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Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Joyeux Noël à tous, même si, avec la mondialisation, le Père Noël n'est plus vraiment ce qu'il était !!!!
Jusqu'au 2 janvier, je ne pourrai, pour raisons personnelles, m'occuper de mon blog. Aussi, pour terminer l'année, je vous propose une série d'articles sur le thème de "représenter le désir", série que j'avais commencée en 2022. Chaque article sera composé de 2 images (photo ou dessin) que je trouve représentatifs de la notion de désir. Je vous souhaite à tous de bonnes fêtes de fin d'année et vous dis à l'an prochain
Représenter le désir, # 13
Je recherche depuis des mois l'auteur de ces superbes illustrations d'amours lesbiennes. À ce jour, toutes mes recherches sur le net sont restées vaines. Peut-être que l'un ou l'une d'entre vous pourra m'apporter enfin une réponse. D'avance merci !
Dernière minute : Jean-Pascal, plus futé que moi, me signale qu'il s'agit d'illustrations de Armand Petitjean ( 1909-2004 ?, série ayant pour titre "Amies intimes" datée de 1950
Le saviez-vous ? # 147
Connaissez-vous et/ou pratiquez-vous le bouboupisme ?
La bouboupisme est la pratique sexuelle qui consiste à privilégier les seins pendant les préliminaires en les effleurant, en les mordillant, en les léchant ou encore en pinçant les tétons. Chez la femme, ces caresses qui activent certaines zones sensitives du cortex, du clitoris et du vagin, peuvent memer à l'orgasme. Il a été établi que c'est pendant les phases d'ovulation ou quand elle est enceinte que les seins de la femme sont les plus réceptifs à cette pratique.
Les hommes sont aussi sensibles aux caresses mammaires mais essentiellement sur les mamelons.
On suppose que l'origine du mot est à chercher dans la langue anglaise ou "boob" désigne le sein.
"Demain j'aurai vingt ans" est un roman de 382 pages paru en 2010 à la NRF, Éditions Gallimard.
Comme son titre le suggère, ce récit raconte daans les années 1970 l'adolescence du narrateur, Michel (Alain Mabanckou ?) à Pointe-Noire, capitale économique du Congo.
Extrait pages 338-339 : Le jeune Michel assiste "clandestinement" à un récital du célèbre chanteur congolais Papa Wemba. Par un petit trou percé dans un mur, il observe les danseurs enlacés sur la piste de danse.
" Des couples dansent très collés et très serrés. Ils bougent d'un bout à l'autre de la piste. Quand ils dansent en face de moi, je les vois. Mais quand ils vont à gauche ou à droite je ne les vois plus, même si je tourne bien l'œil comme un caméléon. Parfois il y a des couples qui me gênent parce qu'ils dansent trop près de mon œil. Le derrière de la femme est tellement énorme qu'on dirait que c'est un deuxième mur qui est en face de moi. Je dois trouver un long fil de fer et piquer le gros derrière de cette femme qui m'empêche de bien voir Papa Wemba. D'un autre côté, je ne veux pas le piquer parce que ce derrière en question bouge au rythme de la musique et ça me donne envie de danser. Lorsque le batteur frappe très fort son instrument, le derrière de la femme rebondit comme une graine de maïs dans une poêle avec de l'huile chaude. Et moi j'ai envie de rigoler, je ne savais pas qu'on pouvait danser comme une graine de maïs jetée dans une huile brûlante. Il y a un homme au fond là-bas qui serre trop fort une femme en jupe très courte. Il a mis sa tête au milieu des seins de cette femme et a fermé les yeux on dirait un bébé qui a fini de boire son biberon et qui dort profondément. Chaque fois que la femme respire, la tête de l'homme bouge au rythme de la musique et je me mets moi aussi à danser, à imaginer que c'est moi qui ai posé ma tête entre les seins de cette femme en jupe très courte, que j'ai fermé les yeux et que je dors profondément sur la poitrine de cette femme comme un bébé qui a fini de boire son biberon. Or cette femme-là peut être ma mère, donc il ne faut pas que je pense à des choses de ce genre. Je dois plutôt imaginer que cette femme-là est une fille de mon âge. Alors je pense à la poitrine de Caroline. mais Caroline n'a pas encore des seins comme ceux de cette femme, elle les aura peut-être de cette taille-là quand elle aura vingt ans."
Exercices d'écriture # 15
La photo
Le texte du mari
Nous venions de quitter l’autoroute,Hélène était à côté de moi confortablement installée dans la Jaguar, elle lisait le carton d’invitation :
« Michel K… recevra Le Comte et la Comtesse de la Motte-Veuillé le samedi 22 et dimanche 23 septembre au Château du Ruisseau. C’était en Sologne, un peu en dessous d’Orléans.
« L’envers du carton portait les mentions manuscrites suivantes :
À votre arrivée, le Comte sera conduit avec vos bagages dans votre chambre et Hélène, elle suivra mon majordome. Il lui est interdit de porter string ou culotte »
Michel revenait des Etats-Unis où il avait passé une année.
Dans la voiture j’avais demandé à ma femme si elle avait une culotte. Elle me répondit évidemment non.
Une fois arrivés devant l’entrée du Château, un domestique vint prendre nos valises et me pria de le suivre jusqu'à notre chambre, un autre invita Hélène à le suivre. Ma femme prit l’escalier principal et moi un autre escalier situé au bout d’un grand hall après avoir traversé un salon.
Le domestique me laissa avec les valises. Je remarquai un bristol sur le manteau de la cheminée ; je m’en approchai et entendis parler, mieux en m’approchant pour saisir le bristol où il était simplement écrit « Regarde et écoute », je m’aperçus qu’il s’agissait d’une glace sans tain qui surmontait la cheminée dont le conduit devait donc être coudé.
Quant aux voix elle provenaient de la grille d’aération en position ouverte qui correspondait donc à celle de la pièce située de l’autre côté de la glace .
Michel était dans cette pièce avec ma femme.
« Après une année et votre lettre particulièrement agréable à lire, j’ai décidé que nous serions tous les deux pendant quelques minutes. Vous avez obéi à ma directive ? »
Je vis ma femme s’allonger sur le lit situé au fond de la pièce, appuyée sur ses coudes, les genoux relevés, tout comme sa jupe, laissant voir que l’obéissance était au rendez-vous, Michel étant de côté, sans doute intentionnellement, je voyais ce qu’il voyait : la chatte d’Hélène, les petites lèvres un peu pendantes.
La position semblait appeler une réponse rapide.
Mais Michel ne bougea pas et lui intima l’ordre de le rejoindre. Il la prit par les hanches, respira son parfum, « N°5, je m’en doutais » il l’amena face à une commode. Naturellement elle posa les deux mains sur le marbre, bras tendus. Michel releva sa jupe, une jupe droite qu’il fit coulisser vers le haut.
Derrière ma vitre sans tain, je le regardais faire.
Il sortit sa bite de sa braguette Il bandait vraiment comme un cerf, Sologne oblige, Je l’entendis lui dire « Je vais vous prendre comme une pute, chère Comtesse. »
Elle ne demandait que cela et se cambra.
Des doigts de sa main gauche, il écarta savamment les petites lèvres, elle était déjà totalement mouillée, il n’eut aucune peine à y fourrer sa bite, il allait et venait en elle, modifiant à son gré le rythme, de rapide à lent, puis très lent. Elle hurlait de plaisir. Il continuait son mouvement.
Il se retira brusquement, plaça son gland luisant sur son anus qu’il força d’un coup.
« J’avais tellement envie de vous enculer Comtesse » Elle hurlait mais cette fois de douleur, sans cependant chercher à échapper à son amant. Il se vida en elle.
Il la fit s’agenouiller et lui présenta la bite qui venait d’investir son trou du cul. Elle savait qu’elle devait la lécher, sucer, ce qu’elle fit en Comtesse soumise.
Lorsqu’elle eut fini ce « nettoyage », il la releva et lui dit « Allons prendre un verre au salon, je suis sûr que votre mari saura nous y rejoindre. »
Le message était évidemment passé et je les rejoignis au salon où un whisky nous fut servi.
Je dis innocemment à ma femme que tout à coup je pensais à un film, « Le vieux fusil », Michel me dit : « Ah oui, le coup de la glace sans tain ! »
Hélène sourit : «Ce doit être excitant de voir des gens qui ne se savent pas être observés »
Le week-end n’était pas fini et Michel nous dit « Nous sommes en Sologne donc pour demain j'ai pu organiser une chasse, mais un peu originale à laquelle quelques amis nous rejoindrons demain, .. Au fait, Comtesse, vous ferez office de gibier…..
Le texte de l'amant
Conversation
– Je vous plais comme ça ?
– Rien ne pourrait me faire plus plaisir !
– Vous savez, c'est mon mari qui insiste pour que je ne porte pas de petite culotte. Il dit que la simple idée que je marche dans les rues cul nul sous ma jupe suffit à le faire bander.
– Je le comprends... Je crois que ça me ferait le même effet. Et vous, ça vous déplaît ?
– Pas vraiment, sauf quand il fait trop froid. Je trouve que c'est plutôt flatteur, pour mon cul j'entends. Dites-moi, Michel, franchement, que pensez-vous de ma vulve ?
– Je la trouve superbe ! Avec ses lèvres entrouvertes comme ça, on s'attendrait à ce qu'elle se mette à parler... Je me demande bien ce qu'elle pourrait raconter !
– Des histoires de cul ! Elle vous dirait qu'elle mouille, que le capuchon de son clitoris est tout dur, qu'elle aimerait que votre langue la lèche partout, du mont de Vénus jusqu'au périnée, que vous lui enfonciez votre bite jusqu'aux couilles pour y répandre votre foutre tout au fond... Voilà ce qu'elle vous dirait.
– J'adore quand vous employez un vocabulaire en décalage total avec votre image.
– C'est encore une idée de mon mari. Il aime bien que je fasse "mauvais genre", comme il dit. Alors, vous comprendrez mieux le pourquoi des bas noirs, des talons aiguilles et de la jupe à ras le bonbon.... Ça fait partie de ma panoplie.
– En fait, c'est une sorte de déguisement ?
– Oui... mais pas que...
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