Mercredi 20 octobre 2010 3 20 /10 /Oct /2010 13:22

- L’anniversaire des enfants

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Chaque année, un mercredi après-midi du mois de mai, Sofia et Sébastien invitaient les camarades de classe à fêter les anniversaires de leurs fils au cours d’un goûter en plein air. C’était aussi l’occasion pour les parents de se rencontrer ailleurs que devant la grille de l’école. Sébastien qui détestait ce genre de fête en déléguait volontiers toute l’organisation à Sofia. Ce fut ainsi qu’elle fit la connaissance d’un couple récemment installé en France, parents d’une petite Malika dont l’aîné de ses fils était tombé éperdument amoureux.

Ils arrivaient d’Allemagne. Elle se prénommait Ulka et lui Hans, elle très blonde, lui  grand et châtain. Tous les deux la quarantaine. Le courant passa si bien que dès la fin de l’après-midi, Sofia était invitée à une sorte de garden-party qu’ils organisaient la semaine suivante pour fêter les six ans de Malika. Comme de bien entendu, Sébastien prétexta une réunion importante pour  échapper à cette corvée ; ce fut donc seule avec ses deux enfants que Sofia se rendit à l’invitation.

Ulka et Hans venaient de s’installer dans une demeure de la banlieue ouest : maison de maître, parc aux arbres plus que centenaires, domestiques… Alors que les enfants étaient pris en charge par des professionnels de l’animation qui leur proposaient jeux et petits spectacles, les parents se réunirent dans le salon de la maison où on leur servit champagne, petits fours et autres amuse-gueules de traiteur. Sofia se laissa doucement griser par le luxe et le Mumm. Tant et si bien qu’en milieu d’après-midi, elle se retrouva seule en compagnie d’une jeune tante de Malika. Aussi blonde que sa sœur, la tante se prénommait Alix et parlait avec un fort accent germanique, d’une voix rauque chargée de sensualité et de mystère.  Voyant Sofia bâiller, elle lui proposa de se reposer dans une chambre d’amis en attendant la fin de la fête qui était prévue pour 19 heures. Sofia se laissa convaincre et la suivit au premier étage jusque dans une belle chambre aux volets clos.

mere-modele3-4Quand elle se réveilla, Sofia était couchée sur le dos, le corps en étoile, solidement attachée par les poignets et les chevilles aux barreaux du lit. On lui avait glissé un coussin sous les fesses de telle sorte que son corps dessinait une courbe convexe dont son mont de Vénus était le sommet. On lui avait ôté tous ses vêtements, à l’exception de sa petite culotte de dentelle blanche. Assise dans un fauteuil, près de la fenêtre aux rideaux tirés, Alix l’observait tout en fumant tranquillement une cigarette.

- Vous vous êtes un peu endormie, lui dit-elle de sa voix rocailleuse. Mais rassurez-vous, il n’est pas tard. La fête n’est pas près de prendre fin. Ne soyez pas inquiète pour vos enfants, ils passent un après-midi merveilleux, et c’est l’essentiel, n’est-ce pas ?

Sofia encore dans les limbes du sommeil et de l’ivresse ne réalisait pas vraiment l’étrangeté de sa situation. Alix poursuivit :

- Je me suis permis de vous dévêtir et de vous attacher… Ce sera plus… comment dire… confortable.

- Comment ça ?

Alix écrasa sa cigarette, se leva et vint s’asseoir au bord du lit.

- Mais pour jouer, ma chérie. Vous n’aimez pas jouer ? Ça m’étonnerait. Une femme qui a le sexe aussi nu et lisse que celui d’une petite fille ne pense qu’à s’amuser. Vous n’êtes pas de mon avis ?mere-modele3-1

Alix posa sa main sur le sein gauche de Sofia, lui saisit le mamelon et le roula sans ménagement entre le pouce et l’index tout en guettant son visage.

- J’en étais sûre, dit-elle en la lâchant, vous êtes une joueuse. Puisque c’est ça, je vais vous montrer quelque chose.

Alix alla se poster au centre de la chambre où elle commença à ôter ses vêtements. D’abord son chemiser blanc qu’elle déboutonna rapidement, puis son soutien-gorge qui libéra une poitrine  ronde, presque parfaite. Tournant le dos à Sofia, elle défit la ceinture de sa jupe bleu marine qu’elle fit glisser à ses pieds. Elle resta ainsi quelques instants immobile, comme pour donner tout le temps à Sofia de regarder son fessier musculeux, ses longues jambes. Et brusquement, elle fit demi-tour et se présenta de face, les mains sur les hanches, en string trop étroit pour contenir la paire de couilles et la belle bite en érection qui débordaient le voile de tissu blanc.

Sofia en frémit, autant de peur que d’excitation. Certes elle avait déjà vu des travestis dans des films pornos – elle se souvenait qu’à chaque fois elle en avait éprouvé une certaine gêne mêlée de fascination – mais cette fois, c’était en chair et en os, tout près, à portée de main si elle avait été libre de ses mouvements. Son regard allait du visage androgyne d’Alix à sa poitrine arrogante, puis revenait sans cesse se poser sur son sexe dressé.

- Ça a l’air de vous faire de l’effet, dit Alix en passant deux doigts dans la culotte étroite de Sofia. Vous mouillez déjà ?

Alix écarta le tissu, sépara les petites lèvres pour faire bâiller le con et pinça le clitoris entre deux ongles acérés. Une flèche de douleur traversa le ventre de Sofia et lui arracha un cri.

- Du calme, voyons ! chuchota Alix en posant sa main libre sur la bouche de Sofia. Vous n’allez pas me faire croire que vous êtes douillette à ce point… Je vous ai à peine touchée !

Sans lui lâcher le clitoris, Alix enfourcha le corps entravé de Sofia et lui présenta sa queue au bord des lèvres

mere-modele3-2- Sucez-moi. Ce n’est pas une invitation, mais un ordre...

Sofia ne se fit guère prier. Et pendant que sa bite allait et venait dans la bouche de Sofia, Alix se frottait les seins contre son ventre nu, lui triturait le clitoris et la vulve, alternant les caresses, les frottements et les pinçons plus ou moins agacés. Sofia en dégoulinait de désir. Plus tard, Alix s’accroupit au-dessus du visage de Sofia et lui donna son cul à lécher. Celle-ci s’en acquitta avec tant d’ardeur et de talent qu’Alix lui éjacula sur les seins en grognant.

Ensuite, il y eut d’autres jeux où Alix lécha le con de Sofia, lui mordilla les tétons, lui enfonça quatre doigts dans le vagin et le pouce dans le cul, lui offrit ses seins à téter, l’embrassa avec chaleur, lui fit jurer de garder le secret et lui jouit une seconde fois sur le ventre en émoi.

À dix-neuf heures, Sofia retrouva ses enfants en train d’achever de se gaver de sucreries devant une débauche de gâteaux, de confiseries et de sodas. Elle les gronda un peu et leur prodigua, sans grande conviction, ses habituels conseils de sagesse et de modération.

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à suivre... ( une démonstration-vente à domicile)

© Michel Koppera, août 2010

Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 19 octobre 2010 2 19 /10 /Oct /2010 17:44

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- Le club de fitness

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Ses deux grossesses avaient modifié le corps de Sofia. Ses seins, naguère menus, avaient pris du volume puis, après l’allaitement, ils avaient donné les premiers signes de leur inéluctable affaissement. Sa taille s’était épaissie, ses fesses alourdies. Aussi, sur les conseils pressants de son mari, elle s’était inscrite à un club de gym où elle se rendait deux matins par semaine. À force d’exercices et de rigueur, elle avait presque réussi à retrouver sa silhouette d’avant la maternité, même si elle sentait bien qu’elle devrait accepter le poids des années. Elle était donc devenue une femme mûre et l’assumait sans complexe.

mere-modele2-2 Le Body Gym était dirigé par un couple, Sabrina et David. Bien que presque quinquagénaire, Sabrina avait conservé un corps aux allures juvéniles auxquelles la chirurgie esthétique n’était sans doute pas étrangère. Sa bouche dessinait en permanence une sorte de moue au Botox et ses seins de haute tenue siliconée pointaient trop fièrement sous le justaucorps. Elle était blonde oxygénée, méchée, manucurée, pédicurée, aseptisée, uvéisée, marketisée, prête à l’emploi comme les plats cuisinés dont elle se nourrissait entre deux steps. David, de vingt ans son cadet, n’avait pas besoin de tous ces artifices : son corps de danseur étoile se suffisait amplement à lui-même. De la tête aux pieds, tout était proportionné, calibré et harmonieux. Sabrina officiait dans la salle fitness, David dans celle de musculation.  Sofia le regardait souvent à la dérobée et cela lui provoquait à chaque fois une chaleur intense dans le bas-ventre.

En plus de son abonnement au Body Gym, Sofia avait une carte de fidélité qui lui donnait droit, au bout de cinquante séances, à une heure gratuite. Lorsque Sabrina en tamponna la cinquantième case, elle lui dit :

- Les abonnés fidèles bénéficient d’une séance personnalisée. Mercredi prochain, 19 heures, ça vous irait ?

Lorsque ce mercredi, en fin d’après-midi de printemps,  Sofia arriva au Body Gym, elle croisa les derniers membres qui quittaient le club. Sabrina et David l’accueillirent dans la salle de fitness qui sentait la sueur, les embrocations et les huiles de massage. Sabrina annonça le programme de l’heure : rameur, tapis de course et, pour terminer, plateforme vibrante.

Une fois les portes closes et les stores vénitiens baissés, Sabrina et David se mirent intégralement nus. Sofia en fut si peu étonnée que, sans poser de questions, elle les imita. Puis Sabrina la prit par le bras et l’entraîna vers le rameur. Sofia s’y assit, saisit les poignées des avirons et attendit les ordres. Sabrina enjamba l’engin et s’immobilisa, debout, les jambes écartées, face à Sofia. mere-modele2-3

- Allez-y, à chaque coup de rames, votre visage viendra à ma rencontre, votre bouche se posera sur mon ventre... Après, vous faites comme vous voulez… On commence par une série de vingt !

Dès le cinquième coup de rames, Sofia ralentit le mouvement afin que ses lèvres s’attardent plus que nécessaire sur le mont de Vénus de Sabrina, qu’elle glisse sa langue dans le sillon de la vulve et lui lèche le clitoris. Sabrina en eut un frisson. Le jeu se poursuivit. Au dernier coup de la série, Sofia s’arrêta, les genoux repliés. La bouche ventousée au con de Sabrina, elle lui arracha un orgasme baveux.

Pas le temps de souffler ! David l’attendait au tapis de course. Il se tenait à l’avant du tapis, grimpé sur un escabeau qui mettait sa bite en semi érection à hauteur du visage de Sofia. Elle en salivait d’avance. Depuis le temps qu’elle en rêvait de cette bite, depuis le temps qu’elle l’avait imaginée sous le renflement de son short ! Elle était maintenant à portée de bouche, telle qu’elle les aimait : droite, bien charpentée avec un gland largement découvert et une paire de grosses couilles prometteuses de grandes quantités de foutre.

Mais déjà, David avait appuyé sur le bouton « on » et réglé la vitesse du tapis sur « marche rapide, 7 km/h ». Pour le sucer, Sofia devrait courir après. Elle s’élança. Dix foulées plus tard, elle l’avait en bouche. Elle se rassasiait de son parfum intime, saturé de sueur et d’androstérone, un parfum qui lui mettait de la moiteur dans le vagin.

mere-modele2-4 La main posée sur la manette de vitesse du tapis, David faisait varier les plaisirs. Tantôt, il ralentissait le tapis, si bien que Sofia avait tout le loisir de lui téter la bite, de se l’enfoncer jusqu’à la glotte en flânant ; tantôt il accélérait si brusquement que même en courant, elle ne pouvait qu’effleurer du bout de la langue la tête fuyante du gland. Ce supplice de tantale d’un nouveau genre la mit en sueur et ne fit qu’exacerber son désir d’être baisée. Lorsqu’il la vit au bord de l’épuisement, David arrêta le tapis afin de laisser Sofia lui prendre les couilles à pleine main et se rassasier de sa queue…

Pour terminer, ils passèrent à la plateforme vibrante où ils retrouvèrent Sabrina. Tous les trois ceinturés à la taille par une large sangle, leurs corps rassemblés n’en formaient qu’un seul, partageant les mêmes vibrations. Sofia se trouvait prise entre David dont le sexe dur était glissé dans sa raie culière et Sabrina dont les seins s’écrasaient sur les siens, dont le ventre se frottait contre son ventre, dont la bouche se collait à sa bouche… Au fur et à mesure que les vibrations augmentaient, la bite de David s’insinuait profondément entre les fesses de Sofia, s’y frayait un chemin qui semblait hésiter entre deux portes. Sofia se cambrait, s’ouvrait, s’offrait. La langue de Sabrina jouait avec sa langue, ses doigts lui branlaient le clitoris ; Sofia lui rendait son baiser et ses caresses… Et puis, sans plus de manières, avec une aisance étonnante, la bite de David l’encula. Toutes les vibrations de la plateforme les traversaient de part en part, allumant des brasiers de plaisir aux endroits les plus secrets de leurs corps. Sabrina jouit la première en poussant de petits cris et en pinçant le clito de Sofia. Puis ce fut au tour de Sofia de s’envoyer en l’air, autant par le cul que par le con qui semblait se liquéfier. David lui éjacula dans le rectum au plus profond, comme s’il voulait lui défoncer les entrailles.

Après la douche, Sabrina remit à Sofia une nouvelle carte de fidélité et lui dit :

- Les 50 séances suivantes donnent droit à une soirée privée en salle de musculation, avec David et des abonnés fidèles triés sur le volet. mere-modele2-5


à suivre... ( l'anniversaire des enfants )

© Michel Koppera, août 2010

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Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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Lundi 18 octobre 2010 1 18 /10 /Oct /2010 17:53

Une mère modèle…

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À quarante-trois ans, Sofia donnait toutes les apparences du bonheur : mariée depuis  huit années à Sébastien, elle était maman de deux adorables garçons âgés de six et quatre ans. La petite famille habitait un bel appartement dans un quartier résidentiel, partait régulièrement en week-end dans la résidence secondaire du Sud Bretagne et, chaque année, au plus fort de la froidure de l’hiver, le couple s’offrait un séjour de deux semaines dans un archipel de l’Océan Indien, sous le soleil du tropique du Capricorne…

Afin de se consacrer en priorité à ses enfants, Sofia avait provisoirement cessé toute activité professionnelle. Désormais, ses journées étaient partagées entre tâches domestiques, obligations maternelles et vie associative…

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- Assemblée trimestrielle de l’Association de Parents d’Elèves.

Compte tenu de son expérience professionnelle, Sofia avait été élue trésorière de l’association. À ce titre, elle était chargée de collecter les cotisations et de veiller au bon usage des subventions. Le bureau se réunissait quatre fois l’an, au domicile personnel du président. Il s’appelait Alexandre Verdier. C’était un bel homme d’une cinquantaine d’années. Divorcé, il avait obtenu la garde exclusive de son fils unique âgé de 8 ans – il se disait que l’épouse infidèle était partie vivre sa vie à l’étranger. Malgré les boissons fraîches et les petits gâteaux, les réunions du bureau n’avaient rien de vraiment réjouissant : une dizaine de personnes sérieuses et compassées qui parlaient financement de voyages scolaires, allégement des  cartables, garderie du soir ou actions à entreprendre contre les menaces de fermeture de classes…

mere-modele1On était un mardi de février, dans l’après-midi. Sofia venait de présenter le bilan financier de l’année précédente : adopté à l’unanimité. Mais, vers 16 heures, au moment de se séparer, le président avait retenu Sofia par le bras.

- Excusez-moi, madame T*, pouvez-vous m’accorder quelques instants, juste le temps de régler un petit problème…

Dès que les autres membres du bureau eurent quitté l’appartement, il tira le verrou et rejoignit Sofia restée au salon.

- Voyez-vous, la semaine dernière, je suis passé à la banque et j’ai demandé à consulter le relevé des opérations bancaires de notre association, commença-t-il en sortant de sa poche une feuille qu’il déplia.

Sofia sentit ses jambes fléchir, son cœur s’arrêter, son sang refluer…

- Tout serait parfait si, à la mi-décembre, le compte n’avait été débité d’un montant de 262 €, puis recrédité de la même somme deux semaines plus tard…

- Une erreur de la banque, articula péniblement Sofia.

- Je ne crois pas. Il s’agissait d’un chèque libellé à l’ordre d’une boutique de lingerie haut de gamme, et signé de votre main. En voici une photocopie… Je me trompe ?

Sofia avait la bouche sèche. Maladroitement, elle tenta d’expliquer comment, dans la précipitation, au moment de payer, elle avait confondu son propre chéquier avec celui de l’association. À la réception du relevé de fin de mois, elle s’était rendu compte de son erreur qu’elle avait aussitôt réparée…

- Même si ce que vous dites est vrai, il ne faudrait pas que la chose s’ébruite. On pourrait vous soupçonner d’indélicatesse. Surtout si on apprend que c’était pour vous offrir des frivolités ! Cela pourrait vous nuire, à vous personnellement, mais aussi à votre entourage…

Après un long silence, Alexandre Verdier reprit, mais sur un autre ton.

- Vous en portez aujourd’hui ?

Sofia parut ne pas comprendre.

- Porter quoi ?

- De la lingerie fine.

Malgré elle, Sofia se sentit rougir jusqu’aux oreilles. Elle baissa la tête.

- Oui, souffla-t-elle.

- Montrez-moi ça ! Vous m’avez entendu ? Déshabillez-vous, là, maintenant ! Je crois que vous n’avez guère le choix.

Il s’installa confortablement dans un fauteuil pour ne rien perdre du spectacle. Sofia se souvint d’une soirée en Sologne, une dizaine d’années auparavant, quand elle avait dû se mettre nue devant l’assemblée des chasseurs. Pour se dévêtir, elle retrouva les mêmes gestes de fausse pudeur. Quand elle fut en soutien-gorge et petite culotte, Alexandre Verdier l’arrêta d’un geste. mere-modele1-2

- Vous ne portez pas de bas ? Je suis un peu déçu. Je m’attendais à mieux de votre part… Car vous êtes un peu putain, n’est-ce pas ?

- Je ne sais pas, Monsieur Verdier.

- Appelez-moi Président. Approchez-vous que je voie de plus près cette lingerie. C’est la dentelle qui coûte si cher, ou alors ces transparences qui laissent voir votre chatte ? Ecartez les cuisses. Souhaitez-vous que je vous branle ?

- C’est comme vous voulez, Président.

Il écarta le tissu blanc et lui glissa ses doigts dans la fente, chercha le clitoris, le caressa de l’index en tournant doucement autour. Sofia se mit à mouiller. Il aventura son pouce dans le vagin, Sofia plia un peu les genoux pour se l’enfoncer plus profondément et soupira de plaisir.

Lorsqu’il sortit son engin, elle comprit, au premier coup d’œil, pourquoi son épouse avait pris le large : bien qu’en pleine érection, le Président avait une petite bite. Une bite courte, menue, qui paraissait vraiment ridicule entre ses doigts. Sofia réussit néanmoins à contenir son fou rire et à se laisser limer et branler par la main douce et chaude du Président. Sans doute n’avait-il pas approché de femme depuis longtemps car il ne fut pas long à jouir. Si la bite était plus que modeste, le sperme fut abondant : il en envoya sur son pantalon, sur les cuisses nues de Sofia, sur le tapis. Ça giclait par à-coups, comme un geyser islandais.

Quand tout fut terminé, le Président prit sans tarder la direction de la salle de bain. Sofia se rhabilla et quitta l’appartement. Il était 16h30, l’heure d’aller récupérer les enfants à la sortie de l’école.

à suivre...

 

© Michel Koppera, août 2010

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Samedi 16 octobre 2010 6 16 /10 /Oct /2010 16:33

1990. En Turquie, un médecin turc mettait en garde ses compatriotes sur les dangers de faire l’amour, les nuits d’été, sur les toits en terrasse : chaque année, une centaine de personnes se tuaient ou se blessaient grièvement parce qu’elles tombaient du toit pendant leurs ébats.( source : Nouvel Observateur, août 1990 )

ls4pour illustrer cet article, je vous propose ce dessin de Jean Morisot










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Vendredi 15 octobre 2010 5 15 /10 /Oct /2010 08:08

ZOOM 50. Volume 2

Après la gravité des photomontages de KJELDGAARD revenons à des propos plus « légers » avec des séries d’images en couleurs.

Commençons par une photo de Gunter SACHS ( souvenez-vous, l'industriel allemand qui avait épousé Brigitte Bardot !)

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Continuons avec ART KANE (1925-1995) qui nous proposait une vision très personnelle des ascenseurs ou des taxis new-yorkais

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Ensuite des photos signées SAM HASKINS (1926-2009), photographe de «charme » déjà présenté dans ce blog.

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- Une petite galerie de tableaux de TAMARA DE LEMPICKA (1898-1980) avec en préambule un portrait de l’artiste dans les années 1930.

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zoom50-19- Autoportrait ( huile sur bois, 35 X 26 cm )


zoom50-20- Portrait du docteur Boucard ( huile sur toile, 135 X 75  cm )


zoom50-21- Portrait de la duchesse de la Salle ( huile sur toile, 161 X 96 cm)


zoom50-22- Portrait du marquis Sommi ( huile sur toile, 105 X 73 cm )


zoom50-23- Portrait du marquis d’Afflito ( huile sur toile,82 X 130 cm )


zoom50-24- La belle Raphaelle ( huile sur toile, 64 X 91 cm ) Sans doute une de ses toiles les plus connues et les plus sensuelles

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Jeudi 14 octobre 2010 4 14 /10 /Oct /2010 07:47

ZOOM 50

Janvier-février 1978. Numéro  très riche de ZOOM qui fera l’objet de deux articles.

 

Le premier article est entièrement consacré à l’œuvre de Marinus Jacob KJELDGAARD, né à Copenhague le 4 septembre 1884 et mort à Créteil le 6 février 1964. De 1932 à 1940, l’hebdomadaire Marianne a publié plus de 200 de ses montages photographiques liés à l’actualité pour le moins agitée et sombre de l’époque. Etrangement, un seul de ces montages ( celui du 7 juin 1933) est signé Kjeldgaard, tous les autres sont parus sans signature ! Voici quelques-uns de ces montages portant essentiellement sur l’immédiate avant-guerre ou même la « drôle de guerre ». Marianne cessera de paraître en juin 1940, avec l’invasion allemande, et le dernier photomontage de Kjeldgaard date du 5 juin 1940. On ne peut qu’admirer l’acuité du regard de Kjeldgaard sur les événements, combien il n’était pas dupe des gesticulations diplomatiques qui ont précédé le déchaînement de la guerre.

zoom50-1 8 mai 1939

- Docteur Goebbels : Et quels sont vos ancêtres, monsieur le professeur ?

- Professeur Einstein : Mais les mêmes que les vôtres, je crois…les singes. »


zoom50-323 août 1939. «  L’horloge de la Paix. Bientôt moins cinq ! »

 

zoom50-24 octobre 1939. «Le monde vivrait encore en paix si chacun faisait son métier ».

 

zoom50-422 novembre 1939. Au Kremlin. «  Les tricheurs » ou «Qui sera le plus voleur des deux ? » Entrevue Ribbentrop-Staline.

 

zoom50-527 décembre 1939. « Une fin sans gloire, mon Führer ! » Le capitaine Langsdorff, militaire de haut rang de la marine allemande s’est suicidé.

 

zoom50-624 janvier 1940. « Bonaparte : Messieurs, vous n’êtes que des Jean-Foutre. C’est moi qui vous le dis » D’après le tableau de Lecomte de Nouy.

 

zoom50-728 février 1940. « L’aveugle et le paralytique »

 

zoom50-813 mars 1940. « Cabrioles ». Le personnage à gauche est SummerWelles, sous-secrétaire d’Etat américain des Affaires Etrangères chargé de veiller à la politique de « bonne entente »

 

zoom50-927 mars 1940. « Duo tyrolien » Entrevue Mussolini-Hitler

 

zoom50-9-13 avril 1940. Sans titre ( Goebbels, Hitler et Goering )

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Dimanche 10 octobre 2010 7 10 /10 /Oct /2010 16:40

Formications, roman de Julien Péluchon paru en 2006 aux Editions du Seuil dans la collection Fiction et Cie

Pour illuster ces trois exptraits, j'ai opté pour des dessins "hentaï" qui me paraissaient assez bien correspondre à "l'esprit" du texte.

 

Extrait n° 1 ( pages 14-16 ) John (fils d’une actrice et d’un consul) est en terminale au Havre. Il est amoureux de Labies Mondor.

«  Labies était une petite beauté de seize ans, douée en classe et en avance pour sa terminale. Son seul visage exprimait tout le soin que ses parents avaient mis à l’élever, et la paix mentale de son foyer petit-bourgeois. Ce visage, lisse, charmant et aux yeux dépourvus de rêves impossibles, disait que la jeune fille avait dû être couverte de gentillesses et de compliments toute son enfance et encore aujourd’hui, et il eût pu devenir celui d’une petite garce s’il n’avait eu derrière cette cervelle lucide, amène et particulièrement vive. Mais par-dessus tout c’était sa silhouette qui les avait remués dès son arrivée au lycée, lui et ses camarades, sa musculature mince et gracieuse et surtout cette poitrine en petits ballons, placés haut, qu’on eût dit à tout moment sur le point d’éclater, qui lui donnait, au milieu des autres filles, une aura sexuelle sans égale. Labies avait des gros seins. (…)

Chaque fois qu’elle monta sur l’estrade pour résoudre un problème de mathématiques fut un instant qui resta dans les mémoires. Elle levait la main et montait recueillir toutes les gloires possibles de cette mini-scène. Son profil déconcertait. Elle levait le bras et résolvait le problème avec aisance, en montrant des seins en primeur de trois quarts, et son cul, dans sa circularité géométrique. A cet âge vigoureux où priment la grosseur des seins et la régularité raphaélite du visage ( la rondeur sexuelle et la rondeur sensuelle), Labies était ce qui se faisait de mieux ici, le clou de l’exposition, et, en conséquence, tout garçon de l’âge qu’atteignait John un tant soit peu ambitieux se devait au moins de tout faire pour l’avoir dans le lit de ses parents un samedi soir pour un dépucelage de haute volée. »

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Extrait n° 2  ( pages 141-142 )Voici les fantasmes d’un certain Julien Hosteinmeyer

«  Il aimait les seins d’Annie, sa voisine. Un jour, il est entré chez Annie, prétextant qu’il avait besoin de sel. Elle n’en avait pas ; il a bloqué la porte avec son pied. Là, ils ont fait l’amour. Annie le désirait ardemment, désirait frénétiquement empoigner le sexe de son voisin et le mettre dans sa bouche. Elle l’a sucé, il l’a embrassée sur la bouche longuement, à plusieurs reprises, et souvent les cheveux d’Annie venaient s’emmêler dans leurs deux bouches. Il l’a prise par-devant, puis elle lui a proposé son derrière, bref, ils ont fait l’amour. Et sa semence s’en est allée tantôt dans les fesses d’Annie, tantôt sur les draps, car ils ne désiraient pas d’enfant. Quand enfin Annie s’est endormie, il a regardé ses seins toute la nuit, dans l’obscurité, en se demandant pourquoi ces choses éclairées par la lune lui paraissaient si précieuses. »

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Extrait n°3 ( pages 166-168 ) John devenu acteur de série télé a maintenant 25 ans, il a rencontré une certaine Jennifer

« Elle avait des cheveux blonds magnifiques, flottant comme des filets bénis.(…) Il l’embrassa dans le cou, la mordit fort. Puis il lui retira son peignoir et la prit pas derrière, de bon matin, avec haine.

- Petite et foutue pute, tu sais ce que je vais te faire, je vais rentrer dans ton petit cul.

- Oh oui !

- Princesse, ô ma princesse !

- Oh oui, prends-moi fort !

- Tiens ! tiens !

Et qu’est-ce que ça va t’apporter, John, une fois que tu te retires de son cul, tu es en sueur, tu l’embrasses, tu voudrais presque construire ta vie avec elle, puis, dix secondes après, éloigné, tes esprits retrouvés, tu te trouves incapable d’aimer. Elle te déprime, t’attriste, tu n’as pas la tête sur les épaules, c’est une vache. Elle vient vers toi, mamelles blondes bringuebalantes.

- C’est dimanche, aujourd’hui. On devait pas aller déjeuner chez ta mère ?

- Non, je reste ici. Rhabille-toi. Grosse vache (tout bas).

- Hein ?

- Rien.

Cette putain cupide, elle voulait voir ta mère. Elle était mannequin pour des sous-vêtements et posait quelquefois dans des catalogues de supermarchés. Mannequin, quelle misère ! Mais Jennifer désirait devenir actrice ou chanteuse, enfin célèbre, quoi, faire jouer sa poitrine, devenir Miss Quelque Chose et épouser un  producteur, s’en servir comme tremplin, être célèbre, le quitter, crever l’écran, vieillir, mourir. Et elle voulait voir ta mère. Elle ne le verrait jamais. Mais le porno, pour toi, Jennifer ? Te faire saucer la croupe ? Le porno, c’est hors de question : » Le porno, John, c’est hors de question. ». Mais le soutif, oui, d’ailleurs elle avait raison. »  

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Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 7 octobre 2010 4 07 /10 /Oct /2010 12:30

Pierre Molinier

« Comme je voudrais être »

 

Du 14 octobre au 20 novembre 2010, la Galerie Christophe Gaillard organise une exposition consacrée à l’oeuvre picturale de Pierre Molinier.

Pierre Molinier est né en 1900 et s’est suicidé en 1976. Il a inspiré de nombreux artistes tels Cindy Sherman ou Luciano Castelli.

Le vernissage de l’exposition aura lieu de jeudi 14 octobre de 18 à 21 heures à

Galerie Christophe Gaillard

12 rue de Thorigny

75003 PARIS

 tel : 01 42 78 49 16

contact@galerie-gaillard.com 

www.galerie-gaillard.com

 Pour vous donner un avant-goût, voici quatre images de l’exposition

pm005 - bd© Pierre Molinier, courtesy Galerie Christophe Gaillard

pm014 - bd© Pierre Molinier, courtesy Galerie Christophe Gaillard

pm017 - bd© Pierre Molinier, courtesy Galerie Christophe Gaillard

pm029 - bd© Pierre Molinier, courtesy Galerie Christophe Gaillard

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Fantasmes et écriture
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Dimanche 3 octobre 2010 7 03 /10 /Oct /2010 16:52

On poursuit notre exploration de l'imagerie érotique du monde des nonnes. Cette fois, il s'agit de l'image en 3D... Bonne visite

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Fantasmes et écriture
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Samedi 2 octobre 2010 6 02 /10 /Oct /2010 09:34

3- Sur les îles Cook, dans la société Mangaia, les jeunes garçons adolescents sont initiés dès l’âge de 13 ans aux pratiques sexuelles par des femmes plus âgées. Ils apprennent différentes techniques de coït, l’art du cunnilingus, les caresses et baisers sur les seins et surtout à ne pas éjaculer tant que leur partenaire n’a pas joui une ou plusieurs fois. (source : Secret des femmes, Editions Odile Jacob, 2010 )

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Par michel koppera - Publié dans : le saviez-vous ? - Communauté : Fantasmes et écriture
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