Samedi 5 décembre 2009 6 05 /12 /Déc /2009 15:35

En 1985, je découvrais un photographe "de charme" nommé Dahmane. Né en 1959, il a depuis fait son chemin. Je vous propose aujourd'hui une série de photos en noir en blanc extraites du numéro spécial "Bookstop" qui lui était entièrement consacré. Les modèles se prénommaient Adélaïde, Raphaëlle, Jeanne, Isabelle, Dorothée, Teddy ou Allessandra.


Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera
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Vendredi 4 décembre 2009 5 04 /12 /Déc /2009 09:33

Dans mon précédent article, j'avais mis en ligne une publicité "Perrier" datant des années 1980 ( sans doute 1982 ) À la lecture de la signature du dessin je l'avais attribuée à un certain Ancet. Or, après de nombreuses recherches sur le net et dans les archives de la marque, je n'ai pu retrouver aucune trace de cet illustrateur ( J'ai pourtant essayé d'autres graphies comme Anlet, Aulet... sans résultat) De même, pas de trace de cette campagne de pub qui s'était pourtant déclinée en plusieurs dessins dont je n'ai gardé que 3 exemplaires.
Si quelqu'un connaît le nom de l'auteur de ces illustrations, je lui serais très reconnaissant de me renseigner, et s'il a lui-même d'autres images de cette campagne, de nous les faire partager. En attendant, je vous présente les deux autres pages en ma possession, ainsi, en bonus, qu'une affiche signée Villemot pour Perrier ( celle-là, vous la connaissez déjà sans doute, mais ça ne fait pas de mal de la revoir ! ) 

Par michel koppera - Publié dans : souvenirs
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Mercredi 2 décembre 2009 3 02 /12 /Déc /2009 14:09

Voici le 35ème et dernier volet de la série des "Baiser". Evidemment, il ne s'agit pas du dernier que j'aie écrit - il y en a encore quinze autres - mais j'en réserve l'intégralité à mon éditeur. Je vous tiendrai au courant des péripéties de ce manuscrit. En attendant, je vous remercie de votre fidélité, de l'intérêt que vous avez porté à ces textes ( si j'en crois vos nombreuses connexions et lectures de ces inédits ). Donc, à l'occasion de ce dernier chapitre, je vous ai concocté un article aux petits oignons, avec dessin original de Camille (voir son blog dans mes liens ) spécialement réalisé pour ce texte, un dessin de Blachon, une ancienne pub Perrier signée Ancet et d'autres petites perles... Bonne lecture et rendez-vous pour l'intégralité de ces textes lors de leur parution en livre papier... 

Baiser en bateau

 

Il y a quelques décennies, Philippe Lavil nous chantait que celle qui préférait l’amour en mer, c’était soi-disant pour une question de tempo. La marine en était fière ? C’est à voir, car outre que la femme n’est généralement pas la bienvenue à bord, baiser en bateau peut révéler bien des surprises.

Tout d’abord, mettons une fois pour toutes fin au mythe de la baise en gondole, avec orgasme sous le Pont des Soupirs, le bien nommé. Foutaises ! Les canaux sont glauques, l’eau douteuse et les tarifs exorbitants. Si vous tenez vraiment à baiser à Venise, prenez le vaporetto aux heures d’affluence et vous y trouverez facilement chatte à votre queue.

Les paquebots de croisière, style Queen Mary II ont leurs adeptes ; ce sont les mêmes qui achètent, au rabais, des séjours touristiques de deux semaines en demi-pension à Marrakech ou en Thaïlande. On y baise en cabine climatisée, entre une séance de step et un grand concours de karaoké.

Les nostalgiques des grandes heures de la marine à voile choisiront de baiser à bord d’un vieux gréement. Il faut cependant aimer astiquer les cuivres, hisser les voiles à l’huile de coude et chanter en chœur la chanson de Surcouf, « Au trente et un du mois d’août… » Cela accompli, vous pourrez, si vous en avez encore la force, partouzer entre matelots suspendus dans les hamacs de l’entrepont.

Ceux qui ont la chance de résider près d’un port de pêche pourront tenter l’aventure sur un chalutier. Ils baiseront entre deux palanquées de poisson frais, accrochés au bastingage, le ciré jaune aux chevilles, les doigts constellés d’écailles argentées. Selon les saisons, leurs caresses laisseront sur leurs ventres nus des sillages de sardines, de maquereaux frétillants ou de merlus, odeurs qui s’accrocheront aux poils du cul et ajouteront un arrière-goût de marée basse au foutre qu’ils répandront en abondance sur le pont mouillé.

Il y a des années, j’ai connu le bosco d’un vraquier qui traînait sa rouille d’un rivage à l’autre de l’Atlantique. Lors du chargement des cargaisons, le spectacle de la goulotte de la trémie vomissant à jet continu ses gerbes de blé ou de soja dans les soutes béantes lui procurait de furieuses érections. Il se trouvait alors quelque cul charitable – ou le plus souvent payant – pour le soulager. Le plus étonnant, c’est qu’à l’arrivée, la vue des énormes tuyaux plongeant dans le ventre ouvert du cargo pour aspirer le grain vers les silos le laissait totalement indifférent.

Sur l’eau, on peut assouvir presque tous les fantasmes. Il y a ceux qui baisent dans les car-ferries, rien que le plaisir de se prendre sur le capot d’une Jaguar ou d’une Ferrari ; ceux qui jouissent sur un porte-avions en écoutant décoller des Rafale équipés de missiles air-air capables de pulvériser un fou de Bassan en plein vol ; ceux que les empilements de boîtes sur le pont d’un porte-conteneurs excitent au plus haut point : ils s’imaginent en train de baiser filmés par des milliers de caméscopes, au milieu d’innombrables jouets interdits made in China, de poupées gonflables et de petites culottes en coton asiatique ; ceux qui reniflent l’odeur du brut sur les pétroliers ou du gaz sur les méthaniers ; ceux qui aiment baiser à l’étroit sur une bannette de voilier ; les paresseux qui baisent langoureusement sur une péniche ; ceux qui jouent aux naufragés sur des canots pneumatiques et qui baisent comme si c’était la dernière fois ; ceux qui s’offrent le grand frisson sur un remorqueur de haute mer, par une nuit de tempête force 9 au large d’Ouessant ; ceux qui préfèrent l’exotisme épicé des boutres et des sampans…

Moi, je me suis pris le grand pied marin, un soir de mousson, à bord d’une pirogue à balancier, au large des côtes malgaches. On était partis pour la nuit à la pêche au poisson de roche, juste au-dessus de la barrière de corail. La coque en badamier de la pirogue était si étroite qu’on s’y tenait tous les deux à genoux, l’un derrière l’autre. Ma belle coéquipière sakalave me présentait sa croupe brune sous son lambe relevé sur les hanches. Pendant que nous ferrions les vivaneaux, poissons-perroquets et autres casse-marmite, je lui harponnais fermement le cul, et à chaque secousse, les balanciers de la pirogue qui froissaient les eaux noires réveillaient des constellations d’algues phosphorescentes du plus bel effet.

 

© Michel Koppera, juin 2009

 

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Dimanche 29 novembre 2009 7 29 /11 /Nov /2009 10:28

Pour ce second article d'entre femmes, je suis allé chercher les images dans le magnifique album "Cartes postales pornographiques de la Belle Epoque" publié en mars 1982 par Le Club du Livre Secret. Sous titré : " Journal intime illustré d'Alfred de Montel". Voici donc les 8 photos saphiques de cet ouvrage.

Par michel koppera - Publié dans : sapho - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 27 novembre 2009 5 27 /11 /Nov /2009 14:03

Aujourd'hui, création d'une nouvelle catégorie d'articles que j'ai tout simplement intitulée "Sapho". Elle réunira toutes les images d'archives de femmes entre elles, que ce soit des dessins, des photos ou des textes. Pour ce premier article, je vous ai retrouvé un album publié par Eric Losfled en 1972 qui avait pour titre "Quand les hommes rêvaient à l'amour" . L'auteur en était Erik Nörgaard et l'album était essentiellement composé de photos et dessins, plus ou moins suggestifs.

Pour commencer, cette très belle image de L'Illustratet familie-journal daté de 1896 et intitulée "Deux amies". Vraiment magnifique, image qui donnerait envie d'écrire une nouvelle ou pourquoi pas un roman.
Déshabillage immoral intitulé en français et en anglais "Le plaisir de l'Espagnol"

Illustration pour "Le pensionnat de Madame CLERVAL", vers 1920
Gravure de mode des années 1880. Tout est sous-entendu...
"Le bain de madame" illsutration de roman. Le thème inusable des amours ancillaires
Photo stéréoscopique sur le thème lesbien...

"Les patineuses", carte postale retouchée vendue en France. Les patineuses ou les tapineuses ?
Sans commentaire.
Dessin de Labocetta, dessinateur français des années 1920. Orientalisme, lesbianisme...
"Bain de soleil" tiré d'un ouvrage ayant pour titre "La médecine naturelle"
Gravure de Heinrich RAMBERG datant de la seconde moitié du 19ème siècle
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Mercredi 25 novembre 2009 3 25 /11 /Nov /2009 13:10

André BARRIOL, les filles du campus, 2002, éditions média 1000

Quatrième volet des extraits tirés du "Livre du plaisir"  ( Livre de poche n° 15064) présenté par Catherine Breillat. Il s'agit cette fois d'un passage qui ne fait pas dans la dentelle. C'est du porno brut, du hard... pur et dur.
  

Shirl a fait un demi-tour sur elle-même pour montrer au gros flic le cul que je venais d’admirer. Elle gardait la tête baissée, évitant mon regard. Il a eu un sifflement.

- Ah ça, il sait pas la chance qu’il a Rommy ! Si ma femme était roulée comme ça, sûr que je ne ferais pas les nuits ! Ha ha ! Allez, mets-toi sur le lit maintenant !

Shirl s’est couchée sur le dos sur le couvre-lit crasseux aux couleurs des Minnesota Vikings. Le gros flic s’est approché tournant autour d’elle et, du bout de sa matraque, il lui a piqué le haut de la cuisse.

- Écarte un peu ! Fais voir ton minou !

Il s’est assis aux pieds de Shirl qui, lentement, écartait les cuisses et relevait les genoux pour qu’il puisse lorgner son sexe. Il a tendu le bras, laissant la pointe de son bâton noir jouer dans les poils châtains du pubis renflé de Shirley.

- Maintenant, tu vas me raconter ce que tu fais avec les mecs, Mrs Purnell la pute ! Tu as dû t’en envoyer un paquet, hein, chaude comme tu es ?

Shirley a tourné la tête dans ma direction. Ses yeux verts avaient cette coloration trouble qu’ils prenaient quand elle faisait l’amour. Elle s’est retournée vers Walt.

- Beaucoup…

- Combien ? Dis-le ! Combien tu en as baisé, ma pute ?

- Je..  je ne sais pas… vingt… trente…

- Tu est vraiment une traînée, Shirley, tu sais ça ? Et qu’est-ce que tu leur fais à tous ces mecs que tu t’envoies ? Dis-le !

Je voyais la poitrine plate de Shirl, juste marquée de deux larges aréoles violacées, se gonfler. J’entendais presque son souffle rapide.

- Je… je les prends dans ma bouche…

Presque timidement, Shirl a déplacé sa main droite. Elle l’a posée sur son ventre d’abord…

- Tu suces, c’est ça, t’es une suceuse ? Dis-le ! Dis ce que ça te fait !

Sa main a glissé, lentement  au début, puis plus vite, et s’est lovée sur son pubis. Son bassin s’est soulevé imperceptiblement et son majeur a pris sa place dans la fente pendant que, de sa paume ouverte, elle s’écrasait le clitoris.

- Je… j’aime ça, quand ils grossissent dans ma bouche… j’aime sucer leur …pénis…

- Ça te fait mouiller de pomper toutes ces bites, pas vrai ? Et là t’es trempée, t’en peux plus. Tu penses à toutes ces queues que tu t’en envoyées, hein ?

Elle se branlait de plus en plus vite et ses babines humides s’entrechoquaient avec un bruit de clapot.

- J’aime quand ils…je…j’aime leur sperme…

Walt s’est soulevé sur un genou et a pointé le bout de sa matraque sur la main de Shirl, l’obligeant à la retirer et à interrompre sa masturbation.

- … j’aime quand ils sortent de…ma chatte pour… j’aime le goût de mon sexe sur… leur pénis…

La grosse tige pressait contre les grandes lèvres de Shirley qui avait de plus en plus de mal à articuler. Elle haletait, jouissant de se confesser, d’exhiber ses vices comme elle exhibait son corps. Du bout des doigts, elle a tiré sur ses babines trempées pour ouvrir sa fente. Le bout renflé de la matraque a paru hésiter un instant puis s’est engouffré dans son vagin. Son ventre a frémi et elle a glissé un peu plus bas sur le couvre-lit pour s’offrir davantage à la tige caoutchoutée qui lui fouillait la chatte en reprenant son gros clitoris entre deux doigts.

- T’es qu’une pute, tu sais ça, une pute !

Elle s’est mise à geindre en se tortillant sur le lit crasseux, ondulant du bassin, pendant que l’armoire à glace lui enfournait son bâton sur près de vingt centimètres. Elle a tourné la tête vers moi et cette fois son regard flou, presque celui d’une droguée, s’est attardé sur le mien…

Walt a retiré brutalement la matraque de son vagin, lui arrachant un petit cri. Elle s’est aussitôt  introduit deux doigts dans le sexe comme si elle ne supportait pas de le sentir vide.

- Suce-la ! Tiens, goûte à ta chatte !

Il a pointé la matraque luisante de mouillure vers son visage et, docilement, elle a ouvert la bouche, suçant l’épais bâton comme si c’était une bite, la nettoyant sur toute la longueur, lapant la bave dont elle était enduite. Puis le gros flic la lui a retirée, la laissant bouche ouverte, langue tendue, avide. Et il a recommencé à la baiser brutalement avec l’épais bâton. Shirl accompagnait les mouvements de son poignet de coups de reins. Elle gémissait en se tortillant, les yeux mi-clos, le visage dans ma direction.

- Je… je … aime Eric… parce… qu’il me…  me prend toujours… par… par derrière…

Walt a arrêté d’un coup ses va-et-vient et a laissé glissé la matraque luisante entre les lèvres trop longues de Shirl.

- Répète-le ! Répète ce que tu viens de dire, espèce de salope ! 

- J’aime… parce qu’il me fait toujours l’amour… dans… dans mon cul…

- Tourne-toi !

Shirl s’est mise sur le ventre et, lentement, a remonté ses genoux sous sa poitrine. Le visage enfoui dans le couvre-lit, elle ne pouvait pas être plus offerte. Entre ses cuisses largement écartées le double renflement charnu de sa vulve était à moitié masqué par sa main : elle se branlait encore, deux doigts enfoncés dans le vagin, la paume plaquée au pubis ne laissant échapper sur chaque côté qu’un bourrelet de chair grasse parsemé de poils clairs, agité de tremblements réguliers. Son cul large et plein avait la forme d’un cœur à l’envers, étalé, offert.

- Quand il le fait dans mon cul, je… il me fait mal et quand il me fait mal, je… je jouis… très fort…

- Tu aimes te faire défoncer le cul, dis-le !

- J’aime… j’aime… mon… dans mon cul !

Walt s’est levé d’un coup et a foncé sur moi. Coinçant sa matraque sous son bras, il a sorti les clefs de sa poche et m’a libéré des menottes.

- Encule-la ! Encule cette pute !

 

 

 

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Dimanche 22 novembre 2009 7 22 /11 /Nov /2009 15:19

Suite de l'article sur le n° 28 de la revue ZOOM, avec
1° : un portfolio du photographe Alan Ira KAPLAN ( 34 ans en 1975 ) Créateur d'un univers tout gris, où les corps deviennent marchandise. Quand on regarde ces images plus de trente années plus tard, on comprend mieux à quel point ces artistes étaient novateurs, avaient déjà compris toutes les dérives du capitalisme mondialisé !

2° : Un hommage au Polaroïd I05 avec 3 instantanés.
Dans l'ordre, une série réalisée par Oliviero TOSCANI en décembre 1973  (photos de Andy Warhol, à la Andy Warhol ).

Une photo de Jeanloup SIEFF, datée de mars 1974

Une photo de Sarah MOON  non datée.
- une photo de Kishin SHINOYAMA ( fils de prêtre bouddhiste) prise en février 1974 à Yokohama dans une "maison de tatouages"

3° : Pour terminer, une photo de l'agence KEYSTONE. Légende : " 10000 spectateurs dans un satde de la Nouvelle Guinée. la princesse Anne d'Angleterre et le lieutenant Mark. Le vent était au rendez-vous" . Date inconnue. Un cul princier, ma foi bien affriolant...


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Vendredi 20 novembre 2009 5 20 /11 /Nov /2009 11:14

Très riche numéro de ZOOM qui fera donc l'objet de deux articles. Le premier sera entièrement consacré au portfolio d'oeuvres de Domenico GNOLI ( 1933-1970). Créateur d'un univers proche de l'hyperréalisme avec en plus un regard presque d'entomologiste sur notre monde et nos objets... Je vous laisse admirer.

Souris blanches dans leurs cages, 1967 ( 150 X 150 cm )

La robe d'été , 1966 ( 180 X 136 cm )

Dormiente n° 3, 1965 ( 160 X 125 cm )

Green Bust, 1969 ( 180 X 161 cm )

Bow Tie , 1969 ( 140 X 160 cm )

Red Hair on Blue Dress, 1969 ( 170 X 180 cm )

Unbutonned Button, 1969 ( 170 X 130 cm )
Par michel koppera - Publié dans : zoom
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Mercredi 18 novembre 2009 3 18 /11 /Nov /2009 05:41

Grand classique de la littérature des WC domestiques, le poème "Le petit endroit" est généralement attribué à Alfred de Musset qui l'aurait écrit à l'atttention de George Sand, son amie et amante. Certains prétendent que c'est l'inverse. Le poème en alexandrins est parfois présenté de façon différente à savoir que les vers sont coupés en deux hémistiches de 6 syllabes. je vous propose ici la version classique....
L'illustration est une eau-forte de Rembrandt datée de 1631 ayant pour titre " La femme qui pisse" mais à bien y regarder cela aurait pu s'appeler "La femme qui chie"...

Le petit endroit

De Alfred de Musset à George Sand

 

Vous qui venez ici dans une humble posture

De vos flancs alourdis décharger le fardeau

Veuillez quand vous aurez soulagé la nature

Et déposé dans l’urne un modeste cadeau

Verser dans l’amphore un courant d’onde pure

Et sur l’autel fumant placer pour chapiteau

Le couvercle arrondi dont l’auguste jointure

Aux parfums indiscrets doit servir de tombeau.

 

Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Dimanche 15 novembre 2009 7 15 /11 /Nov /2009 15:32

Dans mes archives, j'ai retrouvé pour vous 7 publicités signées  René GRUAU ( 1909-2004 ). Evidemment, je ne pouvais vous épargner la plus ancienne à savoir "le rouge baiser" qui date des années 60 et que j'avais découpée dans un vieux numéro du Readers Digest. Quant aux pubs pour Dior, elles datent des années 1978 à 1980. Revoir ces images est toujours un plaisir...

Par michel koppera - Publié dans : souvenirs
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