Exercices d'écriture # 13
La photo
Les textes
Le texte du mari
En regardant cette photo, datant de quelques années, j’eus le souvenir très précis de ce qui s’était passé. Je
savais que ma femme avait couché avec notre ami Michel et, au cours d’un dîner en tête-à-tête, je lui demandai si elle recommencerait devant moi, sachant qu’il devait passer prendre un verre le
lendemain chez nous. J’avais en moi ce fantasme de voir Hélène baisée par un autre.
Elle me demanda si je le supporterais :
– Oui.
– Alors chiche !
Lorsque, le lendemain, Michel était là, assis dans un canapé du salon, Hélène prétexta un appel à passer pour
rapidement réapparaître en escarpins, bas noirs auto-fixants, string noir transparent, les seins nus, avec une simple veste en cuir sur les épaules. Elle a toujours été frileuse.
Elle s’assit devant Michel sur l’un des deux fauteuils médaillon Louis XVI et retira son string avec délicatesse,
les jambes écartées sans vulgarité mais laissant voir son sexe qu’une épilation au laser avait rendu totalement lisse, avec ses grandes lèvres charnues et pendantes.
– Mon mari veut me voir baisée devant lui, dit-elle tout simplement.
Michel ne fut en rien étonné, il se leva et alla retirer le string que ma femme avait encore au bout de son
escarpin . Il lui dit de se lever, ce qu’elle fit et il retira la veste qu’elle avait sur les épaules.
Voir ainsi ma femme quasiment nue – il ne lui restait que ses escarpins et ses bas – devant Michel dont le regard
ne laissait vierge aucune parcelle de son corps, provoqua chez moi immédiatement une érection. Je me demandai combien de temps j’allais tenir.
Michel rentra dans le jeu immédiatement : " Comtesse, votre mari, mon vieil ami, va être cocu et le savoir en
temps réel ". Il saisit Hélène par le cou et l’embrassa sur la bouche, Elle se prêta à ce baiser avec volupté. Les mains de Michel mains parcouraient son corps, caressant ses seins, ses fesses,
rentrant son index dans la bouche, puis dans l’anus, ce qui provoqua une petite crispation chez Hélène, qui finalement se laissa fouiller.
J’étais sous le charme de voir ainsi ma femme, comme le roi Candaule lorsqu’il avait placé son officier derrière un
rideau pour qu’il vît sa femme nue.
Michel lui demanda de le déshabiller. Elle le fit comme une professionnelle. Lorsqu’il ne resta plus que le
caleçon, elle était à genoux devant lui. Elle baissa le caleçon qui laissa littéralement surgir son sexe tendu. Elle commença à le lécher, sa langue allait de la verge aux couilles, qu’elle
prenait dans ses mains, les caressant de ses doigts.
Mon candaulisme exultait. Elle me regardait : " Tu l’as voulu et tu sais que c’est très agréable de s’occuper
d’un ami aussi charmant". Michel lui prenait la tête et enfonçait doucement sa bite dans la bouche de ma femme. Voir cette bite jouer avec la bouche de ma femme provoquait un intense plaisir. Je
me disais qu'il avait une plus grosse bite que la mienne.
Il se retira de sa bouche, la fit asseoir sur le canapé, il s’agenouilla devant elle lui empoignant les chevilles
pour lever ses jambes et les écarter, afin que son sexe lui fût offert.
Là aussi, voir sa femme ainsi manipulée, offrir son sexe au regard d’un homme était le plus doux des
spectacles.
Il pressa sa bouche contre le sexe de ma femme, y enfourna sa langue dont je ne pouvais que supposer qu’elle
léchait habilement le clitoris, à entendre les soupirs d’Hélène, signes d’une jouissance clitoridienne en train de monter. Lorsqu’elle n’en put plus elle saisit la tête de Michel pour la plaquer
contre son sexe et son soupir se fit haletant jusqu’à cet orgasme clitoridien qu’elle adorait.
Il n’eut pas besoin de lui intimer la moindre instruction, elle se mit à genoux sur le canapé et me dit de passer
derrière afin que je puisse voir ses yeux lorsqu’il allait la pénétrer.
Michel dont le sexe pénétrait la chatte de ma femme me dit : " Si tu savais, elle est ruisselante, c’est un plaisir
de la prendre et en plus devant toi..."
Hélène me dit : "Tu aimes ? " Je lui répondis : " Oui, beaucoup."
Michel allait et venait en elle. Elle commença à râler bruyamment comme toujours lorsque son orgasme vaginal
montait. Elle me regardait fixement et dit à Michel :" Bourrez-moi bien pour notre plus grand plaisir et celui de mon mari."
Il la tenait fermement par les hanches. Il la baisait de plus en plus vite et de plus en plus durement.J’avais
envie que ce moment ne s’arrête jamais. Ils jouirent ensemble. Ma femme me regardait les yeux dans le vague.
Je dus quitter le salon pour aller me soulager dans la salle de bain.
Lorsque je revins ils étaient allongés sur le canapé, Hélène nue dans ses bras une main sur le sexe de Michel qui
me demanda de servir une coupe de champagne. – Si tu savais comme cela a été agréable de baiser la Comtesse devant toi.
J’obtempérai avec le sentiment d’avoir été un cocu tout à fait convenable.
Le texte de l'amant
L'automne était bien là, avec son cortège de dépressions venues de l'océan accompagnées de coups de vent et
de fortes pluies. Au manoir, la cheminée du grand salon prodiguait une douce chaleur animale. C'était un samedi soir, la météo avait annoncé un week-end morose. J'avais été invité à dîner. Au
moment du café, on s'est retrouvés tous les trois devant la cheminée, un peu empruntés. C'est Hélène qui a proposé une partie de Trivial Pursuit. Je dois avouer que, comme son mari, je n'étais
pas très enthousiaste mais pour nous convaincre, elle a ajouté :
– On ne fera qu'une partie et le vainqueur aura le droit d'infliger un gage aux deux perdants.
D'un seul coup, le jeu devenait beaucoup plus intéressant.
– Quel genre de gage ?
Elle a pris le temps de la réflexion.
– Un gage trivial, comme le jeu.
C'était sérieux. La partie a bien duré une heure. La victoire fut longue à se dessiner. Pendant longtemps, c'est
moi qui ai fait la course en tête - je réfléchissais déjà aux gages que j'allais leur donner - mais j'ai séché à plusieurs reprises sur des questions scientifiques. Et finalement, c'est Hélène
qui l'a emporté sur le fil. Elle n'était pas peu fière ! Elle nous a regardés avec un petit sourire malicieux. On n'en menait pas large.
– Voici mes gages : Michel, vous allez me lécher la chatte et me faire jouir ; quant à toi - elle s'adressait à son
mari - tu devras te masturber en le regardant faire. Tu n'auras pas le droit de me toucher, par contre, si ça t'excite, tu pourras m'asperger les seins et le ventre avec ton sperme.
Et sans attendre nos commentaires ou objections, elle a ôté sa jupe et est allée s'asseoir dans un fauteuil. Elle a
rapidement retiré sa petite culotte pour nous montrer son sexe nu et déjà tout moite.. Elle s'est laissé aller en arrière, a écarté les cuisses et, de la main, m'a fait signe d'approcher. À peine
agenouillé entre ses jambes, elle a posé sa main sur ma tête et attiré mon visage tout contre son sexe. Ma bouche s'est ventousée à sa vulve. Elle était trempée. J'ai fermé les yeux pour ne
pas croiser le regard de son mari qui, le pantalon aux chevilles, se caressait tout près de moi. j'entendais distinctement son souffle court qui accompagnait les gémissements d'Hélène à chaque
passage de ma langue sur son clitoris.
J'ai perdu toute notion du temps. Je bandais à tout rompre. Ne comptait plus pour moi que le ventre d'Hélène où
était collé mon visage et mentalement, je me répétais la même phrase, lancinante : "Je lèche le con d'Hélène et son mari nous regarde." C'est lui qui a joui le premier : j'ai senti
l'odeur puissante de son foutre chaud qui coulait sur le ventre d'Hélène et débordait de la vasque de son nombril. Il a poussé une sorte de rugissement rauque. Puis, ce fut le tour d'Hélène
d'atteindre l'orgasme, sans doute stimulée par la jouissance de son mari. Sa chatte est devenue encore plus onctueuse, son bassin ondulant, sa main caressante dans mes cheveux. Elle a joui en
silence, comme en apnée... Le calme revenu, elle a ramassé sa jupe posée à terre.
– Je vous remercie, dit-elle sans nous regarder.
Elle est tournée vers son mari déjà reculotté :
– Chéri, s'il te plaît, tu peux remettre du bois dans le feu ? Pendant ce temps-là, je vais sucer la bite de
Michel...
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