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Vendredi 18 juin 2021 5 18 /06 /Juin /2021 08:00

"Mon écran, mon amour..."

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Lorsque je suis tombé sur ces illustrations en surfant sur le net, j'ai été séduit par leur indéniable beauté et en même temps j'ai ressenti comme un malaise. Et ce malaise perdure. Il y a quelque chose de dérangeant dans ces images, quelque chose qui me dit "Attention, c'est un chemin dangereux... L'amour, ce n'est pas ça !" Quoique...

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 23 avril 2021 5 23 /04 /Avr /2021 08:00

Exercices d'écriture # 4

1 . La photo

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2 . Les textes

 

Le mari :

Madame de la Motte-Veuillé allait sortir de la voiture garée sur un parking d'autoroute réservé aux poids lourds, lorsque son mari avait constaté la présence de routiers qui discutaient entre eux mais avaient tous le regard attiré par cette femme qui descendait d'un SUV dont la hauteur imposait à la passagère en robe un mouvement qui peut-être découvrirait ses cuisses.

 

Comprenant qu’elle était l'objet de ces regards, son mari, lui dit : " Relève ta robe que ces travailleurs de la route se souviennent de cette pause."

La comtesse, qui venait de voir ces yeux tournés vers ses cuisses répondit : "Chiche ! "

Et elle releva sa robe découvrant non seulement ses cuisses fines mais aussi son string dont le voile transparent laissait voir un pubis épilé avec soin et la fente naissante dont il n'y avait pas à douter de la douceur des rebords auxquels ses grandes lèvres rentrées dessinaient un arrondi parfait.

 

Elle resta ainsi quelques instants, trop brefs pour satisfaire son mari car il avait la secrète envie qu’ils s’approchent d’elle et qu’elle les suce à tour de rôle.

L’un des routiers s’approcha, fixa le sexe de la comtesse, lui fit signe de la suivre.

Elle se leva, le suivit et monta dans son camion. 

 

 L'amant :

C'était la première vraie belle journée de l'année. Soleil à volonté. Pour l'occasion, on avait pique-niqué au bord d'un lac où glissaient des cygnes. On devait être une douzaine d'invités éparpillés sur l'herbe. La chaleur aidant, Hélène avait abusé du rosé de Provence servi frais au sortir des glacières. Aussi, au moment du départ, son mari m'avait discrètement attiré à l'écart.

- Je crains qu'Hélène ne soit pas en état de conduire. Si vous pouviez prendre le volant, je serais rassuré. Je vous retrouverai plus tard au manoir... Je suis désolé de vous demander ce service mais je dois d'abord raccompagner des amis...

- Vous pouvez compter sur moi. Partez tranquille !

Elle était vraiment éméchée. Je m'en suis rendu compte lorsque j'ai ouvert la portière de sa voiture pour qu'elle y prenne place côté passager. À peine assise, elle a soulevé sa jupe et écarté les cuisses.

- Vous croyez que je n'ai pas remarqué que pendant tout l'après-midi vous m'avez reluquée pour savoir si j'avais mis une culotte. Voilà, vous avez la réponse !

L'ivresse la rendait vulgaire et encore plus désirable. En route à travers la forêt, elle a continué :

- Avec tout ce que j'ai bu, je crois que je vais devoir faire un arrêt pipi. Ça vous exciterait de me regarder pisser ? Vous préférez que je fasse ça accroupie ou debout comme un mec ? Et après, vous me montrerez votre bite pour que je la suce... et vous pourrez me jouir dans la bouche, j'avalerai votre foutre jusqu'à la dernière goutte !

Elle était charmante . Mais, définitivement ivre de ses propres paroles, sa main gauche posée sur ma braguette, sa main droite à l'ouvrage dans sa culotte transparente, elle s'est endormie d'un seul coup...

 

 

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 30 mars 2021 2 30 /03 /Mars /2021 08:00

Photo n° 37

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À la hussarde

La lecture. 

1 : les éléments objectifs

Le cadre : une cuisine familiale avec un grand plan de travail propre et bien rangé, sans trace de préparation ou de restes de repas. Au mur, un calendrier ouvert au mois de décembre.

Les protagonistes : un couple en tenue de soirée. Elle, blonde mature, en robe rouge très légère, avec des bas couleur chair autofixants. Elle ne porte ni culotte, ni soutien-gorge.  Lui, apparemment plus âgé, le crâne bien dégarni, en pantalon beige et chemise sombre. Prenant appui sur le plan de travail, la robe relevée sur ses reins, la femme présente ses fesses nues à son partenaire. Lui, debout derrière elle, a ouvert sa braguette et l'enfile.

2: la lecture subjective

C'est la nuit de la saint-Sylvestre. La pandémie de Covid-19 les a contraints à renoncer à l'habituel réveillon avec leurs amis. Cependant, ils ont tenu à faire comme si ; alors, pour le dîner en tête à tête, elle a mis sa jolie petite robe rouge, érotiquement fendue, achetée pour l'occasion. Le repas fut un peu triste mais, à l'approche de minuit, ils ont écouté ensemble le décompte des secondes à la radio et, à minuit pile, il l'a prise en levrette pour respecter les gestes barrières. En lieu et place de l'habituel échange de bises, ils se sont offert un rapide coup de bite.

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 19 mars 2021 5 19 /03 /Mars /2021 08:00

Exercices d'écriture # 3

1 : La photo

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2 : Les textes

 

Le mari :

J’avais pris cette photo alors que son amant était là.

Il l’avait fait mettre le cul nu, lui demandant d’enfiler une paire de bas couleur chair, ce qu’elle avait fait.

Il savait qu’Hélène de la Motte-Veuillé adorait se faire prendre en levrette.

Il l’avait ainsi installée au bord du lit, fixant lui-même l’écartement de ses jambes de manière à ce que l’indécence soit à son maximum.

Puis il s’assit en face, me demanda d’en faire autant et de prendre une photo avec mon Samsung 8.

« Voyez-vous Comtesse, ce que l’on arrive à faire faire à une femme » 

Elle voulut se relever consciente de sa position, qui ne la dérangeait jamais lorsqu’elle se faisait prendre, mais qui comme cela, offerte aux regards de son amant en ma présence devenait un signe d’humiliation.

Il stoppa toute velléité par quelques mots : « Restez dans cette position Chère amie » et décrivit cette anatomie féminine intime, insistant sur les grandes lèvres « qui avaient dû voir du passage », son trou du cul qu’elle ne donnait que peu souvent et jamais à moi.

Il disserta ainsi quelques minutes la laissant dans cette position.

Il se leva, déboutonna sa braguette et sortit un sexe vigoureux et dur, long et épais .

Il passa son gland allant du vagin à l’anus, la fouilla de son doigt, sentit qu’elle mouillait. Il la pénétra allant et venant doucement sentant que le plaisir de Madame de la Motte-Veuillé montait, elle gémissait et jouissait

Lui aussi allait venait. C’est le moment qu’il choisit pour lui dire : « Attention comtesse !  »

Il se retira, mit son gland luisant du plaisir féminin contre l’anus qu’elle contracta comprenant où il voulait en venir.

Une claque bien appliquée sur la fesse la surprit tellement qu’elle se relâcha. Il en profita pour l’enculer d’un coup.

Elle hurla, il explosa dans son cul qu’elle avait si généreusement exposé aux regards.

 

L'amant :

La deuxième séance de lecture eut lieu dans le cadre plus intime d'une chambre où régnait une douce chaleur propice à la nudité. J'avais opté pour un blason anatomique anonyme du XVIème siècle : "le blason du Q",

À quatre pattes sur le lit, savamment dévêtue et légèrement cambrée, elle me présentait son arrière-train dans son intégrale nudité. J'ai débuté la lecture en posant le livre ouvert sur le lutrin de ses reins:

"Et si vous avez l'intelligence telle

Qu'en vous serrant le mâle vient femelle

Tout pour l'honneur et grand santé des sens

Votre savoir en vaut autre cinq cents."

À genoux, la tête penchée sur les pages, je sentais monter de sa raie culière les parfums forestiers de sa vulve et de son anus étoilé. Tel le fidèle ayant franchi le narthex, frontière invisible entre le profane et le sacré, je me trouvais maintenant devant le tabernacle sacré de son cul. Au fil des vers et des rimes, les effluves de son ventre se firent capiteuses, presque enivrantes. La cantique des mots opérait comme un philtre d'amour : son vagin suintait, son périnée et sa divine pastille palpitaient d'émoi...

"Chacun connaît et voit évidemment

Que de beauté êtes le fondement,

Vous faites bien et mal si vous voulez

Vous savez tout et les secrets célés."

Il était temps pour moi d'y porter les lèvres, d'embrasser à pleine bouche le Saint Fondement, de le sucer à la manière d'un galet en sucre, d'y darder la pointe de la langue pour en savourer les saveurs ténébreuses. Elle en a gémi...

 

 

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 9 février 2021 2 09 /02 /Fév /2021 08:00

Deuxième exercice d'écriture en duo à partir d'une photo. Pour le protocole d'écriture, voir le premier article :

Exercices d'écriture, # 1

1 : La photo

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2: Les textes

Le mari  :

Hélène de la Motte-Veuillé attisait le feu lorsqu’elle sentit une main soulever sa jupe, c’était moi, son mari, alors que notre ami Arnaud était là.

- Pas mal, dit-il, tu me la prêterais ?

- Sans difficulté, Hélène t’a toujours trouvé beau garçon.

Hélène vint se planter devant nous.

Comme d’habitude elle s’était habillée avec distinction : une jupe noire, un haut panthère, escarpins avec talons de 8 cm et, en dessous, bas-up, string et soutien-gorge noirs.

Une apparence correspondant à son nom et des dessous correspondant à une sexualité très présente chez elle.

Arnaud, homme du monde, se leva prit un des coussins du canapé qu’il mit par terre, lui faisant signe de s’agenouiller devant lui, tout en disant, : " Chère Hélène, vous voyez que je n’ai pas envie que vous filiez vos bas."

Elle s’agenouilla sans la moindre protestation.

Arnaud baissa son pantalon et son caleçon

- Vous imaginez votre rôle Chère Comtesse.

Elle prit le sexe dans ses mains, il était d’une consistance raisonnable, les mains qui l’empoignaient le firent en quelques secondes durcir. La tige était longue et épaisse, elle n’eut aucun mal à décalotter le gland sur lequel elle faisait passer sa langue, qui descendait le long de la tige pour s’enrouler savamment autour de ses couilles.

Il passa ses mains derrière sa tête lui indiquant la voie et enfourna sa bite majestueuse dans sa bouche, commandant avec douceur le va-et-vient.

Il avait soin de ne pas aller trop loin pour qu’elle trouve son plaisir sans s’étouffer.

Au bout de quelques minutes, il n’en pouvait plus, et répandit sa semence dans sa bouche. Il se retira.

- Délicieux spectacle, dis-je.

Hélène de la Motte-Veuillé se releva prit une coupe de champagne pour se rincer la bouche et déclara à l’adresse de son mari : « Alors maintenant venez avec Arnaud me donner mon plaisir ».

 

L'amant :

Le jour de notre premier rendez-vous, j'avais apporté un de mes recueils de nouvelles intitulé "50 coïts non interrompus". Elle m'a précédé jusqu'à la grande salle où un feu de bois inondait la pièce de sa chaleur odorante. Elle était habillée comme quelqu'un qui s'apprête à se rendre à une soirée mondaine : escarpins à talons hauts, chemisier de soie imprimé façon léopard, courte jupe noire fendue sur le côté...

Pour me mettre en confiance, elle tint à m'informer, mais sans me convaincre,  que son mari était absent. Quand je lui demandai de choisir, dans la table des matières, la nouvelle qu'elle souhaitait que je lui lise, elle consulta la liste avec attention, sembla hésiter puis se décida :

- "Baiser dans une cabine d'essayage", ça me tente !

Pour la lecture, j'ai pris place dans un fauteuil alors qu'elle est restée debout devant le feu. Elle écouta intégralement la nouvelle sans m'interrompre. Le silence revenu, elle se permit un bref commentaire :

- J'aime bien la scène finale avec les giclées de sperme sur les vêtements en solde. Vous savez, je me branle souvent dans les cabines d'essayage parce que l'idée du danger, que quelqu'un ouvre le rideau sans prévenir et me surprenne en train de me caresser devant le miroir, c'est très excitant...

Je me sus pas quoi lui répondre. Cette femme était vraiment étonnante. Elle posa un pied sur le bord de l'âtre et se pencha vers le feu. Cette position ouvrit sa jupe et me dévoila sa cuisse nue au-dessus de ses bas noirs ainsi que la naissance de ses fesses.

- Monsieur Koppera, mon époux vous a-t-il dit que j'avais été intégralement épilée au laser ? J'ai le sexe aussi lisse et doux que celui d'une enfant. Vous voulez voir ?

 

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 19 janvier 2021 2 19 /01 /Jan /2021 08:00

J'ai le plaisir de vous présenter un nouveau projet élaboré avec la complicité d'un lecteur fidèle : après avoir choisi une photo de son épouse, nous avons écrit, chacun de notre côté, sans aucune concertation, un court récit. Pour une même photo, il y aura donc deux textes, celui du mari, et le mien qui incarne l'amant virtuel.

Voici le premier article 

1 : la photo

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2 : les deux textes

Le mari :

Sur cette photo, prise lors d’un dîner récent, mon épouse, Madame de la Motte-Veuillé, laisse entrevoir qu’elle porte des bas.

Je lui demande toujours de croiser et décroiser ses jambes afin que l’interlocuteur qui est en face n’ignore pas qu’elle en porte.

Cela provoque toujours une excitation qui, immanquablement lorsqu’il se trouve à table à côté d’elle, lui fait poser la main sur sa cuisse. Il la remonte lentement avec la douce sensation du bas, puis celle plus rugueuse de la bande autofixante (Ma femme ne porte que des bas up), avant de sentir la peau nue de sa cuisse.

Elle se laisse faire.

Il a une cinquantaine d’années, elle vingt de plus, en aparté il lui dit « j’adore les salopes dans votre genre »

Après le dîner, alors que les invités sont au salon, elle prend prétexte de vouloir lui montrer une peinture et le fait monter à l’étage.

La peinture, une copie 19ème du Titien, est au-dessus d’une commode ; elle se plante devant, les mains sur le marbre de la commode.

Il se tient derrière.

Elle relève lentement sa jupe noire laissant apparaître ses longues jambes, ses cuisses puis son cul qu’un string ficelle ne dissimule pas.

De ses pieds, il lui écarte les jambes, elle ne se retourne pas, mais simplement se cambre.

Il baisse son string à mi-cuisses, qui reste tendu entre ses jambes écartées. Il passe ses doigts sur son sexe et son anus, elle sent que de l’autre main il ouvre sa braguette. Elle attend.

Elle sent ensuite contre son sexe une tige épaisse. Elle mouille déjà, depuis quelques minutes. Il l’enfile avec facilité.

Madame de la Motte-Veuillé lui dit :  « Allez-y. Bourrez-moi bien. »

Son mari est dans l’encadrement de la porte, ravi du spectacle qui lui est offert.

 

L'amant : Ce jour-là, j'avais accompagné mon frère dans une de ses visites commerciales chez de riches particuliers de la région. C'était un couple plutôt guindé, à l'image de leur vénérable demeure. En préambule à tout palabre professionnel, nos hôtes nous ont invités à prendre un verre dans leur vaste salon. Les pieds posés devant la cheminée où flambait un grand feu, les épaules enveloppées dans un châle en cachemire et vêtue d'une courte jupe de cuir noir, la maîtresse de maison me parut absente, presque hautaine.  Après avoir échangé quelques banalités d'usage, mon frère et son client se sont retirés dans une pièce voisine pour parler affaires. Je me suis donc retrouvé seul avec la femme qui sirotait en silence son verre de xérès... Et puis, brusquement, sans me regarder, elle prononça quelques mots :

- Alors, monsieur Koppera, je me suis laissé dire que vous étiez écrivain !

- Oui, c'est exact... J'écris des romans et surtout des nouvelles.

- Et qui parlent de quoi ?

- De sexe... Je raconte des histoires de cul !

C'était sorti spontanément, les mots m'avaient échappé, comme si j'avais cherché à la choquer, à bousculer sa froide indifférence . Cependant, après un nouveau silence qui me laissait présager le pire, elle croisa lentement les jambes, dévoilant avec une indécence calculée, la ligne fuyante de ses cuisses fuselées. Elle but une longue gorgée de xérès et reprit :

 

- Alors, si vous en trouvez le temps, je serais ravie que vous veniez me faire un peu de lecture... 

 

 


 

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 20 novembre 2020 5 20 /11 /Nov /2020 08:00

Photo n° 36 (5)

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La cerise sur le gâteau

Quand elle se retourne pour lui présenter ses fesses, il est aux portes du Paradis. Depuis le premier jour, il est fou de son petit cul aux rondeurs adolescentes. Elle le regarde et ses yeux lui disent : "Viens, mon amour, viens fourrer ton visage entre mes fesses, viens me lécher la raie culière et glisser ta langue serpentine dans mon vagin et dans le trou de mon cul. Tu verras, je suis toute mouillée. C'est pour toi, rien que pour toi que je suis intégralement épilée, pour que tes doigts, tes lèvres et ta grosse queue n'éprouvent que douceur..." Ce sont les mots qu'il aimerait entendre, des mots inconvenants, un peu sales... Même si, sagement,  elle ne lui dit que  " Et comme ça, je te plais aussi ? ", cela suffit à son bonheur.

C'était le dernier article de la série.

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 19 novembre 2020 4 19 /11 /Nov /2020 08:00

Photo n° 36 (4)

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Odalisque

Elle n'est jamais plus désirable qu'allongée sur le dos, les seins libérés de toute entrave et encore fermes malgré les années. Il ne se lasse pas d'admirer ses mamelons dressés. Mais son regard ne peut résister longtemps à la tentation de glisser plus bas, le long de son ventre nu, si pâle, si fragile, jusqu'à la tendre blessure de son sexe. L'excitation naissante en a déjà coloré et gonflé les lèvres. Elle sent une douce fièvre grandir dans les profondeurs de son vagin. Pour qu'il voie mieux, elle a plié un genou et légèrement écarté les cuisses. Alors, il imagine que le téléphone sonne, qu'elle décroche, réponde à des inconnus et les invite dans la chambre à venir se pencher au-dessus de son ventre pour l'arroser de sperme. Cette pensée secrète le fait bander vraiment dur...

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 18 novembre 2020 3 18 /11 /Nov /2020 08:00

Photo n° 36 (3)

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Room service

Ils ont leurs habitudes dans un hôtel haut de gamme, aux standards internationaux. À peine arrivée, elle prend possession du lit king-size. La chambre d'hôtel est le lieu de toutes les transgressions, de l'abolition de toutes les convenances, de l'épanouissement des fantasmes. Sans attendre, elle se déshabille : la jupe, le chemisier la petite culotte s'envolent, mais elle garde ses bottes et ses bas qui conviennent si bien à son rôle de putain. Au bas de son ventre glabre, dans le pli vertical de sa vulve moite perle déjà une goutte de désir huileux...

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 17 novembre 2020 2 17 /11 /Nov /2020 08:00

Photo n° 36 (2)

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Pretty woman

Plusieurs fois l'an, il leur arrive de quitter leur gentilhommière provinciale pour monter à la capitale. Ils y séjournent à l'hôtel. Depuis qu'ils ont vu et revu Julia Roberts dans Pretty woman, ils s'imaginent en couple éphémère dans l'univers fantasmé des amours tarifés : chaussée de bottes de cuir noir, la jupe "à ras le bonbon", elle joue les escortgirls un peu vulgaires en arpentant les couloirs feutrés de l'hôtel. Et, alors qu'ils sont arrêtés devant la porte de leur chambre, elle soulève malicieusement sa jupe pour se gratter furtivement les fesses et s'aérer l'entrejambe... Alors, le temps d'un regard, il se prend pour Richard Gere...

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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