Vendredi 31 mars 2023 5 31 /03 /Mars /2023 08:00

Wikipedia Deborah Harry née le 1er juillet 1945 à Miami.

En 1980, à la radio la chanson "Call me" du groupe Blondie était en tête du hit-parade. À l'époque, j'ignorais que la chanteuse américaine se nommait Deborah Harry et qu'elle avait posé nue pour Playboy. De 1968 à 1978, elle fut une Playboy Bunny à New-york. Outre Playboy, elle posa aussi pour les magazines Hustler et Penthouse et tourna quelques films X. 

Tout ça, je l'ignorais avant l'arrivée d'internet et du libre accès aux archives de l'érotisme. Cependant, son charme était indéniable... Voici quelques photos plus ou moins dénudées de Debbie (ma préférée étant la première de la série où le noir et blanc et le jeu du contre-jour magnifie sa beauté troublante)

debbie harry 5

debbie harry 4

debbie harry 2

debbie harry 3

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debbie harry playboy

debbie harry playboy 2

debbie harry porn

Par michel koppera - Publié dans : jadis et naguère - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 28 mars 2023 2 28 /03 /Mars /2023 08:00

En complément de l'article  Casting X mis en ligne le 10 mars dernier, Jean-Pascal a tenu à me confirmer que le dessin était bien l'œuvre de Joseph Farrell. On le trouve à la page 12 de l'album intitulé "Humiliations". En prime, Jean-Pascal m'a adressé une version antérieure non-colorisée de l'illustration ainsi que le texte qui l'accompagnait (texte où l'on peut constater que ma lecture de l'image n'était pas très éloignée de celle de son auteur.) 

Voici donc le dessin original et le texte envoyés par Jean-Pascal que je remercie chaleureusement

humiliations farrell 1

humiliations farrell 2

Par michel koppera - Publié dans : B.D - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 24 mars 2023 5 24 /03 /Mars /2023 08:00

J'ai déjà consacré plusieurs articles à cet artiste 

Georges DELFAU, L'invitation

Georges DELFAU, l'Invitation, # 2

Georges Delfau (bonus)

Georges Delfau : scènes d'intérieur

Images du candaulisme, # 9, version Georges Delfau

Cette fois, il s'agit du thème d'adolescents ou jeunes hommes initiés au plaisir du sexe  par des femmes matures. On y retrouve l'univers petit-bourgeois cher à Delfau.

delfau-ado1

delfau-ado2

delfau-ado3

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 21 mars 2023 2 21 /03 /Mars /2023 08:00

Le saviez-vous ? # 143

En France une ordonnance de l'an 1800 avait interdit aux femmes le port du pantalon. Bien que tombée en totale désuétude, cette ordonnance ne fut officiellement abrogée que le 31 janvier 2013 !!! Auparavant, c'est après la seconde guerre mondiale, dans les années 1950, que les mouvements féministes des sociétés occidentales prennent de l'ampleur et remettent en causent la domination patriarcale. Le port du pantalon, et plus particulièrement celui du jean "unisexe", devient alors un des symboles de leur émancipation.

 savoir143 pantalon2

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Par michel koppera - Publié dans : le saviez-vous ? - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 17 mars 2023 5 17 /03 /Mars /2023 08:00

Louis-ferdinand CELINE, "Londres"

Deuxième volet des inédits de Céline ( Editions Gallimard, 557 pages) Londres est la suite logique de "Guerre". On y retrouve Ferdinand qui a suivi Angèle à Londres, sans doute vers 1915. Angèle y est logée et entretenue par le Major Purcell, un de ses clients-amants. Ferdinand mène une existence semi-clandestine en compagnie d'autres éclopés et rescapés de la "Grande guerre" qui fait rage sur le continent. Comme dans "Guerre", la chronique de ce séjour londonien est jalonnée d'épisodes érotiques voire pornographiques au vocabulaire "fleuri". En voici trois extraits.

Extrait n° 1 : chapitre 2, pages 104 à 107. Avec Angèle, pendant l'absence de Purcell parti pour 3 jours en voyage d'affaires 

" C'était une belle fille à regarder, même de tête. Ses lèvres étaient un peu grosses, elles donnaient contre le pâle des joues, un vrai poids en plus de tendresse et de grâce, de sang offert, de carmin prêt à éclater, qu'on morde. Ça me faisait plus tenir de la regarder. J'apercevais les contrastes entre les fesses et sa figure, c'est un des trucs les plus bandants chez les femmes, vous avez remarqué ? Une brutale naissance de la cuisse bien pulpeuse, bien énorme, un vrai dada, du percheron, mais un petit nez menu tout ciselé transparent, une figure des traits qui brise, déforme, du vrai pastel, dans la même rombière, c'est l'Amour. (...) J'ai cru comprendre qu'il (Purcell) exigeait des trucs spéciaux. Je m'en serais douté. Je l'embrassais fort Angèle pour tout connaître ; qu'elle m'en dise, qu'elle dise tout. Elle se faisait prier. Elle se prétendait des hontes. Et puis elle finissait par m'en dire un peu. Je l'ai bien sucée, j'étais jaloux, j'ai tout bu d'elle, j'aurais pu lui vider son ventre, tellement qu'il y avait de secrets au fond. Elle en est restée toute blême sur le plumard."

Londres george grosz 1

Extrait n° 2 : chapitre 7, page 235. Portrait de Hortense, une des prostituées françaises qui vendaient leurs charmes à Londres.

" Hortense avait une motte magnifique, faut dire, Gustave Bon-Argent son homme il se réchauffait les mains dedans devant tout le monde, et comme derrière alors quelque chose de dur, de large et de somptueux, un vrai lit de milieu. Une bouche pulpeuse avec ça, je me souviens, pour manger tout, et même un liseré de moustache au-dessus. Une espèce de double femme en tout. Elle devait avoir deux ou trois cœurs."

Extrait n° 3 : Chapitre 15, pages 378 à 379. Voyeur, Ferdinand assiste à une scène où Angèle et sa jeune sœur Sophie sont avec un docker anglais qu'elle a raccolé. 

" Je monte l'escalier. Elle a bien laissé la porte ouverte Sophie comme elle avait dit. J'écoute. je me rapproche encore. Ils doivent être passés dans la chambre. Je peux m'avancer encore. J'y suis. Je peux voir dans le salon. Je referme même un peu la porte, j'ai juste la place pour regarder.

Là. Je suis bien. Je me sors la bite un peu. J'aime ça le voyeur moi. Elle aime la pleine lumière Angèle. Comme tous les gens qui sont nés bien pauvres. Elle a tout allumé. Le docker il est costaud quand il enlève sa veste. Les deux mômes sont en déshabillé mousseline. Angèle j'y reconnais la petite grimace entre le nez et la bouche, qu'elle fait quand elle mouille, comme excédée qu'elle en est... on dirait qu'elle va tout mordre... Elle est debout là, près du pajot. Le mec il est sur un pouf tout ahuri par les lumières, à poil jusqu'à la ceinture. Elle a pas voulu qu'il se lave. Elle veut se l'envoyer comme ça. 

Je me la touche moi, mais je veux pas jouir encore. C'est tout inconnu, ça vous tiraille le sexe, ce qui se passe. Je me réserve, je veux tout voir, bien regarder.

La Sophie elle jette un œil de mon côté. Elle me voit pas mais elle me sent là. Elle est bien ballottée quand même aussi Sophie. Elle a plus de fesse qu'Angèle, c'est pas lourd mais c'est plus jeune, mais elle a pas d'idées Sophie. Je serais pas surpris qu'elle trouve ça tout à fait ennuyeux. C'est une sentimentale plutôt. On verra. Mais l'Angèle alors c'est en transe qu'elle se met, à voir le docker sur le tabouret qu'ose même plus enlever son pantalon. Elle parle un drôle d'anglais même pour le stimuler davantage.

– Vous n'êtes pas un homme donc ? qu'elle lui demande. Vous avez peur des femmes alors ? qu'elle lui fait. Montre-moi ces grosses couilles, dis, montre-moi.

Angèle se rapproche encore de lui. Elle lui fonce dans le pantalon. Elle se met des couilles plein la main. Elle est bien excitante comme ça, on peut pas dire, quand elle s'emporte. (mais le docker prend peur, perd ses moyens et Angèle le congédie brutalement. Agacée, elle s'en prend alors à Sophie qu'elle frappe de dépit)

– Tiens charogne, qu'elle lui dit, tu te fous bien de ma gueule, hein, tu t'en fous, pas ?

L'autre plus qu'elle criait et plus qu'elle essayait de se débattre et plus qu'elle se faisait dérouiller, mais alors sérieusement. C'était une douce Sophie, au fond. Elle a crié l'Angèle et puis elle lui a tortillé les oreilles. Qu'elle faisait plus qu'un cri la Sophie.

– Mange-moi, qu'elle la commande Angèle, mange-moi, mords en plein. Un peu plus, je t'ai dit charogne. Je t'arrache.

Alors fallait voir comment ça rendait. Elle y enfonçait la tête dans la motte. Je croyais qu'elle étouffait. Je voyais sa tête toute rouge à Sophie, qui sautillait des cuisses. Angèle après elle est retombée à râler sur le dos, sur le ventre.

Elle n'en finissait plus. l'autre, Sophie, est venue de mon côté en titubant, elle en avait marre. Elle parlait pas. Je me suis tiré doucement moi-même. Fallait que je rentre à la pension."

londres george grosz

Illustrations de George Grosz (1893-1959), artiste allemand contemporain de Louis-Ferdinand Céline (1894-1961)

Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 14 mars 2023 2 14 /03 /Mars /2023 08:00

Fist-fucking,  #4 : guide pratique 

"Le fisting a tendance à être considéré comme une pratique sexuelle extrême par certains, mais il peut être courant dans d'autres communautés", explique Liz Powell éducatrice sexuelle, coach et psychologue diplômée. 

Pourquoi pratiquer le fisting ?

Lorsqu'il est bien fait, le fisting peut être très agréable. Croyez-en le Dr Powell : "Le fisting donne une sensation de plénitude inégalée. Avec la main entière dans un orifice, vous pouvez stimuler beaucoup plus de tissus en même temps". Elle ajoute que beaucoup de personnes aiment l'expérience psychologique d'être "ouvert(e) en grand". De plus, le fisting peut être une expérience incroyablement intime pour les deux partenaires. "Voir sa main entière à l'intérieur de son partenaire, et sentir la chaleur et la force de son corps de l'intérieur, est quelque chose que beaucoup de gens apprécient", explique le Dr Powell. "C'est une forme de pénétration qui permet un contact visuel si désiré, et qui permet au donneur d'être pleinement présent dans le plaisir du receveur".

Pourquoi la pratique du fisting effraie-t-elle certaines personnes ?

Malheureusement, la société fait croire à de nombreuses personnes que les vagins peuvent s'étirer et se détendre si on y met trop de choses (ou quelque chose de trop gros). Ceci a conduit à la notion négative et misogyne de femmes qualifiées de "libres" (alias "femmes faciles et qui ont souvent des rapports sexuels"). La bonne nouvelle est que cette conclusion problématique est non seulement fausse, mais qu'elle est basée sur un mythe : le tissu vaginal est censé s'étirer et retrouver sa forme et sa taille habituelle (en grande partie), puisqu'il est conçu pour faciliter l'accouchement, selon une obstétricienne/gynécologue

Donc, tant que vous faites attention à votre corps et que vous utilisez une préparation adéquate et suffisamment de lubrifiant, vous pouvez apprécier le fisting, et votre vagin devrait pouvoir s'en remettre. Quant à la négativité sexuelle et au sexisme qui alimentent le préjugé contre le fisting ? Il faudra sans doute du temps pour y remédier, mais des études prouvent que la société ne fait que mieux accepter chaque année un éventail plus large de comportements sexuels.

Comment s'y prendre ?

Le fisting requiert de la patience, de la pratique, de la communication et beaucoup de lubrifiant. "Quel que soit votre sexe ou l'orifice que vous fistez, veillez à aller plus lentement que ce que vous pensez être nécessaire, et utilisez plus de lubrifiant que ce que vous pensez avoir besoin", déclare le Dr Powell. Selon elle, les lubrifiants plus épais à base de silicone ont tendance à mieux fonctionner, car les lubrifiants à base d'eau peuvent être collants. L'utilisation de gants en latex peut également faciliter le fisting, car ils empêchent le lubrifiant d'être absorbé par la peau de la main et l'aident à glisser plus facilement.

Si vous et votre partenaire êtes tou·tes deux prêt·es à essayer le fisting (et que vous en avez parlé ensemble), allez-y petit à petit en commençant par un doigt. Selon le Dr Powell, il peut s'avérer utile pour le partenaire qui reçoit le fisting de prendre de profondes respirations pendant qu'il ou elle se fait fister. Si le partenaire receveur ressent un quelconque malaise, retirez-vous et faites une pause. Après avoir préparé l'orifice en commençant par un doigt et en ajoutant d'autres doigts, vous pouvez passer au fisting et réaliser "une forme de canard" avec les doigts (c'est-à-dire que les doigts sont droits et serrés ensemble, comme un bec de canard) pour y glisser la main. Vous devez vous déplacer lentement et en conjonction avec les respirations du partenaire receveur, et si l'orifice est prêt et disposé, vous pouvez créer un véritable poing avec votre main et faire des mouvements de va-et-vient à un rythme plus rapide. Là encore, maintenez la communication pour vous assurer que vous êtes tou·tes deux à l'aise en permanence.

Quant au retrait complet du poing, le Dr Powell indique que cela peut être plus délicat que l'insertion initiale. Plutôt que de prendre de grandes respirations, elle suggère de tousser pendant que le donneur se retire. "Les muscles vont ainsi aider à expulser le poing du corps", dit-elle. "Le retrait est le moment le plus susceptible de blesser, donc le fait de tousser aide le corps à travailler avec vous, plutôt que contre vous".

Conclusion : avec suffisamment d'amour et de lubrifiant, tout est possible, y compris introduire une main entière dans le vagin (sans le détruire).

En illustration, d'abord en gode très réaliste avec main "en bec de canard" pour une première expérience de fist, puis quelques photos amateur de fist vaginal version "soft"

doc-johnson-the-hand-1

fist soft1

fist soft2

fist soft3


Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 10 mars 2023 5 10 /03 /Mars /2023 08:00

Voici une image de casting qui concentre tous les clichés et fantasmes de l'industrie du film X (Jean-Pascal m'informe qu'il s'agirait d'un dessin signé Joseph Farrell peut-être extrait de l'album "Humiliations")

casting

Je vous fais un rapide "inventaire à la Prévert" de tous les clichés accumulés dans cette image :

- La candidate amateur, en bas avec porte-jarretelles, morte de honte de montrer sa chatte poilue et ses seins à des inconnus, mais qui se branle quand même et mouille

- Le directeur d'agence blasé par le spectacle. Pour lui, c'est la routine.

-  La script très sexy qui prend des notes, on se demande bien pourquoi !

- La secrétaire du patron qui apporte du matériel (un autre gros gode)

- Deux futures candidates inquiètes mais surtout curieuses

- Le pressbook sur le bureau du patron et posées à côté des photos à l'appui des compétences.

- Les affiches porno au mur

- Le matériel de prise de vue : appareil photo sur pied, spot d'éclairage

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 7 mars 2023 2 07 /03 /Mars /2023 08:00

Il y a déjà quelque temps j'avais lu dans l'Obs un article consacré à la mode "au naturel'" qui remettait les poils à l'ordre du jour.

article-nouvel-obs

Vous me connaissez, cette information me pouvait que me réjouir... J'ai toujours pensé que les poils étaient écologiques...

article obs

article obs2

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 3 mars 2023 5 03 /03 /Mars /2023 08:00

Marie-Joséphine-Louise de Savoie, Comtesse de Provence, est née en 1753. Fille du Prince Victor-Amédée, héritier présomptif du Royaume de Sardaigne et de Marie-Antoinette-Ferdinande, infante d'Espagne, petite-fille de Louis XIV. Jeune fille au physique ingrat (sourcils épais, cheveux très frisés, ombre de moustache sur la lèvre supérieure et système pileux envahissant "Elle avait de la barbe même sur la poitrine et les épaules"(sic), Marie-Joséphine était malheureusement née à une époque où les poils n'étaient guère prisés chez les femmes. Voici le portrait qu'en faisait Pidansat de Mairobert dans ses Mémoires secrets :" Cette princesse est très brune : elle a d'assez beaux yeux mais ombragés de sourcils très épais ; un front petit ; un nez long et retroussé, un duvet déjà très marqué aux lèvres et une tournure du visage qui ne présente rien d'auguste ni d'imposant." 

marie-Josephine de Savoir Vigee lebrun

Portrait flatteur de Marie-Joséphine réalisé par Elisabeth Vigée-Lebrun vers 1775

En 1771, âgée de 18 ans, elle épouse le Comte de Provence, deuxième petit-fils de louis XV et futur Louis XVIII. Ce mariage ne fut sans doute jamais consommé car son époux était plus intéressé par les plaisirs de la bonne chère que par ceux de la chair. La comtesse intègre donc, sans enthousiasme, la cour royale de France. Sa vie bascule le 10 avril 1785 lorsqu'elle engage comme lectrice une certaine Marguerite de Gourbillon, de seize ans son aînée, épouse du directeur des postes à Lille.

Marguerite de Gourbillon

Portrait de Marguerite de Gourbillon

Cette femme va exercer sur la comtesse une emprise qui durera presque jusqu'à sa mort. Certes Marguerite profitera et abusera de ses largesses mais en retour elle initiera sa maîtresse à des caresses dont les insuffisances et l'impuissance de son mari l'avaient laissée ignorante. Les amours saphiques des deux femmes ne tarderont pas à devenir notoires mais rien ne pourra s'opposer à leur liaison.

marie-josephine provence

C'est ainsi que j'imagine les étreintes des deux amantes

À la mort de Louis XV, en 1774 Marie-Joséphine était devenue Princesse. La révolution française la contraindra à l'exil où elle errera à travers toute l'Europe jusqu'à sa mort à Londres en 1810. L'excécution de Louis XVI en janvier 1793 la fit Reine de France, reine qui n'eut jamais l'occasion de régner puisque son époux Louis XVIII n'accéda au trône qu'après la chute du Premier Empire en 1814. Quant à Marguerite Gourbillon, elle mourut en 1817 à Gray (Haute-Saône), là où elle était née en 1737.

marie josephine apres 1800

Portrait sans complaisance de Marie-Joséphine en exil vers 1800

Par michel koppera - Publié dans : jadis et naguère - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 28 février 2023 2 28 /02 /Fév /2023 07:30

Voici un labyrinthe où j'aimerais bien me perdre !

labyrinthe

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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