"JEU DÉCISIF ", chapitre 8 (suite)
CAROLE ET FRANÇOIS
- À ce moment-là, vous aviez déjà baisé ?
- Pas vraiment. J'avais juste joué un peu avec sa queue, je me l'étais enfoncée dans le vagin comme pour faire un essai, pour tester la marchandise...
- Alors, une fois qu'il a joui, il a bien fallu qu'il fasse une pause !
- Pas du tout ! Il n'a même pas débandé. Je suis à peu près sûre qu'il avait pris des trucs pour assurer, du Viagra ou quelque chose dans le genre. Il avait à peine fini d'éjaculer qu'il m'a agenouillée au pied du canapé et m'a prise en levrette. Je ne saurais te dire combien de temps ça a duré, ni le nombre de mes orgasmes. Je jouissais en continu... Dis donc, ça a l'air de te faire de l'effet ce que je te raconte : tu bandes comme un âne !
- Oui, vas-y, branle-moi et raconte-moi encore.
- C'est moi qui ai fini par lui demander de faire une pause pour aller faire pipi et me rafraîchir le visage tout englué de sperme séché. J'avais le ventre en feu. Mais j'étais à peine revenue au salon qu'il m'a de nouveau sauté dessus. Le voilà qui me lèche encore le ventre, qui me caresse les seins, m'excite les mamelons. Il me remet sa bite dans la bouche. Il bande encore plus fort que la première fois. Sa queue est merveilleuse.
- T'étais aussi mouillée que maintenant ?
- Sans doute. Je me souviens qu'il m'a léché le trou du cul, qu'il m'a dit que j'avais la plus belle vulve du monde, qu'il banderait pour moi jusqu'à sa mort. Le plus drôle, c'est que je le croyais. Puis il s'est remis à me baiser, en missionnaire cette fois, sa bouche collée à la mienne, avec sa queue qui allait et venait dans mon vagin. Un vrai piston bien huilé.
- Tu as encore joui ?
- Oui, deux ou trois fois. je le serrais dans mes bras, je l'attirais au fond de moi pour que son pubis cogne sur mon clito en folie. C'était incroyablement bon...
- Et lui ?
- Il a joui aussi : tout son foutre sur mes seins, à grandes giclées, comme un ado..
- Ça s'est terminé comme ça ?
- Non. On est allés prendre notre douche ensemble. On s'est savonné l'un l'autre. Comme il bandait encore un peu, je l'ai branlé affectueusement. Moi, j'avais la moule tellement surexcitée que je pouvais à peine la toucher. Mais aujourd'hui, ça s'est calmé. Tu peux y aller à fond. Défonce-moi !
- Tu as l'intention de le revoir ?
- À ton avis ?
à suivre...
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