Vendredi 1 décembre 2023 5 01 /12 /Déc /2023 08:00

Exercices d'écriture # 15

La photo

duo15

Le texte du mari

 Nous venions de quitter l’autoroute,Hélène était à côté de moi confortablement installée dans la Jaguar, elle lisait le carton d’invitation :

« Michel K… recevra Le Comte et la Comtesse de la Motte-Veuillé le samedi 22 et dimanche 23 septembre au Château du Ruisseau. C’était en Sologne, un peu en dessous d’Orléans.

« L’envers du carton portait les mentions manuscrites suivantes :

À votre arrivée, le Comte sera conduit avec vos bagages dans votre chambre et Hélène, elle suivra mon majordome. Il lui est interdit de porter string ou culotte »

Michel revenait des Etats-Unis où il avait passé une année.

Dans la voiture j’avais demandé à ma femme si elle avait une culotte. Elle me répondit évidemment non.

Une fois arrivés devant l’entrée du Château, un domestique vint prendre nos valises et me pria de le suivre jusqu'à notre chambre, un autre invita Hélène à le suivre. Ma femme prit l’escalier principal et moi un autre escalier situé au bout d’un grand hall après avoir traversé un salon.

Le domestique me laissa avec les valises. Je remarquai un bristol sur le manteau de la cheminée ; je m’en approchai et entendis parler, mieux en m’approchant pour saisir le bristol où il était simplement écrit « Regarde et écoute », je m’aperçus qu’il s’agissait d’une glace sans tain qui surmontait la cheminée dont le conduit devait donc être coudé.

Quant aux voix elle provenaient de la grille d’aération en position ouverte qui correspondait donc à celle de la pièce située de l’autre côté de la glace .

Michel était dans cette pièce avec ma femme.

« Après une année et votre lettre particulièrement agréable à lire, j’ai décidé que nous serions tous les deux pendant quelques minutes. Vous avez obéi à ma directive ? »

Je vis ma femme s’allonger sur le lit situé au fond de la pièce, appuyée sur ses coudes, les genoux relevés, tout comme sa jupe, laissant voir que l’obéissance était au rendez-vous, Michel étant de côté, sans doute intentionnellement, je voyais ce qu’il voyait : la chatte d’Hélène, les petites lèvres un peu pendantes.

La position semblait appeler une réponse rapide.

Mais Michel ne bougea pas et lui intima l’ordre de le rejoindre. Il la prit par les hanches, respira son parfum, « N°5, je m’en doutais » il l’amena face à une commode. Naturellement elle posa les deux mains sur le marbre, bras tendus. Michel releva sa jupe, une jupe droite qu’il fit coulisser vers le haut.

Derrière ma vitre sans tain, je le regardais faire.

Il sortit sa bite de sa braguette Il bandait vraiment comme un cerf, Sologne oblige, Je l’entendis lui dire « Je vais vous prendre comme une pute, chère Comtesse. »

Elle ne demandait que cela et se cambra.

Des doigts de sa main gauche, il écarta savamment les petites lèvres, elle était déjà totalement mouillée, il n’eut aucune peine à y fourrer sa bite, il allait et venait en elle, modifiant à son gré le rythme, de rapide à lent, puis très lent. Elle hurlait de plaisir. Il continuait son mouvement.

Il se retira brusquement, plaça son gland luisant sur son anus qu’il força d’un coup.

« J’avais tellement envie de vous enculer Comtesse » Elle hurlait mais cette fois de douleur, sans cependant chercher à échapper à son amant. Il se vida en elle.

Il la fit s’agenouiller et lui présenta la bite qui venait d’investir son trou du cul. Elle savait qu’elle devait la lécher, sucer, ce qu’elle fit en Comtesse soumise.

Lorsqu’elle eut fini ce « nettoyage », il la releva et lui dit « Allons prendre un verre au salon, je suis sûr que votre mari saura nous y rejoindre. »

Le message était évidemment passé et je les rejoignis au salon où un whisky nous fut servi.

Je dis innocemment à ma femme que tout à coup je pensais à un film, « Le vieux fusil », Michel me dit : « Ah oui, le coup de la glace sans tain ! »

Hélène sourit : «Ce doit être excitant de voir des gens qui ne se savent pas être observés »

Le week-end n’était pas fini et Michel nous dit « Nous sommes en Sologne donc pour demain j'ai  pu organiser une chasse, mais un peu originale à laquelle quelques amis nous rejoindrons demain, .. Au fait, Comtesse, vous ferez office de gibier…..

 

 

 Le texte de l'amant

Conversation

– Je vous plais comme ça ?

– Rien ne pourrait me faire plus plaisir !

– Vous savez, c'est mon mari qui insiste pour que je ne porte pas de petite culotte. Il dit que la simple idée que je marche dans les rues cul nul sous ma jupe suffit à le faire bander.

– Je le comprends... Je crois que ça me ferait le même effet. Et vous, ça vous déplaît ?

– Pas vraiment, sauf quand il fait trop froid. Je trouve que c'est plutôt flatteur, pour mon cul j'entends. Dites-moi, Michel, franchement, que pensez-vous de ma vulve ?

– Je la trouve superbe ! Avec ses lèvres entrouvertes comme ça, on s'attendrait à ce qu'elle se mette à parler... Je me demande bien ce qu'elle pourrait raconter !

– Des histoires de cul ! Elle vous dirait qu'elle mouille, que le capuchon de son clitoris est tout dur, qu'elle aimerait que votre langue la lèche partout, du mont de Vénus jusqu'au périnée, que vous lui enfonciez votre bite jusqu'aux couilles pour y répandre votre foutre tout au fond... Voilà ce qu'elle vous dirait.

– J'adore quand vous employez un vocabulaire en décalage total avec votre image.

– C'est encore une idée de mon mari. Il aime bien que je fasse "mauvais genre", comme il dit. Alors, vous comprendrez mieux le pourquoi des bas noirs, des talons aiguilles et de la jupe à ras le bonbon.... Ça fait partie de ma panoplie.

– En fait, c'est une sorte de déguisement ?

– Oui... mais pas que...


Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 28 novembre 2023 2 28 /11 /Nov /2023 08:00

Julie Justine Pilloy, alias Alice Ozy, est née à Paris en août 1820 et y est décédée en mars 1893. Fille d'un joaillier et de Charlotte Amédée Ozi actrice, elle devient elle-même comédienne dès l'âge de 16 ans. Ce ne sont pas ses talents d'actrice qui vont la rendre célèbre mais sa vie de demi-mondaine. Elle va traverser le 19ème siècle en collectionnant les amants. La liste est longue, mais on retiendra certains noms comme Louis-Napoléon Bonaparte, Gustave Doré, Charles Hugo (le fils de Victor) et surtout Théodore Chasseriau, le peintre académiste du Second Empire pour qui elle posera nue dans de nombreux tableaux typiques de "l'art pompier"

Pour en savoir plus, voyez l'article de Wikipédia :Alice Ozy

alice ozy pastel

Alice Ozy, pastel de la collection de Théophile Gautier

Alice Ozy

Alice Ozy dans "Baigneuse" tableau de Théodore Chassériau

alice ozy détail

Détail du tableau précédent. La pilosité de l'aisselle n'a rien d'académique. Elle donne au tableau un caractère très érotique qui s'écarte des standards de l'art pompier


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Vendredi 24 novembre 2023 5 24 /11 /Nov /2023 08:00

Lu pour vous en page 5 du Canard Enchaîné n° 5375 du mercredi 15 novembre, dans la rubrique "Drôles de zigs" cet article :

Sœur Catherine AUBIN, docteure en théologie, évoque dans "La Croix" du 10 novembre l'importance du corps dans la prière : " La rencontre avec Jésus a toujours une dimension corporelle, charnelle. Il entre rarement en contact avec une personne uniquement par la parole."

Mais encore ?

CE 15 11 2023

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Mardi 21 novembre 2023 2 21 /11 /Nov /2023 08:00

"La Disparition de Stéphanie Mailer" est un roman policier de Joël Dicker paru en 2018 aux Editions de Fallois en 2018 (834 pages pour l'édition de poche)

Extrait page 330 : scène classique d'adultère où Steven, le narrateur, trompe son épouse avec Alice, une de ses secrétaires. Ils se sont donné rendez-vous à 16 heures au Plaza, un hôtel new-yorkais

"  En pénétrant dans le bar, j'étais nerveux et excité à la fois. Elle m'attendait déjà, lovée dans un fauteuil. Je lui demandai ce qu'elle voulait et elle me répondit : "Vous, Steven."

Une heure plus tard, complètement ivre de champagne, je lui faisais l'amour dans une chambre du Plaza. Ce fut un moment d'une intensité folle. Je crois que je n'avais jamais vécu ça avec ma propre femme.

Il était 22 heures lorsque je rentrai chez moi, les sens en émoi, le cœur battant, chamboulé par ce que je venais de vivre. Je gardais les images de ce corps que j'avais pénétré, de ces seins si fermes que j'avais attrapés, de cette peau qui s'était offerte à moi. Je ressentais en moi une excitation adolescente. Je n'avais jamais trompé ma femme auparavant. Je n'avais jamais imaginé tromper ma femme un jour. J'avais toujours jugé très sévèrement ceux de mes amis ou collègues qui avaient eu une aventure extraconjugale. Mais en entraînant Alice dans cette chambre d'hôtel, je n'y avais même pas pensé. Et j'en étais ressorti avec une seule idée en tête : recommencer. Je me sentais tellement bien que je trouvais qu'il n'y avait rien de mal à tromper sa femme. Je n'avais même pas l'impression d'avoir fauté. J'avais vécu. Tout simplement." 

dicker S mailer

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Vendredi 17 novembre 2023 5 17 /11 /Nov /2023 08:00

Mac Donald's : venez comme vous êtes ! Chiche ?

mac Do


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Mardi 14 novembre 2023 2 14 /11 /Nov /2023 08:00

"Candice Laine" est un roman "érotique" d'Anixa Carrie (316 pages) paru en octobre 2023 aux Éditions L'amour des maux. Anixa m'a fait l'honneur de me contacter personnellement pour me présenter son livre. Aussi, je me fais un plaisir de vous en donner ci-dessous les coordonnées pour vous encourager à le lire...

Candice Laine

candice-laine

Si vous avez envie qu'on vous raconte l'histoire d'un amour fou, de rencontrer une patronne sexy, de suivre une psychothérapie déjantée, de vivre le quotidien à tombeau ouvert, de découvrir une libido protéiforme, de vous laisser emporter par une écriture survitaminée, de lire un magnifique hymne à la vie, alors un seul conseil : achetez  sans tarder Candice Laine, lisez-le et vous en sortirez plus heureux  !

En attendant, afin de vous mettre, au choix, l'eau à la bouche, la mouillure à la chatte ou le foutre à la bite, voici des passages extraits du chapitre "L'amour ouf" pages 114 et suivantes

 L'amour ouf

 "Si j'avais un chien, je l'appellerais Ernest, mais comme j'ai une chatte, je l'appelle Lucie. Je lui ai donné un prénom parce que mon sexe est un être vivant à part entière (...) Oui, j'aime mon sexe. je le trouve joli, attractif, plein de charme et capable de changer d'apparence en un tour d'épilation. Un peu comme moi avec mes perruques, mon maquillage, mes fringues. Quelqu'un qui n'aime pas son sexe, ne peut pas s'aimer lui-même. Ça me paraît évident. Je ne sais pas si beaucoup de personnes donnent un prénom à leur compagne ou compagnon ? Si parfois elles leur parlent dans la journée, même quand il n'y a pas lieu de le faire, je veux dire même quand l'excitation n'est pas au rendez-vous. Lucie saigne, Lucie pleure de plaisir, Lucie fait dodo, Lucie rêve de choses gourmandes, Lucie fait aussi des cauchemars, et Lucie s'étire au matin quand la nuit a été à peu près correcte. Quand on joue toutes les deux, je lui parle toujours amoureusement. Je la caresse avec délicatesse, dehors et puis dedans. Je passe mes doigts sur ses grandes lèvres, mes doigts trempés par son désir et je lui dis des trucs comme :" C'est bon, hein chérie ! T'es vraiment mignonne. Vas-y, soupire avec moi."  Et elle s'ouvre. Lucie est à mon écoute, identique à moi vis à vis d'elle. Nous sommes de connivence, en parfaite communion. J'adore taquiner Lucie. Et son petit chapeau qui pointe à son sommet quand le plaisir devient de plus en plus intense. Lentement, je guide mes doigts dans son palais de voluptés et je m'y balade dans les moindres recoins. Je connais Lucie depuis toujours et pourtant, à chaque fois que je la visite, c'est une découverte. Lucie regorge de secrets qui m'étonnent de jour en nuit. Elle a comme un cœur qui bat, des pulsations, elle a toute une vie qui ne demande qu'à jaillir, une vie fantasmagorique et bien réelle. Parfois, elle en veut pour son grade. C'est elle qui me le fait savoir. Parfois, elle s'ouvre tellement que mes doigts ne suffisent plus. Lucie coule et humidifie mon petit trou qui accueille sa rivière de jouissance avec délectation. Je n'ai pas besoin d'artifice pour aider Lucie à prendre son pied. Ni de gel, de lubrifiant. Lucie pleure tellement d'envie dans ces cas-là, que son excitation naturelle suffit. Et son palais ne demande qu'à être pillé. Alors, je m'exécute. Alors, mon cœur bat si fort que mes deux petites sentinelles de seins s'érigent dans l'air brûlant qui nous entoure. Ma main peut disparaître dans la bouche grande ouverte de Lucie. (...) Lucie me parle. Je l'entends. Ses bruits humides sont ses mots, ses gémissements. Lucie se dilate et dévore ce que je lui donne à manger. Lucie est une ogresse que je dois rassasier. Si ce n'est pas ma main, c'est un jouet. Lucie adore jouer. Lucie adore vibrer. Lucie adore que l'on s'adore. Et Lucie jouit sans retenue. Lucie s'en fout. Lucie est libre de ses orgasmes. Elle se donne avec une telle émotion qu'elle me fait pleurer de bonheur. Lucie est mon amour pour la vie; (...)

CANDICE LAINE 2

On va se promener. On se fait belle avant de sortir. Lucie aime être cachée dans sa forêt fournie et brune, sa forêt à la pilosité intense, sa fourrure aux sentiers multiples. Mais Lucie aime aussi être toute lisse, à découvert, ses jolies lèvres qui font de l'œil au monde du dehors, qui goûtent l'air qui la frôle. J'habille Lucie de différents apparats. Petite culotte en coton ou string qui la dissimule à peine. Ou bien encore, je la laisse nue sous une jupe, une robe ou un pantalon. Lucie se frotte contre les sièges sur lesquels je m'assois. Lucie fait du vélo et trouve ça très agréable. Lucie dit "bonjour, bonsoir" à un traversin, un oreiller. Lucie cherche l'amour à tout moment, collée contre un corps ou libre de faire connaissance avec ce qui l'entoure. Alicia (il s'agit de l'amie-amante de Candice) n'est pas au courant que ma chatte s'appelle Lucie. Ou du moins, que je lui ai donné ce prénom et que je lui parle, que je l'aime, que j'aimerais être assez souple pour pouvoir l'embrasser, la lécher. Alicia me murmure : "Ta chatte est délicieuse. Ta chatte est un sucre d'orge;" Et Lucie coule davantage. Et Lucie est complète amoureuse d'Alicia. Et Lucie laisse couler sa petite pluie  dorée quand Alicia le lui demande. Je ne sais si Alicia a donné un prénom à sa jolie fente. Je ne sais pas si Alicia fait comme moi dans son intimité la plus perso. Je n'ai jamais osé aborder cette question et c'est mieux ainsi. La chatte d'Alicia est plus petite que Lucie. Ses grandes lèvres sont moins épaisses et son palais est plus étroit pour les visites. Mais elle s'ouvre aussi. Elle sait se donner en grand. Elle sait accueillir les doigts, tous mes doigts, ma main, toute ma main, des jouets, ma langue, mon nez, mon menton, mes orteils. Elle sait me pleurer au visage et se frotter contre Lucie pour jouir avec elle, collée à elle. C'est une délicieuse chatte que la chatte de mon Amour. Une chatte toujours imberbe, super bien entretenue. Une chatte douce et câline. La meilleure amie de Lucie et de son terrain de jeux."

candice3 (2)

 

Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 10 novembre 2023 5 10 /11 /Nov /2023 08:00

Le profil : donner une bonne image de soi, la plus proche possible de sa personnalité profonde...

profil



Par michel koppera - Publié dans : lexique coquin - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 7 novembre 2023 2 07 /11 /Nov /2023 08:00

La plage d'à côté, chapitre 5

Au retour d'Angélique et Adriano, chargés de moules et de patates à frites, les eaux de la piscine avaient retrouvé leur limpidité. En les attendant, avec les enfants, nous avions commencé à préparer les amuse-gueule pour l'apéro. Il s'était installé entre nous un silence fait de connivence et de gêne, surtout pour Nicolas qui semblait éviter Anne comme la peste, mais ne pouvait s'empêcher de la reluquer en douce comme pour s'assurer de la réalité de ce qu'il lui était arrivé.

Le dîner se déroula exactement comme nous l'avions pressenti : simple et convivial. Moules-frites, bière, vin blanc bien frais, sorbets, café... J'avais pris place aux côtés d'Angélique, face à Anne et Adriano. Les "jeunes" faisaient un peu bande à part. À vrai dire, notre conversation devait les ennuyer profondément. D'ailleurs, une fois englouties les moules et les frites, ils ne tardèrent pas à nous quitter pour rejoindre des "amis" en boîte, quelque part sur la côte.

C'était le signal qu'on attendait. Avec une efficacité quasi militaire, Adriano et Angélique ont pris la direction des opérations : transfert des belligérants dans le salon, fermeture de tous les volets, tamisage des lumières, musique d'ambiance, mise à disposition des combattants de préservatifs, de lubrifiants et de lingettes dans une corbeille posée sur la table du salon, boissons fraîches... Il ne nous restait plus qu'à nous débarrasser de nos vêtements et nous laisser aller dans les vastes canapés garnis de coussins moelleux... Rien que de penser que j'allais enfin toucher et goûter la chatte d'Angélique, je bandais déjà. Tout comme j'étais persuadé qu'Anne était déjà toute excitée à l'idée de saisir et prendre en bouche la grosse bite d'Adriano. C'était un nouveau festin qui nous était servi sur canapé : menu copieux fait de saveurs, d'odeurs et de textures nouvelles... J'avais hâte de poser mes mains sur les gros seins d'Angélique, de les caresser, les pétrir, les peloter avec tendresse, de me saturer les narines de l'odeur de ses cheveux, de ses aisselles, de son fessier et surtout de sa grosse moule que j'avais admirée sur la plage. Sa vulve était délicieusement parfumée. 

 C'est étrange, ta chatte a la même saveur que les moules qu'on a mangées ce soir... Qu'est-ce qui les rend si goûtues ?

  C'est ma recette... J'ajoute un peu de cerfeuil haché dans la sauce. Tu aimes ?

– J'adore ! Et la bite de ton mari a le même goût ?

– Je pense... j'y suis tellement habituée que je n'y prête même plus attention. Je suis vraiment contente que ça te plaise.

plage a coté 5-2

J'aurais pu aussi l'entretenir de l'odeur d'agrumes de ses aisselles, de l'arrière-goût épicé de son anus, de l'onctuosité sucrée de sa bouche, Mais je préférais la déguster en silence... J'en avais plein les lèvres et les narines. De temps à autre, je jetais un œil vers Anne et Adriano qui s'affairaient sur le canapé voisin. À chaque fois, ils avaient changé de position : tantôt tête-bêche, tantôt l'un chevauchant l'autre, tantôt chevillés au plus profond, tantôt se branlant mutuellement en se regardant droit dans les yeux... Mais à chaque fois l'air heureux, le visage rayonnant de désir...

La fête s'est prolongée jusque tard dans la nuit. Lorsque nous les avons quittés, le jour n'allait pas tarder à se lever. Nous ne sous sommes pas promis de nous revoir et c'était beaucoup mieux comme ça.

     

Epilogue.

Le lendemain, sur l'autoroute qui nous éloignait définitivement de l'océan, nous sommes restés longtemps sans nous parler. On se contentait de la musique de l'autoradio. Ce n'est qu'à une centaine de kilomètres de l'arrivée qu'Anne s'est décidée à briser le silence :

– Il faut que tu saches qu'hier, tout était programmé...

– Tu veux dire notre fin de soirée avec Angélique et Adriano ?

– Non, pas ça ! Mais ce qui est arrivé avant, avec les jeunes... C'était prévu. C'est Angélique qui m'avait demandé de m'occuper de son fils.

– Il était au courant ?

– Nicolas ? Bien sûr que non ! En fait, depuis deux jours, ils savaient que leurs enfants seraient présents. Alors, le coup de l'aller-retour à Royan c'était bidon. Mais j'avais mis mes conditions... J'acceptais de déniaiser Antoine et, en échange, je voulais être baisée par Samuel, le petit copain de leur fille... Quant à Maurine, elle voulait bien fermer les yeux... Elle espérait juste que tu t'intéresserais un peu plus à elle... Tu aurais dû la baiser, elle n'attendait que ça !... S'il te plaît, arrête-toi à la prochaine aire de repos, j'ai très envie de faire pipi.

plage a cote 5

 

@ Michel Koppera, octobre 2023

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 3 novembre 2023 5 03 /11 /Nov /2023 08:00

La plage d'à côté, chapitre 4

On était attendus vers 18 heures. Le ciel était d'un bleu vaporeux et la chaleur encore intense. En prévision d'une soirée plus que conviviale, Anne ne s'était vêtue que d'une très courte robe de cotonnade sans absolument rien dessous ! Tout comme moi, habillé d'un bermuda effrangé et d'un T-shirt d'un blanc immaculé. On avait apporté une bouteille d'entre-deux mers bien fraîche pour accompagner les moules et du cognac pour la suite. Mais rien ne se passa comme prévu.

Nous l'avons compris lorsque nous avons vu deux voitures immatriculées en Belgique stationnées dans la cour de la maison. Il y avait des visiteurs ! Il s'agissait des enfants d'Angélique et Adriano. C'est leur fille Maurine qui nous a ouvert la porte. Elle se présenta mais c'était inutile : c'était le portrait de sa mère avec quelques années de moins : mêmes cheveux blonds, mêmes yeux clairs, même poitrine opulente... Dans la grande salle dont la baie ouverte donnait sur l'océan, nous avons retrouvé Angélique et Adriano qui nous ont présenté leur fils Nicolas ainsi que le compagnon de leur fille, un grand black sculptural prénommé Samuel.

Cette visite impromptue bouleversait les projets des parents à commencer par l'organisation du dîner. Avec trois bouches supplémentaires à nourrir, ils allaient manquer de moules et de patates pour les frites. Il leur fallait filer au plus vite jusqu'à Royan avant la fermeture des magasins. Ils étaient désolés mais le déplacement allait leur prendre au moins une heure et demie. Aussi, en attendant leur retour, ils nous invitaient à profiter avec les "jeunes" de la piscine dont la température était à leur avis idéale.

C'est ainsi que nous nous sommes retrouvés tous les cinq dans l'eau chlorée de la piscine entourée d'une haute haie de thuyas qui la protégeait des regards. Au moment de se mettre à l'eau, Anne avait hésité : elle était venue sans maillot de bain, allait-elle en demander un à Maurine ? Finalement, elle se débarrassa rapidement de sa robe et plongea toute nue dans l'eau cristalline... Ce fut le signal, nous l'avons imitée... Au début, chacun a gardé ses distances, évitant soigneusement de se toucher, même de se frôler... Puis, avec les rires et les éclaboussures, les corps se sont rapprochés, apprivoisés... Maurine était une bonne nageuse, souple et ondulante comme une sirène... Son frère, aussi blond qu'elle, se débrouillait pas trop mal, tout comme Samuel où l'eau ruisselait sur la peau sombre comme de l'huile. On est restés un bon moment dans l'eau à nager, jouer, se défier, se jauger... C'est Nicolas qui est sorti le premier et s'est assis au bord de la piscine, les pieds à barboter dans l'eau. C'était un beau jeune homme blond, encore adolescent, aux yeux clairs, au teint hâlé par le soleil d'été, avec des muscles à fleur de peau...

plage a cote 4

Et soudain, il s'est passé quelque chose d'inattendu, d'improbable... J'ai vu Anne s'approcher en brasse coulée de Nicolas...Elle a sorti son buste de l'eau, juste entre les jambes de l'ado, a pris appui sur ses cuisses, les a écartées et a  tendu sa bouche vers son ventre sans défense... D'autorité, elle l'a englouti jusqu'aux couilles... Et il s'est plus que laissé faire, il a posé une main sur sa tête pour qu'elle ne s'arrête pas... Curieux et médusé, déjà bandant, je suis moi aussi sorti de l'eau, me suis assis comme Nicolas au bord de la piscine pour ne rien perdre de la scène... Anne le suçait avec passion ; les yeux clos, le buste en arrière, il bandait ferme... De temps à autre, peut-être pour reprendre son souffle, elle le sortait de sa bouche, le prenait en main pour le branler, observait son gland cramoisi, y passait une langue gourmande avant de le gober à nouveau... À ce petit jeu, il n'allait pas tenir longtemps. C'était sans compter sur Samuel qui, sans bruit, entre deux eaux, s'était approché du couple... Il s'est positionné derrière Anne, si près qu'elle ne pouvait plus ignorer sa présence... Loin de le repousser, je l'ai vue se cambrer et lui offrir ses fesses... Il y eut des remous dans l'eau : de toute évidence, il était en train de lui caresser le cul et de lui masser la chatte pour l'attendrir. Quand il l'a sentie bien mûre, il s'est collé à elle. Bien que je ne voie rien, j'ai compris qu'il la pénétrait, jusqu'au fond. Concentrée sur la sensation de sa grosse bite noire qui prenait place dans son vagin, Anne avait cessé de sucer Nicolas mais le gardait néanmoins en bouche... Puis, Samuel a commencé à aller et venir, d'abord lentement puis de plus en plus vite... Cela générait à la surface de l'eau une petite houle qui clapotait sur les bords. Anne a repris sa fellation au rythme de la queue de Samuel qui la labourait...

plage a cote 4-2

J'étais tellement fasciné par le spectacle du trio que je n'étais pas rendu compte que Maurine était venue s'asseoir à mes côtés. Depuis combien de temps était-elle là ? Quand avait-elle posé sa main gauche sur ma bite pour me branler ? Quand avait-elle saisi ma main droite pour la fourrer entre ses cuisses, en plein sur sa fente humide ?

– C'est beau, vous ne trouvez pas ? me demanda-t-elle d'une voix toute douce. J'aimerais être à sa place...

– À la place de qui ?

– De votre femme, bien sûr ! Une bite dans le vagin, une autre dans la bouche, c'est le début du bonheur...

Comme elle disait ces mots, je la sentis devenir plus juteuse et chaude... Il faut dire que, au bout de l'excitation, Nicolas venait de jouir dans la bouche d'Anne qui avala son foutre jusqu'à la dernière goutte. Samuel qui la tenait fermement par les hanches accéléra encore la cadence, À chaque coup de boutoir, Anne suffoquait de plaisir... Elle a joui sans lâcher la bite de Nicolas... Samuel s'est mis à grogner et, verrouillant sa queue au fond du vagin d'Anne, il lui a tout balancé... Ils sont restés de longs instants immobiles, hagards... Puis Samuel s'est retiré, libérant de longs filaments de sperme qui se sont mis à se tortiller comme des vers blancs dans l'eau bleue de la piscine. Samuel s'est éloigné, est venu rejoindre Maurine qui l'attendait... Ils se sont enlacés et ont quitté les lieux, bras dessus, bras dessous, sans un mot...

Privilège insolent de la jeunesse, Nicolas bandait de nouveau. Alors, après m'avoir jeté un rapide regard accompagné d'un sourire triste, Anne est elle aussi sortie de l'eau et a rejoint Nicolas toujours assis au bord de la piscine. Elle l'a a pris par la main et l'a entraîné vers un des transats du solarium. Elle l'a fait s'y allonger sur le dos... La queue raide de l'ado faisait comme un petit mât de misaine tendu vers le ciel. Sans préambule inutile, Anne est montée à califourchon sur le transat, a empoigné la bite prête à l'emploi et l'a présentée à l'entrée de son vagin. Elle n'avait plus qu'à s'affaisser doucement pour se la planter dans le ventre.... Elle était la maîtresse de cérémonie, grande prêtresse de la fornication ; il était l'élève docile, l'apprenti soucieux de bien faire. En quelques minutes, elle l'a initié à quelques gestes essentiels, comme le massage de couilles, le suçage des tétons, la masturbation du clitoris, le doigté de l'anus... Il n'en pouvait plus d'apprendre. Le visage grimaçant, comme en apnée, il a joui une seconde fois... Anne a attendu qu'il rabougrisse pour se relever. Une morve de sperme pâle coulait sur sa cuisse... Elle a directement piqué une tête dans la piscine... Sans un regard pour moi, Nicolas s'est empressé de s'éclipser... Le spectacle était terminé

à suivre...          

    

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 31 octobre 2023 2 31 /10 /Oct /2023 08:00

La plage d'à côté, chapitre 3

Nous avons passé une partie de la nuit à en parler et cette conversation nous a troublés au point de nous rendre incapables de faire l'amour. Si bien qu'au petit matin, après quelques heures de sommeil agité de rêves classés X, nous nous sommes réveillés un peu hagards mais surtout surexcités. J'avais une érection diabolique et Anne la vulve huilée.

– Heureusement que je vais passer l'après-midi à poil ! déclara-t-elle en se passant la main entre les cuisses. Je vais pouvoir mouiller sans tacher mon maillot de bain !

Les yeux brillants de lubricité, elle souriait déjà de bonheur. Elle me plaisait quand elle était comme ça, délicieusement vulgaire et "sans filtre" !

Il faisait grand soleil, la journée s'annonçait belle.

Paradoxalement, ce que nous a posé le plus de difficultés, ce fut de trouver le chemin d'accès à la plage qui se nichait au pied d'une pente assez raide plantée de pins qui la dérobaient aux regards. En haut, il y avait un hameau de quelques maisons entourées de hauts murs aveugles. Nous avons erré presque une heure avant de découvrir au détour d'un chemin étroit un départ de sentier signalé par un petit panneau de bois où était peint en lettres majuscules : "Attention, sentier escarpé et non sécurisé ! Déconseillé aux enfants non accompagnés". On a tout de suite saisi l'ambiguïté du message et compris qu'on était sur la bonne voie. Il est vrai que le chemin pouvait être dangereux, surtout en cas de pluie. Ce n'est qu'après un bon quart d'heure de marche que la plage nous est brusquement apparue...

Nous avons trouvé à étaler nos serviettes et planter notre parasol dans un coin de la plage un peu à l'écart, près d'un couple qui nous a regardés nous installer et nous débarrasser de nos vêtements. Une fois nus, ils nous ont adressé un bonjour souriant et bienveillant. Anne n'a pas tardé à faire connaissance. Pour ma part, je suis resté un peu en retrait : hésitant entre la curiosité et la crainte de paraître importun, je ne savais trop quoi faire de mon regard, où le poser sans être indiscret. Bien sûr, il y avait les visages mais surtout les corps à découvert, les poitrines des femmes, les paires de fesses, les ventres plus ou moins velus, les pénis endormis, les fentes vulvaires... Je devinais ma queue rabougrie par le stress cependant que mes yeux, à la manière d'une mouche gourmande de sucre, revenaient inlassablement se poser sur le pubis de notre voisine. Elle se prénommait Angélique, elle était blonde de la tête au mont de Vénus. Sa toison pubienne était si clairsemée qu'elle ne cachait rien de se vulve que je voyais charnue et un peu molle. Ses seins étaient en harmonie avec son sexe, lourds avec de larges aréoles pâles. Alors qu'elle papotait avec Anne, j'ai à plusieurs reprises surpris son regard qui se posait furtivement sur ma bite intimidée.

 Pendant ce temps, Anne avait abandonné toute pudeur : assise en tailleur sur sa serviette de plage, le sexe bâillant, elle parlait avec nos voisins de serviettes et de parasol. Ils étaient belges, de Bruxelles, où ils travaillaient tous les deux à la Commission Européenne, elle comme traductrice des textes français/néerlandais, lui comme chargé des relations entre la Commission et le Parlement Européen. Il se prénommait Adriano et paraissait effectivement plus italien que wallon : chevelure et pilosités brunes et denses, peau mate et bite corpulente... Cela faisait plusieurs années qu'ils venaient passer leurs vacances d'été sur la côte charentaise où ils louaient une grande maison dans le hameau qui surplombait la plage...

Au fil des jours et des conversations, nous avons aussi appris qu'ils avaient deux enfants déjà grands : un fils de 19 ans et une fille de 22 ans déjà en couple... Angélique et Anne se chuchotaient des confidences à l'oreille et échangeaient des sourires complices.  Pour se parler plus librement, elles allaient souvent se baigner seules. J'aimais les observer marchant côte à côte vers l'océan. le spectacle de leurs culs en mouvement avait quelque chose de réconfortant, et quand, une demi-heure plus tard, elles revenaient vers nous, les cheveux mouillés, avec des perles d'eau salée dans les poils de leur chatte, je me disais que j'étais l'homme le plus heureux du monde. J'ai mis quelques temps avant de réaliser que le bas-ventre "au naturel" d'Anne avait séduit Adriano ; elle le savait et s'arrangeait pour qu'il jouisse du meilleur point de vue sur son entrejambe. Il lui en était reconnaissant et, en hommage à sa bonne volonté, il ne cachait pas une belle érection qu'il caressait doucement du bout des doigts. Angélique n'en prenait pas ombrage, bien au contraire : en retour, elle se branlait discrètement le clitoris devant moi, le regard posé sur ma bite, tout en me donnant des explications sur les spécialités culinaires de Bruxelles.

plage a cote 3

Lorsque le dernier vendredi, nous leur avons annoncé que notre séjour prenait fin le lendemain – nous reprenions le travail dès le lundi suivant – ils en ont été sincèrement navrés... Aussi, sans tarder, ils nous ont invités pour un dîner le soir même dans leur maison...

– Ce sera typiquement belge : moules frites ! a annoncé Angélique en riant.

Nous avions bien compris le sous-entendu : ce serait aussi "moules-bites" !

à suivre...

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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