Le saviez-vous ? # 128 , suite.
Où l'on voit qu'en matière de dendrophilie, les arbres eux-mêmes ne manquent pas d'imagination !
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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Le saviez-vous ? # 128 , suite.
Où l'on voit qu'en matière de dendrophilie, les arbres eux-mêmes ne manquent pas d'imagination !
Philip ROTH, "La tache". Roman paru aux USA en 2000. En France, chez Gallimard en 2002 (traduit par Joseé Kamoun) .
Dans ce roman de 442 pages où l'on retrouve le personnage de Nathan Zuckerman, ici narrateur, Philip Roth aborde une nouvelle face sombre de la société américaine, à savoir le racisme récurrent des institutions et des communautés en tous genres...
pages 48-49. Coleman Silk, veuf, ancien doyen d'université, a une liaison avec une femme de ménage prénommée Faunia. Il se confie à Nathan, son voisin.
Éloge du Viagra. " Je suis un homme de soixante et onze ans, avec une maîtresse de trente-quatre, ce qui me rend indigne, dans notre bon État du Massachusetts, de donner des leçons à qui que ce soit. Je prends du Viagra, Nathan. C'est ça, La Belle Dame sans Merci. Toute cette turbulence, ce bonheur, je les dois au Viagra. Sans le Viagra, je ne vivrais rien de tout ça. Sans le Viagra, j'aurais une image du monde appropriée à mon âge, et des intentions toutes différentes. Sans le Viagra, j'aurais la dignité d'un vieux monsieur libéré du désir, et qui se conduit comme il faut. Je ne serais pas en train de faire quelque chose d'insensé. Je ne serais en en train de faire quelque chose d'inconvenant, de téméraire, qui m'attire de l'opprobre et risque d'être désastreux pour toutes les personnes concernées. Sans le Viagra, je continuerais, sur le déclin de mon âge, à entretenir la largeur de vue détachée d'un homme de culture et d'expérience, qui a pris sa retraite à l'issue de bons et loyaux services après avoir depuis longtemps renoncé aux plaisirs de la chair. je continuerais de tirer des conclusions philosophiques profondes sur l'existence, et d'avoir une influence morale apaisante sur les jeunes, au lieu de me replonger dans ce perpétuel état d'urgence qu'est l'intoxication sexuelle. Grâce au Viagra, je viens de comprendre les transformations amoureuses de Zeus. C'est comme ça qu'on aurait dû appeler le Viagra, du Zeus."
Voici une photo toute simple des seins de Carole. La photo m'a été adressée par son mari qui aimerait savoir si elle vous plaît et que vous lui laissiez des commentaires. Dont acte : à vos claviers !
Suite à la parution de l'article "Le saviez-vous ? # 128", consacré à la dendrophilie, Michel M*, fidèle lecteur du blog, a eu la gentillesse de m'adresser pour mise en ligne cinq photos de son expérience personnelle de la dendrophilie. Vous remarquerez que la situation est très proche de celle montrée dans le dessin de Denis. Je tiens à remercier ici Michel de sa confiance et de son témoignage en images...
Commençons par l'objet du culte
puis son instrumentalisation...
Recueil collectif de nouvelles paru en 2018 aux éditions La Musardine.
Extrait choisi : "La méthode Meisner" d'Eugénie Dragon. pages 27-28
" Carmen s'est assise à califourchon sur les genoux de Bastien (un jeune apprenti comédien), toujours paralysé, qui a juste su fourrer deux doigts, à la diable, dans la vulve offerte, plus impatient de satisfaire sa curiosité sur la texture d'un vagin que de faire jouir qui que ce soit. Il s'est repassé les scènes de porno, s'est dit que, pour bien faire, il aurait fallu l'enculer, puis la faire nettoyer en suçant et finir en faciale, mais il savait bien que ça fonctionnerait mal, et puis de toute façon, elle était déjà en train de s'empaler, et c'était trop tard, sa queue était bien au chaud dans une délctable humidité.
Carmen offrait à la vue d'Artur son pétard orné d'une marque de maillot, ondulant de bas en
haut, avec un peu de gras qui bougeait. Ça n'a pas duré longtemps, elle a vite changé de trou, et son mari s'est rempli les yeux de l'anus de sa femme aspirant la queue, s'est comblé les
oreilles du bruit de succion à chaque mouvement comme si le fion tétait la jeune bite. "chpruiik, chpruiik", comme une ventouse. Là c'était trop, Artur n'a pas pu se retenir de gémir :"
Oh, elle mouille déjà du cul, rien qu'au bruit, je sais qu'elle mouille déjà du cul, mais quelle pute... Merde, mais j'ai vraiment épousé une pute... merde, mais regardez-vous, bordel... Tu
bandes dur pour ma femme, hein, Bastien ? Tu vas te vider les couilles dans ma femme, et moi, je me touche la queue en vous regardant... Elle est bonne, tu vois, tu regrettes pas. Plante-lui bien
ta queue dans la chatte, dans le cul, partout où tu veux, elle aime ça. Tu nous fais tous bander, ma chérie, tu vois un peu ce que tu nous fais faire... Putain, c'est n'importe quoi, tu fais
faire n'importe quoi aux hommes..."
Carmen s'est un peu penchée en arrière pour se la prendre plus profond et avoir accès à son énorme clitoris. Elle se l'est branlé avec deux doigts. Les gémissements, les bruits mouillés, les encouragements lui ont fait trouvé son plaisir, concentrée sur la peau fine de la queue contre sa paroi anale. Elle a joui excatement comme ça, en se branlant le clito comme si c'était une miniqueue au-dessus de sa chatte ouverte et juteuse, et avec la chair tendre du jeune Bastien au fond de l'anus. "
Le saviez-vous ? # 129
L'été est de loin la saison préférée des fornicophiles. En effet la fornicophilie est l'attirance sexuelle pour les petits animaux (grenouilles, lézards...) et plus particulièrement pour les insectes. Les fornicophiles recherchent l'excitation et le plaisir par l'application d'insectes (comme les fourmis) sur leurs parties génitales (gland ou vulve). Le plaisir est alors procuré par le gratouillis des pattes voire les piqûres ou morsures sur leurs muqueuses très sensibles !
Philip ROTH, "Portnoy et son complexe" (1967)
Titre original "Portnoy's complaint", traduit de l'américain par Henri Robillot
Collection Folio n° 470, 372 pages
Pour un extrait de l'ouvrage, j'avais le choix, tant le récit est riche en anecdotes et enseignements. Finalement, je me suis arrêté sur un morceau d'anthologie où nombre d'entre vous reconnaîtront sans doute des moments de leur adolescence. Un conseil : si vous ne l'avais pas encore fait, lisez "Portnoy et son complexe".
page 31 et suivantes : La branlette
" Vint ensuite l'adolescence - la moitié de mon existence à l'état de veille passée enfermée dans la salle de bains à expédier
mon foutre soit dans la cuvette des toilettes des cabinets soit au milieu des affaires sales dans le panier à linge, soit, projeté de bas en haut contre la glace de l'armoire à pharmacie devant
laquelle je me tenais planté, caleçon baissé, pour voir à quoi ça ressemblait à la sortie. Ou alors, j'étais courbé en deux sur mon poing transformé en piston, les paupières étroitement closes
mais la bouche grande ouverte, pour recevoir cette sauce gluante à base de chlore et de petit lait sur ma langue et les dents - encore qu'assez souvent, dans mon aveuglement et mon extase, je
récoltais tout dans ma houppe savamment ondulée comme une giclée de lait capillaire. Au milieu d'un univers de mouchoirs empesés, de kleenex chiffonnés et de pyjamas tachés, je manipulais mon
pénis nu et gonflé dans la crainte éternelle de voir mon ignominie découverte par quelqu'un qui me surprendrait à l'instant même où je déchargeais. Néanmoins, j'étais totalement incapable de ne
pas me tripoter la bite une fois qu'elle s'était mise à me grimper le long du ventre. En plein milieu d'un cours, je levais la main pour obtenir la permission de sortir, me ruais le long du
couloir jusqu'aux lavabos et, en dix ou quinze furieux coups de poignet, déflaquais debout dans un urinoir. À la séance de cinéma du samedi après-midi, je laissais mes copains pour aller jusqu'au
distributeur de bonbons et grimpais m'astiquer sur un lointaisn siège de balcon, lâchant ma semence dans l'enveloppe vide d'une barre de chocolat... Un jour, au cours d'une sortie de notre
association familiale, j'évidai le cœur d'une pomme, vis avec surprise (et avec l'aide de mon obsession) à quoi elle ressemblait et courus dans le bois pour me jeter à plat ventre sur l'orifice
du fruit, feignant de croire que le trou farineux et frais se trouvait en réalité entre les jambes de cette créature mythique qui m'appelait toujours "mon Grand" quand elle m'adjurait de lui
accorder ce qu'aucune fille dans toute l'histoire n'avait jamais obtenu. "Oh, mets-le-moi, mon Grand", s'écriait la pomme creuse que je baisais frénétiquement le jour de ce pique-nique. "Mon
Grand, mon Grand, oh donne-moi tout", implorait la bouteille de lait vide que je gardais cachée dans notre réduit à poubelle au sous-sol pour la rendre folle après l'école avec ma trique
vaselinée. "Viens, mon Grand", hurlait le moceau de foie délirant que dans ma propre aberration j'achetai un après-midi chez le boucher et que, croyez-le ou non, je violai derrière un panneau
d'affichage, en route pour une leçon préparatoire au bar mitzwah."
Le saviez-vous # 128
Aviez-vous déjà entendu parler de la dendrophilie ? Comme son étymologie grecque l'indique, la dendrophilie c'est l'amour des arbres. Pas seulement d'un point de vue écologique. En effet, le/la dendrophile est sexuellement attiré(e), voire excité(e) par les arbres dont les protubérances, les creux et les courbes lui évoquent des attributs sexuels. Cette attirance peut aller du simple contact physique (caresse, enlacement...) à l'acte sexuel (étreinte, "accouplement")
Philippe DJIAN, "Impuretés".
Roman paru en 2005 chez Gallimard. Collection Folio n° 4400, 440 pages.
Sur fond de noyade suspecte, la narration suit le quotidien d'un groupe d'ados de bonnes familles mais totalement déjantés et imprévisibles. Une nuit, ils surprennent une partouze dans un gymnase.
"C'était toujours intéressant de voir comment les vieux s'y prenaient.
L'affaire se déroulait derrière une porte à tambour qui donnait sur un terrain de basket
entièrement financé par une marque de lunettes et les jus de fruits Tropicana. Sur la droite se trouvaient les vestiaires et les douches. Sur la gauche, il y avait un type qui enculait une femme
en bas et en corsage. Il y en avait un autre, un peu gras lui aussi, un peu chauve également, qui se tenait par en dessous et qui la ramonait avec ardeur. Tout près se tenait le gardien avec deux
femmes proches de la soixantaine, aux joues cuites, aux mèches collées, et ça léchait tous azimuts. Ils étaient vautrés sur des tapis de sol offerts par l'amicale des parents d'élèves, ils
grognaient, ils ahanaient, ils jouissaient, ils se baptisaient de tous les noms, et on entendait leurs coudes ou leurs genoux déraper sur la mousse bleue qui brillait de leurs humeurs à tous et à
toutes, cependant que trois autres sortaient des toilettes bras dessus bras dessous, passablement ivres, et se joignaient à la partie.
Il y avait dans l'air une odeur désagréable ou plutôt un mélange d'odeurs particulièrement désagréable. Evy et ses deux compagnons se tenaient à l'entrée, dans l'ombre d'un cheval d'arçons, et ils retinrent leur souffle lorsqu'un type en râlant fit gicler sa semence dans les airs et qu'elle retomba directo dans la chevelure d'une femme qui, après un instant d'incertitude, partit dans un rire gras, bientôt suivi par quelques autres.
Prise en levrette, une petite maigre s'essuyait la bouche dans un kleenex, un type versait de l'alcool dans des gobelets, une blonde avait un œil collé, un brun fumait une cigarette, une voix se plaignait d'hémorroïdes."
Violette Nozière, née en 1915, est entrée dans l'Histoire en août 1933 quand elle a empoisonné ses parents (son père décède, sa mère en réchappe). Reconnue coupable de parricide, la Cour d'Assise de la Seine la condamne le 12 octobre 1934 à la peine de mort. Pour expliquer son geste, Violette accusa son père d'inceste.
Par la suite, elle va bénéficier de 4 mesures de grâce très exceptionnelles :
- en décembre 1934, le Président Albert Lebrun commue sa peine en réclusion à perpétuité.
- en août 1942, le Maréchal Pétain réduit sa peine à 12 années de travaux forcés, si bien qu'elle est libérée le 29 août 1945.
- en nov 1945, le Général de Gaulle lève son interdiction de séjour de 20 ans sur le territoire français.
- enfin en 1953, elle est réhabilitée et sa condamnation annulée.
En 1946, elle avait épousé un certain Pierre Garnier, fils du greffier de la prison, avec qui elle eut 5 enfants. Violette Nozière mourut en novembre 1966 des suites d'un cancer.
Si elle est connue pour son acte criminel, Violette Nozière fut aussi une jeune fille très libre et presque marginale dont le destin intéressa beaucoup les surréalistes. Fille unique, elle poursuivit ses études secondaires à Paris. En mal d'indépendance, de liberté et de plaisir, elle menait une existence assez chaotique pour l'époque, ayant recours pour subvenir à ses besoins, à des moyens peu orthodoxes, comme la prostitution occasionnelle ou la pose très dénudée pour des revues frivoles (comme les 3 photos ci-dessous prises en 1932 alors qu'elle n'avait que 17 ans !)
Pour en savoir davantage, reportez-vous à l'article très complet de Wikipédia : Violette Nozière
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