Exercices d'écriture N° 17
  
  
    La photo
  
  
    
  
  
    Les 2 textes
  
  
     
  
  
     1 : Le texte du mari
  
  
    Nous avions laissé le temps un peu passer. Après la partie de chasse, j’avais compris que Michel
    aurait sans doute préféré jouir seul de ma femme, bien qu’il lui soit arrivé à plusieurs reprises de se l'offrir devant moi.
  
  
    Je lui avais donc demandé de passer à la maison boire un verre.
  
  
    Hélène était habillée simplement pour la circonstance : un chemisier un peu ample, très sage, une
    robe de daim beige claire en forme, des escarpins en daim beige et noir. Pour l’avoir vue s’habiller, je savais qu’elle portait un string,  un soutien
    gorge panthère, et des bas-up chair.
  
  
    Une fois Michel arrivé, nous nous installâmes au salon devant un verre de scotch. Hélène était assise
    auprès de Michel sur le canapé.
  
  
    Après quelques banalités d’usage, Michel demanda à ma femme : « Alors Comtesse, comment se
    porte votre trou du cul depuis votre expérience avec un groupe de chasseurs ? » Manifestement il n’avait pas encore digéré l’utilisation cynégétique qui avait été faite de sa
    maîtresse.
  
  
    Hélène lui répondit, en souriant que je lui avais appliqué un baume réparateur divin et qu’elle était
    aussi serrée qu’auparavant.
  
  
    Michel rit de bon cœur et posa sa main sur le genou de ma femme remontant sa jupe jusqu’à la lisière
    du bas. " Décidément, Comtesse, on ne peut vous prendre en défaut. Votre aristocratique élégance n’est jamais démentie, vous avez le souci du détail. Vous savez que vous me faites déjà bander et
    que je n’ai rien sous mon pantalon ?"
  
  
    Je dis à ma femme de ne surtout pas faire attention à moi. Hélène me fit un clin d’œil et sans autre
    forme de procès, déboucla la ceinture du pantalon de Michel qu’elle déboutonna ainsi que la braguette et mit la main dedans pour en ressortir sa bite dressée après quelques caresses savantes, la
    main allant et descendant sur le sexe, dont je dois reconnaître qu'il est beaucoup plus imposant que le mien. Elle se pencha ensuite sur le gland qu'elle avait savamment découvert, y déposa
    quelques baisers avant de l’engloutir dans sa bouche.
  
  
    Je me suis permis de lui dire : " Arrondis bien ta bouche ma chérie, Michel a horreur que tu le
    griffes avec tes adorables dents !"
  
  
    Hélène se releva :" Cher Cocu, je sais parfaitement ce que j’ai à faire" et elle se remit
    consciencieusement à sa besogne.
  
  
    À voir la satisfaction de Michel, je ne pouvais que me rendre à l'évidence : ma Comtesse de femme lui
    taillait une pipe royale, façon ancien régime.
  
  
    En même temps qu’il se faisait pomper, je vis le regard de Michel se fixer sur une peinture du salon,
    représentant un ecclésiastique du 17ème siècle, accroché au-dessus d’un commode régence, les deux faisant partie du patrimoine de la famille.
  
  
    Michel releva la tête d'Hélène par les cheveux et lui dit : " Votre aïeul me donne des idées
    blasphématoires, après tout vous venez bien de célébrer « le temps de l'accueil et du rassemblement ! »
  
  
    Et la relevant, il l’amena devant la commode, juste en dessous de l'aïeul, lui demanda de se pencher
    et de bien se tenir à la commode, ce qu’elle fit et alors il releva sa jupe, découvrant ses longues jambes dans ses bas chair, et ses fesses dont la raie était épousée par la ficelle du
    string.
  
  
    Michel prit sa bite, écarta la ficelle et s’introduisit dans la chatte bien mouillée de ma femme. Il
    commença alors de doux mouvements de va et vient. Hélène poussait de petits gémissements qui, avec le mouvement qui s'accéléraient, devenaient de plus en plus forts, pour jouir bruyamment.
  
  
    Malgré la situation, la Comtesse ne perdait jamais son sens de l’humour et dit : Si ma culture
    eucharistique est juste, vous venez, mon cher Michel, sous les yeux de mon aïeul, de me célébrer un alléluia."
  
  
    – Comtesse, lui dit-il, je ne sais ce que je préfère chez vous votre esprit ou vos fesses. Sans doute
    les deux d’ailleurs.
  
  
    Hélène allait se retirer mais Michel appuya une main sur les épaules de ma femme qui dut garder la
    position.
  
  
    – Comtesse votre éducation religieuse a des lacunes, vous oubliez l’offertoire ! Alors, tenant
    toujours la ficelle du string écartée, il plaça son gland devant le trou du cul de la Comtesse de la Motte Veuillé et l’encula d’un coup.
  
  
    Il allait et venait dans le cul de ma femme, à mon plus grand plaisir, et lui,  prit le sien
    sous les nouveaux gémissements de la Comtesse.
  
  
    – Effectivement, j’ai pu constater que le baume que vous a appliqué votre mari, vous a bien resserré
    le cul. Allez en paix ma sœur, vous avez mon absolution."
  
  
     
  
  
    2. Le texte de
    l'amant
  
  
    Après un trop long hiver pluvieux et venteux, c'était enfin les premiers beaux jours. Hélène avait
    rangé ses manteaux et ses pulls en pure laine vierge dans le dressing. Ce jour-là, elle portait une jupe courte, un chemisier de soie et des escarpins délicats. Elle m'accueillit dans son bureau
    dont la baie vitrée donnait sur le parc. Je m'attendais à les voir tous les deux mais elle était seule. Elle me parut un peu nerveuse. Avant même que je ne lui pose des questions, elle s'empressa
    de me dire que son mari était absent mais qu'elle ignorait où il était ! Dans le manoir, tout était rangé, chaque meuble, chaque objet à sa place. Aucune faute de goût, aucun grain de
    poussière... C'était trop.
  
  
    – Si ça se trouve, il est là, caché quelque part, à nous regarder... Je ne vous apprends rien : ça
    l'excite de nous voir ensemble. Alors, il faut jouer le jeu, vous me comprenez...
  
  
    – Je crois, oui... Qu'est-ce qu'il veut exactement ?
  
  
    – Qu'on baise, tout simplement.
  
  
    – Et vous, qu'en pensez-vous ?
  
  
    – À votre avis ?
  
  
    À chacun de ses gestes, elle était nimbée d'un souffle de Chanel n° 5. Je la regardais s'affairer
    près de son secrétaire où avait été ostensiblement posé un livre d'art à la couverture ornée d'un nu langoureux. Mon regard suivait le ballet de ses belles jambes gainées de bas couleur chair, le
    cliquetis de ses talons sur le carrelage immaculé, le frémissement de la soie qui épousait ses seins, la danse balinaise de ses mains que j'imaginais déjà fourrageant dans mon pantalon à la
    recherche de ma queue raide.
  
  
    Mais déjà elle s'éloignait et m'invitait à la suivre dans une sorte de cabinet particulier sobrement
    meublé d'une élégante commode. Elle s'arrêta pour me montrer un tableau accroché au mur. Il s'agissait du portrait d'un prélat à la mine solennelle. Hélène m'expliqua qu'il s'agissait d'un
    lointain aïeul de la famille qui avait vécu il y avait plus de deux siècles. Pendant qu'elle me donnait le nom de l'ancêtre et me retraçait sa carrière épiscopale, elle avait retroussé sa jupe et
    me présentait ses fesses nues, à peine vêtues de la ficelle de son string assorti aux couleurs de son chemisier.
  
  
    – Michel, je vais vous demander une faveur. Je veux que vous me preniez en levrette devant lui...
    Rien que d'y penser, j'en ai la chatte toute baveuse... Vous pouvez vérifier ! Je veux qu'il voie votre bite disparaître entre mes fesses écartées, qu'il respire à pleins poumons l'odeur de ma
    mouillure vaginale et cette de votre sperme chaud, qu'il m'entende jouir...
  
  
    Mais qui était ce "LUI" dont elle me parlait ? Son aïeul immobile dans son cadre ou son mari en
    embuscade ?
  
  
     
  
  
     
  
  
     
  
		
	 
		
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