Exercices d'écriture n° 16
La photo
Les textes
Le texte du mari
Michel avait fait venir au Château du Ruisseau six de ses amis, chasseurs, j’étais avec eux dans le salon, nous discutions. Michel les avait prévenus d’une partie de chasse particulière, ce qui ne manquait pas de les étonner puisque nous étions au mois d’août.
Il vint nous rejoindre et expliqua que le terrain de chasse allait être divisé en six parcelles, chacun devant se tenir sur sa parcelle, qui lui serait attribuée par tirage au sort.
La particularité était que chacune des parcelles avait une configuration biscornue, afin que chacune soit mitoyenne des autres et composée de chemins boisés, haies, bosquets, landes, clairières..
Michel fixa ensuite les règles de la chasse : il allait lâcher une biche dans le domaine une demi-heure avant que les chasseurs ne gagnent leur parcelle pour traquer la biche.
Il sortit et revint avec ma femme, Hélène de la Motte-Veuillé ; elle était nue ne portant que des bottes et un blouson ouvert qui découvrait ses seins.
– Voilà la Biche ! Avec son mari, nous allons la conduire sur le terrain. Elle aura une demi-heure d’avance sur vous. À elle de vous échapper. Vous disposerez d’une heure pour la trouver, sans évidemment sortir de votre parcelle. Celui qui la capturera aura droit de cuissage au retour.
Nous partîmes en Land Rover avec Hélène et Michel la déposa donc quasiment à poil, au centre des parcelles lui disant : " Maintenant, Comtesse, débrouillez vous !"
Ensuite Michel me mena, pour que nous puissions suivre la traque, sur un mirador dont l’emplacement nous permettait de couvrir l'intégralité du terrain de chasse. Il disposait de jumelles puissantes et d’un micro directionnel permettant d’entendre très distinctement à plusieurs centaines de mètres.
Ainsi nous avons vu Hélène se diriger vers des taillis pour se cacher. Les chasseurs sont arrivés sur leur parcelle une demi-heure après, leurs chiens aboyant.
Ayant cherché à se dissimuler, Hélène était sur la parcelle que le sort avait dévolue au plus jeune des chasseurs, la trentaine, 1m80 bel homme.
Son chien sentait la piste. Il le lâcha.
Le chien arriva près du taillis débusqua Hélène toute nue. Le chien se planta devant elle et s'immobilisa.
Le chasseur laissa le chien la renifler et dit à Hélène : « Comtesse je vous ai trouvée, vous connaissez la signification du succès de ma traque » Elle répondit que oui. Il prit son cor et sonna, signifiant que le gibier était trouvé, puis il sortit de sa gibecière deux cordelettes et lui lia les poignets et les pieds et, comme un fétu, la souleva pour la poser sur son épaule. Il ramenait sa proie.
Il reprit son cor et sonna trois fois signifiant l’arrêt de la chasse.
Il se dirigea comme tous les chasseurs vers l'ancien bâtiment où devait se dérouler le repas de chasse. Nous fîmes de même.
Une fois tout le monde autour de lui, il posa son gibier dont il délia les pieds et les mains.
Il lui retira son blouson, la Comtesse de la Motte-Veuillé était à poil en bottes ; c’est ainsi qu’il présenta sa capture passant sa main sur tout son corps, entre les cuisses , sur les seins...
Michel le félicita et lui dit : "Maintenant vous pouvez exercer votre droit de cuissage. Vous n’ y voyez pas d’inconvénient, Hélène ? » Ma femme répondit en regardant les chasseurs dans les yeux : « Je ne me dérobe jamais, j’ai été chassée, j’en ai accepté par avance les conséquences »
Le chasseur la fit mettre à genoux devant lui, elle n’eut pas besoin de s’entendre dire ce qu’elle avait à faire, elle déboutonna sa braguette et sortit la bite qui bandait déjà généreusement. Elle la suça goulûment avec envie. Lorsque le chasseur considéra être suffisamment satisfait par cette fellation, il la releva et la força à se pencher contre la grande table, il lui écarta les jambes avec ses pieds, sans douceur, il laissa son chien renifler le trou du cul et la chatte de la comtesse, succédané de la récompense habituelle du chien de chasse.
Ensuite la collant contre la table, il lui intima l'ordre d'écarter ses fesses. La Comtesse prit une fesse dans chaque main et les écarta découvrant son anus et son sexe, les deux largement offerts. Il lui cracha sur l’anus et l’encula d’un coup. Allant et venant avec rapidité, ma femme criant d’abord de douleur puis de plaisir lorsqu’il sortit sa bite de son cul pour l’enfourner dans sa chatte, sous des coups de boutoir violents.
Michel me dit : « Ta femme est insatiable , je ne suis pas sûr que notre jeune chasseur la satisfasse suffisamment». J’étais en effet dubitatif.
Michel se mit alors à chanter « Au rendez-vous de la Marquise, ils étaient 80 chasseurs…. Dans le lit de la Marquise ils étaient 80 chasseurs.. ; »
Puis, s’adressant aux cinq autres chasseurs, il ajouta : « Il ne sera pas dit que vous serez rentrés bredouilles, baisez la Comtesse »
Lors du dîner qui suivit, ma femme étant allée se refaire une beauté et s’habiller plus convenablement, un toast lui fut porté. Elle répondit en levant à son tour sa coupe de champagne :
– J’avais des préventions contre la chasse,… je ne peux que reconnaître que j’avais tort.
Le texte de l'amant : Conversation du lendemain
– Michel, je peux vous poser une question ?
– Oui, bien sûr à condition que je puisse y répondre.
– Hier soir, je vous ai attendu... pourquoi vous n'êtes pas venu ?
– Parce que vous étiez trop occupée à baiser avec les chasseurs. Je ne voulais surtout pas vous déranger !
– Vous savez très bien que vous ne me dérangez jamais... Sincèrement, j'espérais que vous seriez aussi de la fête !
– Parce que vous appelez ça une fête ! Moi, j'emploierais plutôt le mot "tournante" !
– Comme dans les caves des immeubles ?
– Exactement... Et je vais vous faire une confidence : je ne suis pas passionné par la chasse. D'ailleurs, vous ne me verrez jamais avec un fusil à la main. J'aime trop les animaux, je suis un sentimental.
– Mais c'est bien vous qui avez organisé cette partie de chasse en Sologne !
– Pour faire plaisir à votre mari et à ses amis... Dans cette affaire, je ne suis qu'un prestataire de services : je livre une partie de chasse clefs en main : le domaine, le gibier, le gîte et le couvert... TTC !
– Vous m'avez aussi livrée sans aucun scrupule à cinq mâles en manque de sexe !
– "Sans scrupule " est exagéré car, si je ne me trompe, vous aviez accepté les règles du jeu et vous avez même souhaité relever le défi. Rien ne vous y obligeait !
– Je l'admets... Mais voyez le résultat, dans quel état ils m'ont mise..
– Je vois, en effet !... Si j'étais d'humeur coquine, je dirais "L'œil était dans la tombe et regardait Caïn".
– Très drôle ! Vous n'avez jamais pensé que ça pouvait être vous que j'attendais.
– Non... J'en suis désolé.
– Pas autant que moi... mais vous pouvez encore vous faire pardonner.
– Comment cela ?
– Donnez-moi votre bouche pour apaiser mes souffrances, léchez-moi partout, votre salive sera le plus doux des remèdes... Que vos lèvres soient fraîches, que votre langue soit souple, qu'elle lave ma souillure, qu'elle me guérisse... Je vous en prie, ma chatte et mon cul ont le mal de vous
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