Mardi 31 octobre 2023 2 31 /10 /Oct /2023 08:00

La plage d'à côté, chapitre 3

Nous avons passé une partie de la nuit à en parler et cette conversation nous a troublés au point de nous rendre incapables de faire l'amour. Si bien qu'au petit matin, après quelques heures de sommeil agité de rêves classés X, nous nous sommes réveillés un peu hagards mais surtout surexcités. J'avais une érection diabolique et Anne la vulve huilée.

– Heureusement que je vais passer l'après-midi à poil ! déclara-t-elle en se passant la main entre les cuisses. Je vais pouvoir mouiller sans tacher mon maillot de bain !

Les yeux brillants de lubricité, elle souriait déjà de bonheur. Elle me plaisait quand elle était comme ça, délicieusement vulgaire et "sans filtre" !

Il faisait grand soleil, la journée s'annonçait belle.

Paradoxalement, ce que nous a posé le plus de difficultés, ce fut de trouver le chemin d'accès à la plage qui se nichait au pied d'une pente assez raide plantée de pins qui la dérobaient aux regards. En haut, il y avait un hameau de quelques maisons entourées de hauts murs aveugles. Nous avons erré presque une heure avant de découvrir au détour d'un chemin étroit un départ de sentier signalé par un petit panneau de bois où était peint en lettres majuscules : "Attention, sentier escarpé et non sécurisé ! Déconseillé aux enfants non accompagnés". On a tout de suite saisi l'ambiguïté du message et compris qu'on était sur la bonne voie. Il est vrai que le chemin pouvait être dangereux, surtout en cas de pluie. Ce n'est qu'après un bon quart d'heure de marche que la plage nous est brusquement apparue...

Nous avons trouvé à étaler nos serviettes et planter notre parasol dans un coin de la plage un peu à l'écart, près d'un couple qui nous a regardés nous installer et nous débarrasser de nos vêtements. Une fois nus, ils nous ont adressé un bonjour souriant et bienveillant. Anne n'a pas tardé à faire connaissance. Pour ma part, je suis resté un peu en retrait : hésitant entre la curiosité et la crainte de paraître importun, je ne savais trop quoi faire de mon regard, où le poser sans être indiscret. Bien sûr, il y avait les visages mais surtout les corps à découvert, les poitrines des femmes, les paires de fesses, les ventres plus ou moins velus, les pénis endormis, les fentes vulvaires... Je devinais ma queue rabougrie par le stress cependant que mes yeux, à la manière d'une mouche gourmande de sucre, revenaient inlassablement se poser sur le pubis de notre voisine. Elle se prénommait Angélique, elle était blonde de la tête au mont de Vénus. Sa toison pubienne était si clairsemée qu'elle ne cachait rien de se vulve que je voyais charnue et un peu molle. Ses seins étaient en harmonie avec son sexe, lourds avec de larges aréoles pâles. Alors qu'elle papotait avec Anne, j'ai à plusieurs reprises surpris son regard qui se posait furtivement sur ma bite intimidée.

 Pendant ce temps, Anne avait abandonné toute pudeur : assise en tailleur sur sa serviette de plage, le sexe bâillant, elle parlait avec nos voisins de serviettes et de parasol. Ils étaient belges, de Bruxelles, où ils travaillaient tous les deux à la Commission Européenne, elle comme traductrice des textes français/néerlandais, lui comme chargé des relations entre la Commission et le Parlement Européen. Il se prénommait Adriano et paraissait effectivement plus italien que wallon : chevelure et pilosités brunes et denses, peau mate et bite corpulente... Cela faisait plusieurs années qu'ils venaient passer leurs vacances d'été sur la côte charentaise où ils louaient une grande maison dans le hameau qui surplombait la plage...

Au fil des jours et des conversations, nous avons aussi appris qu'ils avaient deux enfants déjà grands : un fils de 19 ans et une fille de 22 ans déjà en couple... Angélique et Anne se chuchotaient des confidences à l'oreille et échangeaient des sourires complices.  Pour se parler plus librement, elles allaient souvent se baigner seules. J'aimais les observer marchant côte à côte vers l'océan. le spectacle de leurs culs en mouvement avait quelque chose de réconfortant, et quand, une demi-heure plus tard, elles revenaient vers nous, les cheveux mouillés, avec des perles d'eau salée dans les poils de leur chatte, je me disais que j'étais l'homme le plus heureux du monde. J'ai mis quelques temps avant de réaliser que le bas-ventre "au naturel" d'Anne avait séduit Adriano ; elle le savait et s'arrangeait pour qu'il jouisse du meilleur point de vue sur son entrejambe. Il lui en était reconnaissant et, en hommage à sa bonne volonté, il ne cachait pas une belle érection qu'il caressait doucement du bout des doigts. Angélique n'en prenait pas ombrage, bien au contraire : en retour, elle se branlait discrètement le clitoris devant moi, le regard posé sur ma bite, tout en me donnant des explications sur les spécialités culinaires de Bruxelles.

plage a cote 3

Lorsque le dernier vendredi, nous leur avons annoncé que notre séjour prenait fin le lendemain – nous reprenions le travail dès le lundi suivant – ils en ont été sincèrement navrés... Aussi, sans tarder, ils nous ont invités pour un dîner le soir même dans leur maison...

– Ce sera typiquement belge : moules frites ! a annoncé Angélique en riant.

Nous avions bien compris le sous-entendu : ce serait aussi "moules-bites" !

à suivre...

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 27 octobre 2023 5 27 /10 /Oct /2023 08:00

La plage d'à côté, chapitre 2

 Pendant trois jours, les grandes marées estivales ont découvert, à marée basse, de vastes étendues de sable gris où s'aventuraient les promeneurs et les pêcheurs du dimanche. C'est au cours d'une de ces marches à la limite écumeuse des vagues que nous avons vu que la mer se retirait si loin qu'à l'extrémité des promontoires de rochers qui fermaient la plage, s'ouvrait une sorte de banc de sable assez large pour permettre pendant quelques heures le passage de l'autre côté... Nous nous y sommes aventurés. Nous sommes alors arrivés dans une échancrure de la côte assez profonde qui abritait des regards une petite plage accessible  par un sentier que l'on devinait serpentant sous les pins en surplomb. Il y avait là une cinquantaine de personnes... Sur le coup, nous n'avons pas remarqué qu'ils étaient intégralement nus... Tous !

Ma première réaction a été de faire demi-tour, mais c'était sans compter sur Anne qui m'a pris fermement la main :

– Maintenant qu'on est là, hors de question de se dégonfler ! On va se renseigner.

Joignant le geste à la parole, elle a lâché ma main pour se débarrasser de son maillot de bain désormais dérisoire. Du regard, elle m'a encouragé à enlever mon bermuda. J'étais mort de trouille : ça m'a rappelé la première fois où je m'étais trouvé tout nu, au lycée, devant la médecin scolaire, pour la visite médicale. Je n'en menais pas large ! Pourtant, personne ne semblait s'intéresser à nous, que ce soit les baigneurs dans l'eau ou ceux allongés sur le sable.

Au fur et à mesure que nous approchions du fond de la plage, on les distinguait mieux : il y en avait de tous les âges, de toutes les couleurs de peau, avec tout de même une nette majorité de chevelures et pilosités blondes et de peaux claires. Anne paraissait très à l'aise ; il faut reconnaître qu'elle pouvait être fière de ses seins, de sa silhouette élancée et de son ventre plat. J'étais plus embarrassé, presque gêné. Je ne me sentais pas à ma place. Heureusement, la main d'Anne dans la mienne me donnait un peu d'assurance. Nous avons cherché quelqu'un pour répondre à nos questions. Nouvelle surprise : la plupart des naturistes parlaient hollandais ou allemand ! Quelques anglais aussi... Nous avons fini par trouver un vieux couple francophone qui nous a appris que la plage était publique, qu'on y arrivait depuis la côte par le petit sentier sous les pins. En dehors des jours de grande marée, le promontoire rocheux la protégeait des voyeurs et des curieux en tous genres...

plage a cote 2

Petit à petit, je m'habituais à ma nudité... J'ai même repéré sous un parasol rouge et blanc, une belle métisse allongée sur le ventre, les cuisses bien écartées, offrant à tous les regards une vue indiscrète sur son sillon culier et sa vulve pulpeuse...

Nous sommes restés presque une heure à discuter avec le vieux couple qui nous a dit que cela faisait plus de quarante ans qu'ils venaient là tous les étés, qu'à leur connaissance, la plage était réputée pour sa tranquillité, sa convivialité, son côté bon enfant, bien loin des sites sulfureux comme le Cap d'Agde ou l'Ȋle du Levant.

Mais déjà, la mer remontait. Nous avons enfilé nos vêtements et refranchi sans tarder le banc de sable pour retrouver notre plage qui nous a paru triste et sans attrait.

De retour au mobil home, notre décision était prise : dès le lendemain, nous changerions de plage !

à suivre...

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 24 octobre 2023 2 24 /10 /Oct /2023 08:00

La plage d'à côté

J'ai écrit cette nouvelle à la demande de Anne et Jacques pour qui j'ai déjà rédigé plusieurs nouvelles que vous pouvez retrouver sur le blog

Chapitre 1

Cette année-là, nous avions décidé, d'un commun accord, de passer les vacances d'été en Charente-Maritime, au bord de la mer, mais loin des îles et des ports de plaisance au snobisme ostentatoire. Nous souhaitions des vacances "normales". Les années-galère de nos ennuis financiers étaient loin (cf la nouvelle "À découvert) et après nos excès érotiques (cf les nouvelles "Les masques de sommeil" et "Le dernier service") nous aspirions à une existence plus calme. Pour cela, nous avions loué pour deux semaines un petit mobil home dans un camping sans prétention. Cependant, il y avait quand même une piscine avec toboggan et le bruit de l'océan tout proche. C'était une grande et belle plage en forme de croissant, fermée de chaque côté par un promontoire de rochers sombres qui la mettaient à l'abri des vents d'ouest. La fréquentation de la plage correspondait à nos attentes : des familles qui investissaient les lieux avec parasols, rabanes et glacières, quelques couples de retraités, des ados qui jouaient au foot à marée basse sur le sable mouillé et au volley ou au freesbee à marée haute sur le sable sec. Anne avait opté pour un très sage maillot de bain une pièce, moi pour un bermuda bicolore. On passait nos après-midi sur nos serviettes, dans l'ombre du parasol et de nos lunettes de soleil. De temps en temps, on allait se rafraîchir et faire quelques brasses dans les vagues. On ne se parlait guère  : Anne feuilletait des magazines, je consultais mon portable... À dire vrai, nos journées suintaient l'ennui. Le soir venu, on se préparait vite fait une salade de crudités au vinaigre balsamique, on débouchait une bouteille de rosé et on dînait en tête-à-tête sur l'étroite terrasse en bois exotique de notre mobil home surchauffé. Les assauts des moustiques nous contraignaient à trouver refuge dans notre minuscule chambre où la moiteur était si dense que nos caresses et nos étreintes en étaient poisseuses.

plage a cote 1

C'est ainsi que sont passés les premiers jours jusqu'au soir où, alors que nous  étions vautrés sur le lit à regarder notre télé de poche tout en piochant à la cuillère dans un pot de crème glacée, Anne me dit : "Cet après-midi, à la plage, il y a un mec d'une trentaine d'années qui est passé juste devant nous... Tu étais allongé sur le ventre en train de somnoler, alors tu n'as pas dû le voir ! Moi, je l'ai suivi du regard... Un beau mec, bien foutu... Je suis certaine qu'il a une grosse bite...

– Comment peux-tu en être sûre ! Il te l'a montrée ?

– Pas besoin ! Il y a des choses que les femmes sentent d'instinct !

Ces paroles dites sur le ton de la banalité m'ont instantanément fait bander, d'autant plus qu'Anne a ajouté :

– Le suivre des yeux m'a excitée au point que j'en ai mouillé l'empiècement de mon maillot de bain et qu'il a fallu que j'aille me rincer dans l'eau... Dis donc, ça te fait toujours autant d'effet quand je te raconte des trucs un peu cochons... Allez, arrête de te branler, je vais te sucer !

Ses lèvres délicieusement fraîches m'ont enrobé de salive parfumée à la vanille rhum raisins... Puis on a baisé comme des sauvages dans la fournaise de notre mini-chambre.

Dès le lendemain, nous avons pris l'habitude de reluquer en catimini nos congénères de plage. Je me suis mis moi aussi à lorgner les femmes, jeunes ou matures, à portée de regard, à mater leurs fesses, leurs poitrines parfois découvertes, le renflement de leurs bas-ventres... Le soir venu, tout en se caressant mutuellement, on se faisait le compte-rendu de nos observations du jour et on faisait l'amour autant avec les mots qu'avec les corps...

à suivre...

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 20 octobre 2023 5 20 /10 /Oct /2023 08:00

Lu en page 8 du Canard Enchaîné n° 5370 paru le mercredi 11 octobre cet article signé DF (David Fontaine) que je vous retranscris dans son intégralité :

Les animaux sont des homos comme les autres

" CONTRE NATURE", l'homosexualité, comme le répètent à l'envi les réacs et intégristes de tout poil ? Que nenni ! dirait la grenouille de La Fontaine. Selon une étude scientifique publiée par la revue "Nature Communications", qui vient conforter nombre d'autres recherches, l'homosexualité est largement répandue chez les animaux. Elle concerne pas moins de 1500 espèces, dont 261 espèces de mammifères, soit 5% au total, mais aussi des insectes, des poissons, des reptiles, des oiseaux... Et encore, ces chiffres seraient largement sous-estimés "puique ce comportement n'a attiré l'attention des chercheurs que récemment" ( libération.fr du 07/10)

Au secours, Zemmour va en perdre ses attributs. La palme aux primates non humains, dont 51 espèces vivant en groupe pratiquent joyeusement l'homosexualité, notamment pour intégrer les plus jeunes ou faire la paix. Elle concerne les mâles comme les femelles et, dans un quart des cas, donne lieu à une parade nuptiale, voire à des liens de couple... Pour mieux s'aimer comme des bêtes.

pour illustrer cet articcle, je vous propose 3 photographies.

savoir 146 lions gay

1. couple de lions mâles

savoir 146 gorilles femelles

2. couple de gorilles femelles

savoir 146 singes males

3. couple de singes mâles

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Mardi 17 octobre 2023 2 17 /10 /Oct /2023 08:00

"Yann Andréa Steiner" (141 pages) est paru en 1992 aux éditions P.O.L. Comme son titre le suggère, le point de départ de ce récit est l'arrivée (l'irruption ?) de Yann Andréa dans la vie de Marguerite Duras. 

Extrait pages 30-31 : Marguerite et Yann Andréa font l'amour pour la première fois

" On s'est couchés avec la lune dans le ciel sombre et bleu. C'est le lendemian qu'on a fait l'amour.

Vous êtes venu me rejoindre dans ma chambre. Nous n'avons pas dit un mot. On était nourris du corps d'enfant de Théodora Kats, de ce corps infirme, de son regard clair, de ses cris pour appeler sa mère avant la balle dans la nuque du soldat allemand chargé de l'ordre du camp. Après vous m'avez dit que j'avais un corps incroyablement jeune. J'ai hésité à publier cette phrase. mais je n'en ai pas eu la force. J'écris aussi des choses que je ne comprends pas. Je les laisse dans mes livres et je les relis et alors elles prennent un sens. J'ai dit qu'on me l'avait toujours dit même l'Amant de la Chine du Nord, j'avais 14 ans alors, même pas, et on a ri. Et encore le désir est revenu, sans un mot, sans un baiser. Et puis après l'amour vous m'avez parlé de Théodora Kats. De ces mots : Théodora Kats. Même le nom, vous avez dit, est foudroyant."

yann andrea steiner


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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 08:00

Femme, maman ou femme au foyer ? Le choix est cornélien !

femme au foyer

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 10 octobre 2023 2 10 /10 /Oct /2023 08:00

La photo

socio44

Fin de soirée entre amis

Nous sommes entre "gens de bonne compagnie" : canapé de cuir, tapis d'orient, parquet de chêne, invités triés sur le volet... Les hommes sont passés chez le coiffeur, les femmes qui ont soigné leur épilation intégrale, portent de la lingerie très sexy et des vêtements de soie. On sirote des grands crus bourgois de bordeaux dans des verres à pied en cristal... En fin de soirée, un peu éméchés, on se lâche : les hommes se sont mis à poil, les femmes ont ôté leur petite culotte mais pas leurs bas à jarretelles ni leurs escarpins à brides... Il leur suffit de fermer les yeux et de se laisser emporter par la sensualité d'une bouche gourmande collée à leur ventre. Tout se savoure, se déguste : le vin, le sexe, le standing... C'est le goût du bonheur

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 6 octobre 2023 5 06 /10 /Oct /2023 08:00

Vu ces derniers temps dans les pages des magazines cette pub pour les chaussures GEOX. Comment rester insensible à la puissance érotique de la pose de Penélope Cruz ? En légère contre-plongée, les cuisses largement écartées, la peau sous la jupe, l'échancrure de son décolleté, la force de son regard, la sensualité de sa bouche, la fragilité de son cou, la sauvagerie de sa chevelure... Calme, luxe et volupté !

geox penelope cruz

Par michel koppera - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 3 octobre 2023 2 03 /10 /Oct /2023 08:00

Et pourquoi pas ?

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Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 29 septembre 2023 5 29 /09 /Sep /2023 08:00

Projet de loi d'autorisation de la vente à perte des carburants : une fausse bonne idée ? Les illustrateurs du Canard Enchaîné n'ont pas manqué de traiter l'information, à leur façon...

essence a perte


Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
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