Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
« Le rêve de la femme du pêcheur » est une des estampes érotiques japonaises les plus célèbres. Elle fut réalisée par Hokusaï vers 1820. Elle est à l’origine de nombreuses variantes sur le thème de l’accouplement d’une femme avec un poulpe géant. Au Japon, ce thème a même donné naissance à une catégorie spécifique de dessins hentaï ( BD érotique) appelée le shoshuku.
Il est à noter que sur l’estampe de Hosukaï, la femme est en fait l’objet des caresses de deux céphalopodes : alors que le plus gros est ventousé à son sexe, un plus petit prend soin de son sein gauche. L’image est d’une grande modernité dans sa représentation du désir, dans sa composition. L’intensité du regard du poulpe « cunnilinguiste » est saisissante de réalisme. Un chef d’œuvre !
Je vous propose une série de dessins et de photos sur le thème de ces amours tentaculaires…
Alina Reyes
Une nuit avec Marilyn
Paru aux éditions Zulma en 2002, réédité en Poche en 2009
Alina Reyes a imaginé la première nuit d’amour de Marilyn Monroe et JFK. Rien qu’une nuit, mais avec quel talent ! Le récit ne compte que 35 pages, mais c’est du concentré…
Page 27
… Oh Jack, comme j’aime les hommes !
Elle se retourna en miaulant, et s’assit sur le genou de jack, qui fut aussitôt trempé. Jack passa la main sur la large touffe brune de Marilyn, laissa glisser ses doigts dans la fente… Elle lui prit le poignet pour diriger ses mouvements, et cria presque instantanément, une série de cris qui finissaient en souffle, comme si elle avait une flûte dans la gorge. Puis elle se laissa retomber à côté de lui, les cuisses tremblantes, et dit d’une voix rauque :
- C’est un homme comme toi qu’il me faut… beau, fort, intelligent… C’est d’un homme comme toi que je voudrais des enfants… Allonge-toi, mon chou, je vais te masser…
- Encore ?
- Sois un peu sérieux… Je veux juste masser ton dos… Tu as besoin de repos… Le jour va bientôt se lever… Je vais te masser le dos et puis on dormira ensemble, tu veux bien ? Tu veux bien, Pa ?
- Tu es une drôle de petite fille, Norma…
ZOOM 39
De ce numéro, je vous propose
- Un portrait de jeune femme signé Edouard BOUBAT ( 1923-1999) un des maîtres de la photographie humaniste.
- Trois tableaux de Klaus LIEBIG ( artiste germanique né en 1936)
« Le jardin » ( 1974, huile sur toile, 140x140 )
« Papillons » ( 1975, huile sur toile, 180x140 )
« Le roi Louis II de Bavière et la Geyerwalli » ( 1975, huile sur toile, 180x140.)
- Trois photographies de Karel FONTEYNE ( déjà découvert dans ZOOM n° 25)
- Deux bodypainting signés Holger HOLGERSON. Le modèle en était la topmodel Veruschka von Lehnforff
Marie Louise O’Murphy de Boisfaily ( 1737-1814 ), maîtresse de Louis XV , était âgée de 15 ans lorsque François Boucher en exécuta le portrait en 1752. D’origine irlandaise, donna un enfant au roi mais elle se posa en rivale de la Pompadour ce qui lui valut sa disgrâce.
Le tableau de Boucher est d’un érotisme torride, surtout par la pose de la jeune fille qui semble littéralement avachie sur une sorte d’édredon mou, dans une posture qui lui écarte les cuisses et invite à la sodomie…
Sur ce thème, je vous propose une série de tableaux « fessus » et plus ou moins bandants…
Françoise REY, La femme de papier
1989, Editions Ramsay, Jean-Jacques Pauvert
Editions Pocket n° 3439
Chapitre IX, page 81 et suivantes
La narratrice se rend avec son compagnon dans un cinéma porno pour la première fois.
« J’ai finalement regardé l’écran. Nous n’étions qu’à quelques minutes du début du film, mais il s’en passait déjà de drôles. Une bonne femme en petite tenue (une nuisette et une culotte stratégiquement trouée) se donnait du plaisir sous l’évier avec un plombier visiblement innocent de toute préméditation et qui n’avait pas seulement eu le temps d’enlever son bleu de travail… Il la chancetiquait avec l’application et l’enthousiasme d’un bon ouvrier, et elle roucoulait sous les coups de lime, les jambes frénétiques, la croupe montée sur ressorts, les seins en cavale hors du décolleté de dentelle. ( …)
Et puis, pour faire durer sans doute, le plombier s’est retiré, et l’a laissée un peu gueuler toute seule. Elle se tortillait lubriquement, les genoux à un mètre cinquante l’un de l’autre, et la fente béante. Gros plan. L’endroit est peu poilu, visibilité oblige ; la chair semble hérissée, comme sous l’action du froid. On a une vue si directe, si nette de l’intimité de l’actrice, que ça ne peut précisément plus s’appeler une intimité. La voilà livrée à tout le monde, crevasse gigantesque et rougeâtre, muqueuses à nu, miroitantes, trou du cul plissé, à peine plus secret…
Elle se branle, bien sûr, c’était couru d’avance ; ses doigts voltigent de son con à son bouton, écartent les plis de peau, astiquent la longueur de la chatte, se baladent vers le trou du cul ; elle s’en met un dans le con, le ressort visiblement mouillé ; il brille ; elle s’humecte le clito avec, et repart en direction du trou, tout en appelant son baiseur avec des miaulements de chatte énamourée.
Nouveau gros plan, sur la queue du plombier cette fois. On voit que c’est un spécialiste en tuyaux. Il en possède un de gros calibre, vraiment ! Cette bite gonflée qui raye la combinaison bleue d’une chair rosâtre, veinée, noueuse, poilue à la base, me procure un formidable frisson. Elle bat sur le drap grossier du vêtement, et le gland éclate comme une cerise trop mûre. On le voit luire sous le feu des projecteurs, et couler d’un mince filet gluant… Bel engin, pour sûr, et fort suggestif !
La femelle continue de se tordre par terre, à s’écarquiller à pleines mains, à se peloter les mains et les fesses, à rouler des yeux blancs, à se lécher les lèvres d’une langue salace, et à proférer des saloperies.
Evidemment, lui n’y tient plus. Il la relève, l’assied sur l’évier, et enlève sa combinaison. (…) il va la bourrer debout, elle a un pied sur l’égouttoir et un pied sur la cuisinière. Il écarte les jambes, autant du moins que le lui permet le pantalon qui entrave ses chevilles, et l’œil voyeur de la caméra se fixe sur les couilles, de belle couilles, ma foi, brunes, velues, toniques… Ça fait envie, on insinuerait bien une main gourmande pour tâter cette paire aguichante qui tremble au rythme de leur sarabande…
Comme je me laisse emporter par ces images sans génie, mais non sans charme, je sens ta main sur mon genou, non sur ma cuisse, non, entre mes cuisses… C’est une main qui va très vite, et ce sont des cuisses très dociles… Tes doigts s’affolent à la lisière de mes bas, jouent avec les jarretelles, éprouvent la douceur de la chair entre le nylon et la culotte, et glissent avidement un peu plus haut, un peu plue loin, un peu plue avant, un peu plus profond… Te voilà, mon chéri ? Sois le bienvenu ! Je t’attendais sans vraiment y penser, tu sais ? Tu sens comme ça mouille ? J’ai bien envie de toi… Oui, mets-moi un doigt, c’est une excellente idée. Attends, je vais te faciliter la tâche !… Et je m’avance tout au bord du siège pour m’écarter davantage.
Sur l’écran, il la baise toujours. On a changé d’angle, perdu les couilles de vue. L’objectif est resserré sur le con glissant où coulisse régulièrement un manche d’une grosseur hallucinante. Cette régularité du mouvement me bouleverse. C’est une cadence qui parle davantage à mon imagination (…) Le siège de mon imagination, que je situais jusqu’à présent assez vaguement dans mon cerveau, vient brusquement de migrer : le voilà au bas de mon ventre, entre mes cuisses, entre mes fesses. Tempête dans une culotte… Je me mets à gamberger du sexe, à divaguer du con. »
Je me souviens de Brigitte Bardot…
Le corps et la voix de Brigitte Bardot ont accompagné mon adolescence et même une partie de ma vie adulte. Je dis le corps et la voix, car dans mes souvenirs les deux sont indissociables. Je me souviens de la première fois où j’ai vu son corps nu, c’était je crois dans le magazine LUI , et de mon émoi au spectacle de ses poils pubiens qui n’étaient pas aussi dorés que sa superbe chevelure.
Mais le paroxysme de l’érotisme de Bardot fut atteint au cinéma dans « En cas de malheur », au cours de la scène où elle va offrir son corps à l’avocat interprété par Jean Gabin.
En chanson, outre le duo initial et interdit de « Je t’aime moi non plus » avec Gainsbourg, la version clip de « Je ne reconnais plus personne en Harley Davidson… » n’est pas mal non plus, quand elle chevauchait son engin vêtue d’une courte jupe de cuir et de cuissardes de cuir noir…
Plus tard, il y eut le désenchantement avec les « dérapages » racistes et xénophobes que l’on connaît. Elle n’en reste pas moins une icône. Récemment, j’ai découvert en surfant sur internet des photos de jeunesse – d’avant sa célébrité- où elle posait de façon plus que suggestive et ces images en noir et blanc, de qualité médiocre m’ont arraché ces quelques pensées nostalgiques
Voici quelques images en vrac : photo de plateau de tournage où on peut voir sa superbe croupe, autre photo de film où elle est couchée aux côtés de Jane Birkin, et puis les plus secrètes pour terminer.
Erections cinéphiles
- Je me souviens de Claudia Cardinale dans le Guépard et dans Il était une fois dans l’ouest, quand elle était couchée nue aux côtés d’Henry Fonda.
- Je me souviens de Sophia Loren, en femme au foyer désenchantée dans Une journée particulière.
- Je me souviens de Ornella Muti dans La dernière femme, Les Contes de la Folie Ordinaire et surtout dans Dernier amour où elle était Renata, infirmière dans une maison de retraite.
- Je me souviens de la chute de reins de Michèle Mercier dans Angélique, Marquise des Anges.
- Je me souviens de Miou-Miou dans Les Valseuses et surtout dans Canicule de Yves Boisset où elle baisait avec enthousiasme avec le fugitif Lee Marvin.
- Je me souviens des chairs rebondies de Andréa Ferréol dans la Grande Bouffe de Marco Ferreri.
- Je me souviens de Mrs Robinson ( Anne Bancroft) enfilant ses bas devant le regard médusé de Dustin Hoffman dans le Lauréat.
- Je me souviens de Penelope Cruz dans Jamon, Jamon.
- Je me souviens de cuisses nues de Victoria Abril, assise sur une balançoire, dans La lune dans le caniveau.
- Je me souviens de Bernadette Laffont dans La fiancée du pirate et dans La maman et la putain de jean Eustache ( elle était une maman plus que désirable )
- Je me souviens de Andie Macdowell dans Sexe, mensonge et vidéo quand elle livrait ses confidences de femme frustrée et désirante face à la caméra immobile.
- je me souviens du soleil en contre-jour jouant dans les transparences de la petite robe de Isabelle Adjani dans l’Eté meurtrier.
Et vous, lectrices et lecteurs de ce blog, quels sont vos souvenirs de mouillures et érections cinéphiles
?... À vos claviers !
Derniers Commentaires