Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule
adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4
à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en
suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Couverture signée Laurence Sackman (photographe anglais né à Wembley)
- Deux photographies en noir et blanc tirées d’une série intitulée « autoportraits ». Photos de
Sharon Sauerhoff (née en 1954 aux USA)
- Une série de photos signées Barry Ryan. Né en 1948 à Leeds, surtout connu comme chanteur, interprète en 1968
du tube « Eloïse », il pratiqua aussi la photo.
- Pour terminer une photo publicitaire pour Pentax dont sans doute beaucoup se souviendront.
Voici comme promis le second volet du thème des relations amoureuses entre générations. Cette fois, il s'agit du jeune homme (
voire adolescent) qui succombe aux charmes d'une femme mûre. Dans cette situation, la femme est presque toujours présentée comme à l'origine du rapport amoureux. Elle est l'instigatrice, la
tentatrice, l'initiatrice du jeu. Le jeune homme est en quelque sorte l'élève. iI est là avant tout pour apprendre, la femme l'éduque à l'amour.
Le thème des amours entre personnes de générations différentes, ou pour parler plus simplement entre jeunes et vieux (ou
vieilles), est un thème récurrent de la littérature et des arts picturaux. On en trouve les premières traces dans des textes aussi anciens que la Bible ou les classiques
grecs.
Plus récemment, tout un chacun connaît le fol amour du « vieux » Ronsard pour la jeune
Hélène : « Quand vous serez bien vieille… » et le ridicule d'Arnolphe amoureux d'Agnès dans l'Ecole des femmes de
Molière. Au XIXème siècle, l’initiation amoureuse du jeune homme dans les bras d’une femme mûre a connu ses heures de gloire avec Le Rouge et le Noir de
Stendhal ou L’Education Sentimentale de Flaubert.
Au XXème siècle, l’amour impossible et fatal des hommes pour les nymphettes sera abordé par Nabokov dans
Lolita ou Gabriel Matzneff… Sans oublier sur le versant féminin l’Amant de Marguerite Dumas… Comme on peut le voir, les exemples sont
légion.
L’iconographie sur ce thème est elle aussi très riche. La relation amoureuse y est abordée soit de façon humoristique (le plus
souvent pour tourner le vieux en dérision), soit de façon tragique, rarement comme une relation sincère entre deux simples amants.
Je vais vous présenter en deux jours deux séries d’illustrations sur ce thème. Aujourd’hui, je commencerai pas une douzaine
d’images illustrant le relation amoureuse ( ou censée l’être) entre une jeune femme et un monsieur ( beaucoup )plus âgé
Relisant Mirabeau, je suis tombé sur une citation de ces deux charmants vers de Pierre-LouisGinguené ( Rennes, 1748 – Paris, 1816 ) Extraits des Confessions de Zulmé paru en 1779
Sous le pseudonyme de Arcor, se cache Angelo Di Marco. Ce dessinateur né en 1927 est surtout
connu comme illustrateur de faits divers. Il a collaboré avec de nombreux journaux ou magazines ( Détective, Ici Paris, France Soir...)
Voici d'ailleurs en préambule deux dessins de Angelo Di Marco, très représentatifs de son style qui mélange habilement
violence, suspense et érotisme.
Ce n'est que dans les années 1990 qu'il se lance dans la BD érotique ( on peut même dire pornographique) avec le personnage
d'Eva. L'album Eva, naissance d'une star est paru en 1995 dans la collection BD Adult. Le sécanario tiendrait sur un timbre-poste : Eva,
stripteaseuse occasionnelle devient star du porno. L'essentiel de la BD est constitué d'une succession de scènes de baise ( les hommes sont des étalons infatigables, les fillles des nymphomanes
insatiables) .
- En 2006, seules 18 % des Françaises ont déclaré s’être masturbées souvent ou parfois au cours des 12 mois précédents, contre 40 % des hommes.(source : grande enquête sur la sexualité des Français, 2006 )
J’ai réalisé cette photographie en 1978. Les jambes sont fausses ; il s’agit de demi-jambes en matière plastique
qu’utilisait une boutique de lingerie de notre rue pour présenter des paires de bas. Elles avaient été déposées sur le trottoir dans l’attente du passage des éboueurs. Je ne sais plus pourquoi
j’ai choisi de les « mettre en situation » dans la baignoire de notre appartement, peut-être à cause de la symbolique « phallique » du robinet et du tuyau flexible…
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