précieux pour ouvrir l'intelligence ; elle prit de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d'elle, et il en mangea."
On voit donc qu'il n'est pas explicitement fait référence à un fruit en particulier et encore moins à une pomme. D'ailleurs au moyen-orient, le fruit de la connaissance peut être représenté sous la forme d'une poire, d'une figue, d'une grenade ou d'une grappe de raisin.
L'explication de l'adoption en Europe de la pomme se trouve sans doute dans une confusion linguistique, au IVème siècle, lors de la traduction du texte original. En effet, en latin, "malum, mala" désignait la pomme. Mais selon que le "a" était ouvert ou fermé, le mot "malum" pouvait aussi se traduire par "mauvais" D'où la confusion ! Si on ajoute qu'en latin le terme générique de fruit se disait "pomum", on comprend mieux le choix des traducteurs.
De sorte qu'en Occident, la figure d' Ève est souvent associée à celle de la pomme. En voici quelques exemples, à commencer par le célèbre tableau de Albrecht Dürer
photo n° 9
Les lieux. Un coin de salon, devant une baie vitrée donnant sur le balcon. Tout paraît froid : aucune ligne courbe, rien que des angles droits, des volumes et des formes géométriques rigides. Le petit coussin posé à l'angle du canapé n'échappe pas à la règle. Pas de rideaux, ni de cadres aux murs. Aucun objet superflu, tout est nu, uni, triste et hygiénique comme le carrelage. Seule concession, une plante verte aux feuilles étroites dont on aperçoit une branche, sans doute posée tout près de la baie vitrée... J'imagine un appartement connecté à un serveur qui règle la vie quotidienne : ouverture et fermetures des stores électriques, régulation de la température ambiante et de la climatisation, programmation à distance des appareils ménagers (télé, four, lave-vaisselle, machine à laver...), commande à distance et modulation des éclairages, système d'alarme anti-intrusion... Pas d'animaux domestiques, ni d'enfants : trop salissants ! J'imagine aussi des odeurs aseptisées... On est comme dans un laboratoire.
La femme. Elle est à l'image de son environnement : vêtue d'une sorte de body noir et d'escarpins à talons hauts, elle nous regarde fièrement, le buste arrogant et la taille fine. C'est la maîtresse des lieux. Son corps musculeux est le fruit de nombreuses heures de fitness, son visage le résultat de nombreux rendez-vous chez l'esthéticienne et chez le coiffeur visagiste. J'imagine qu'elle est intégralement épilée au laser, les aisselles, les jambes et évidemment le mont de Vénus et le reste, jusque autour de l'anus. C'est Madame 2.0 !
Anna de Noailles (1876-1933)
Le baiser
Couples fervents et doux, ô troupe printanière !
Aimez au gré des jours.
Tout, l'ombre, la chanson, le parfum, la lumière
Noue et dénoue l'amour.
Épuisez, cependant que vous êtes fidèles,
La chaude déraison,
Vous ne garderez pas vos amours éternelles
Jusqu'à l'autre saison.
Le vent qui vient mêler ou disjoindre les branches
A de moins brusques bonds
Que le désir qui fait que les êtres se penchent
L'un vers l'autre et s'en vont.
Les frôlements légers des eaux et de la terre,
Les blés qui vont mûrir,
La douleur et la mort sont moins involontaires
Que le choix du désir.
Joyeux ; dans les jardins où l'été vert s'étale
Vous passez en riant,
Mais les doigts enlacés, ainsi que des pétales,
Iront se défeuillant.
Les yeux dont les regards dansent comme une abeille
Et tissent des rayons,
Ne se transmettront plus, d'une ferveur pareille,
Le miel et l'aiguillon,
Les coeurs ne prendront plus, comme deux tourterelles,
L'harmonieux essor,
Vos âmes, âprement, vont s'apaiser entre elles,
C'est l'amour et la mort...
Dans un article récent Cauchemar je vous avais présenté une œuvre digitale du Japonais Tomomi Sakuba. Si je peux en juger à partir des informations que j'ai pu glaner sur le net (pas d'articles en français ou anglais) il serait né en 1959 et sur son site sa biographie s'arrête en 2002, ce qui pourrait laisser supposer soit qu'il a cessé de créer à cette date, soit qu'il est décédé.
Afin que vous fassiez mieux connaissance avec cet artiste hors-norme, je vous propose quelques tableaux : d'abord des dessins...
Comicface lavatory
Machinic girl
Ennoshita
...puis des créations numériques.
Dark rainbow
Kain
Nuhi
Puella
Ennoshita 2
Pour une visite plus complète, cliquez ICI
"Sexy Folies" fut une éphémère émision diffusée sur Antenne 2 en 1986-87. L'émission produite par Pascale Breugnot était présentée et animée par Catherine Belkhodja, Mireille Dumas (déjà !), France Roche et Sylvain Augier. Etrangement, à l'exception de quelques séquences archivées, cette émission n'a laissé que peu de traces sur le net. Présentée comme "tous publics", elle était cependant comme son titre le suggère essentiellement axée sur la sexualité et l'érotisme. On pouvait y assister entre autres à des jeux érotiques, comme des "blind tests" du type colin-maillard, des strip-teases ou écouter des personnalités se livrer à des confidences sur leurs fantasmes..
Pour avoir un aperçu de l'esprit de l'émission, cliquez ICI (sorte de bande-annonce)
Suite de l'article n° 99. Le magazine allemand "die Welt" a rendu compte d'une étude sur les sexbots ( néologisme pour robot sexuel). Selon cette étude, un homme sur deux et une femme sur cinq se sont déclarés prêts à tester ces sexbots à condition que l'essai reste confidentiel et gratuit. Ils ont aussi accepté que les chercheurs étudient les conséquences de cette expérience sur leur mode de vie et leur vie sexuelle au quotidien. Cette étude a été ménée simultanément en Allemagne, en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis.
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