Jeudi 2 septembre 2010 4 02 /09 /Sep /2010 11:32

 

Chapitre 3

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Mai : charpente-toiture.

Le printemps était là et les couvreurs avaient mis à profit les premiers beaux jours pour remanier la toiture. Sofia était venue en taxi dans l’espoir de rencontrer le patron et de discuter de la pose éventuelle de gouttières. Mais, en ce jeudi après-midi ensoleillé de mai, le patron n’était pas au rendez-vous, parti régler un problème urgent sur un autre chantier à plus de 40 kilomètres de là. Il avait laissé sur place un ouvrier et un apprenti qui travaillaient sur la charpente à remplacer les ardoises endommagées et à changer tous les crochets. D’après eux, le patron avait promis de repasser en fin d’après-midi.

chantier3-4Alors Sofia patienta. Elle s’assit sur le muret de granit qui séparait le parc de la route et observa l’ouvrage des deux couvreurs. L’ouvrier pouvait avoir une cinquantaine d’années, mais il était encore alerte : il allait et venait sur le toit avec l’aisance et la souplesse d’un chat. Sous le ciel bleu où il travaillait en jean et marcel, ses épaules hâlées et musculeuses luisaient au soleil. L’apprenti était beaucoup moins rassuré que son aîné et ne se déplaçait qu’avec un luxe de précautions. C’était lui qui donnait les ardoises neuves et les crochets inox à l’autre. Il avait l’air jeune, pas plus de 17 ans. Sa longue chevelure blonde, son corps fragile, ses gestes maladroits, tout cela était très émouvant. Ils travaillaient en silence, sans mots ni déplacements inutiles. Ainsi passèrent les heures et quand vint le moment de la débauche, le patron n’était toujours pas là.

Une fois descendus de leur perchoir, les deux ouvriers s’approchèrent de Sofia.

- On est désolés, madame. On ne sait pas quoi vous dire. Tout ce qu’on peut faire, si ça peut vous rendre service, c’est vous déposer quelque part avec le camion. Vous êtes logée où ?

- À l’hôtel Campanile de P*, c’est sur votre route ?

- Juste un tout petit détour.chantier3-2

Ce fut ainsi que Sofia se retrouva dans la cabine du camion de chantier. Il n’y avait qu’une banquette à trois places. Sofia s’assit entre l’ouvrier qui conduisait et l’apprenti. L’hôtel était à une quinzaine de kilomètres, en bordure de voie express.

- Alors comme ça, vous êtes venue de Paris rien que pour nous voir ? C’est gentil à vous ! Moi, je m’appelle Stéphane et, à votre droite, c’est Kévin. C’est mon neveu, le fils de ma sœur cadette. Et vous ?

- Je m’appelle Sofia, comme la capitale.

À chaque fois que Stéphane changeait de vitesse, sa main droite qui tenait le levier frôlait le genou de Sofia qui ne portait ce jour-là qu’une robe légère à fleurs violettes, une paire de sandales et pas grand-chose dessous. Coincée entre les deux hommes dont elle touchait presque les corps, dont elle respirait le parfum ensoleillé de leur peau cuivrée, Sofia sentit ses seins se durcir, quelque chose se nouer dans son ventre où elle reconnut le chant du désir d’être prise.

Arrivée à l’hôtel, elle n’eut qu’à prétexter un document à transmettre au patron pour les attirer dans sa chambre. Jusqu’au dernier moment, Stéphane chercha à la jouer en solo, mais Sofia n’avait plus qu’une idée en tête : se faire baiser par l’oncle et son neveu en même temps, comme autrefois le père qui emmenait son fils au bordel pour le déniaiser. La situation l’excitait au plus haut point, plus que jamais elle se sentait putain.

Les hôtels Campanile qui poussent à la périphérie des villes de province offrent, pour les couples  adultères ou échangistes, l’avantage de pouvoir accéder aux chambres sans passer par le hall de réception. Sofia précéda les deux hommes dans la sorte de coursive du premier étage, celle qui donnait sur la rocade où passaient inlassablement des semi-remorques internationaux. Chambre 117 : douze mètres carrés, une salle de bain, une télé, un lit de 140, un minuscule coin salon…

chantier3-3Sofia fit à peine semblant de chercher dans ses bagages un document qu’elle savait inexistant. L’occasion de se pencher devant Stéphane et Kévin assis an bord du lit, de leur montrer ses cuisses, de leur offrir une vue imprenable sur ses seins libres dans son décolleté largement ouvert. Stéphane fut le premier à y oser la main, Kévin le premier à bander et à se défaire de son pantalon. Il ne lui fallut pas longtemps pour jouir ; à peine Sofia avait-elle posé ses doigts sur sa bite juvénile qu’il éjaculait. Et pas qu’un peu ! Un vrai feu d’artifice de foutre dont les étincelles éclaboussèrent les épaules et les cheveux de Sofia. Ce qui est intéressant avec un jeune gars de 17 ans, c’est que même après avoir joui, il ne débande pas. Donc, la bite de Kévin resta aussi raide qu’un bâton de maréchal. Stéphane qui avait l’expérience de son âge prit tout son temps. Il savait qu’il ne faut pas gaspiller précocement ses munitions. Sofia contempla le corps nu de ses deux amants de passage et fut attendrie par leurs fesses pâles sous leurs dos bronzés, leurs queues à bout rose tendues vers le plafond… À tour de rôle, elle les prit en main, en bouche, en con, en cul. Puis, bientôt, les deux en même temps. Une seconde fois, le neveu lui lâcha tout sur les seins ; quant à Stéphane, après avoir honoré tous ses trous, il finit par lui jouir sur la chatte en visant le clitoris où son sperme épais s’écrasa en silence.

à suivre…

© Michel Koppera, septembre 2010

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Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 2 septembre 2010 4 02 /09 /Sep /2010 09:07

 

Chapitre 2.

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Mars : gros-œuvre et maçonnerie.

Le temps était exécrable : pluie fine et froide, vent mauvais, ciel uniformément gris. L’humeur du maçon était à l’image de la météo : détestable.

chantier2-1La visite du chantier avait été vite expédiée ; visiblement, M. Kervalec n’aimait pas beaucoup qu’on vienne l’embêter au boulot. Surtout si c’était une femme et pour faire des remarques plus ou moins déplaisantes sur l’avancement des travaux. Il faut dire qu’à ce stade de la rénovation, l’ensemble faisait pitié : cloisons éventrées, murs de parpaings nus d’une tristesse absolue, sol couvert de sable et de poussière de ciment, fenêtres et portes abandonnées aux courants d’air… Le patron invita néanmoins Sofia à prendre un café dans la petite caravane qu’il avait amenée dans le jardin : c’était là qu’il déjeunait chaque jour avec ses deux ouvriers et où, de temps en temps, ils s’accordaient une pause. L’habitacle exigu était tellement surchauffé qu’à peine à l’intérieur, Sofia ôta son manteau et son écharpe. Pendant qu’il faisait chauffer l’eau pour le café, M. Kervalec lui présenta quelques factures intermédiaires : fournitures de sable, de ciment… Sofia l’observait du coin de l’œil : un grand costaud avec d’énormes mains calleuses aux ongles rongés par la chaux, mal rasé, mais un beau regard bleu… « Quarante, quarante-cinq ans », pensa-t-elle.

Le café n’était pas terrible. M. Kervalec ouvrit une cannette de bière.

- Excusez-moi un instant, je reviens !

Il sortit. Sofia pensa qu’il était allé surveiller le travail de ses ouvriers, mais quand elle jeta un œil par la fenêtre embuée, elle le vit, à quelques mètres, debout sous la pluie, en train de pisser au pied du pignon de la maison. Comme il se tenait de profil, elle ne pouvait pas ne pas voir la queue sortie de la braguette : un beau morceau de chair, en harmonie avec la taille du maçon : grande et massive.chantier2-2-1

À son retour, Sofia se sentait tout moite et déjà putain. Ils se faisaient face de chaque côté de la tablette amovible qui faisait office de « table de living ». Elle croisa les jambes bien haut, de façon à ce qu’il entrevoie un peu de chair nue au-delà des bas, elle soupira, chipota sur le prix du mètre cube de gravier, demanda s’il ne serait pas possible de trouver un arrangement à l’amiable sur la T.V.A… M. Kervalec ne mit pas longtemps à comprendre de quoi il retournait. Avec une redoutable efficacité dans les gestes, il releva la « table » et la robe de Sofia, baissa sa petite culotte mauve aux chevilles, lui écarta les cuisses, ouvrit son pantalon de coutil bleu, sortit sa queue déjà raide, se mit à genoux,  glissa ses mains calleuses sous les fesses de Sofia, lui souleva le bassin en l’attirant à lui, pointa la grosse tête de son gland décalotté à l’entrée du vagin et s’y enfonça puissamment. Une fois au fond, il lui déboutonna sa robe, dégrafa tant bien que mal le soutien-gorge et, de ses mains rugueuses de colosse, il entreprit de lui caresser les seins. Avec maladresse, il lui triturait les mamelons, les écrasait de ses doigts gourds. Sofia mouillait, son con semblait fait pour la grosse bite de M. Kervalec. Sans cesser de lui pétrir les seins, il la pistonna pendant de longues minutes, puis, d’un seul coup, le foutre fusa en cascade droit sur le col de l’utérus, si bien que Sofia fut saisie par un orgasme ravageur et en pissa un peu de plaisir…

- On pourra dire que c’était un café arrosé, dit M. Kervalec en se reculottant. Pour la T.V.A, je vais voir ce que je peux faire…

à suivre…

© Michel Koppera, septembre 2010

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Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 1 septembre 2010 3 01 /09 /Sep /2010 07:35

 

Le Chantier

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Chapitre 1

Un samedi de juin, Sofia D* devint une femme respectable en épousant Sébastien T*, responsable marketing de la société Styx-Europa. Ils formaient un beau couple. Sophie avait 35 ans, Sébastien 38. Son travail le menait souvent à  l’étranger où il pouvait rester parfois une semaine entière, surtout en Asie où les signatures de contrats nécessitaient beaucoup de patience.

Aussi, quand ils décidèrent de transformer un corps de ferme quasiment en ruines en maison de campagne, ce fut à Sofia que revint la mission de mener à bien le chantier de la rénovation. La maison – enfin ce qui devait devenir la maison - était construite sur les bords de l’Atlantique, dans un petit village côtier du Sud-Bretagne. Pour se rendre sur place, il fallait soit emprunter le train puis un taxi, soit y aller directement par la route, mais dans les deux cas, c’était une expédition.

Sofia y allait une fois par mois. Elle y restait deux jours, le temps de rencontrer les équipes d’artisans, de veiller aux malfaçons et d’arrêter le planning des travaux pour les semaines à venir.

Mais avant tout, il avait été nécessaire de s’adresser à un architecte pour les démarches administratives, choisir le nouvel agencement intérieur et estimer le coût total des travaux…

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Le cabinet d’architecte.

La première fois que Sofia se rendit seule au rendez-vous fixé par l’architecte, ce fut en décembre par un triste après-midi de pluie. Sébastien était à Londres pour deux jours. Ce jour-là, M. Burgaud devait lui remettre l’autorisation officielle de rénovation ainsi qu’un premier devis. Sofia avait déjà rencontré M. Burgaud à de multiples reprises : c’était un homme affable, d’une cinquantaine d’années, un peu grisonnant. Elle avait remarqué qu’il avait de belles mains et une voix très persuasive.

chantier1-3Pour l’occasion, Sofia avait mis une jupe et des bottes en daim couleur fauve, un pull violet en cachemire. Dès son arrivée, M. Burgaud la débarrassa de son manteau, et, geste furtif qui n’échappa pas à Sofia, il tira le verrou de la porte de son bureau. Pour lui expliquer les devis en détail, il invita Sofia à s’asseoir à ses côtés devant le bureau où étaient éparpillés les documents. Ils se touchaient presque. De sa voix douce et envoûtante, il lui annonçait des chiffres ; de ses doigts soignés, il lui montrait des colonnes, des totaux. Sofia se laissait bercer. Et il n’y avait pas que le charme de la voix et de la main : il flottait autour de l’architecte comme un parfum de tabac blond qui la mettait en émoi et achevait de l’enivrer.

Aussi,  lorsque la main de l’architecte quitta les devis et se posa sur sa cuisse, Sofia se laissa faire. C’était la première fois depuis sa rencontre avec Sébastien, trois ans auparavant, qu’un homme posait la main sur elle. Elle pensa à son mari, non par culpabilité, mais pour reconnaître combien la main de l’architecte était plus habile et plus excitante. Au fur et à mesure que les doigts progressaient sous sa jupe, elle sentait ses mamelons devenir durs comme du marbre, sa bouche s’assécher, son con mouiller. Alors que la main gauche de M. Burgaud atteignait son sexe, la droite se glissait sous son pull et lui caressait les seins. Sofia écarta les cuisses et s’abandonna au plaisir. Elle se laissa renverser sur le bureau, dans un lit de paperasses. Elle entrevit M. Burgaud qui sortait sa queue raide de sa braguette et, l’instant d’après, elle l’avait dans le vagin, grosse, chaude et vivante…chantier1-6

Sofia s’étonna à peine d’y prendre du plaisir. Cela dura un petit quart d’heure, le temps pour elle de se permettre deux orgasmes discrets. L’architecte se retira pour jouir et lui envoyer trois giclées de sperme sur le ventre, ce qui lui remplit la fontaine du nombril. Elle en fut un peu contrariée mais n’en laissa rien paraître.

Finalement, ce qui surprit Sofia, ce fut que M. Burgaud se sentit obligé de la remercier en lui accordant une ristourne plus que conséquente sur ses honoraires. Sofia pensa qu’on la payait comme une putain, et loin de la fâcher, cette pensée lui trotta dans la tête jusqu’au retour de Sébastien.

à suivre…

© Michel Koppera, septembre 2010

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Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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Lundi 30 août 2010 1 30 /08 /Août /2010 08:39

 

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Octobre 1977

Couverture signée Laurence Sackman (photographe anglais né à Wembley)

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- Deux photographies en noir et blanc tirées d’une série intitulée « autoportraits ». Photos de Sharon Sauerhoff (née en 1954 aux USA)

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- Une série de photos signées Barry Ryan. Né en 1948 à Leeds, surtout connu comme chanteur, interprète en 1968 du tube « Eloïse », il pratiqua aussi la photo.

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- Pour terminer une photo publicitaire pour Pentax dont sans doute beaucoup se souviendront.

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Par michel koppera - Publié dans : zoom - Communauté : Arts érotiques
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Dimanche 29 août 2010 7 29 /08 /Août /2010 09:10

Voici comme promis le second volet du thème des relations amoureuses entre générations. Cette fois, il s'agit du jeune homme ( voire adolescent) qui succombe aux charmes d'une femme mûre. Dans cette situation, la femme est presque toujours présentée comme à l'origine du rapport amoureux. Elle est l'instigatrice, la tentatrice, l'initiatrice du jeu. Le jeune homme est en quelque sorte l'élève. iI est là avant tout pour apprendre, la femme l'éduque à l'amour.

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera
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Samedi 28 août 2010 6 28 /08 /Août /2010 08:58

 

Générations

Le thème des amours entre personnes de générations différentes, ou pour parler plus simplement entre jeunes et vieux (ou vieilles), est un thème récurrent de la littérature et des arts picturaux. On en trouve les premières traces dans des textes aussi anciens que la Bible ou les classiques grecs.

Plus récemment, tout un chacun connaît le fol amour du « vieux » Ronsard pour la jeune Hélène : «  Quand vous serez bien vieille… » et le ridicule d'Arnolphe amoureux d'Agnès dans l'Ecole des femmes de Molière. Au XIXème siècle, l’initiation amoureuse du jeune homme dans les bras d’une femme mûre a connu ses heures de gloire avec Le Rouge et le Noir de Stendhal ou L’Education Sentimentale de Flaubert.

Au XXème siècle, l’amour impossible et fatal des hommes pour les nymphettes sera abordé par Nabokov dans Lolita ou Gabriel Matzneff… Sans oublier sur le versant féminin l’Amant de Marguerite Dumas… Comme on peut le voir, les exemples sont légion.

L’iconographie sur ce thème est elle aussi très riche. La relation amoureuse y est abordée soit de façon humoristique (le plus souvent pour tourner le vieux en dérision), soit de façon tragique, rarement comme une relation sincère entre deux simples amants.

Je vais vous présenter en deux jours deux séries d’illustrations sur ce thème. Aujourd’hui, je commencerai pas une douzaine d’images illustrant le relation amoureuse ( ou censée l’être) entre une jeune femme et un monsieur ( beaucoup )plus âgé 

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Vendredi 27 août 2010 5 27 /08 /Août /2010 09:10

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Plus que cinq jours à patienter !

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Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
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Jeudi 26 août 2010 4 26 /08 /Août /2010 10:06

Relisant Mirabeau, je suis tombé sur une citation de ces deux charmants vers de Pierre-Louis Ginguené ( Rennes, 1748 – Paris, 1816 ) Extraits des Confessions de Zulmé paru en 1779

 

Branlette *

Péché que plus d’une fillette

Entre deux draps commet souvent seulette…

 

* Le titre est de moi

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Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 25 août 2010 3 25 /08 /Août /2010 09:17

Eva

Sous le pseudonyme de Arcor, se cache Angelo Di Marco. Ce dessinateur né en 1927 est surtout connu comme illustrateur de faits divers. Il a collaboré avec de nombreux journaux ou magazines ( Détective, Ici Paris, France Soir...)

Voici d'ailleurs  en préambule deux dessins de Angelo Di Marco, très représentatifs de son style qui mélange habilement violence, suspense et érotisme.

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Ce n'est que dans les années 1990 qu'il se lance dans la BD érotique ( on peut même dire pornographique) avec le personnage d'Eva. L'album Eva, naissance d'une star est paru en 1995 dans la collection BD Adult. Le sécanario tiendrait sur un timbre-poste : Eva, stripteaseuse occasionnelle devient star du porno. L'essentiel de la BD est constitué d'une succession de scènes de baise ( les hommes sont des étalons infatigables, les fillles des nymphomanes insatiables) .

Je vous laisse juges...

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Par michel koppera - Publié dans : B.D - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 24 août 2010 2 24 /08 /Août /2010 09:22

 

Le saviez-vous ? (1 )

- En 2006, seules 18 % des Françaises ont déclaré s’être masturbées souvent ou parfois au cours des 12 mois précédents, contre 40 % des hommes.( source : grande enquête sur la sexualité des Français, 2006 )


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Par michel koppera - Publié dans : le saviez-vous ? - Communauté : Fantasmes et écriture
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