Mardi 2 novembre 2010 2 02 /11 /Nov /2010 13:47

2 novembre, fête des morts.

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De toutes les morts : des glorieuses, des belles, des naturelles, des subites (à consommer avec modération), des lentes, des secondes, des misérables, des suspectes, des violentes, des accidentelles, des petites surtout, à consommer sans modération...

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Par michel koppera - Publié dans : agenda - Communauté : Fantasmes et écriture
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Lundi 1 novembre 2010 1 01 /11 /Nov /2010 09:44

1er novembre : crise en thème, Chris on t’aime ?

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La Toussaint ; Là, tout ceint. La toux ceint. L’atout saint. L’atout sain. L’atout sein. Latte ou sein ?

Tout cela n’est vraiment pas sérieux…

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Par michel koppera - Publié dans : agenda - Communauté : Fantasmes et écriture
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Samedi 30 octobre 2010 6 30 /10 /Oct /2010 10:39

  Le premier modèle de vibromasseur électrique fut commercialisé en 1890 par la firme anglaise de matériel médical Weiss. (pour info, le premier appareil domestique électrifié fut la machine à coudre en 1889 ! L’aspirateur et le fer à repasser sont beaucoup plus tardifs…). Cependant, un premier vibromasseur à vapeur ( voir l’image ci-dessous) avait été mis au point dès 1869 par un certain George Taylor. Il faut dire qu’à la fin du XIXème, l’usage du vibromasseur était recommandé par les médecins dans le traitement de l’hystérie et le fut jusque dans les années 30. En 1900, des modèles de vibromasseurs furent même très officiellement présentés à l’Exposition Universelle de Paris. Le coffret que vous voyez en illustration date de 1914. Le plus drôle était qu’on considérait la cure, à raison de séances de « traitement » qui pouvaient durer jusqu’à une heure, comme particulièrement efficace. Et pour cause !

vibromasseur-taylor vibromasseur à vapeur de Taylor

 

vibromasseur1914Coffret avec vibromasseur et accessoires (1914)

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Vendredi 29 octobre 2010 5 29 /10 /Oct /2010 08:54

Lingerie : 100 % fantasmes

Dans l’arsenal (ou la panoplie) des stratégies de séduction féminine, la lingerie a toujours occupé dans mon univers érotique une place prépondérante. Si mes souvenirs sont justes, je crois que ma première érection consciente et préméditée eut pour objet les images en noir et blanc d’un roman-photo – sans doute italien – où une jeune femme brune en escarpins seulement vêtue d’un soutien-gorge, d’une culotte, d’un porte-jarretelles assorti et d’une paire de bas sombres, aguichait dans son cabinet un bellâtre romain, sans doute marié mais très riche, chirurgien ou tout au moins médecin de renom.

Dès mes premiers émois, j’ai considéré la lingerie comme relevant de l’architecture, ou plus précisément de l’ouvrage d’art, avec son parapet de dentelle, sa travée de coton, sa culée de soie. Le porte-jarretelles a d’emblée évoqué pour moi l’arche d’un pont, pont de dentelle reposant sur les deux piliers sombres des jambes gainées de bas noirs., ou pont suspendu aux haubans d’un corset aux lacets serrés. Rien de plus majestueux que l’élégance de ses lignes courbes, de plus délicieux que l’ombre de la voûte pelvienne, de plus excitant que de se laisser glisser au fil du désir sous le tablier de l’aqueduc moussu…

Alors, bien sûr, il y a les photos des catalogues, plus ou moins coquins. Mais les mannequins aux corps si jeunes, si parfaits, y sont comme de cire dans des décors affligeants !

blog-lingerie-3suisses2010-2011catalogue 3 Suisses, automne hiver 2010-2011

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catalogues Adam et Eve, Concorde

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Je leur préfère les photographies dites « amateur ». Les femmes y ont des rides, des rondeurs, une présence. Les poses y sont parfois maladroites à force de se vouloir séductrices. C’est un monde avec des faux plis, des objets du quotidien, des regards énamourés… C’est un monde vivant. On s’y laisse volontiers aller.

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Jeudi 28 octobre 2010 4 28 /10 /Oct /2010 09:32

Virginie Despentes, Baise-moi

Editions Grasset, 1999

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Chapitre premier.

« Assise en tailleur face à l’écran, Nadine appuie sur « Avance rapide » pour passer le générique. C’est un vieux modèle de magnétoscope, sans télécommande.

À l’écran, une grosse blonde est ligotée à une roue, tête en bas. Gros plan sur son visage congestionné, elle transpire abondamment sous le fond de teint. Un mec à lunettes la branle énergiquement avec le manche de son martinet. Il la traite de grosse chienne lubrique, elle glousse.

despentes4Tous les acteurs du film ont des faciès de commerçants du quartier. Le charme déconcertant d’un certain cinéma allemand.

Une voix off de femme rugit : « Et maintenant, salope, pisse tout ce que tu sais. » L’urine sort en joyeux feu d’artifice. La voix off permet à l’homme d’en profiter, il se précipite sur le jet avec avidité. Il jette quelques coups d’œil éperdus à la caméra, se délecte de la pisse et s’exhibe avec entrain.

Scène suivante, la même fille se tient à quatre pattes et écarte soigneusement les deux globes blancs de son gros cul. Un type semblable au premier la bourre en silence.

La blonde a des minauderies de jeune première. Elle se lèche les lèvres avec gourmandise, fronce le nez et halète gentiment. La cellulite bouge par paquets en haut de ses cuisses. Elle s’est légèrement bavé sur le menton et on voit bien les boutons sous le maquillage. Une attitude de jeune fille dans un corps flasque.

À force de bouger son cul du plus convaincant qu’elle peut, elle parvient même à faire oublier son ventre, ses vergetures et sa sale gueule. Tour de force. Nadine allume une clope sans quitter l’écran du regard, impressionnée.

Changement de décors, une fille noire aux formes contenues et soulignées par une robe de cuir rouge rentre dans une allée d’immeuble. Se fait bloquer par un type cagoulé qui la menotte prestement à la rampe d’escalier. Puis il l’empoigne par les cheveux et la force à le sucer.

La porte d’entrée claque, Nadine grommelle un truc concernant « cette conne qui ne devait pas rentrer manger ». Au même moment, le type du film dit : « Tu verras, tu finiras par l’aimer ma queue, elles finissent toutes par l’aimer. »

Séverine hurle avant même de quitter sa veste.despentes3

- Encore en train de regarder tes saloperies.

Nadine répond sans se retourner :

- T’arrives pile au bon moment, le début t’aurait déroutée, mais même à toi cette négresse doit pouvoir plaire.

- Eteins ça tout de suite, tu sais bien que ça me dégoûte. (…)

Pendant ce temps, la black a effectivement pris goût au phallus du type. Elle le happe goulûment et fait bien voir sa langue. Il finit par lui éjaculer en travers de la gueule et elle le supplie de la prendre par le cul.

Séverine se poste à côté d’elle, évite scrupuleusement de regarder l’écran et passe dans les aigus crispants :

- T’es vraiment malade et tu finiras par me rendre malade.

Nadine demande :

- Tu pourrais aller à la cuisine, s’il te plaît ? Je préférerais me masturber devant la télé, ça me gonfle de toujours aller faire ça dans ma chambre. Remarque, tu peux rester si tu veux. (…)

Elle se laisse glisser au fond du fauteuil, se débarrasse de son pantalon et joue avec sa paume au-dessus du tissu de sa petite culotte. Elle regarde sa main bouger entre ses cuisses en cercles réguliers, accélère le mouvement et tend son bassin.

Elle relève les yeux sur l’écran, la fille penchée sur la rampe d’escalier secoue la tête de droite à gauche et son cul ondule pour venir engloutir le sexe du gardien. »

 

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Mercredi 27 octobre 2010 3 27 /10 /Oct /2010 09:27

ZOOM 51

Après le foisonnement d’images fortes du numéro 50, l’opus 51 de ZOOM, paru en mars 1978 paraît beaucoup plus sage

La photo de couverture était signée Richard Shaefer, photographe new-yorkais déjà présenté dans le n° 36 du magazine.

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Ensuite, on pouvait découvrir un portfolio de photos en noir et blanc signéesd’une jeune photographe âgée alors de 27 ans et nommée GLADYS. Depuis, elle est devenue mondialement célèbre, mais on sentait déjà à l’époque qu’elle avait un regard très personnel sur le monde.

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Il y avait aussi une suite de photos de Deborah Turbeville tirées d’un travail pour le magazine Vogue. Née en 1938, l’artiste n’est plus à présenter.

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Par contre, je n’ai pu retrouver trace de Christian HERMET dont les quelques photos présentées par un article d’Antoine de Caunes étaient pourtant prometteuses.

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Enfin, une photo de Yoshi Imamura, pour l’atmosphère très violente qui se dégage de ces deux plans juxtaposés dont on ne peut éviter le rapprochement, et qui crée le malaise.

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Par michel koppera - Publié dans : zoom - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 26 octobre 2010 2 26 /10 /Oct /2010 09:51

Encore un peu de Michael von Zichy, on ne s'en lasse pas !

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Lundi 25 octobre 2010 1 25 /10 /Oct /2010 10:42

Michael von Zichy, de son vrai nom Mihàly Zichy, est un dessinateur d'origine hongroise né dans le petit village de Zala le 15 octobre 1827 et décédé le 28 février 1906 à Saint-Petersbourg. Il a consacré un volet de son oeuvre à la réalisation de dessins érotiques ( presque uniquement des couples). Ce qui impressionne, c'est sa façon si particulière de saisir et de transcrire l'intensité du désir. Les corps sont très expressifs. Du grand art !

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Dimanche 24 octobre 2010 7 24 /10 /Oct /2010 16:22

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Au XIXème siècle, lors de leur « embauche » dans un bordel, les filles changeaient systématiquement de prénom. La mode était au prénom oriental comme Esther, Rebecca ou Sarah, et aux diminutifs en « ette » qui avaient à l’époque une connotation de « disponibilité ».

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Cela éclaire d’un jour nouveau une scène de l’adaptation des Misérables de Victor Hugo dans le film de Raymond Bernard en 1934. Le grand-père de Marius, M. de Gillenormand, va embaucher une nouvelle domestique. Il s’enquiert de ses dons de cuisinière, lui demande de se tourner devant lui, lorgne avec insistance sur ses fesses, lui demande comment elle s’appelle. La fille répond : « Olympia, monsieur. » Alors le baron lui déclare : « Très bien. Vos gages seront de 50 francs par mois et vous vous appellerez désormais Nicolette. »  

bordel3bordel2Les photos qui illustrent cet article sont tirées de la campagne de promo de  presse qui a précédé les premiers épisodes de la série "Maison close" en octobre 2010 sur Canal+ .     

Par michel koppera - Publié dans : le saviez-vous ? - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 22 octobre 2010 5 22 /10 /Oct /2010 17:13

Le pique-nique du quartier

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L’initiative de ce pique-nique annuel revenait à Sébastien et quelques voisins. Cela se déroulait toujours le premier dimanche de juillet, dans le square au kiosque qu’entouraient les quatre petits immeubles. Chaque famille apportait ses paniers et glacières, les hommes préparaient un grand barbecue collectif pour les grillades. L’après-midi était organisé un concours de pétanque : les vainqueurs recevaient une coupe qu’ils remettraient en jeu un an plus tard ; l’équipe la moins bien classée serait chargée d’offrir l’apéritif du prochain pique-nique. C’était l’occasion d’échanger des nouvelles, de faire connaissance avec les nouveaux arrivants.

Cette année-là, le temps était superbe : les hommes étaient en pantacourt et T-shirt, les femmes en robe légère et sandales. Les effets conjugués de la chaleur et du punch eurent tôt fait de vaincre les dernières timidités. Tant et si bien que lorsque vint l’heure du tournoi de pétanque, Sofia un peu ivre préféra renoncer.

mere-modele5-1brusquement-rachida-sut-qu-elle-aurait-toujouElle resta quelque temps à observer les boulistes à l’ombre des marronniers. Puis, son regard fut attiré par un groupe d’adolescents au pied de son immeuble. Des jeunes du quartier qu’elle connaissait tous de vue : cinq gars en compagnie de la fille des voisins de palier. Ils étaient près de leurs scooters en train de fumer et de boire du Coca. Quand elle les vit entrer dans l’immeuble, Sofia eut un mauvais pressentiment.

Un quart d’heure plus tard, ils n’étaient toujours pas reparus. Alors, Sofia abandonna discrètement l’ombre des marronniers et se dirigea vers l’immeuble. Personne dans le hall, mais la porte donnant sur l’escalier du sous-sol était entrouverte. Sofia descendit sur la pointe des pieds, sans actionner la minuterie. Ce fut au bas des marches qu’elle les entendit. Ils étaient tout au fond, dans une des caves dont la porte à claire-voie était ouverte. Elle s’approcha en silence. Ils parlaient à voix basse. Elle les vit enfin, assis en cercle à même le sol de ciment. Les joints passaient de main en man. Ce fut la fille des voisins qui la première s’aperçut de la présence de Sofia. Paniquée, elle jeta son pétard à terre, se leva et se sauva sans demander son reste. Les cinq gars gardèrent leur calme et regardèrent Sofia droit dans les yeux.

- Tiens, vous cherchez quelque chose, Madame T* ?

Alors que Sofia s’apprêtait à faire demi-tour, une main lui saisit le poignet, un bras la retint par la taille.

- Vous voulez déjà nous quitter ? Ce n’est pas très poli !

Déjà, ils l’avaient entraînée dans la cave dont ils refermèrent la porte. Dans la pénombre, elle distingua quelques objets hétéroclites : des empilements de cartons, un vélo tout déglingué, un vieux frigo, un matelas posé sur le sol. Elle y fut couchée sur le dos, débarrassée de sa robe de coton.

Maintenant que ses yeux s’étaient peu à peu accoutumés à la semi-obscurité, Sofia les voyait mieux : ils devaient avoir 15 ou 16 ans, peut-être 17 pour le plus âgé. Tous les cinq vêtus d’un jean et d’un t-shirt, les cheveux bruns et courts, plutôt beaux mecs. Leurs gestes et leurs caresses étaient empreints de maladresse et de hâte. Leurs mains parcouraient le corps de Sofia en tous sens, comme incapables de se décider. Celui qui s’appelait David – c’était le fils d’un de organisateurs du pique-nique – paraissait plus expérimenté. Il fut le premier à oser embrasser sa bouche, à caresser ses seins avec douceur, à poser sa main sur son sexe et à y glisser un doigt curieux.mere-modele5-2

- C’est vrai ce qu’on dit, que vous êtes un peu putain ? lui murmura-t-il à l’oreille. C’est ce que ma mère m’a dit et il faut toujours écouter ce que disent les grandes personnes…

Ensuite, tout alla très vite, même trop vite. Sofia garda longtemps en mémoire le visage du premier qui s’enfonça en elle, un visage d’ange qu’elle aurait voulu prendre dans ses mains si elle n’avait pas été fermement tenue pas les poignets et les chevilles. Il n’osait pas la regarder pendant que son sexe la fouillait avec frénésie. Il était beau ! Il éjacula rapidement en répétant « merde ! ». À peine s’était-il retiré qu’un autre corps, tout aussi juvénile, le remplaçait. Sofia avait à peine le temps de les sentir, de s’habituer à leur présence en elle qu’ils jouissaient déjà.

Cependant, ils renoncèrent bientôt à la tenir entravée si bien qu’elle put relever les cuisses afin qu’ils la pénètrent plus profondément et poser ses mains sur leurs fesses nerveuses pour les retenir en elle. Alors seulement, elle commença à éprouver du plaisir. Enfin, ce fut au tour de David qui s’attarda plus longuement en elle et l’amena aux portes de l’orgasme.

mere-modele5-5Quand ils eurent tous déchargé, elle aurait pu s’en aller, le con débordant de sperme, ils ne l’auraient pas retenue, mais maintenant, elle voulait sa part de plaisir. Alors, elle ouvrit les braguettes, en ressortit les queues encore poisseuses, les branla, les lécha, les suça… Elle n’eut pas à se donner beaucoup de peine pour qu’ils bandent à nouveau. Dès qu’ils furent tous en état de baise, elle allongea le plus jeune sur le dos, s’agenouilla au-dessus de lui et planta sa bite bien droite dans son vagin visqueux. Ainsi empalée, les fesses offertes, elle pria David de venir pas derrière pour l’enculer, ce qu’il fit avec empressement… Prise en sandwich, il lui restait encore trois bites à contempler, à toucher, à prendre en bouche… Elles sentaient bon le patchouli et l’insouciance. Sofia s’offrit une cascade d’orgasmes sonores, jusqu’à l’épuisement de son cheptel de jeunes étalons…

Quand elle rejoignit le pique-nique, le tournoi de pétanque en était à ses ultimes parties. Cette année-là, Sébastien qui faisait équipe avec le voisin du dessous, remporta la coupe. Ils avaient gagné haut la main toutes leurs parties.

- Vous avez eu une veine de cocus ! leur dit en rigolant l’organisateur qui leur remettait la coupe.

Sofia qui applaudissait au bas du podium croisa le regard du jeune David et de ses copains et sentit une épaisse larme de sperme chaud couler le long de sa cuisse gauche.

                                                         FIN

© Michel Koppera, août 2010


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