Une lectrice très chaude. Elle réside en Moselle. Elle recherche des hommes seuls ou en groupe, mais très bien membrés. Elle adore les blacks. Si vous êtes intéressé, contactez-moi, je lui transmettrai vos coordonnées.
Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Une lectrice très chaude. Elle réside en Moselle. Elle recherche des hommes seuls ou en groupe, mais très bien membrés. Elle adore les blacks. Si vous êtes intéressé, contactez-moi, je lui transmettrai vos coordonnées.
Canicule. Conseil n° 1 : Buvez régulièrement de l'eau, hydratez-vous !
... et boire de l'eau à poil, c'est plutôt excitant.
Philip Roth : "Zuckerman enchaîné", 713 pages
Collection Folio n° 1877
Sous le titre de "Zuckerman enchaîné" sont regroupés quatre textes ayant pour lien l'écrivain Nathan Zuckerman (avatar de Philip Roth). Ces quatre textes sont dans l'ordre de parution " l'écrivain fantôme" (1979), "Zuckerman délivré" (1981), "La leçon d'anatomie" (1983) et enfin " Epilogue : l'orgie de Prague" (1985)
Je vous ai choisi un extrait de "La leçon d'anatomie" dans le chapitre "Au feu". Pages 534-535 : En 1973, dans l'avion qui l'emmène à Chicago, Zuckerman engage la conversation avec son voisin en se faisant passer pour le directeur d'une revue pornographique nommée "Cracra-Mouille" et se présente sous le nom de Milton Appel, un écrivain dont il souhaite se venger d'une critique acerbe.
" - Aujourd'hui, la plupart des pipes sont taillées par des mecs qui sont mariés. Zêtes marié ?
- Oui, il se trouve que je suis marié. Il se trouve que j'ai trois enfants.
- Et vous ne le saviez pas ?
- Je l'ignorais.
- Ça, ce n'est pas dans Playboy que vous l'auriez appris. Ça n'est pas pour les lecteurs de Hefner, ça, pas ces trucs-là. Ce n'est pas pour le Wall Street Journal non plus. Mais à l'arrière des salles de cinéma, dans les chiottes de bistro, autour des restaurants des routiers - c'est là que sont taillées la plupart des pipes d'Amérique. La sexualité est en train de changer en Amérique. Les gens changent de partenaires, bouffent de la chatte, les femmes baisent plus, les hommes mariés sucent des bites, et Cracra-Mouille reflète tout ça. Qu'est-ce que vous voudriez qu'on fasse, qu'on mente ? Moi je regarde les statistiques. Ce sont des changements réels, fondamentaux. En tant que révolutionnaire, ça ne me suffit jamais. Je trouve que c'est tellement lent. Tout de même, au cours des dix dernières années, la production de sperme a augmenté en Amérique d'au moins 200%. Seulement bien sûr, ce n'est pas en lisant Business Week que vous l'apprendrez. Vous venez me parler de Playboy. Le mec marié comme vous qui regarde Playboy. Il regarde ces petits lapins et la bonne femme est inaccessible, c'est la nana qu'on n'aura jamais. Très bien. Il se branle et il se refout au page avec sa femme. Mais dans Cracra-Mouille, quand vous regardez les pépées, vous savez que vous pouvez vous les taper. Un coup de téléphone et cinquante billets. Cest toute la différence entre les fantasmes infantiles et la réalité."
Cette année, nous sommes gâtés par le calendrier : le 21 juin tombe un vendredi ! Alors, ce soir, dans les rues ce sera vraiment la Fête de la Musique qui se prolongera sans doute pendant tout le week-end.
Je n'ai pas trouvé l'identité de l'illustrateur !
Petit abécédaire (cul)inaire # 7
C comme "croque monsieur"
Une idée simple pour un plateau télé ou un repas convivial en famille ou entre amis.
Ma liste de courses pour 2 personnes :
Le saviez-vous ? # 125
John Harvey Kellogg ( 1852-1943), célèbre créateur des corn flakes Kellogg's était avant tout un médecin chirurgien américain. Adventiste du 7ème jour convaincu, il préconisait le végétarisme et l'abstinence de l'alcool, du tabac et de la liberté sexuelle. Il considérait en effet que la viande stimulait l'appétit sexuel et que la masturbation était la cause principale du cancer des ovaires, des infections urinaires, de l'épilepsie et de la démence. Quel rapport avec les corn flakes ? me direz-vous. Le médecin rigoriste était persuadé que nourrir les hommes (et les femmes) de manière saine et équilibrée réduisait les mauvaises pensées et les pratiques qu'il jugeait "impures" CQFD ! Et c'est dans le cadre de sa croisade anti-sexe qu'il mit au point les céréales du petit déjeuner qui allaient faire sa fortune, mais aussi le beurre de cacahouètes et les granola !
Depuis mardi dernier ( le 11 juin), sur l'île de la Réunion, pour la deuxième fois de l'année, le Piton de la Fournaise est entré en éruption. Avec mon mauvais esprit habituel, je vous propose deux visions très "koppériennes" du phénomène.
Vidéo : éruption n° 1
Vidéo : éruption n° 2
Christian Forster. De cet artiste, je ne peux vous proposer que cette œuvre trouvée sur le net, intitulée "Jason's nightmare" (le cauchemar de Jason). Je n'ai trouvé aucun autre renseignement (ni sa nationalité, ni son âge, ni son parcours artistique...). Mais je tenais à vous présenter ce tableau qui m'a, comme on dit, "interpellé". Je compte donc sur vous pour nous en apprendre plus... D'avance merci.
"Un jeune homme pas très rangé"
Récit anonyme paru en 1990 dans la collection "Les érotiques" dirigée par Gérard de Villiers. Cet ouvrage de 188 pages s'inspire des autobiographies libertines des XVIII et XIX èmes siècles. Je vous ai sélectionné une scène classique de voyeurisme : par un trou de serrure, le narrateur observe une jeune femme dans son intimité. Dans le cas présent, il s'agit d'une certaine Claire, servante chez les parents d'un camarade du narrateur.
Page 38 et suivantes : " Je m'agenouille, tout près de la porte, le souffle si court, si précipité qu'il doit résonner à l'intérieur de la chambre comme un soufflet de forge.
Claire est assise sur le lit, très droite. Elle lisse ses cheveux d'un air absent. Puis elle se secoue, comme si elle prenait une décision importante, et marche vers la table de toilette surmontée d'une glace, qui porte les instruments usuels de la propreté.
Je halète à petits coups, comme un chien qui a soif. Une délicieuse faiblesse me broie les membres. Ça y est. Elle lève les bras, passe son chandail par-dessus sa tête. On ne voit encore presque rien (les poils en dessous de ses bras, et la chair rose, les bretelles froissées de la combinaison), mais il me semble que j'ai déjà tout reçu, tout vu. Je jurerais presque que je perçois une odeur un peu fauve, de sa transpiration et de son corps. Ah, te mordre, Claire...
Elle dégrafe sa jupe, la pose sur le lit, en fait les plis. Puis elle s'assied pour enlever ses bas. Je vois mal, parce qu'elle se trouve maintenant de biais, la jambe relevée pour faire glisser sans à-coups la gaine de soie. J'aperçois à peine un éclair de cuisse dodue, blanche. Mais je sais que ça va être encore meilleur...
Claire passe les bretelles de sa combinaison des deux côtés de son épaule ronde. Elle peine un peu pour défaire le bouton du soutien-gorge. "Ah !" Je crois que j'ai fait "ah !" tellement les seins ont jailli ronds et blancs, près à les toucher.
Leur fraise est rouge sombre, fripée, et ces seins n'ont presque pas d'aréoles. Mais la peau autour d'eux paraît extraordinairement douce, bonne à caresser. J'ai sorti ma queue et je me branle doucement, très doucement, avec deux doigts, pour entretenir l'excitation mais ne pas décharger trop vite.
Elle savonne ses seins à main nue. Que je voudrais être à sa place ! Puis elle s'asperge d'eau, et comme elle a peur de mouiller sa belle combinaison, elle l'enlève. Il ne lui reste plus qu'un slip transparent, en nylon blanc, à travers lequel on voit briller sa toison.
J'ai la queue toute mouillée tellement elle m'excite. Elle a fini une partie de sa toilette et tire le bidet au milieu de la pièce, exactement face à moi. Elle fait glisser sa petite culotte, la lance sur le lit et va s'accroupir sur le siège d'émail.
En face de mes yeux, peut-être à un mètre (la chambre est petite) je vois sa fente vermeille, rose vif à l'intérieur, et les lèvres plus pâles. Elle écarte les moustaches pour mieux se savonner. Sa main glisse, glisse, part entre les fesses, revient, caresse, entoure. Elle n'est que courbes harmonieuses, rondeurs. Un parfum de savon et de chair humide vient jusqu'à moi.
Mais que fait-elle ? Ses doigts se crispent dans les poils, elle secoue la tête en tous sens. Ses beaux seins, elle les dresse, les brandit. Puis, comme si elle ne pouvait plus se retenir, elle ouvre grandes les lèvres de son sexe, laisse courir son index. Il frotte, il frotte. La pointe rouge du clitoris s'agite en tous sens. Elle halète. Elle secoue le bidet, tant elle se branle avec fureur. mais ses jambes la gênant, elle ne sait comment mieux s'ouvrir pour jouir plus complètement.
Elle a trouvé. Elle installe une chaise derrière le bidet, sur laquelle elle appuie sa tête. Puis elle écarte les jambes aussi loin que possible, l'une d'elles posée sur le lit, l'autre sur la table de toilette, elle est magnifiquement écartelée ; on dirait qu'elle porte au bas du ventre une vaste blessure qu'elle secoue, qu'elle maltraite. Un râle sourd lui échappe. Et soudain, elle décharge ! En même temps qu'elle, je lance un jet brûlant, je voudrais enfiler la porte, baiser cette fille qui mouille au-dessus de son bidet, les poils collés en bramant tellement elle a envie d'une queue ! "
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