Dimanche 4 juillet 2010 7 04 /07 /Juil /2010 10:14

 

La meute, chapitre 4

meute8 De retour au pavillon, les chasseurs et chasseresses se rassemblent dans la cour pour la photo souvenir devant le tableau de chasse : quatre chevreuils et deux sangliers. Sur les sept chasseurs, deux sont rentrés bredouilles : M. Nioleau et moi-même. Maître Volponi a été plus chanceux avec deux pièces à son actif, dont le plus gros des sangliers. Des regards amusés et égrillards se sont posés sur l’épouse blonde du Conseiller général et sur Sofia qui est loin d’imaginer ce qui l’attend.

À la nuit tombante, nous nous sommes retrouvés entre hommes au grand salon près de la haute cheminée où flambe un grand feu. Les femmes ont suivi Isabelle Vallée à l’étage afin de se préparer pour la soirée : en effet, nos compagnes doivent nous rejoindre en robe légère, porte-jarretelles et bas noirs. Quant à nous, nous ne devrons porter ni sous-vêtement, ni pantalon à braguette boutonnée : Fermeture éclair obligatoire.  À chacun, le Docteur Dalban distribue un comprimé de Viagra pour pallier toute éventuelle défaillance.

On se met à table à 21 heures précises. Par rapport à la veille, le plan de table a un peu changé. Les places d’honneur ont été réservées à Catherine Nioleau et Sofia, solidement encadrées par Mrs Servole et Péchard. Les domestiques ont déposé les victuailles sur un buffet. Gaétan les a congédiés et a fermé les portes à clef. Pendant qu’on boit le champagne offert par les heureux « tueurs » du jour, Gaétan prend la parole :

- Comme vous l’avez constaté, deux d’entre nous sont rentrés bredouilles. Nous allons donc procéder comme le veut l’usage de notre communauté à la désignation du gibier de la nuit. Vous allez devoir choisir entre Catherine et Sofia. À côté de vos couverts, il y a deux papiers blancs. Sur le plus petit, je vous demande d’inscrire le nom de votre candidate favorite ; sur le second, vous indiquerez en un seul mot l’épreuve à laquelle vous souhaitez soumettre l’heureuse élue. Il va de soi que les deux candidates ne participeront pas au scrutin.

Au regard inquiet que m’adresse Sofia, je comprends qu’elle commence à se rendre compte des enjeux de cette soirée très particulière. Le dépouillement du premier vote a lieu  aussitôt : douze bulletins, onze suffrages exprimés. Sept voix pour Sofia, quatre pour Catherine. À la majorité absolue, Sofia est élue « Gibier d’honneur ».meute35

Quant au second vote, les bulletins en sont réunis dans la grande coupe de métal argenté posée sur l’autel au centre du fer à cheval des tables, recouvert pour l’occasion d’une sorte de drap noir.

Le dîner se déroule comme si de rien n’était. Les conversations roulent bon train. Même Sofia donne l’impression d’être rassurée et mange avec appétit. En fin de repas, l’assemblée entonne quelques chansons paillardes comme :

Sur les bords de la Tamise

Une Anglaise se promenait

Elle relève sa chemise

Et se met à fredonner :

 Refrain : J’ai un morpion qui me gratte la foufoune

J’ai un morpion qui me gratte le cul (bis )

Sur les bords de la Tamise

Deux Anglaises se promenaient…

Et les sept femmes de la tablée de se lever à tour de rôle, de relever leur robe et de mimer avec des gestes obscènes les paroles du refrain. C’est l’occasion de constater qu’effectivement elles portent toutes des bas noirs, un porte-jarretelles et une petite culotte de dentelle blanche.

Après le café, Gaétan se lève, prend Sofia par le bras et la mène jusqu’à l’autel au drap noir :

- Ma chère Sofia, vous avez été désignée « Reine de notre nuit ». Dans cette coupe, il y a les douze épreuves qui vous attendent. Que la fête commence !

Sofia glisse une main hésitante dans la coupe et y saisit entre le pouce et l’index une des petites feuilles pliées en quatre. Lorsqu’elle lit ce qui est écrit, je la vois pâlir et tressaillir. Puis, elle respire un grand coup, comme un sportif avant de prendre sa course d’élan. Dans un silence de cathédrale, on entend sa voix blanche :

- Stip-tease.

      

 à suivre …..

©Michel Koppera, juin 2010

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Samedi 3 juillet 2010 6 03 /07 /Juil /2010 09:43

 

La Meute ( chapitre 3 )

 

Le lendemain matin, après le petit déjeuner, Gaétan réunit tous les hommes au chenil afin de nous briefer sur la partie de chasse :

- On commence à dix heures. Fin de partie à seize heures précises. On va vous attribuer un poste que vous ne devrez en aucun cas quitter de la journée sans m’en avertir. Surtout, ne vous aventurez pas dans le sous-bois, même pour pisser ! Un accident est vite arrivé. Vous serez tous postés à un croisement d’allées : si le gibier passe, en principe, vous ne pourrez pas le rater. Faites confiance aux chiens et aux rabatteurs, ils connaissent leur boulot. Pour terminer, un petit problème : pour cette journée, je n’ai pu obtenir que six bagues. Ce qui veut dire, comme vous l’avez compris, que parmi nous, il y en aura au moins un qui ce soir n’aura rien tué. Dois-je vous rappeler notre règle : celui qui est bredouille doit en contrepartie offrir sa compagne au tableau de chasse. Ceci étant dit, messieurs, bonne chasse et que le meilleur perde !

 

meute3En milieu de matinée, un quatre-quatre nous dépose, Sofia et moi, au poste d’affût que nous avons tiré au sort. Nous nous trouvons au croisement de deux très larges allées dont on ne voit pas la fin qui se perd sous les arbres. Avant de nous laisser, on nous donne les dernières consignes :

- Vous n’avez le droit de tirer que le chevreuil et le cochon. Si vous avez tué, vous cornerez deux fois ; par contre, si la bête est simplement blessée, vous ne devez corner qu’une fois. Vous ne bougez pas de là avant qu’on vienne vous rechercher vers seize heures. Bonne journée.

Il y a plus pénible comme situation que de rester plusieurs heures, en pleine nature, en compagnie d’une jeune femme plutôt bien foutue, surtout quand on a déjà joui dans sa bouche au cours de la nuit précédente. Pour l’occasion, Sofia a fait dans la tenue de camouflage, façon ni vu, ni connu : veste fauve, bottes de daim, pantalon et casquette marron. Je lui ai trouvé un fusil assez léger dont elle n’est pas peu fière, même si elle ne sait pas trop comment le tenir. C’est sûr, elle est plus à l’aise avec une bite dans la main !meute55

Ce jour-là, le ciel est bas, mais il ne pleut plus. L’air est saturé d’humidité et d’odeurs de champignons. Il ne faut pas parler fort. De temps à autre, on entend au loin les aboiements de la meute des chiens  qui viennent  peut-être de lever un gros gibier. Vers midi, il y a une série de coups de feu, à l’ouest, puis des sonneries de corne, mais nous n’entendons pas très bien. Quand Sofia a une envie pressante, elle me tourne le dos et s’accroupit au bord de l’allée et je vois pour la première fois en pleine lumière ses fesses nues, deux globes de peau claire d’où jaillit en leur milieu un jet d’urine fumante dans l’air froid de novembre. Je me mets à bander. Avant même de lui laisser le temps de se reculotter, j’ai les doigts dans sa fente, elle a ma bite en main. On s’embrasse. C’est cet instant précis que choisit un gros sanglier pour traverser l’allée, à même pas vingt mètres de nous. Il s’arrête même quelques secondes pour nous jeter un regard, et peut-être nous narguer. Evidemment, dès que nous bougeons pour nous emparer de nos fusils, il disparaît en trottinant dans le sous-bois.

Pendant les deux heures qui suivent, il ne se passe plus rien. On se sent tous les deux un peu stupides, voire inutiles. Je bande toujours, mais plus question de se tripoter. Sofia m’observe de coin de l’œil, avec un soupçon de malice. Enfin, alors qu’on n’y croit plus, les aboiements des chiens se rapprochent : ils viennent droit vers nous. On entend distinctement les clameurs des rabatteurs qui excitent et encouragent la meute.

- Tiens-toi prête, dis-je tout bas à Sofia. Ça peut déboucher à tout moment. Je te laisse tirer la première. Saisis ta chance !

Tout se déroule très vite : un beau chevreuil surgit du sous-bois, un  mâle âgé de trois ou quatre ans. Sofia épaule, tire deux fois. La bête fait un bond de côté et poursuit sa course. J’ai encore eu le temps de lui tirer dessus une fois avant qu’elle ne disparaisse sous les arbres…

- Je suis désolée, dit Sofia, je ne suis pas faite pour ça !

- Ce n’est pas grave.

Et pourtant…

À suivre…

 

© Michel Koppera, juin 2010

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Vendredi 2 juillet 2010 5 02 /07 /Juil /2010 07:18

 

La Meute ( chapitre 2 )

meute53Je reconnais quelques visages familiers, comme M. Nioleau, Conseiller Général fraîchement réélu, venu avec son épouse Catherine, une belle femme blonde beaucoup plus jeune que lui ; il y a aussi Maître Volponi, le notaire en charge du patrimoine de Gaétan. Pour une fois, Mme Volponi a suivi son mari. C’est la première fois que je la rencontre : la cinquantaine, pas très grande, grassouillette, sans doute fausse blonde, elle se prénomme Solange. Toutes les autres têtes me sont inconnues : Monsieur Dalban, médecin personnel de Gaétan et son épouse Yvonne, belle métisse trentenaire, originaire des Antilles ; M. Péchard, concessionnaire automobile Audi et son épouse Rachel aux cheveux de jais, sans doute la quarantaine ; enfin, M. Servole, agent immobilier - dont il a naturellement le bagout de bonimenteur - qui est venu accompagné de sa « secrétaire de direction », une grande femme rousse aux allures de garçon manqué et prénommée Violaine. Tous les hommes ont la cinquantaine et l’assurance que procure la fortune. Leurs compagnes ont l’élégance discrète des bourgeoises libérées des soucis d’argent.

À chacun d’entre eux, il me faut présenter Sofia : «  Sofia D*, avocate stagiaire, trente-deux ans, divorcée, sans enfant, si j’en crois son C.V ». Pour le reste, ils peuvent juger sur pièce : un mètre soixante-huit,  à vue de nez une soixantaine de kilos, cheveux bruns mi-longs avec des reflets ambrés, yeux verts… Pour ce premier soir, elle porte une jupe en daim, des bottes de cuir noir et un pull moulant en cachemire qui met en valeur sa poitrine dont je n’avais pas encore remarqué qu’elle est si généreuse.

meute43Pendant le dîner, je me retrouve dans l’entourage de Péchard et de Nioleau, à parler bagnoles et politique. À quelques chaises de là, Sofia assise entre madame Volponi et le docteur Dalban semble faire bonne figure. Le plan de table est disposé en fer à cheval, comme pour la célébration d’un mariage. Dans l’espace vide au centre, il y a une sorte d’autel recouvert d’une nappe d’un blanc immaculé où a été posée une grande coupe en métal argenté dont j’ignore encore l’importance.

Le dîner se passe entre personnes de bonne compagnie. Chacun est fatigué et pressé d’être au lendemain. Au moment du coucher, Gaétan m’attire à l’écart :

- On a un petit problème. On avait prévu que tu viennes avec Véronique et on n’a que sept chambres. Ça veut dire que tu vas devoir passer la nuit en compagnie de ta stagiaire. Rassure-toi, Isabelle s’est débrouillée pour vous donner la seule chambre à deux lits. Demain matin, lever à sept heures et rendez-vous deux heures plus tard au chenil…

La chambre est au premier étage, spacieuse mais froide. Un paravent a été déployé entre les deux lits. Sofia se fait discrète : on échange quelques phrases sans importance, puis plus rien. Il est tard, nous tombons de sommeil.

Au cœur de la nuit, je suis réveillé par des bruits étranges. Au début, je pense aux grattements d’une souris dans les combles. Non, c’est tout proche. Dans l’obscurité, les sons deviennent plus clairs, plus précis. Je finis par entendre distinctement un souffle court, des frôlements, une agitation sans ambiguïté : de l’autre côté du paravent, Sofia est en train de se branler. meute27

Quelques instants plus tard, je suis dans le lit de Sofia, mes mains sous ses fesses, ma bite dans sa bouche, mes lèvres sur son con. Dans le noir, sevré du plaisir des yeux, tous mes sens sont en éveil. Pour la première fois, je goûte au désir de Sofia, à sa mouillure sucrée. Elle a la vulve pulpeuse, le clitoris arrogant, le cul à peine amer. Du bout des doigts, je parcours ses seins, son ventre doux, sa croupe cambrée. Je me gave du parfum de sa chatte humide. Et quand je jouis dans sa bouche, j’entends les bruits de sa déglutition polie.

Elle a du savoir-vivre, c’est une vraie femme du monde.

                                                       

À suivre…

 

© Michel Koppera, juin 2010

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Jeudi 1 juillet 2010 4 01 /07 /Juil /2010 08:45

 

meute7

La meute

 Tout a commencé jeudi dernier, pendant une suspension d’audience du procès où j’assurais la défense d’un fourgueur de cocaïne bien connu dans le milieu de showbiz. Je patientais dans la salle des pas perdus du palais de justice quand, un portable à la main,  un huissier s’est approché de moi :

- Maître Koppera ? Un appel pour vous…

C’était Gaétan Vallée, un ami PDG de Styx-Europa, une boîte d’import-export, qui me proposait un week-end de chasse au gros gibier dans sa propriété privée de Sologne : mille six cents hectares de forêt et de plans d’eau près de Millançay.

- Bien entendu, on t’attend avec ton épouse.

- Je suis désolé, mais pour Véronique ce ne sera pas possible : elle est sur la côte, chez ses parents… Son père a été hospitalisé en urgence.

- C’est embêtant… Tu ne pourrais pas venir avec quelqu’un d’autre ?

- Eventuellement … Mais quel est le problème ?

- Bah, une connerie, comme d’habitude ! Tu connais Isabelle, ma femme, comme elle est superstitieuse. Si tu viens seul, on se retrouvera treize à table et, pour elle, ça porte malheur. Elle en serait malade et le week-end serait gâché pour tout le monde. Je peux compter sur toi ?

- C’est entendu, je vais m’arranger pour venir en bonne compagnie…

 

meute40Le soir, de retour au cabinet, j’ai croisé Sofia, notre stagiaire, qui partait avec un gros dossier sous le bras.

- Dites-moi, Sofia, vous aimez la chasse ?

- Ni oui, ni non… À vrai dire, je n’y connais rien du tout !

- Vous êtes libre le week-end prochain ?

- A priori oui, je n’ai rien de prévu…

- Ça vous dirait une partie de chasse en Sologne ?

                                                 *** /***


Le rendez-vous est fixé au vendredi soir, vers vingt heures. On est fin novembre, le temps est maussade. On parcourt les deux cents kilomètres sous une pluie fine mais tenace. Au bout d’une interminable avenue de gravier blanc bordée de marronniers, le pavillon de chasse a de la gueule, des allures de manoir, sans doute construit au début du XIXème siècle. Dès le vestibule, Sofia est très impressionnée par les trophées de chasse accrochés aux murs : hures massives de sangliers, massacres de cerfs majestueux, innombrables têtes de chevreuils aux regards attendrissants… Nous sommes les derniers arrivants, un peu en retard comme d’habitude. On nous introduit directement dans la salle à manger où Gaétan, en maître des lieux, fait les présentations. Au bout de la table, sa femme Isabelle guette déjà les moindres gestes de Sofia qui n’en mène pas large.

 À suivre…

 

© Michel Koppera, juin 2010

 meute48

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Mardi 29 juin 2010 2 29 /06 /Juin /2010 13:55

La Meute J - 2

 

Amusement 19. Petit intermède avant les aboiements de la Meute

lacoste

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Lundi 28 juin 2010 1 28 /06 /Juin /2010 07:26

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Samedi 26 juin 2010 6 26 /06 /Juin /2010 19:36

groupe1groupe2 groupe3 groupe4 groupe5groupe6groupe7groupe8groupe9groupe10groupe11

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Jeudi 24 juin 2010 4 24 /06 /Juin /2010 04:59

 

La Meute : J - 7

 

ZOOM 44

Mai-juin 1977.

Pour commencer, une illustration non signée pour accompagner l’annonce de l’ouverture d’une nouvelle galerie à Paris : « La Galerie » 8 Rue de la Ferronnerie dans le 1er arrondissement. (Si l’un d’entre vous reconnaît ce dessin et peut identifier son auteur, qu’il n’hésite pas à me le communiquer )

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Poursuivons avec une photographie très connue de Ruth Orkin : « American Girl in Florence », 1951. Il ne manque que le fond sonore ( quolibets et sifflets obscènes) pour comprendre le calvaire de cette jeune femme.

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Enfin, un portfolio consacré aux travaux de Roy Volkmann, photographe né à Saint-Louis dans le Missouri.

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Par michel koppera - Publié dans : zoom - Communauté : Arts érotiques
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Dimanche 20 juin 2010 7 20 /06 /Juin /2010 10:38

La Meute J - 11

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Second volet et fin ( provisoire ? ) du diptique consacré aux dessins de Loïc Dubigeon.

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Fantasmes et écriture
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Samedi 19 juin 2010 6 19 /06 /Juin /2010 11:06

Aujourd'hui, premier volet d'un diptique consacré à un des maîtres du dessin BDSM, j'ai nommé Loïc Dubigeon. Il est né en 1934 à Nantes et j'ai découvert ses premières oeuvres dans les années 1970 à l'occasion de la sortie d'un album où il illustrait Histoire d'O. Je vous laisse admirer...

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