Jeudi 21 janvier 2010 4 21 /01 /Jan /2010 06:12
Fin de l'année 1975 et numéro 33 de ZOOM. Au sommaire
1) Un dessin de Pichard extrait des aventures de Paulette (Paulette, rien que le nom est déjà tout un programme !)
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2) Un dessin plutôt trash de Guido Buzzelli ( 1927-1992)
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3) deux photos de Steven Silverstein, né à Los Angeles en 1947. Photographe de mode qui a ensuite fait carrière chez Vogue et autres magazines.
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4) À propos de Hara-Kiri, un article sur la réalisation d'une couverture de l'hebdo, de la maquette à la photo finale.
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5) Le gros dossier était consacré à deux illustrateurs d'origine allemande, Raoul Hausmann ( 1886-1971 ) et Helmut Herzfelde, alias John Heartfield, ( 1891-1968)
Ces deux artistes contribuèrent à la fondation du mouvement dadaïste allemand en 1920. Ils mirent leur art au service de leur engagement politique antinazi. Ils furent des précurseurs dans l'utilisation du photomontage et du collage. Ils durent fuir l'Allemagne à partir de 1938 pour trouver refuge le premier à Ibiza puis en France, le second en Angleterre.
zoom33-5- "Fiat modes" , oeuvre de Raoul Hausmann datée de 1920

zoom33-6- "La liberté combat dans leurs rangs" (19-08-1936) Oeuvre de John Heartfield en soutien aux  combattants républicains espagnols.

zoom33-7-"Adolf, le surhomme avale de l'or et crache du toc" ( 17-07-1938 ) par John Heartfield

zoom33-8-" Congrès de crise du SPD" ( 05-06-1931) Le SPD étant le parti social démocrate allemand qui se montra incapable de faire face à la montée du nazisme.

zoom33-9- "Voilà le heil qu'ils apportent" ( 28-06-1938), photomontage de John Heartfield.
Par michel koppera - Publié dans : zoom
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Mardi 19 janvier 2010 2 19 /01 /Jan /2010 07:25

Ouvrage classique de littérature érotique construit sur le principe de la confession sur l'oreiller, les chapitres se succèdent, prétextes à récits d'aventures sexuelles en tous genres... Voici la première page.

La première illustration est une oeuvre de Paul Wunderlich


Eric MOUZAT, Confessions d’une femme impudique

Le Cercle, 2007

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T’aimes ça, hein mon salopard, que je te raconte ces cochonneries. T’aimes que je te fasse bander avec mes vieilles histoires de garce. Ça te plaît d’entendre ces saloperies sortir de ma bouche. Tu t’imagines ces types qui m’ont prise, ou ces chiennes qui m’ont fait mouiller, avec qui j’ai joui comme une bête en chaleur. Tu les vois, leurs mains sur mon ventre, leur bouche léchant mes seins, leurs doigts s’enfonçant en moi et m’arrachant des cris de damnée. Je te les ai racontées mille fois, mais tu les aimes encore. Elles sont usées, râpées jusqu’à la corde, mais elles te font toujours le même effet. Je ne sais pas vraiment ce qu’il y a dans ta tête de porc déclaveté pour trouver du plaisir à tout ça, mais si c’est ton trip, après tout… pourquoi pas ? ( …)

emouzat1Une Shéhérazade du cul. Voilà ce que je suis pour toi. Raconter, raconter, raconter, déchirer tes oreilles des pires ordures, te labourer le cœur et les entrailles avec mes insanités, profaner de mes histoires sales ton petit univers bien propre où il s’est rien passé, ou pas grand-chose. Te gaver d’images pour te faire regretter de ne pas avoir été là, au moins à regarder.

J’ai commencé jeune, et j’ai joué les prolongations dès le début. Je suis même capable de reprendre du service, rien que pour toi, tu le sais bien. N’importe quoi, pourvu que tu bandes comme une baleine parce que j’aime voir ta grosse queue bien large et bien juteuse. Parce que je suis une femme à bite, une femme à sucer des chattes, parce que c’est ça qui me fait vivre.

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Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Dimanche 17 janvier 2010 7 17 /01 /Jan /2010 18:19
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Photo prise aujourd'hui à 16 heures... Vent quasiment nul, température extérieure 13° à l'ombre... Ne changez rien pour moi, tout baigne !
Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
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Dimanche 17 janvier 2010 7 17 /01 /Jan /2010 10:30

La baronne n’aime pas que ça refroidisse, Philippe BERTRAND

Editions La Musardine, 2009

 baronne

Voici la première page qui donne le ton de l’histoire :

 

« D’accord. On disait que la baronne, à l’heure du thé, débraguettait son majordome, lui sortait la queue et la trempait dans sa tasse.

C’était exact. Il était bien placé pour le savoir ; le majordome, c’était lui. La vérité historique oblige à dire que le breuvage était tiède et que le majordome était flic. Ce qui change tout, il faut en convenir.

L’inspecteur Morel jugea plus tard qu’il n’était pas nécessaire de faire figurer ce genre d’anecdote dans son rapport. Après tout, ce n’était pas la peine d’en rajouter. On en racontait déjà assez sur la baronne. »

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Deux ans après « 18 meurtres pornos dans un supermarché », Philippe BERTRAND récidive et nous offre une nouvelle enquête porno-policière aux côtés de l’inspecteur Morel. Le roman est un peu plus long que le précédent (138 pages contre 104 ) et l’intrigue bien menée. Cependant, les dessins me semblent moins soignés, moins léchés si je peux dire. Il n’en reste pas moins que le récit est alerte, plein d’humour et se laisse dévorer avec plaisir.

Un livre à ajouter à votre bibliothèque érotique personnelle.

baronne2P.S qui  n'a rien à voir : Je suis allé hier soir au cinéma voir "Invictus". Déception. C'est un Clint Eastwood très moyen, voire médiocre. Trop de bons sentiments, trop schématique, trop prêchi-prêcha... Malgré le grand numéro d'acteur de Morgan Freeman

Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 15 janvier 2010 5 15 /01 /Jan /2010 13:30
Le Petit Robert donne la définition suivante du mot :  Mot d'origine turc odalik (1624) Jeune femme de chambre esclave qui était au service des femmes du harem.
Sens courant : femme d'un  harem
Par extension, le mot a pris le sens de courtisane. L'odalisque peut être la maîtresse, la concubine d'un homme riche ( ce qui est en contradiction avec le sens d'origine où la jeune femme était vierge ! )
Le projet de cette série d'images consacrée aux odalisques n'est évidemment pas de s'en tenir au sens premier du mot. Par Odalisque, j'entends toute représentation artistique d'une femme nue, le plus souvent couchée de dos ( mais pas nécessairement) et dans une pose d'abandon. Disons pour simplifier, le modèle du "grand nu couché", comme celui de la Grande Odalisque de Ingres. On y trouvera donc des tableaux célèbres, des dessins, des photographies, toutes représentations célébrant la beauté de la femme nue, de ses courbes.
Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours ressenti une grande émotion à la contemplation de ces tableaux. Devant mes yeux admiratifs, la femme devenait paysage, avec ses douces collines, ses sombres vallées, ses forêts et ses bosquets, ses plaines fécondes. Mon regard heureux y cheminait, y flânait et s'y reposait en paix...
Alors place aux cinq premières images d'une longue série :
mariettaCorotL'odalisque romaine ou Marietta ( 1843). Tableau de Corot ( 1796 -1875 ).  Le fait de lui donner un prénom la rend tout de suite plus humaine et plus désirable
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Une photographie de Stéphane Lallemand extraite de l'exposition "Ingres et les modernes". Je consacrerai bientôt un article aux oeuvres de ce photographe contemporain. La photo présentée ici fait évidemment référence à la Grande odalisque de Ingres avec ses trois vertèbres supplémentaires
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Un tableau de Jules Joseph Lefebvre daté de 1847, intitulé "Grande Odalisque".
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La "Vénus endormie" de Giorgione (1510 ) n'est pas à proprement parler une odalisque, mais la pose est plus qu'érotique. Surtout si l'on s'attache au doigt masturbateur de la belle dont le rêve ne doit pas être innocent. Une oeuvre magnifique de sensualité : elle se branle !
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Pour conclure, une photographie de la belle époque très sensuelle.
Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera
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Mercredi 13 janvier 2010 3 13 /01 /Jan /2010 14:17
Très beau numéro de zoom dans lequel j'ai retenu 3 artistes.
1) Leslie KRIMS; photographe américain né en 1942 à Brooklyn, et dont la première expo parisienne datait justement de 1974. Les photos sont une charge assez corrosive contre l'Américan Way of Live, enfin c'est ce que je ressens encore aujourd'hui au vu de ces clichés.
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2) Chris Mac EWAN, illustrateur très en vogue dans les années 1970 mais dont il ne reste guère de traces aujourd'hui. Il me semble pourtant qu'il avait collaboré à la réalisation de la pochette d'un des derniers albums des Beatles ( Magical Mystery Tour, ou Yellow Submarine) Quoi qu'il en soit, son graphisme est bien représentatif de cette époque.
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3) François GILLET, né en 1949 à Balleroy ( Basse-Normandie). Très tôt il part travailler en Grande-Bretagne, puis en Suède. Il se consacre à la photo publicitaire. Chacune de ses photos est un petit chef d'oeuvre très inspiré par les grands peintes classiques de natures mortes ou de scènes de genre... À savourer sans modération.

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Par michel koppera - Publié dans : zoom
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Lundi 11 janvier 2010 1 11 /01 /Jan /2010 17:47
En 1997, Françoise REY a publié un ouvrage consacré et dédié " à Marcel Facteur qui a inspiré, permis, souhaité et redouté ce livre" . Telle est la présentation qu'en fait Françoise Rey. Le livre est actuellement disponible aux éditions Pocket, n° 4461. Le passage que je vous ai sélectionné raconte la première éjaculation du jeune Marcel au cours d'une de ses séances masturbatoires dans le secret de la cabane au fond du jardin. Il a 15 ans... j'ai trouvé l'évocation assez juste. Je pense que beaucoup d'hommes se retrouveront dans cette description.
Pour les illustrations, vous reconnaîtrez d'abord deux aquarelles de Egon SCHIELE ( deux autoportraits, dont 1 en érection)

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Françoise REY, Marcel Facteur , 1997

Extrait page 23 de l’édition Pocket de août 2009.

 

Un jour, au cabinet, tu connais une exaltation plus terrible encore que de coutume. Tu es là, dans ton recoin obscure dont les remugles te bercent, et dehors, on s’agite, presque sous tes yeux. Tes frères chargent leur voiture, ils s’apprêtent à un voyage. Tu suis leurs allées et venues d’un regard discontinu, posé alternativement sur les pages de ta revue. Tu passes sans transition des splendeurs de la chair aux mesquines péripéties des préparatifs fraternels. La famille est réunie pour conseiller et commenter… On t’a oublié. On t’ignore. De te savoir si près d’eux et, en même temps, si invisible, si protégé, te bouleverse. Tes doigts sur ta queue deviennent fous, plus rapidement que de coutume ; leur frénésie t’étonne d’abord et te déplaît. Ils vont trop vite et trop fort, ils gâchent la montée de la joie, sa gestion délicatement équilibrée au fil des pages. Et puis tu t’abandonnes à leur autorité, sans force pour lutter, dépassé, submergé par leur savoir. Ils turlupinent ta queue avec une célérité démente, tu sens en toi la naissance d’une vague terrible, qui va t’engloutir, tes doigts serrent, lâchent, serrent, lâchent la peau de ta bite furieusement, on dirait du morse, un message échevelé, un appel de détresse, un SOS de plus en plus urgent, c’est sûr, tu es en perdition, il va t’arriver quelque chose d’abominable, de terrifique !!! Ça y est ! C’est arrivé, tu viens de lâcher un jet blanc, en voilà un autre, un autre encore, tu pisses du lait concentré, ta main mouillée, ta cuisse engluée, ta bite émerveillée, ta bouche tordus, ton cœur chambardé, ton ventre incandescent, tes reins bienheureux, tes couilles béates, ton cri retenu, ton souffle suspendu… Tu as joui, tu as juté, ça s’appelle comme ça, c’est ainsi qu’ils disent, les autres, les grands, et, mon dieu, mon dieu, tu es un enfant perdu, un horrible salaud, la bouillie crachée va germer, tu sais qu’on en fabrique des bébés, tu t’es engrossé tout seul, pauvre Marcel, si honteux, si sale, si hagard, si ébloui, si accablé de plaisir… Plus jamais ! Plus jamais ! Si tu en réchappes, si tu survis, si ta turpitude demeure secrète, c’est juré, plus jamais tu ne recommenceras !

frey5Deux heures après, l’infect cabanon te revoit pantelant, torturé de joie, habité de terreur, et sitôt libéré, priant : « Mon dieu, c’est trop bon, ne me punissez pas !... » Et toutes les nuits et tous les jours suivants, partout, à la grange, dans ton lit, dans les chiottes de l’école, l’incroyable fièvre t’envahit, te secoue, te harcèle, te vide pour te reprendre encore… Tu as quinze ans. L’obsession du plaisir et sa quête effrénée se sont définitivement emparées de toi. De la chimère, tu es passé à son semi-accomplissement : Marcel rêveur vient d’être promu Marcel branleur.

Curieusement, les filles disparaissent de ton horizon. Tu n’es plus amoureux. Les secousses que tu t’octroies monopolisent tes espérances. Tu es devenu un consommateur acharné  de dessins érotiques, d’images lascives, de scenari cochons.


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Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Samedi 9 janvier 2010 6 09 /01 /Jan /2010 10:05

Casting ( 4ème partie )

 

Pendant que son pouce lui fouille le cul, un à un, il introduit ses quatre autres doigts dans sa chatte gluante. Elle est prise par les deux trous, le ventre saisi par la brûlante tenaille de la main qui lui prend les tripes, lui caresse la matrice, lui affole le rectum. Elle entend distinctement le clapotis des doigts qui s’agitent en elle, les bruits mouillés de leur danse. Elle ne veut pas jouir encore, alors elle se retient de soupirer d’aise et d’onduler du bassin.

Mais voilà que soudain la main se retire, la laissant béante et désemparée. Elle se devine ouverte aux regards les plus indiscrets. Peut-être voit-il dans les profondeurs obscures de son cul luire les parois huileuses de ses entrailles ?

casting2 Alors qu’elle se referme lentement, la main revient à la charge. Elle lui paraît plus onctueuse, comme enduite de graisse. Le pouce reprend possession de son cul qui s’ouvre presque naturellement. Il l’encule méthodiquement, avec son pouce qui joue à la petite bite inlassable. Elle s’offre en sourdine un premier orgasme poisseux qui lui inonde la chatte. Quand il la sent bien dilatée, il retire son pouce et l’attaque des quatre autres doigts réunis en faisceau. La pénétration est plus lente, un peu douloureuse. Pour mieux s’enfoncer, il tourne son poignet, comme s’il voulait visser sa main entre les fesses ouvertes. L’une après l’autre, les trois phalanges sont avalées par la bouche démesurée de son anus. Les sensations sont extrêmes. C’est son premier fist anal, celui dont elle rêvait depuis des nuits.

Elle n’en a pas fini. Elle sent le pouce forcer le passage pour se joindre aux autres doigts. Elle a peur que son périnée se fissure, que son cul se déchire… Elle voudrait pleurer, crier sa souffrance, mais aucune larme ne perle à ses paupières, aucune plainte ne monte de sa gorge nouée d’angoisse…

La main de l’homme est en elle, énorme, indécente, et terriblement bonne… Elle jouit.

- Alors, tu es sélectionnée ? lui demande son mari alors qu’elle se rhabille.

- Je ne sais pas, il m’a demandé de revenir dans une semaine pour une deuxième séance…

 

                                                           FIN 

 

© Michel Koppera, janvier 2010


Voilà, c'est terminé, ça vous a plu ?

Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 8 janvier 2010 5 08 /01 /Jan /2010 08:30
Devant le silence persistant de Sophie-de-Lisle, je me suis décidé à poursuivre seul l'écriture de "Casting" car, dans quelque domaine que ce soit,  je déteste ne pas aller au bout de ce que j'ai entrepris. Je terminerai donc cette histoire. Il est évident que la photo qui illustre cette troisième partie  est tirée de ma collection personnelle. Pour celles ou ceux qui seraient intéressés par l'écriture d'un texte original à partir de leurs photos ( j'invente alors une histoire inédite) ils peuvent m'adresser leurs documents à l'adresse suivante : mkoppera@orange.fr Ceci étant dit, place au texte !

 

Casting ( 3ème partie )

 

Pendant de longues minutes, il ne se passe rien, jusqu’à ce que lui parviennent, assourdies par ses cheveux, les bribes d’une conversation. Sans doute le photographe qui échange quelques mots avec son mari. Puis des pas qui se rapprochent et, de nouveau, un silence lourd de menace.

La gifle fulgurante qui s’abat sèchement sur sa croupe lui plante sa flèche venimeuse au bas des reins. La douleur la transperce de part en part, lui coupe le souffle, paralyse son cœur, lui incendie les fesses qu’elle s’empresse d’ouvrir d’une main disciplinée.

castingElle ne peut plus lui échapper. En un seul geste, il a fait d’elle sa chose, son objet. Pourtant, ça commence plutôt bien, par de longues et patientes caresses sur sa croupe. Il a la main chaude, douce, presque affectueuse. En plus, il sait s’y prendre, le salaud ! Il a tout de suite repéré l’endroit sensible, juste au creux des reins, à la rencontre du dos et du fessier, là où s’amorce la raie du cul. Il prend son temps, y laisse traîner ses doigts qui insensiblement, en spirales de plus en plus précises, descendent vers l’anus. Quand il atteint enfin la muqueuse humide, elle gémit faiblement. Mon dieu, que c’est bon !

Il ne peut plus ignorer l’infâme mouillure qui englue son périnée, exhale son envie d’être enculée. Espérant encore masquer son impatience, elle s’efforce de penser à autre chose, comme par exemple à ce qu’elle va préparer pour le dîner familial : une salade de tomates mozzarella, des côtes d’agneau grillées accompagnées d’un gratin de courgettes… Une belle courgette qu’elle va couper en rondelles après avoir joui en se l’étant enfilée dans le cul ! Malgré elle, ses pensées reviennent à ça ! Surtout que maintenant, il a un doigt sur le diaphragme de son anus étoilé. Longuement, il le presse, le palpe, le masse, le pétrit du gras du pouce et, brusquement, sans ménagement, d’une poussée énergique, force l’entrée et l’enfonce jusqu’à la racine. Sa croupe va à la rencontre de ce doigt inquisiteur, l’aspire, le tète… Elle en veut davantage…

 

© Michel Koppera, janvier 2010 

à suivre...

 




Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 6 janvier 2010 3 06 /01 /Jan /2010 07:27
En attendant une éventuelle nouvelle photographie de Sophie-de-Lisle pour poursuivre l'écriture de "Casting", je reprends notre lecture de la défunte revue ZOOM. Quoi de nouveau dans le numéro 31 ?
- Tout d'abord un portfolio de Walter HIRSCH   (photographe né à Léningrad en 1935 et qui en 1975 résidait en Suède) Visiblement, le photographe était intime de son modèle. Tout cela semblerait familier, quotidien, s'il n'y avait dans le 3ème cliché cette paire d'escarpins noirs qui venait mettre une pointe d'érotisme à la scène, ainsi que ce téléphone phallique posé sur la descente de lit...
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- Un tableau réclame des années 30 où l'on constate une fois de plus les vertus hautement érogènes du vin de bourgogne ( voir la symbolique primaire de la coupe de fruits avec grappes de raisins couillues et la bouteille en pleine éjaculation ! )
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- 3 extraits de romans-photos datant de vers 1900
1) Au harem. Tous les fantasmes masculins liés à l'atmosphère sulfureuse du lieu sont réunis : les tapis d'orient, le narguilé, le sultan enturbanné, et bien sûr  la belle captive blanche, lascive et bien en chair...
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2) L'écolière en robe courte et soquettes blanches. On a du mal aujourd'hui à s'imaginer ce que ces images avaient de provocant, d'obscène... La photo où l'écolière fume sa cigarette sur une chaise est très suggestive...
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3) Le ouistiti et sa mâitresse. Ce sont les 3 dernières images de la série. Dans le salon, au décor bourgeois et cossu, la jeune femme qui s'est progressivement dévêtue "joue" avec son petit singe. La zoophilie est plus que suggérée !
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- Enfin, une belle paire de fesses à la fenêtre. Photo signée Jeanloup SIEFF ( que j'ai eu le bonheur de connaître un peu au milieu des années 1970, époque où il faisait la promotion des produits photo ILFORD )
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Par michel koppera - Publié dans : zoom
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