Vendredi 18 juin 2010 5 18 /06 /Juin /2010 08:36

La Meute : j - 13

 

8 juin 1815 : Waterloo

18 juin 1840 : appel du Général de Gaulle

18 juin 1952 : naissance de votre serviteur. Avouez qu'avec de tels précédents, l'éventail  des possibles était large !

veuvetissot"Veuve" tableau de Tissot

Après les références littéraires, voici une série de photos ( le terme clichés serait plus approprié ) sur le thème de la veuve lubrique

veuve de guerreveuve5veuve6veuve10veuve7veuve8 veuve9 veuve basveuveretour-de-la-momie

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Jeudi 17 juin 2010 4 17 /06 /Juin /2010 07:17

Le fantasme de la veuve désirable et désirée est vieux comme le monde. Il suffit de relire la Bible, l’Odyssée ( avec les prétendants autour de Pénélope ) ou encore les romans de chevalerie, comme cet extrait de Chrétien de Troyes.

 veuve4

Chrétien de Troyes. « Yvain, le chevalier au lion » ( 1176-1181 )

(Traduction de C.A Chevallier, Librairie Générale Française, 1988)

 

Yvain a tué en combat singulier le Chevalier gardien de la Fontaine Merveilleuse. Grâce à l’aide de la servante Lunette qui lui a donné une bague qui rend invisible, Yvain assiste aux funérailles de son adversaire et tombe amoureux de sa veuve.

«  Quand on eut fini d’enterrer le mort, tout le monde se sépara. Il ne resta ni clercs, ni chevaliers, ni serviteurs, ni dames, excepté celle qui ne cache pas le moins du monde son chagrin. Elle reste donc là toute seule : souvent elle se prend à la gorge, elle tord ses poings, bat ses paumes et lit ses psaumes dans un psautier enluminé de lettres d’or. Monseigneur Yvain, lui, est toujours à la fenêtre d’où il l’observe ; et plus il la contemple, plus il l’aime et plus elle lui plaît. Il voudrait qu’elle eût cessé de pleurer et de lire, et qu’il lui fût permis de lui parler. Voilà le désir qu’Amour lui a inspiré, quand il l’a fait prisonnier à la fenêtre. Mais son désir le plonge dans le désespoir, car il ne peut ni imaginer ni croire que son désir puisse se concrétiser, et il dit : « Je puis me considérer comme un fou de désirer ce que je n’obtiendrai jamais ; je lui ai mortellement blessé son mari et j’ai la prétention de faire la paix avec elle ? Par ma foi c’est une prétention grotesque, car elle ne hait plus à cette heure que personne et elle a raison. J’ai dit sagement « à cette heure », car une femme a plus de mille résolutions ». Cette résolution qu’elle a à présent, peut-être en changera-t-elle à un moment quelconque. Que dis-je ? Elle en changera ; il n’y a pas de peut-être qui tienne ; je suis bien fou de me désespérer à ce sujet ; puisse Dieu lui accorder d’en changer bientôt ! car il me faut être en son pouvoir à tout jamais, puisqu’Amour le veut ! ( …) J’ai un immense chagrin pour ses beaux cheveux : ils surpassent l’or fin, tellement ils sont brillants. Ils m’enflamment et m’aiguillonnent de fureur quand je les lui vois rompre et arracher ; tandis que jamais ne peuvent s’épuiser les larmes qui lui coulent des yeux. Tout cela m’afflige. Quoiqu’ils soient pleins de larmes, tellement que celles-ci n’ont ni fin ni terme, jamais il n’y eut deux si beaux yeux. Les pleurs qu’elle verse m’affligent, et rien ne me cause une aussi grande angoisse, comme de la voir lacérer son visage, sans qu’il l’eût mérité le moins du monde. Jamais je n’en ai vu d’aussi bien dessiné, d’aussi frais, d’aussi délicatement coloré. Mais ce qui m’arrache complètement le cœur, c’est de lui voir serrer sa gorge. Assurément, elle ne peut pas s’empêcher de se faire le plus de mal possible. Et pourtant, nul cristal, nulle glace ne sont aussi brillants ni aussi polis. Dieu ! pourquoi commet-elle une si grande folie ? »

 

 

La veuve « lubrique » est aussi un des thèmes de l’iconographie érotique dont je vous propose ici quelques exemples.

Les couronnes de l’amour ( cliché Michel Brodsky), extrait du Musée du Fétichisme

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Mes Funérailles ( tableau de Clovis Trouille ) ibid

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La Veuve ( Max Bruning )

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Deux tableaux de Jean-Marie Poumeyrol ( dont La veuve aux miroirs )

veuvepoumeyrol1971veuvepoumeyrol1977Un tableau anonyme : " veuve juive "

veuve juive

Gravure du 19ème siècle : la jeune veuve

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Mardi 15 juin 2010 2 15 /06 /Juin /2010 07:18

La photo a été prise, vers 1970, dans la cour d'une école primaire de campagne. Il m'a plu d'imaginer la maîtresse sous les traits de cette pin-up souriante. Le dessin sur la porte est de moi, je ne saurais dire pourquoi j'ai éprouvé le besoin de l'épingler là. Quant au coq, il évoque à la fois la campagne et l'école laïque républicaine.

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Dimanche 13 juin 2010 7 13 /06 /Juin /2010 09:19

La Meute : J - 18

 

Le collage se passe de commentaires. Si mes souvenirs sont justes, la photo support a été prise un après-midi d'automne 1975 sur la côte normande ( ce qu'on appelle la côte d'Emeraude).

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Vendredi 11 juin 2010 5 11 /06 /Juin /2010 05:46

 

La Meute : J - 20

 

La vallée des roses, Lucien BODARD ( Editions Grasset, 1977 )

Dans l'Empire du Milieu, la jeune Yi parvient à épouser l'empereur et à s'emparer du pouvoir.

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Page 190

«  Hieng-fong ouvre la serrure du coffret  et en rabat les panneaux. Là-dedans, Yi discerne une rangée d’objets artistiques. Ce sont des pénis reproduits avec leurs attributs, colonnes auxquelles s’accrochent en bas une boursouflure, une anse à grappes, et qui s’épanouisssent en de puissantes ogives. Elle en compte une douzaine, allant des petites verges jusqu’aux plus énormes lingas. Tous sont ciselés dans les matières les plus précieuses. Tous sont dressés, en une érection éternelle, monuments triomphants de la Virilité.

bodard4Hieng-fong choisit parmi eux un instrument à l’aspect repoussant et inexplicable. Il faut quelques instants à Yi pour démêler ce qu’est cette monstruosité : deux phallus mêlés par leur base, mais s’érigeant en sens contraire, tête-bêche, s’opposant en leur conjonction. L’un est superbe, en or rougeoyant. L’autre, au lieu d’être taillé dans une noble substance dure, est fabriqué dans une sorte de gomme, d’une rigidité souple, blanchâtre, d’où  s’échappent quantité de lanières et de crochets. Hieng-fong, tenant l’objet ignoble, revient à Yi avec son sourire le meilleur.

- Votre fente abjecte va devenir le terroir où pousseront les racines d’un tronc magnifique qui sortira de vous.

Yi est cette fois saisie par l’effroi car elle ne devine pas l’abjection contenue dans ces mots.

- Prenez la position très laide de la fente la plus ouverte. Et vous vous enfoncerez très soigneusement le membre à l’essence résineuse. Ainsi se plantera-t-il en vous, ses tentacules et ses filaments s’étendront, se fixant et s’accrochant à vos parois internes comme des crampons, des plantes grimpantes. Votre chaleur rendra cette gomme et ses radicelles collantes, sans vous faire aucun mal. Et, cela se fixera en vous telle une plante dans un limon fertile. Il sortira de vous, comme s’il avait germé de vous, comme s’il était vôtre, le magnifique phallus d’or. Alors, vous serez vraiment pareille à un homme. Votre infecte cavité sera heureusement transformée en jardin souterrain, et vous exhiberez dehors le plus superbe engin.(…)bodard2

Le saint Homme remet la « chose » à Yi. Très docilement, elle la prend et se met à l’oeuvre, malgré la difficulté. Jambes écartées pour procéder mieux, elle arrive à fixer la pointe phallique, celle qui est poisseuse, contre la niche de sa virginité. Elle la presse contre l’alcôve encore refermée de sa pureté, qui devait conduire au bonheur des salles charnelles de son palais corporel. À ce moment Hieng-fong susurre :

- Faites doucement, car je veux que votre hymen soit déchiré sans saigner. Qu’il cède délicatement, sans pleurer de larmes rouges. Si cela n’était pas, ma contrariété serait grande et pourrait gâcher mon superbe dessein à votre égard.

Alors, quoique l’objet soir lourd et encombrant, Yi s’applique à se déflorer avec une méticulosité extrême. Elle fait pénétrer le bout visqueux avec une grande lenteur. Elle sent qua sa virginité se rompt, petite membrane qui cède heureusement sans que la moindre goutte de sang endeuille son dépucelage (…) Yi continue à faire entrer en elle le penis collant et herbeux de la honte. Sous la pression de ses doigts appuyant fermement en continuellement, les cloisons très resserrées de sa trouée, jamais visitée, s’écartent. Violée par elle-même avec la sensation d’une brûlure aiguë et sourde : parois sèches semblant en proie à un feu consumant plus qu’à un arrachement. L’ustensile avance peu à peu en elle, portant toujours plus loin le foyer enflammé, arrivant au fond d’elle-même. 

bodard3(Finalement,) le phallus d’or sort d’entre ses jambes comme un superbe fruit. Très puissante colonne émergée de son être. Elle apparaît désormais magnifiquement pourvue de ce qui fait l’orgueil des hommes. Hieng-fong se pâme devant son pilier superbe :

- Buvons, buvons à votre virilité. Votre marécage est devenu votre arc de triomphe. Célébrons et jouissons… « 

 

Et c’est avec ce phallus d’or que Yi va enculer Hieng-fong, le Fils du Ciel. Les dessins hentaï qui illustrent cet extrait m'ont paru correspondre assez bien à la situation ( même si l'on n'est plus en Chine mais au Japon )

 

 

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Mercredi 9 juin 2010 3 09 /06 /Juin /2010 05:34

La Meute : J - 22

 

 

ZOOM 43

Encore une livraison d’images variées et de grande qualité pour ce numéro 43 de mars 1977

- Photo signée André Kertèsz, extraite de son album «  les distorsions »

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- Autre image d’un  grand de la photographie, Brassaï ( scène très suggestive datant de 1932 )

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- Photographie de Tsuchida. Là encore, beaucoup de non-dit, de sensualité et de trouble dans cette image ( je pense en particulier au visage fantomatique de l’homme et à notre regard de spectateur privilégié sur le ventre nu et terriblement vulnérable de cette femme au regard désespéré )

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- Photographie plus conventionnelle mais non moins sensuelle de John Claridge.

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- Un portfolio de l’illustrateur Paul Davis, né dans l’Oklahoma en 1938.

zoom43-4Plumkitt of Tammany Hall, 1962

 

zoom43-5Matthew’s cat, 1975

 

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The Geismar family, 1972


 

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Freedomburger, 1970

 

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Truck people, 1973

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Yarrow family portrait, 1973

 

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Picnic scene, 1974

 

 

- Deux photographies signées Christian Moser, né en 1948 à Bâle (en Suisse). A travaillé pour Playboy, Elle.

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- Une série d’images de Jean-Paul Vidal qui utilisa le procédé de la photo finish ( comme pour les arrivées des courses d’athlétisme) pour figer le mouvement de son modèle.

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- Enfin pour terminer en beauté, une photo de l’Américaine Joan Liftin, ancienne professeur de danse, qui devint photographe en 1969 et rejoignit l’agence Magnum en 1975. Toutes ses images sont prises au Leica 35 mm, et on peut dire que c’est du vécu ou du moins ça y ressemble beaucoup 

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Samedi 5 juin 2010 6 05 /06 /Juin /2010 06:50

Hugdebert, « La bête humaine » Bédé adult, 1993.

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Dans cet album, on retrouve tout ce qui fait le charme de Hugdebert, à savoir un scénario qui tient la route ( dans le cas précis, on peut dire qu’il est servi puisque l’histoire est signée Zola et présente donc un intérêt certain),  une reconstitution de l’époque plus que soignée ( elle repose sur une documentation sérieuse et nourrie ) enfin de superbes images de cul et de baise, comme on les aime. Le résultat est convaincant… Je ne me lasserai jamais de vous le répéter : achetez et lisez les BD de Hugdebert (ou de Guillaume Berteloot, puisqu’ils ne sont qu’un seul et même artiste), vous ne le regretterez pas !

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Vendredi 4 juin 2010 5 04 /06 /Juin /2010 08:15

Nouvel envoi de Nicole : 3 dessins signés Patti Smith

Si le premier n’a pas de titre ( mais il n'en a pas besoin, la situation est suffisamment explicite )Erratum : Nicole me précise que le titre du dessin est en fait "Symbolism" ce qui, avouons le, relève de l'ironie... dont acte

le deuxième est intitulé «  Love ass at rest / Loves secretion at best »

pattismithdessin2

patti smith dessin 3

Quant au dernier il a pour titre : « Pasolini Eye »

patti smith dessin 4Un grand merci à Nicole pour la qualité de ses trouvailles. Pour terminer un portrait de l'artiste en 2002

patti profil 2002

 

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Jeudi 3 juin 2010 4 03 /06 /Juin /2010 10:00

Le Cadeau ( 5ème partie )

 

cadeau10Lorsque je reviens de la salle de bain où j’en ai profité pour me livrer à quelques ablutions intimes, Dominique a pris place dans le canapé et se fait brouter le minou par Sofia.

J’ai une vue imprenable sur le charmant postérieur de notre invitée. La raie des fesses est profonde, mais bien ouverte. Sous l’œillet de son anus, la moiteur de sa chatte est plus que visible, on pourrait même dire qu’elle suinte. Je m’approche, le gode bien en main.

Sofia ne ménage pas sa peine pour satisfaire mon épouse qui se trémousse de plaisir sous les assauts de sa bouche. Elle lui lèche la fente avec méthode, de bas en haut, du périnée au clitoris, à grands coups de langue voluptueuse. Au passage, elle n’oublie pas de s’enfoncer dans le vagin, de jouer avec les petites lèvres qu’elle malaxe et mordille délicatement à la manière d’un chiot. Dominique perd peu à peu le contrôle de son corps, ses cuisses sont saisies de tremblements inopinés, ses orteils s’épanouissent en éventail, son souffle devient court avec des bruits de fond de gorge plus rauques, ses doigts se crispent dans l’épaisse chevelure de Sofia, sa bouche se tord de plaisir. Finalement, elle jouit une première fois, le corps tendu à l’extrême, en attirant la tête de Sofia entre ses cuisses, comme si elle cherchait à la faire entrer dans son sexe, à se faire baiser par son visage. Elle marmonne des mots incompréhensibles. Elle met de longues minutes avant de reprendre le contrôle d’elle-même et me regarde avec une drôle de lueur dans les yeux.

-  Tu étais là ! Alors, tu as tout vu ? Qu’est-ce que tu attends pour lui mettre le gode dans la chatte !

C’est tellement gluant que ça rentre tout seul, jusqu’au fond, d’une seule poussée. Les muqueuses s’écartent docilement ; mieux, elles aspirent le gros sex-toy comme une vulgaire tétine. Sofia tortille deux ou trois fois du cul afin de se le caler confortablement. Je tourne le bouton du vibrateur, l’engin se met à ronronner et Sofia à baiser. Sa bouche n’a néanmoins pas quitté le ventre de ma femme qui se laisse aller mielleusement sur la pente douce d’une seconde jouissance, plus longue à venir, mais tout aussi puissante.

La vue du gode majestueux planté dans la fente dilatée de Sofia réveille mon désir. Je recommence à bander, inexorablement.

 cadeau8

 

Le cadeau ( 6ème partie )

 

Dès qu’elle aperçoit ma queue raide, Dominique repousse sans ménagement Sofia pour s’emparer de mon engin.

- Tu vas enculer cette traînée ! Tu vas le faire devant moi, que je voie ta bite la défoncer !

Elle m’allonge sur le tapis de laine, au pied du divan, et force Sofia à m’enjamber et à s’accroupir au-dessus de mon ventre tendu. Au fur et à mesure qu’elle descend son bassin, la tête de ma bite que Dominique maintient fermement à la verticale se rapproche de son cul ouvert. Dans ma position, je ne vois que les deux globes blancs de ses fesses distendues, avec au centre le diaphragme de son anus luisant de mouillure. La tête tuméfiée de mon gland finit par atteindre sa cible. Dominique guide la manœuvre et commente l’opération :

cadeau18- Vas-y doucement, salope… Fais renter la tête… Tu la sens sa grosse bite qui t’ouvre le ventre ? Ça y est, c’est rentré, tu peux pousser… Voilà comme ça, jusqu’au bout… Enfonce le bien, en entier… Maintenant, tu ne bouges plus et tu te concentres sur le bâton de chair que t’as planté dans le rectum. Ouvre bien les cuisses que je voie tout ! T’en as la chatte toute dilatée, elle bâille comme un coquillage en plein soleil…

La chaleur du cul de Sofia m’irradie le ventre. Je suis à peine à l’étroit dans son boyau visqueux. De petits spasmes, en ondes langoureuses, me massent la bite. Incroyable, elle me branle de l’intérieur !  

Dominique est venue s’agenouiller face à Sofia. Les deux femmes sont désormais seins contre seins,  visage contre visage. Dominique entre alors dans une sorte de transe sexuelle qui la transfigure, la métamorphose en tribade effrénée. Elle alterne les caresses et les pincements, les baisers et les morsures, les mots doux et les insultes grossières. Dans un même mouvement, elle masse tendrement les seins de Sofia et l’instant d’après lui tord méchamment un mamelon ; elle l’embrasse avec fougue, à bouche que veux tu, puis lui mord cruellement les lèvres ; elle l’appelle « mon ange » juste après l’avoir traitée de « sale putain »...cadeau11

Sofia se laisse faire et n’en oublie pas pour autant son propre plaisir. Avec une régularité bien huilée, son cul me pistonne la bite, sur toute sa longueur. À ce rythme-là, mon éjaculation ne va pas tarder ! Devinant à mon souffle court l’imminence de l’explosion, Dominique change les positions, se glisse sous nos corps chevillés pour ne rien perdre du spectacle de ma jouissance. D’une langue fureteuse, elle lèche alternativement mes couilles et la vulve de Sofia… C’en est trop ! Je me retire juste à temps pour lâcher mes bordées de foutre sur l’anus béant de Sofia. Ça dégouline sur le visage heureux de Dominique, ça coule dans sa bouche ouverte, elle s’en délecte tout en se branlant vigoureusement avec le gode, vibrateur réglé à la vitesse maximum…

Plus tard dans la nuit, nous avons pris une longue douche ensemble, puis nous avons partagé le gâteau d’anniversaire de mariage. Un peu avant l’aube, nous avons appelé un taxi qui a ramené Sofia chez elle.

Le lendemain après-midi, nous avons repris le travail. Comme tous les jours, je me suis rendu au palais de justice où je suis greffier attaché au Procureur de la République. C’est moi qui rédige tous ses réquisitoires au nom de Ministère Public, spécialement dans les affaires de mœurs. En passant, j’ai déposé Dominique à son bureau : elle est conseillère juridique à l’association SOS-Femmes battues

 

© Michel Koppera, juin 2010

 

                                                      FIN

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Mercredi 2 juin 2010 3 02 /06 /Juin /2010 10:02

Suite des aventures de Sofia...

Le Cadeau ( 3ème partie )

  pg8 1

Dominique s’agenouille entre les jambes écartées de Sofia, retrousse sa jupe sur son ventre. Elle est quasiment nue là-dessous, même pas de culotte ! Sa chatte est encore plus belle qu’en photo. Elle a un mont de Vénus tout doux, moelleux comme un petit coussin. Dominique lui ouvre la chatte des deux mains et approche son visage de la vulve offerte. Elle prend son temps, s’enivre du lourd parfum de ce sexe de femme mûre, caresse tendrement le clitoris déjà dur et puis, du bout de la langue, elle le titille un peu. Sofia ne peut contenir un mouvement des hanches pour l’encourager à aller plus loin. Alors, Dominique plaque sa bouche sur la vulve humide, comme pour lui rouler un superbe patin. Quel spectacle fascinant que le visage de ma femme blotti entre des cuisses étrangères en train de lécher avidement son sexe. Sofia s’écartèle pour s’offrir encore davantage à la bouche qui lui dévore le ventre.

cadeauPendant ce temps, je masse les seins durs de notre invitée, tout en abandonnant ma bite raide à sa main experte en subtiles caresses. Il s’en faut de peu que je lui lâche tour sur les doigts. Heureusement, elle sait y faire pour retarder ma jouissance. Ma queue tendue trouve naturellement le chemin de ses lèvres entrouvertes. Avec surprise, j’entends alors la voix de Dominique qui a, pour quelques instants, abandonné sa proie :

- Suce-le bien salope, mais garde-toi bien de le faire jouir. Si jamais il t’éjacule dans la bouche, tu seras punie !

Après ces quelques mots, je m’attends à ce que Sofia se calme voire même m’abandonne tout à fait. Il n’en est rien, bien au contraire. Il me semble qu’elle redouble d’ardeur pour me pomper la bite. Elle y va à fond : des lèvres, de la langue, de la luette, des paumes qui me chauffent les couilles. La menace de Dominique me donne l’impression de l’avoir électrisée. Sa pipe est une merveille. Je sens que ça vient, vite, très vite. J’éjacule à gros bouillons en grognant de plaisir. Sofia avale tout, sauf une goutte de sperme qui perle à la commissure de ses lèvres. cadeau2

- Putain, qu’est-ce que je t’avais dit ! lâche méchamment Dominique. Ne crois pas que tu vas t’en tirer comme ça !

 

© Michel Koppera, juin 2010

 

cadeau4cadeau5
 

 

Le Cadeau ( 4ème partie )

  pg57 1

Dominique se relève et saisit brutalement Sofia par les poignets. Elle lui arrache sa jupe et la laisse en porte-jarretelles et escarpins, dans le plus simple appareil des filles de joie. Dominique se met dans la même tenue. Encore un peu groggy de plaisir, je les regarde. On pourrait les croire sœurs, si ce n’étaient leurs chattes, touffue pour l’une, intégralement rasée pour l’autre. Mais elles sont animées par des pulsions, des fantasmes complémentaires : désir de dominer, de faire souffrir pour l’une ; désir de se soumettre, d’être subjuguée pour l’autre.

- Mets-toi à genoux ! Les mains jointes, comme pour une prière !

Tout en feignant une vague résistance, Sofia s’exécute. Pourtant, rien qu’à la lueur de son regard, je devine des secrets désirs d’humiliation. Dominique aussi l’a compris. À l’aide d’une cordelette nylon torsadé, elle lui attache solidement les poignets et la force à coucher son buste sur le divan, ce qui soulève la croupe de son esclave d’une nuit. D’une tape au creux des reins, elle la force à se cambrer un maximum.

cadeau16- Ecarte les cuisses que je vois le trou de ton cul ! Salope, tu te rases jusque là ! T’es une vraie vicieuse. Je parie que t’adore qu’on te lèche le cul, je me trompe ?

- Non, j’adore ça… murmure Sofia.

- Répète-moi ça plus fort, qu’on t’entende bien !

- J’aime me faire lécher le cul.

- Et qu’on t’encule aussi ?

- Et qu’on m’encule…

- Pourtant, c’est pas pour maintenant. C’est mon mari qui t’enculera, dès qu’il bandera de nouveau, ce qui ne saurait tarder. En attendant, on va s’occuper de ton con. Chéri, va chercher le gode rose, le gros vibrant avec des billes, je l’ai mis à chauffer dans la salle de bain…. Ecarte encore plus les cuisses, je veux voir bâiller ta grande chatte bouffeuse de bites. Mais avant que je te baise, tu vas me sucer… Je crois que j’ai jamais été léchée par une femme, ou alors c’était il y a si longtemps que je ne m’en souviens plus.

 

© Michel koppera, juin 2010

 

 

Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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