Juste deux dessins
1) un pemier que je crois être de Blachon, même si je n'en suis pas sûr à 100%
2) un second signé Castelli, paru en 1970 dans le magazine LUI, et intitulé : "Eddy Merckx la machine à pédaler"
Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Juste deux dessins
1) un pemier que je crois être de Blachon, même si je n'en suis pas sûr à 100%
2) un second signé Castelli, paru en 1970 dans le magazine LUI, et intitulé : "Eddy Merckx la machine à pédaler"
ZOOM 45, spécial JAPON, printemps 1977
C’était le premier d’une série de numéros spéciaux qui allaient désormais jalonner la parution du magazine.
Comme le Japon exerçait à l’époque une réelle fascination sur l’Europe par ses innovations technologiques, il
était logique que la photo et l’imagerie japonaises soient mises à l’honneur
La photo de couverture était signée Kishin Shinoyama.
- Trois affiches signée d’un illustrateur nommé Tadanori Yokoo, né en 1936 à Nishiwaki , mais dont je n’ai pu retrouver trace de ses travaux ultérieurs.
- Hajime Sawatari., né en 1940. Certaines images de ce portfolio ne seraient ( et ne sont ) plus publiables aujourd’hui pour cause d’atteinte à la pudeur enfantine, pour ne pas dire photos à caractère pédophile. L’article de présentation du photographe débutait ainsi : « Sawatari possède un autre nom : le Gilles de Rais de l’appareil photographique ». Pour les connaisseurs, on peut dire que les photos de Sawatari étaient proches de celles de gamines réalisées par Lewis Caroll, mais en plus dénudé, comme celles de Eva Ionesco photographiée par sa mère.
- Quatre très belles œuvres de Misuo Ikeda dont je n’ai malheureusement pu retrouver aucune trace sur internet.
- Deux photographies de Shuji Terayama, né à Hirosaki en 1935 et décédé à Tokyo en 1983. Images d’un monde assez angoissant.
- Deux photos signées Kishin Shinoyama, né à Tokyo en 1940. L’Europe découvrait un peu abasourdie l’univers du tatouage, univers auquel elle ne comprenait pas grand-chose.
- Enfin, une oeuvre de Sawako Goda, illustratrice dont je ne sais rien d’autre que le nom.
En ce jour de défilé sur les Champs-Elysées, voici un dessin du regretté Jean BOSC (1924-1969)
Sans commentaire...
Alors que s'éloignent les aboiements de "La Meute", un petit intermède en image pour vous recommander un site
entièrement consacré à la fessée ( librement pratiquée entre adultes consentants, bien entendu ) et dont il faut souligner la qualité des articles et des illustrations.
Il s'agit du site " Autour de la fessée, about spanking" dont voici l'adresse :
http://isabelle-183.blogspot.com
Dans mes archives, j'ai retrouvé cette illustration signée Mike Farrell extraite d'un magazine anglais des
années 1970. Un cadeau pour Isabelle...
La Meute ( chapitre 12 )
- Levrette, dit Isabelle Vallée en amenant Rajah, le second doberman, vers le lit. Rajah est encore plus impressionnant que Sultan, sans doute plus vieux aussi. À sa façon de renifler le corps nu de Sofia, on devine qu’il a l’habitude de ce genre de situation, qu’il sait déjà ce qu’on attend de lui. Sous son ventre pointe sa queue raide, aussi grosse et longue que celle d’un homme.
- À quatre pattes, la chienne ! Et on relève bien la croupe !
Tu ouvres ton cul de femelle !
Rajah hume le con et, sans hésitation, il monte Sofia et la couvre. La bite du chien trouve d’elle-même son chemin, droit dans le vagin béant où il s’enfonce. L’arrière-train de Rajah est presque à la verticale, ses pattes de devant enserrent la taille de Sofia, sa gueule d’où pend sa langue souple effleure la nuque sans défense de sa femelle. Il a les yeux exorbités, sa croupe s’agite furieusement, imposant un va-et-vient frénétique à sa bite qui fouille le ventre de Sofia. Sofia qui geint, Sofia qui sanglote, Sofia qui soupire, Sofia qui ouvre la bouche de stupeur, Sofia qui va d’orgasme en orgasme, Sofia qui demande pitié, Sofia qui enlace désespérément le corps chaud de Sultan, Sofia qui n’en peut plus… Lorsque Rajah jouit enfin, il s’immobilise et tressaille, un filet de bave coule de sa gueule où luisent ses crocs blancs.
Il est près de trois heures du matin. Les chiens sont ramenés à leur litière et enchaînés, Sofia est débarrassée de sa cagoule noire. Son premier regard est pour moi : j’y lis autant de haine que de gratitude. Elle a les yeux baignés de larmes et de fureur. Les deux servantes reviennent la chercher et l’emportent…
*** - ***
Epilogue :
Je n’ai plus jamais revu Sofia D*. J’ignore où et comment elle a fini la nuit. Le lendemain, elle n’a pas participé au déjeuner et personne n’a daigné m’expliquer où elle était passée.
Je suis donc rentré seul à Paris. Le lundi matin, elle ne s’est pas présentée au cabinet et, dans l’après-midi, nous avons reçu un coup de fil qui nous annonçait qu’elle mettait un terme à son stage.
L’hiver suivant, j’ai croisé par hasard Maître Volponi dans les couloirs du
palais de justice où il avait été convoqué comme témoin à charge dans une affaire de corruption passive et de prise illégale d’intérêts. Au fil de la conversation, nous avons parlé
chasse.
- Vous êtes retourné à Millançay ? m’a-t-il demandé avec un drôle d’air.
- Non, on ne m’a plus invité.
- Alors, vous n’êtes pas au courant ?
- De quoi ?
- Votre ancienne stagiaire, la petite Sofia, est maintenant conseillère juridique à la Styx-Europa. Mais surtout, elle est la maîtresse quasiment officielle de Gaétan. Avec Isabelle, ils font ménage à trois. Deux week-ends par mois, ils organisent une grande partie de chasse à Millançay et à ce jeu-là, Sophie est devenue une gâchette hors-pair. Je vous laisse deviner le reste…
FIN
© Michel Koppera, juin 2010
PS : j'attends vos commentaires sur ces aventures de Sofia
La Meute ( chapitre 11 )
- Soixante-neuf, dit simplement Solange.
Sofia a compris toute l’horreur du mot, mais maintenant, c’est Catherine Nioleau qui la tient en laisse et la contraint à se coucher tête-bêche aux côtés du doberman. D’instinct, celui-ci retrouve le chemin de la fourche de Sofia et sa truffe fouille dans la vulve humide. Tout près des lèvres encore closes de la femelle vibre la bite du chien.
- Ouvre la bouche et suce-le ! ordonne Isabelle Vallée.
Mais Sofia ne bronche pas. Un coup de garcette sur l’épaule la rappelle à l’ordre puis un second sur la hanche.
- Prends-le dans ta bouche ! Montre-nous que tu es une vraie chienne en chaleur !
Un dernier coup sur la fesse achève de la soumettre. Elle approche son visage du pelage sombre, entrouvre les lèvres et, du bout de la langue, effleure le gland du doberman.
La bite en a un frisson qui hérisse le poil du chien. Une sorte de gémissement plaintif lui échappe. Sofia renouvelle plusieurs fois la caresse et croit s’en tirer à bon compte.
- On t’a dit dans la bouche, tout entier ! Et tu le fais jouir. N’oublie pas que tu n’es qu’une chienne, et que les chiennes sucent les chiens !
D’une main ferme, Isabelle saisit la nuque de Sofia et la pousse en avant. La bouche s’ouvre, les lèvres s’écartent, la bite canine s’y glisse.
- Taille-lui une pipe et ne fais pas semblant ! Je m’y connais !
Alors, on voit les lèvres de Sofia se refermer sur leur proie, on devine sa langue qui s’active à l’intérieur, on voit ses joues se creuser pour presser la bite du chien dans le fourreau de son palais…Elle pompe, pompe encore. La bête se met à hurler, pas un hurlement lugubre, mais un hurlement de joie… Un hurlement doux et charnel qui nous excite. Et puis, soudain, Sultan est en proie à de violents mouvements de la croupe. Il éjacule dans la bouche de Sofia qui s’empresse de recracher son sperme clair.
Mais au lieu de repousser son compagnon, Sofia a un geste surprenant : posant sa tête sur le flanc de la bête encore frémissante de plaisir, elle l’entoure affectueusement de ses bras, comme si elle se mettait sous sa protection.
à suivre…
© Michel Koppera, juin 2010
La Meute (chapitre 10 )
- Poésie ! claironne Solange Volponi qui vient de prendre un papier plié dans la coupe. Dis-moi, salope, tu te souviens d’un poème appris à l’école ?
- Je crois, oui, bafouille Sofia. Un poème de Baudelaire que j’ai étudié
en première, l’année du bac…
- Tu vas nous le réciter… On t’écoute.
Sultan est assis aux côtés de Solange Volponi. Il est à ses ordres. Solange doit avoir près de cinquante ans. C’est une petite femme blonde, courte sur pattes, avec une poitrine imposante, un gros cul blanc et de petits yeux cruels de rapace. Elle a le ventre avachi, zébré de vergetures héritées de ses grossesses, et une chatte grisonnante que renifle Sultan qui bande.
C’est une femme belle et de riche encolure
Qui laisse…
Isabelle Vallée qui tient fermement Rajah, le second chien, par le collier donne un coup de garcette sur les fesses de Sofia.
- Qui t’a demandé de commencer ? Couche-toi sur le dos et écarte les cuisses. Plus que ça !
Catherine Nioleau, un martinet à la main, soulève le bassin de Sofia et lui glisse un coussin sous les fesses si bien que le con et le cul encore tout suintants de sperme se trouvent exposés à tous les regards
- Allez, on t’écoute, pouffiasse. Et n’oublie pas le titre !
Sofia prend sa respiration.
Allégorie
C’est une femme belle et de riche encolure,
Qui laisse dans son vin traîner sa chevelure.
Les griffes de l’amour, les poisons du tripot,
Tout glisse et tout s’émousse au granit de sa peau.
Elle marque une pause, semble hésiter. C’est le moment que choisit Solange Volponi pour donner un peu de laisse à Sultan qui approche aussitôt sa truffe du ventre de Sofia. Elle le retient à quelques centimètres du but, mais Sofia ne peut ignorer son souffle bestial sur sa chatte. Néanmoins, elle reprend :
Elle rit à la Mort et nargue la Débauche,
Ces monstres dont la main, qui toujours gratte et fauche,
Dans ses jeux destructeurs a pourtant respecté
De ce corps ferme et droit la rude majesté.
Elle marche en déesse et repose en sultane ;
Solange a encore lâché du lest et Sultan a maintenant la truffe sur le pubis
de Sofia. Sa langue souple et chaude se met à l’ouvrage et lui lape le cul. Pas une goutte de sperme ne lui échappe. Sofia est prise d’un tremblement qui lui parcourt le ventre et les cuisses. Sa
voix aussi tremble. Est-ce de désir ou d’effroi ?
Elle a dans le plaisir la foi mahométane,
Et dans ses bras ouverts, que remplissent ses seins,
Elle appelle des yeux la race des humains.
Sultan aussi tremble de tous ses membres. L’odeur de la femme femelle le met en transes. Sa queue écarlate palpite. Si Solange le lâchait, il couvrirait l’humaine comme il le ferait d’une chienne en rut. Des deux mains, Catherine maintient les cuisses de Sofia très écartées, afin que le chien puisse se rassasier du ventre du «Gibier de la nuit ». Solange se branle sans vergogne…
Elle croit, elle sait, cette vierge inféconde
Et pourtant nécessaire à la marche du monde,
Que la beauté du corps est un sublime don
Qui de toute infamie arrache le pardon.
Elle ignore l’Enfer comme le Purgatoire,
Ce dernier vers enflamme l’assemblée. Les érections et les mouillures renaissent, les corps se cherchent à nouveau. Isabelle Vallée se caresse les seins avec lubricité, Solange Volponi a le con trempé, Catherine Nioleau cingle les cuisses de Sofia de salves de martinet :
Et quand l’heure viendra d’entrer dans la Nuit noire,
Elle regardera la face de la Mort
Ainsi qu’un nouveau-né, - sans haine et sans remord.
On applaudit. Sous la cagoule de Sofia coulent des larmes. Le chien continue de lui lécher inlassablement le con et le cul, car sa mouillure est intarissable comme ses pleurs.
Mais l’heure n’est pas à la pitié. Solange Volponi laisse Sultan monter sur le lit. D’une tape énergique sur la croupe, elle lui ordonne de se coucher sur le flanc, ce qu’il fait docilement. Dans le pelage sombre de son ventre, brille son sexe en érection. Il est très renflé en son centre, avec un petit gland presque enfantin.
à suivre…
© Michel Koppera, juin 2010
La Meute ( chapitre 9 )
Pas le temps de souffler, on enchaîne :
- Fist, dit Rachel qui remplace sur le lit son mari brusquement rabougri.
Sofia reste à quatre pattes, immobile comme une chienne à l’arrêt. Quelques claques bien senties sur les fesses la contraignent à se cambrer davantage. Son cul est tourné vers l’assemblée des spectateurs vautrés nus dans les canapés, bites et chattes à l’air, en train de se branler mutuellement.
À l’autre bout de la pièce, un des deux molosses s’est assis ; les oreilles dressées, il observe fixement les deux femmes sur le lit. De loin, la truffe en alerte, il les renifle. Sans doute a-t-il senti l’excitation de leurs cons, et plus particulièrement le bas-ventre obscur de Rachel Péchard qui dégage une sensualité quasiment animale.
Mais pour l’instant, Rachel se désintéresse complètement des deux chiens, ce
qui l’attire, c’est le con de Sofia qu’elle caresse à pleines mains. Elle lui chiffonne les petites lèvres, lui tripote le clitoris, lui pelote le mont de Vénus, lui malaxe la vulve, s’englue les
doigts dans la mouillure du vagin. Elle y glisse d’abord le pouce dont elle use comme d’une petite bite nerveuse, puis, un à un, elle y ajoute les quatre autres doigts en fuseau. Quand ils y sont
logés tous les cinq, elle marque une pause, comme si elle attendait que le vagin prenne la pleine mesure de la main qui la pénètre. Puis, elle entame un lent mouvement de rotation, un demi-tour à
droite suivi d’un demi-tour dans l’autre sens, et à chaque fois, la main s’enfonce un peu plus. Bientôt les doigts disparaissent totalement entre les lèvres écartées, puis, d’un seul coup, la
main tout entière est engloutie jusqu’au poignet. Sofia pousse un cri rauque. Le chien s’est dressé sur ses quatre pattes et tire sur sa chaîne en couinant. Il bande, sa queue écarlate brille
dans la noirceur de son pelage. La main baiseuse de Rachel poursuit son ouvrage ; elle se joue du con de Sofia, sort parfois complètement du vagin puis y plonge de nouveau avec une aisance
surprenante.
Moi, je n’ai d’yeux que pour le ventre velu de Rachel ; je n’ai qu’une envie, la baiser coûte que coûte. Cette touffe me rend fou mais, de toute évidence, je ne suis pas le seul car je suis devancé par Maître Volponi qui l’enfile sans ménagement et s’empresse de se vider les couilles.
Lorsque Rachel abandonne le terrain, Sofia commence à donner des signes de lassitude. Sans lui ôter sa cagoule à jugulaire, ni la libérer de sa chaîne, on lui sert à boire. Je suppose que la mixture élaborée sur les prescriptions du Docteur Dalban va la remettre d’attaque, d’autant plus que l’épreuve suivante requiert un certain savoir-faire.
- Coup double ! déclare Maître Volponi qui vient juste de se retirer du con poisseux de Rachel Péchard.
On se regarde. Gaétan me fait un signe : c’est à nous. Alors qu’on s’approche du lit, il me glisse à l’oreille :
- Dans le cul…
Vu de près, le
ventre de Sofia ressemble de plus en plus à un champ de bataille. Les muqueuses sont comme tuméfiées, la peau marbrée de plaques rouges, l’anus a l’aspect d’une figue sèche écrasée. Il se dégage
du large sillon de son entrejambes, du bas du dos à son pubis, un pot-pourri sexuel où se mêlent les odeurs de mouille, de pisse, de merde, de sueur et de Shalimar de Guerlain. C’est moi qui suis
désigné pour constituer la base de notre figure. Alors, je suis couché sur le dos, la queue à l’équerre, Gaétan met Sofia en position. Tout en me tournant le dos, elle est forcée à s’asseoir sur
mon ventre et, ce faisant, à se planter ma bite dans le cul. La pénétration se fait avec une facilité déconcertante ; elle a l’anus souple, le rectum aussi spacieux que le vagin. Une fois
que je suis bien en place, que Sofia est confortablement assise sur mon ventre, calée sur l’axe vertical de ma bite, Gaétan se présente à son tour. Lorsque Sofia le sent qui s’approche, sans
doute pense-t-elle que cela va n’être qu’une variante du sandwich précédent, mais il n’en est rien. C’est dans son cul que Gaétan veut me rejoindre. Pour cela, il a la queue luisante de
lubrifiant. Je sens les sphincters de Sofia qui se révoltent, ses muscles qui se tendent, son corps qui tente de se rebeller, de dire non, mais rien n’y fait. Gaétan pousse fort, très fort et
sans relâche. Centimètre par centimètre, il force le passage. L’anus de Sofia finit par s’avouer vaincu et s’élargit. Le long de ma bite, se glisse celle de Gaétan, chaude, puissante… Les
sensations sont indescriptibles. Bientôt je sens ses couilles qui s’écrasent contre les miennes. Il est entré. J’en profite pour peloter les seins nus de Sofia, pour lui malaxer les tétons. Je
devine que, penché sur elle, Gaétan l’embrasse à pleine bouche.
On éjacule presque ensemble. Sa jouissance précipite la mienne, nos spermes se mélangent dans l’obscurité du
rectum de Sofia qui est secouée de spasmes.
Mais il n’est pas de bonheur qui dure. Pour les dernières épreuves, c’est le trio composé d’Isabelle Vallée, Catherine Nioleau et Solange Volponi qui prend la direction des opérations. Trio infernal auquel se joignent Sultan et Rajah, les deux dobermans qu’elles tiennent en laisse. Attachée au lit, encore pantelante de ses dernier ébats, encagoulée de noir, Sofia est aux aguets.
à suivre…
© Michel Koppera, juin 2010
La Meute ( chapitre 8 )
Rhabillés tant bien que mal, nous lui emboîtons le pas, quittons la salle à manger et montons dans les étages, jusque dans une vaste pièce mansardée, confortable et très bien chauffée.
Le centre de la pièce est occupé par une sorte de couche basse, très large, avec tête de lit à barreaux métalliques. Dans le coin le plus éloigné de la porte, attachés au mur par de fortes chaînes, deux chiens sont couchés. Ce sont des bêtes au pelage sombre, de taille respectable, dans le genre Doberman, taillés pour la course et l’attaque. Ils ont visiblement été lavés, étrillés et brossés comme des étalons de haras pour un concours. À l’opposé, autour d’une table basse où est posé tout un assortiment de tubes de crèmes et autres lubrifiants, il y a de grands canapés d’angle, profonds et moelleux.
Au terme d’une attente qui nous paraît interminable, les deux servantes arrivent tenant Sofia en laisse. Elle est intégralement nue, à l’exception d’une cagoule de cuir noir à jugulaire qui lui enveloppe la moitié supérieure de la tête, lui couvre les yeux et le nez, mais lui laisse la bouche libre. Elle porte aussi un solide collier, noir lui aussi, où est accrochée la chaîne qui la tient en laisse. À l’aide d’un mousqueton, les deux servantes attachent Sofia aux barreaux du lit. À tâtons, elle s’assoit au bord du lit. Les deux domestiques nous laissent, on entend s’éloigner leurs pas dans l’escalier de pierre. Il est déjà plus de minuit.
- Pour la suite, on sera mieux à poil, dit Isabelle Vallée qui, joignant le geste à la parole, ôte ses vêtements pour ne garder que ses bas noirs, son porte-jarretelles et ses escarpins à talons hauts. Nous l’imitons.
La coupe aux épreuves qui contient encore six papiers pliés est posée sur la table basse. C’est à mon tour de choisir :
Pour ce genre d’exercice, ce ne sont pas les volontaires qui manquent. La seule question est de savoir qui la prendra par le con et qui aura le privilège du cul. Quoique chaque orifice ait ses adeptes, ses avantages et ses inconvénients, le con est généralement plus confortable et plus onctueux. Mais il a aussi les défauts de ses avantages : les sensations y sont plus diffuses et trop de mouillure finit par diluer le désir alors que l’étroitesse de l’anus offre l’assurance de caresses pressantes et rares.
Finalement, ce sont le Conseiller Général et le concessionnaire auto qui tirent le gros lot. Après quelques
palabres, ils se répartissent les rôles. M. Péchard, plus gâté par la nature – il arbore une très grosse bite à couilles pendantes, encore renforcée par les effets persistants du Viagra- monte le
premier sur le lit, se couche sur le dos, les jambes dehors et les pieds nus sur le tapis. Son énorme queue se dresse à quarante-cinq degrés à l’aplomb de son ventre velu. C’est M. Nioleau qui
met Sofia en place, à califourchon au-dessus de son compère et, s’emparant du membre du vendeur de bagnoles, il le présente à la porte du con. Sofia n’a plus qu’à se laisser coulisser sur la
grosse tige de chair qui s’enfonce en elle. Elle l’engloutit sans broncher jusqu’à la racine.
Quand la bite est bien calée au fond du con, l’élu se présente par derrière. Bien que bandante, sa queue est beaucoup plus modeste que celle de l’autre, elle paraît même un peu ridicule sous le dôme de sa bedaine de notable républicain. Mais pas besoin d’être monté comme un âne pour enculer Sofia. L’œillet du rectum palpite, prêt à céder le passage. C’est bientôt chose faite. Sofia est prise par les deux trous et se laisse docilement ballotter. Le double piston est assez bien synchronisé : une bite qui avance, une bite qui recule… et vice-versa. Sofia se liquéfie de plaisir, mouille de partout, du con comme du cul, gémit sa jouissance. Les mecs accélèrent la cadence, la machine à deux temps passe la surmultipliée, alors Sofia se met à gueuler, à brailler à tue-tête en dégoulinant de salive…
Le Conseiller Général éjacule le premier en silence, les yeux rivés sur la raie des fesses de Sofia où se perd sa queue ; le concessionnaire prolonge l’exercice plusieurs minutes encore, à grands coups de reins. Sa jouissance semble celle d’un film porno : au dernier moment, il expulse sa bite raide et luisante dont la tête tuméfiée balance des salves de foutre qui s’élancent vers le ciel et retombent en flaques jaunâtres sur les fesses de Sofia.
à suivre…
© Michel Koppera, juin 2010
La Meute ( chapitre 7 )
- Soulagement. Qu’on apporte un saladier !
Après un dernier baiser mouillé et une ultime caresse profonde, Yvonne et Violaine repartent bras dessus, bras dessous, laissant Sofia seule sur l’estrade inondée de lumière. Elle ne semble pas avoir compris ce qu’on attend maintenant d’elle. Gaétan pose un grand saladier de cristal sur le drap noir et explique
- Accroupissez-vous, comme si vous étiez dans des toilettes à la turque. Vous allez pisser et chier devant nous…
Je vois se décomposer le visage de Sofia : elle a soudain le teint
pâle, les lèvres blêmes sous le gloss. À voix basse, elle dit quelques mots à Gaétan qui sort de la poche de sa veste un masque noir comme on en porte dans les avions de ligne pendant les longs
vols de nuit intercontinentaux et le pose sur ses yeux. Il l’aide à se mettre en position. Maintenant qu’elle ne peut plus nous voir, Sofia perd toute pudeur. Dans sa pose, on ne peut rien
perdre des détails de son bas-ventre. La vulve s’ouvre et bâille comme si elle cherchait à expulser ses muqueuses. À l’intérieur, on devine des formes sphériques et visqueuses qui ressemblent à
de gros œufs de limace. L’anus aussi est dilaté, entièrement tourné vers l’extérieur comme une anémone de mer prête à s’épanouir.
Sofia pousse et tout sort ensemble, le jet aux reflets d’or de l’urine qui fait chanter le cristal et une salve de
crottes brunes, pareilles à un chapelet de boudins antillais. Sur les lèvres de Sofia flotte le sourire un peu stupide de l’assouvissement d’un besoin. Sa miction puissante et drue se prolonge et
éveille de secrets désirs dans l’assemblée. Sans tarder, Gaétan s’empare d’un nouveau papier dans la coupe :
- Douche chaude !
C’est la ruée. Sans attendre qu’elle ait fini d’uriner, voilà Sofia sous le
feu nourri des pisseuses et pisseurs réunis. Les hommes se soulagent debout, comme dans une vespasienne, une main sur la hanche, la bite dans l’autre. Certains visent les seins ou le visage,
d’autres font ça au hasard. Les femmes sont plus habiles : celles qui sont accroupies lui visent la chatte avec une adresse diabolique, un jet encore plus précis que les autres parvient même
à lui toucher le clitoris ce qui provoque des soubresauts de plaisir dans le ventre de Sofia ; Rachel Péchard et Violaine pissent debout, les cuisses écartées, en se tenant les lèvres entre
le majeur et l’index pour diriger le jet à leur guise. Elles visent le visage, plus particulièrement la bouche que Sofia s’efforce de garder close. C’est l’occasion de voir que Rachel Péchard n’a
pas que les cheveux noirs et épais, mais aussi la touffe pubienne.
Aux dernières gouttes, Sofia n’a plus un poil de sec. Gaétan ouvre la porte de la salle derrière laquelle attendent deux servantes qui prennent Sofia par les bras et l’entraînent au dehors.
- Elles vont la laver, lui refaire une beauté et la préparer pour la seconde partie de la soirée, explique Gaétan. Si vous voulez bien me suivre.
à suivre…
© Michel Koppera, juin 2010
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