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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Freda Josephine BAKER est née aux USA en 1906 et décédée en 1975 à Paris. Elle est considérée comme la première star noire de l'histoire du music-hall. C'est en 1925 qu'elle arrive en France où elle devient très vite la vedette de la "Revue nègre" où elle danse le charleston ( danse jusque-là inconnue en Europe). Sa plastique remarquable contribue au scandale et à sa renommée. En 1931, elle chante "Mes deux amours" (composition de Vincent Scotto), chanson qui remporte un énorme succès. En 1937, elle prend la nationalité française.
Résistante pendant la seconde guerre mondiale, elle consacrera la seconde partie de sa vie à ses nombreux enfants adoptés
Dans le grenier familial, j'ai retrouvé plusieurs exemplaires plus ou moins bien conservés du magazine "Mon film" datant des années 1947-1948. Voici quelques couvertures et dernières pages de la revue. Séquence nostalgie en noir et blanc et sépia...
Jadis et naguère : Simone SIMON
Simone Simon ( 1910-2005) est une actrice française qui a tourné dans une quarantaine de films. Sa carrière cinématographique débute en 1931 dans « Le chanteur inconnu » de Victor Tourjansky. En 1944, elle connaît son premier vrai grand succès avec son rôle dans « Lac aux dames » de Marc Allégret. Après une brève escapade hollywodienne au milieu des années 30, elle revient en France avant de devoir de nouveau prendre le chemin des USA pendant la guerre. C’est lors de ce second séjour américain qu’elle connaîtra quelques succès outre-atlantique.
Jadis et naguère : Jane Russell
Ernestine Jane Geraldine Russell est née dans le Minnesota en 1921 et décédée en Californie en 2011
C’est en 1943 qu’elle fit ses grands débuts comme actrice de cinéma dans le film de Howard Hughes, «The outlaw » ( maladroitement traduit en français par « le banni ») Film culte où elle se révèle très sensuelle et où sa généreuse poitrine très dénudée fait sensation lui attirant les foudres de la censure. Elle devient dès lors une des pin-ups favorites des soldats américains en guerre.
De 1943 à 1975, Jane Russell tourna dans 25 films dont « Les hommes préfèrent les blondes » aux côtés de Marilyn Monroe
Photos extraites du film "The Outlaw" et variations sur le thème de la fameuse scène dans la grange
Autres photos dont pour finir un photomontage très érotique
Bernadette Lafont est décédée en juillet 2013, alors qu'elle venait de tourner dans "Les vacances du Petit Nicolas" sur l'île de Noirmoutier. Elle était née en 1938 et je l'avais découverte dans le film de Nelly Kaplan "La fiancée du Pirate" où elle semait le trouble dans une communauté villageoise. Elle était magnifique de sensualité ! En 1979, elle posait très déshabillée aux cotés de ses 2 filles Pauline et Elisabeth dans le numéro 191 de LUI. à l'époque j'avais aussitôt pensé qu'elle aurait pu jouer dans une adapatation du roman de Pierre Louÿs, "Trois filles de leur mère". Alors voici en mémoire à cette belle artiste à qui on a rendu bien peu hommage au moment de sa disparition, quelques photos, vestiges d'un passé pas si lointain
Photographiée en 1965 par Willy Rizzo
Photos extraites du numéro 191 de LUI, décembre 1979
Dans le film "Une fille belle comme moi" aux côtés de Guy Marchand
Pour terminer, les deux photos d'elle que je trouve les plus sensuelles
Jadis et naguère : Tallulah Bankhead
Actrice américaine née en 1902 en Alabama et décédée en 1968 à New-York. Ne cachant pas sa bisexualité, elle fut l’amante de Billie Holiday et de l’actrice Alla Nazimova. C’est en 1936 au cours d’un séjour au « Garden of Alla », propriété de Alla Nazimova, alors qu’elle était nue sur une chaise longue aux côtés de Scott Fitzgerald, Charles Laughton, Humphrey Bogart, qu’elle déclara : « Faire une fellation à un homme, ça m’étrangle. Brouter une fille, ça m’étouffe. Du coup, je lis des histoires d’amour. »
En 1942, sur le tournage de « Lifeboat », le film de Hitchcock qui la rendit vraiment célèbre, Tallulah assise sur un banc, en jupe et les genoux écartés, fit monter la fièvre sur le plateau : elle ne portait pas de culotte et le spectacle était gratuit !!!
De son vrai nom Hilda Isabel Sarli Gorrindo Tito, Isabel Sarli, surnommée "La Coca", est née en juillet 1935 en Argentine. Son premier rôle au cinéma date de 1956 dans le film "El trueno entre los hojas" de l'acteur-réalisateur Armando Bo. Elle y tourne les premières scènes de nu du cinéma argentin. Malgré la censure, elle devient une star internationale et tourne des films dans toute l'Amérique du Sud hispanophone.
Ses principaux films sont La mujer del Zapatero en 1964, Fuego en 1969 et Fiebre en 1971
La plastique du corps de Isabel Sarli n'est pas sans rappeler celle de Sophia Loren : somptueuse chevelure brune, poitrine plus que généreuse et visage très sensuel... Je vous laisse juges.
Jadis et naguère : Clara BOW
L’actrice Clara Bow est née aux USA en 1905 et décédée en 1965. Entre 1925 et 1933, elle tourna dans une cinquantaine de films et connut son heure de gloire à Hollywood en 1926 où elle fut qualifiée de « fille la plus canon du cinéma », mais c’est surtout dans la rubrique «ragots de la vie mondaine » qu’elle est passée à la postérité.
Elle se trouva au cœur d’une première affaire lorsqu’il fut révélé qu’elle se faisait administrer par le médecin des stars, le docteur William Earl Pearson, des soins très particuliers consistant en l’application quotidienne et à domicile d’un « baume d’amour » sur le corps nu de l’actrice… On imagine sans peine le scénario de ce traitement très personnalisé !
Pendant les années qui suivirent, elle collectionna les dettes de jeu et les amants avec un attrait tout particulier pour les jeunes hommes bien pourvus par la nature. En 1930, il courut même le bruit qu’au cours d’une soirée de folie, elle avait fait "don de son corps" à toute l’équipe de football de l’université de Californie du Sud, dont faisait partie à l’époque un certain Marion Morrison qui deviendrait plus tard célèbre sous le nom de John Wayne. Ces orgies plus ou moins avérées et autres turpitudes scandaleuses (rumeurs d’inceste, de zoophilie et de maladies vénériennes à répétition…) eurent raison de la star qui abandonna les studios en 1933.
Jadis et naguère : Theda Bara
De son vrai nom Theodosia Goodman et fille d’un tailleur juif de Chillicothe dans l’Ohio, Theda Bara (1885-1955) se fit connaître à Hollywood comme premier « sex symbol» de l’histoire du cinéma. C’est pour elle que fut créé le mot « vamp » (dérivé de vampire). Pour le grand public, elle s’était inventé des origines franco-arabes et se prétendait née dans le Sahara. Sa gloire sur les écrans fut de courte durée (1914-1919), et la star ne put jamais se défaire de son image sulfureuse de « reine du sexe » pour passer à des rôles plus dramatiques. De Theda Bara, il ne nous reste aujourd’hui que des photos très suggestives au charme « oriental » un peu désuet.
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