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Vendredi 9 décembre 2016 5 09 /12 /Déc /2016 08:00

" Lorsqu'une femme se tient sur les mains et ses pieds comme un quadrupède et que son amant monte sur elle comme un taureau, cela s'appelle le congrès de la vache. À cette occasion, il y a lieu de faire sur le dos tout ce qui se fait ordinairement sur la poitrine."

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Jeudi 8 décembre 2016 4 08 /12 /Déc /2016 08:00

"Lorsqu'un homme jouit en même temps de plusieurs femmes, cela s'appelle le congrès du troupeau de vaches."

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Samedi 26 novembre 2016 6 26 /11 /Nov /2016 08:00

Kama Soutra # 2

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" L'Homme est divisé en trois classes, savoir : L'homme-lièvre, l'homme-taureau et l'homme-cheval suivant la grandeur de son lingam (pénis)"

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Vendredi 25 novembre 2016 5 25 /11 /Nov /2016 08:00

Kama Soutra, première partie. De l'union sexuelle Chapitre premier.

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Des sortes d'union sexuelle, suivant les dimensions, la force du désir ou la passion le temps

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"La femme est divisée en trois classes, suivant la profondeur de son yoni (vagin) : une biche, une jument, ou un éléphant femelle."

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Jeudi 20 octobre 2016 4 20 /10 /Oct /2016 08:00

Françoise REY, "Mazarine", Le Cercle Poche n° 52

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Paru aux Éditions Le Cercle en 2000, "Mazarine", comme son titre éponyme l'annonce, retrace l'histoire de la fille cachée de François Mitterrand comme le chaînon d'une longue lignée historique où, à travers les siècles, les Mazarine sont toutes issues des amours illégitimes avec un personnage célèbre. La filiation originelle remontant à la relation cachée entre le Cardinal Mazarin et la régente Anne d'Autriche. 

L'extrait que je vous ai chosi narre la rencontre en Kabylie entre Madame Séverol, épouse du commandant de la garnison d'Ain Bagra, et du futur général Georges Boulanger alors jeune officier tout juste sorti de Saint-Cyr

Pages 241-242 : Le jeune Georges a été chargé d'apporter du linge lavé et repassé à la commandante, une blonde quinquagénaire qui, malgré sa réputation de puritaine, le reçoit en tenue fort légère et le séduit. Après l'avoir initié à la branlette espagnole, elle entreprend de se faire prendre en levrette

mazarine2" Elle se redressa, sans songer à rajuster dans la corbeille de son décolleté, sa gorge, au creux de laquelle luisait la trace argentée d'un passage ému... Georges demeurait assis, essoufflé, désemparé. Il la vit retrousser la jupe de son déshabillé.

- Tu leur diras bien ! dit-elle. Tu vois, j'ai encore de belles jambes ! Hein,! Si je voulais...

Elle n'inventait rien. Elle possédait des jambes superbes, droites et solides, bien galbées, décidées. Elle en plia une, posa le pied sur la chaise, en maintenant relevé son vêtement qu'elle roulait de ses deux mains sur ses reins. Ses fesses blanches, écartées par sa pose lubrique, n'avaient rien à envier au reste.

Georges perdait la tête. Il bondit de son siège, agrippa fermement les hanches qu'on lui offrait, s'arc-bouta, jarrets ployés et bassin basculé, tâtonna une seconde ou deux, la trouva finalement, profonde, juteuse, bouillante.

- Alors ? interrogea-t-elle en le regardant par-dessus son épaule. Que leur diras-tu ?

Geroges, entre ses dents serrées, marmonna :

- Imprenable ! Pas la peine d'essayer. 

- Encore ! dit-elle. Encore ! Quoi d'autre ?mazarine1

- Un glaçon !... Un iceberg...

- Encore. Va bien loin... Bouche-moi à fond ! Quoi d'autre ?

- La femme la plus inaccessible que j'aie jamais vue...

- Ah ! grinça-t-elle. Tu me plais ! ... Quoi encore ?

- On aimerait... On aimerait...

- Quoi ? Quoi ?

- La fourrer, la faire gueuler...

- Et puis ? Et puis ?

- Pas moyen... Expira-t-il, en s'écroulant sur elle.

- Tu l'as dit ! approuva-t-elle, dans une espèce de cri aigu qui n'en finit plus de couiner...

Ils se séparèrent. Elle laissa retomber son vêtement, porta d'un geste déjà testé, la main à ses cheveux. Cette fois, elle sentait un peu la sueur...

- Bien, dit-elle enfin. je compte sur vous.

Elle le raccompagna à la porte.

- Et la prochaine fois, vous l'avez vu, inutile d'insister... Je suis bien bonne de ne pas dénoncer vos audaces... Oui, marmonna-t-elle encore tandis qu'il descendait l'escalier, sans doute trop bonne..."

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Vendredi 5 août 2016 5 05 /08 /Août /2016 08:00

Douglas Kennedy " La femme du V"

Collection Pocket n° 13573. 409 pages

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Extrait : chapitre 12, page 197

La scène se passe à Paris dans un bar. Un soir, Harry, le narrateur est passé y boire un verre .

" Elle s'appelait Yanna. Elle était la femme du patron, Nedim, pour l'heure parti en Turquie où il devait assister aux obsèques d'un oncle"...

Elle s'est levée pour aller fermer la porte et tirer une grille intérieure sur la devanture. Revenue près de moi,, elle m'a adressé un sourire éthylique, m'a fait quitter mon tabouret et, prenant ma main droite, l'a glissée sous sa jupe courte, dans sa petite kennedy-femme2culotte. Sa fente était déjà mouillée sous mes doigts. Avec un petit gémissement, elle m'a attrapé par la nuque et a enfoncé sa langue jusque dans ma gorge. Bien que très ivre, j'avais vaguement conscience d'être sur le point de commettre une folie, mais mon index est entré en elle. Comme il fallait s'y attendre, sa bouche avait un goût de raki et de tabac. L'hémisphère rationnel de mon cerveau a cédé le terrain à l'autre, celui qui appartient à l'imbécile imbibé et guidé par son pénis en érection. Avant d'avoir pu dire ouf, je me suis retrouvé avec elle dans une arrière-salle nauséaobonde. Il y avait un lit de camp près d'un évier constellé de taches de rouille. Elle a défait ma ceinture pendant que je descendais sa culotte le long de ses jambes. Elle a envoyé ses chaussures valser et nous nous sommes abattus sur la couverture rêche. Le lit métallique a bruyamment grincé sous nos contorsions. Comme j'hésitais à la pénétrer, elle a chuchoté dans mon oreille :" Y a pas de risque..." Dès que j'ai été en elle, elle est devenue violente : elle m'a tiré par les cheveux, lacéré les fesses de ses ongles, elle a agité sa main libre entre nous pour se frotter brutalement le clitoris. Quand elle a joui, elle a dû réveiller les deux arrondissements voisins par ses cris et ses soupirs. Puis elle a planté ses dents dans ma langue et ne l'a plus lâchée jusqu'à ce que j'explose en elle.

Deux secondes après, elle était debout.

- Il faut que je nettoie la salle, maintenant. "

 

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Mardi 14 juin 2016 2 14 /06 /Juin /2016 08:00

Jorge Amado est l'un de mes auteurs préférés. J'ai récemment lu "Les pâtres de la nuit", roman daté de 1970 et paru aux éditions Stock (nouveau cabinet cosmopolite) en 1982. Comme souvent, le cadre du roman est la ville de Salvador de Bahia. 

Page 169, cet adage des vieux marins du port de Salvador de Bahia : "Il n'est pas possible à un seul homme de coucher avec toutes les femmes du monde mais il faut essayer d'y parvenir."

Je reprends, et cette fois avec illustrations

" Il n'est pas possible à un seul homme de coucher avec toutes les femmes du monde...

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... mais il faut essayer d'y parvenir."

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Vendredi 27 mai 2016 5 27 /05 /Mai /2016 08:00

Sébatien Japrisot : "L'été meurtrier", Editions Denoël, 1979

Evidemment, beaucoup d'entre vous se souviennent du film adapté du roman en 1983 par Jean Becker avec Isabelle Adjani et Alain Souchon dans les rôles principaux. Pour ceux qui n'auraient pas vu le film, commencez par la lecture du roman, un polar haletant de la première à la dernière page. Alors, je ne vous raconte rien de l'intrigue. 

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Page 217, chapitre "La sentence" : Elle (Eliane) rend visite à son ancienne institutrice, Mademoiselle Dieu, qu'elle surnomme Calamité

japrisot1" Nous étions sur le divan du salon, au rez-de-chaussée, quand l'idée m'est venue. Elle m'avait ôté ma robe et ma culotte et fait mourir pour de vrai, alors qu'avec elle, je ne meurs partiquement jamais, j'invente. Moi, je ne lui en fais pas le quart, ça ne me vient pas, mais je la touche à peine qu'elle est déjà partie. Ce que j'aime, c'est la regarder quand elle meurt. Elle ne crie pas, elle gémit comme si elle avait mal, mais elle a un visage qui change, c'est incroyable, elle est belle de plus en plus jusqu'à ce qu'elle retombe comme si elle n'avait plus de nerfs. Et chaque fois, quand elle ouvre les yeux, personne ne devinera jamais ce qu'elle dit :" Mon Dieu, que j'ai honte !" Je vous jure c'est un cas. En plus, elle a de tout petits pieds de Chinoise - du 35, je ne suis pas sûre - et quand elle part, tous ses orteils se crispent, se crispent, et on n'a plus du tout envie de rire, c'est quelque chose qui n'a pas de nom. Désespéré, ce n'est pas tout à fait ça. Désespéré, affamé, sans défense, et ce qui veut dire que les choses ne peuvent pas durer toujours. Le tout en un seul mot. Moi, je peux donner la réponse : ses saletés d'orteils. "

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Jeudi 21 avril 2016 4 21 /04 /Avr /2016 08:00

Toujours dans le recueil de nouvelles "Osez 20 histoires d'infidélité" (Editions de la Musardine), la nouvelle "Cocu et content" de Gilles de saint-Avit s'ouvre sur un extrait des "Ecrits Intimes" de Roger Vailland ( 1907-1965), ouvrage posthume paru en 1969 chez Gallimard. Je pense que tous les lecteurs candaulistes et/ou échangistes, et ils sont nombreux, seront très sensibles à ces quelques lignes !

" Je vais réveiller Gigi, je la baise, elle me raconte que la dernière fois que je l'avais foutue, un après-midi de décembre, et ne s'étant pas lavée, elle reçoit la visite de son amant habituel. " Comme tu mouilles !", dit-il ; "Goûte", dit-elle ; "Ton foutre, dit-il, n'a pas le même goût que d'habitude." Elle lui fait aspirer, puis lui donner, dans sa bouche, par un baiser, recevant ainsi de la bouche du garçon mon foutre mêlé à celui de son con, ce qui, dit-elle, l'a prodigieusement excitée."

Voici quatre illustrations. Regardez-les en gardant en mémoire l'extrait que vous venez de lire, vous verrez c'est délicieux !

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Lundi 22 février 2016 1 22 /02 /Fév /2016 08:00

Fernando del Paso "Palinure de Mexico" (1977)

Collection Points Seuil n° R426, 788 pages

Traduit de l'espagnol par Michel Bibard

Prix du meilleur livre étranger 1986

Fernando del Paso est né en 1935 à Mexico

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Mission difficile voire impossible que de tenter de résumer en quelques lignes un roman aussi foisonnant ! Disons pour simplifier qu'il narre la vie de Palinure, étudiant extravaguant et fantasque, aussi fou de médecine que de sa cousine Stéphanie.

1ère partie, chapitre 4. Pages 103-104

" Comment j'ai pénétré ma cousine par la bouche, et comment, aussi je l'ai pénétrée par le vagin, c'est une chose que je vous raconterai plus tard en même temps que d'autres palinure1aberrations admirables et exquises. Pour l'instant, qu'il me suffise de dire qu'en ce qui concerne l'anus de ma cousine, je le connaissais sur le bout de la langue, et que plus de cent fois - pour ne pas exagérer et ne pas dire plus de mille - je l'ai pénétrée par le rectum avec toutes mes prolongations et très spécialement avec mon propre membre. Je me rappelle surtout le jour où Stéphanie se déguisa en jeune mousse, ses cheveux ramassés sous une casquette de marin d'eau douce, se coucha dans le lit sur le ventre, baissa ses pantalons à pattes d'éléphant et m'offrit ses fesses ; et moi, après m'être mis une barbe postiche couleur gingembre que j'avais trouvée dans un supermarché, je sortis de ma braguette un membre tatoué de souvenirs de Constantinople, l'enduisis de crème de concombres de Richard Hudnut, et attrapant à deux mains ses deux fesses, ces fesses de ma cousine immensément rondes et fruitées comme les deux moitiés polaires d'une mappemonde et qui savaient enserrer au rythme des plaisirs solitaires de l'enfance, je la pénétrai par l'anus de toute la longueur de ma verge, et je l'empoignai par les hanches pour la soulever selon la cadence de mes spasmes jusqu'à lui faire mettre en pièces, de plaisir et de rage, l'oreiller brodé, jusqu'à ce que des fils de soie rouge et ardente lui coulent de la bouche, et qu'elle trépigne et qu'elle pleurniche :" Oh, Capitaine, mon Capitaine !" et quand à la fin j'envoyai mon jet de sperme dans les profondeurs dorées de son intestin et que je retirai mon membre, rapetissé avec ses tatouages flétris, elle le nettoya elle-même avec un kleenex, parce que, malgré le lavement d'eau de roses qu'elle s'était administré, l'ingénue, pour débarrasser son rectum de matières fécales, mon pauvre Mutinus Tutunus était enduit d'une mixture jaunâtre et poisseuse, comme de la marmelade de merde et d'ananas."

 

Seconde partie, chapitre  15

pages 397-398. Stéphanie et Palinure ont décidé de faire un enfant

"Et nous laissâmes de côté notre collection de préservatifs et pilules anticonceptives,palinure3 les éponges imbibées de vin, les lavements à l'acide borique et tous les instruments intra-utérins jamais inventés par l'homme, depuis le diaphragme de Mesinga jusqu'au stérilet de Marguilies en passant par les petites boules d'or qu'utilisait Casanova, et nous rangeâmes aussi nos vibromasseurs et tous les autres objets avec lesquels j'avais l'habitude de pénétrer Stéphanie. Parce que, simplement  par jeu, simplement comme ça, et toute innocence et sans remords, par les soirées oisives et grandioses, tantôt parce que je le voulais et tantôt parce qu'elle me le demandait, j'avais pris l'habitude de pénétrer ma cousine avec les objets les plus variés et légitimes que mon imagination pût inventer. Les puritains et les pervers peuvent se figurer toutes les extravagances, toutes les fantaisies imaginables : tringles à rideaux, manches à balais, carottes épluchées et canons  de fusil. Oui, je l'ai vraiment pénétrée avec tout ça. Mais si l'imagination ne va pas plus loin, si on ne sait rien des batailles circulaires auxquelles se livrent les amants sous les auspices du dieu Tantra, si on ne sait pas les forteresses qui succombent sous les coups des escargots ni l'aventure de la cendre où l'amour dessine ses débarquements scatologiques, l'imagination - ton imagination - restera recroquevillée à la merci de son propre onanisme et n'arrivera même pas à atteindre le bord de nos draps. parce que dans notre chambre de la place Santo Domingo, et avant et après, sur la plage de Macambo, dans les hôpitaux et les agences de publicité, j'ai mille fois pénétré Stéphanie avec des couteaux à ailes de papillon, des éperons de farine, avec des coeurs de farfadets et des sombreros de frangipane, avec des jets d'eau en éventail et les crocs qui par les nuits de lune poussent sur l'échine des nuages miniatures.

 

Sans parler de mes doigts, pour lesquels dès notre petite enfance le sexe de Stéphanie fut comme un gant de feu... "

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