michel-koppera

Le saviez-vous ? # 123

Parmi les nombreuses paraphilies sexuelles, l'acomoclitisme est sans doute la plus répandue. Pour parler plus simplement, on peut dire que c'est le "fétichisme des pubis glabres". Ce qui excite ses adeptes, ce sont chez les femmes les grandes lèvres épilées. Cette attirance sexuelle longtemps passée de mode existait déjà dans l'Antiquité et notamment en Egypte.

le mot est construit sur des racines grecques, à savoir : un "a" privatif, "komé" qui signifie chevelure et "clit" qui est une abréviation de clitoris. L'ensemble donne "clitoris sans chevelure" !

Le saviez-vous ? # 121

Saviez-vous que l'exobiophilie est une paraphilie qui se manifeste par le fait d'être sexuellement attiré par les créatures extraterrestres. Par extension, ce fantasme matériellement irréalisable se nourrit aussi du plaisir  et de l'exctitation à regarder des films, des images ou à lire des récits qui mettent en scène des jeux sexuels ou accouplements entre êtres humains et créatures extraterrestres. 

Le saviez-vous ? # 119

Avez-vous déjà entendu parler des "Yaoi" ? Au Japon, il s'agit d'un genre de BD "boys' love " qui met en scène des héros de mangas dans des histoires homosexuelles très débridées. Le plus étonnant, c'est que ces mangas érotiques sont destinés à de jeunes lectrices hétérosexuelles qui voient ainsi mis en images leurs fantasmes les plus secrets. Comme dans les 3 dessins que je vous présente où Naruto le blond et Sasuke le brun (2 célèbres personnages de manga créés par Masashi Kishimoto) se livrent sans retenue à des jeux sexuels plus qu'explicites.

Le saviez-vous ? # 117

La botte florentine.

La "botte" est un terme d'escrime qui exprime le fait de porter un coup au fleuret. L'adjectif "florentine" qui lui est ajouté provient évidemment de la ville de Florence où les hommes avaient au XVIII ème siècle la réputation d'être homosexuels. D'où l'expression métaphorique de "botte florentine" pour désigner le coït anal.

Le saviez-vous ? # 115

Source de la documentation : Le Canard Enchaîné n° 5106 du 12 septembre 2018 (article de Christophe Labbé intitulé "Manque de pot, nos yaourts ne sont pas si "nature")

Avec 15 kg par an et par personne, les Français sont les plus gros consommateurs de yaourt de la planète (7 fois plus que la moyenne des autres pays !). Contrairement à ce que le lobby laitier aimerait nous faire avaler, à savoir que les yaourts sont bons pour les os, 100 grammes de yaourt nature ne contiennent que 188 milligrammes de calcium alors que les amandes en ont 248 et les sardines en boite près de 400. Mais le plus inquiétant n'est pas dans la teneur en calcium ! La fabrication industrielle du produit laisse rêveur : 90% des yaourts ne sont pas fabriqués avec du lait mais avec de la matière première lactique reconstituée ! Pour encore plus d'économie, on utilise de la protéine de lactosérum, un "déchet" de l'industrie fromagère. Avec 562000 tonnes par an, la France en est le premier exportateur mondial. Enfin, pour être "standardisé", les yaourts industriels sont homogénéisés, c'est à dire soumis à très haute pression( 200 bars) afin de faire éclater les molécules de gras qui restent ainsi prisonnières dans la matière blanche de sorte que le consommateur n'a plus besoin d'égoutter le yaourt. Et je ne vous parle pas des ajouts massifs de sucre, de colorants et autres additifs aromatiques... Après ça, bon appétit !