Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
La seconde partie sera entièrement consacrée à l’oeuvre de Aloys ZOTL, peintre autrichien né en 1803. Son bestiaire composé d’environ 170 aquarelles ne fut réellement découvert qu’en 1955 lors de la dispersion de cette collection unique au cours d’une vente à l’Hôtel Drouot. Or, il se trouve qu’à cette vente était présent André Breton qui sauva ces œuvres de l’oubli. Aloys Zötl réalisa ces aquarelles entre 1832 et 1887. Outre la grande qualité du dessin, c’est la vision essentiellement anthropomorphiste des animaux qui est intéressante. (je pense en particulier à la représentation des grands singes, comme l’orang-outan avec cette branche très pudique qui cache le sexe du mâle )
Orang-outan d’Asie, 15 octobre 1873
L’Eléphant d’Asie, 2 juin 1886
Le Chameau, 15 juillet 1846 (noter l’erreur géographique avec ces pyramides en arrière-plan, ce qui sous-entend
une confusion entre dromadaire et chameau)
Le Gibbon, 11 avril 1833
Le Boa constricteur, 16 mai 1836
ZOOM 42
Après un n° 41 plutôt maigrichon en images, voici le n° 42 tellement fourni qu’il fera l’objet de deux articles.
Commençons donc par les photographies
1) Pete TURNER, photographe américain né en 1934 à New-York, a beaucoup collaboré avec le cinéma ( notamment avec Spielberg ) Il faisait la couverture de ce numéro de ZOOM
2) Bishin JUMONJI, photographe japonais né à Yokohama en 1947, qui utilisait la technique du collage pour créer un univers souvent fantastique.
3) J. SEELY, avait 29 ans en 1977 et était déjà prof d’art photographique à Middleton (Connecticut). Les images présentées étaient obtenues à la suite de tirages successifs sur papier très « dur » de façon à accentuer au maximum les contrastes jusqu’à disparition totale des gris.
En complément des desserts grivois, Nicole m'a adressé ce document... Ouvrez vos braguettes et vos porte-monnaie !
J'ai retrouvé ces deux documents dans un vieux numéro de Curiosa. Je me souviens avoir aussi vu des documents semblables sur l'art de déguster les asperges, mais je n'ai pu les retrouver. Si l'un(e) d'entre vous possède dans ses archives des documents de ce genre et accepte de les partager avec ce blog, j'en serais très heureux. Vous pouvez me les adresser à l'adresse habituelle mkoppera@orange.fr
Entre 1985 et 1990, j'ai réalisé toute une série de collages ( une vingtaine en tout ) à partir de photographies que j'avais réalisées et délaissées. Le principe était toujours le même : prendre la photo noir et blanc en format 30 X 40 comme support et y ajouter des éléments ( dessins, photos... ) le plus souvent de couleur. De cette série, il ne me reste que 5 exemplaires que je vais vous présenter dans les semaines qui suivent. Je suis désolé pour la qualité de l'image mais les "oeuvres" sont sous verre et trop grandes pour être scannées.
J'ai intitulé la première "Piège" mais si vous avez d'autres suggestions, je suis preneur.
Fidèle lectrice de ce blog, Nicole m'a de nouveau autorisé à mettre en ligne une de ses oeuvres. Comme d'habitude, il s'agit d'une de ses images saisies au cours de ses déambulations dans les couloirs du métro ou dans les rues en quête de bribes de notre mémoire collective, de spectacles passés... Elle a intitulé cette photo "Pieta 2" ce qui convient bien à l'expression à la fois douloureuse et extatique du visage... J'y ajouterai simplement en sous-titre "Fragment du discours amoureux", comme un clin d'oeil à Roland Barthes qu'on célèbre ces jours-ci...
Lors de ma première visite au Musée du Prado à Madrid ( c'était en 1985, je crois) je m'étais longuement attardé devant la "Maja desnuda" de Goya ( oeuvre datée de 1800 ) sans trop me demander ce qui me fascinait dans ce tableau. Ce n'est que des années plus tard que j'ai compris, au-delà de la nudité du modèle, combien ces bras relevés et repliés contribuaient à l'harmonie de son corps. Puis, je me suis intéressé à d'autres "odalisques" où j'ai souvent retrouvé cette même symbolique du bras replié au-dessus de la tête qui représente à la fois la nonchalance, l'abandon, la sensualité et l'invitation au plaisir...







Dernière minute : arrêt du blog pour le week-end prolongé, reprise
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