À noël, nous sommes tous de grands enfants, tout excités au moment de découvrir nos cadeaux... Alors, joyeux noël à tous et à toutes.
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À noël, nous sommes tous de grands enfants, tout excités au moment de découvrir nos cadeaux... Alors, joyeux noël à tous et à toutes.
Le journal "Le Parisien" du 15 décembre nous apprend qu'après une tempête, des milliers de vers marins, surnommés "poissons pénis" en raison de leur forme évocatrice, se sont échoués sur une plage au nord de San Francisco. Ces vers qui peuvent atteindre entre 10 et 30 centimètres de long vivent habituellement cachés dans le sable.
Avec son humour habituel, le Canard Enchaîné précise que ce phénomène curieux n'est pas si rare puisqu'il se produit tous les étés au Cap d'Agde !!!
Si l'on en croit l'auteur Claude Schopp* qui a effectué ses recherches dans les archives de la Bibliothèque Nationale, elle s'appelait Constance Quéniault et était fille d'une modeste ouvrière du textile. Engagée à l'Opéra de Paris en 1857, elle y apparut dans quelques seconds rôles jusqu'à ce qu'une blessure au genou ne mette prématurément un terme à sa carrière de danseuse. Mais sous le Second Empire, l'Opéra n'était pas qu'un temple de la danse, c'était aussi là que des messieurs fortunés venaient reluquer des jeunes filles en petite tenue. Dès 1848, Théophile Gautier écrivait : "La jeune ballerine est à la fois corrompue comme un vieux diplomate et naïve comme un bon sauvage." Donc, comme beaucoup de ses camarades de ballet, la jeune Constance se reconvertit en femme entretenue. Elle y montra tant de talent qu'en une dizaine d'années, elle devint riche. Elle faisait partie de la "haute bicherie" de l'époque.
Elle devint ainsi la maîtresse de Khalil-Bey, ambassadeur de Turquie en France, grand amateur de belles femmes et de jeu. Comme la belle Constance lui portait chance aux cartes, il souhaita l'avoir toujours près de lui. Aussi, demanda-t-il à son ami Gustave Courbet de lui réaliser un portrait très intime de sa muse. C'est ainsi que naquit "L'Origine du monde". Femme d'affaires avisée, Constance investit dans l'immobilier à Paris et à Cabourg ce qui lui assura une vieillesse heureuse en rentière riche et respectée.
* Claude Schopp : "L'origine du monde, vie du modèle" ( éditions Phébus)
Dans la collection "Osez 20 histoires de sexe" aux éditions La Musardine, voici un recueil dont toutes les nouvelles sont écrites par des femmes. Mon coup de cœur est allé à la nouvelle "Rose barbaque" signée par Delphina.
La narratrice a développé une attirance sexuelle irrépressible pour la viande crue et tout ce qui s'y rapporte. C'est ainsi que devenue adulte, elle a ses habitudes dans un bar situé près des abattoirs. Adolescente, elle aimait aussi fréquenter les boucheries-charcuteries. C'est là qu'elle avait repéré un boucher sur qui elle fantasmait. (pages 98-99).
"Gras à souhait, souvent luisant et chauve, je me demandais bien à quoi pouvait resembler son sexe, tout calfeutré dans ce pantalon pied-de-poule bleu. J'étais certaine qui lui aussi avait subi l'influence de cette cohabitation avec les ongulés morts, il avait dû frotter maintes fois son organe contre du faux-filet, le nicher dans du haché, mêler son sperme au jus sanglant.
L'après-midi, seule à la maison, je faisais dorénavant mes exercices masturbatoires en sa compagnie
imaginaire. Le fantasme se passait dans l'arrière-boutique, peu importait la manière dont je m'étais retrouvée là. Poser mon cul sur l'immense planche à découper, la tête coincée entre les
couteaux et les couperets pendants, les cuisses ouvertes, mon sexe tout au bord de l'établi. Mon boucher dodu ne gardait que son tablier et ses bottes en caoutchouc, j'y tenais. Il ajustait ma
position à sa convenance. Il pinçait chacun de mes tétons avec un instrument en inox, une ficelle à gigot les reliait aux barres du plafond, il poursuivait en me saucissonnant fermement, des
gestes brusques et mécaniques machinaient mes membres, il allait même parfois jusqu'à me barder. J'étais sa préparation du jour, lorsqu'il me jugeait à point, il m'embrocherait, il le fallait. Le
fil alimentaire blessait ma peau, je commençais à prendre des couleurs. Il m'inspectait silencieusement avec précision, son tablier ondulait, bougeait un peu tout seul. Il le soulevait pour
dévoiler son organe, lui montrait sa proie, moi.. Sa chose était suintante, épaisse, nappée d'une fine crépinette, les veines couraient tout le long, un gland à la texture spongieuse pointait
vers moi. Doucement, il s'avançait à pas de loup. Le boucher avait les mains sur les hanches, ses yeux rivés sur son engin gorgé de sang, j'étais son offrande. Il farfouillait de sa queue,
s'attardait sur les abords de mes lèvres grandes et petites, et soudain, s'introduisait sans fioritures, d'un coup sec. Le membre chaud vivant en moi s'immisçait jusqu'au col, s'imposait et se
retirait, ses secousses de l'intérieur, mes parois vaginales gonflées à bloc, l'impossibilité de bouger par moi-même. Et soudain, le renversement de situation total que je comprenais comme un
flash, j'explosais de décharges électriques, comme on eût électrocuté une vache avant l'abattage.
Je me suis donc initiée peu à peu à la sexualité, en passant de l'escalope dans la culotte au boucher dans mon con. Maintenant, jai besoin d'aller bien plus loin."
Paru anonymement en janvier 1748, "Les Bijoux indiscrets" est le seul écrit libertin de Denis Diderot.
Collection poche Garnier Flammarion n° 192
Chapitre IV : explication du titre. Scène entre le génie Cucufa et le sultan Mangogul. Le génie offre au sultan "un anneau d'argent, que Mangogul prit d'abord pour une bague de saint Hubert.
- Vous voyez cet anneau, dit-il au sultan ; mettez-le à votre doigt mon fils. Toutes les femmes sur lesquelles vous en tournerez le chaton, raconteront leurs intrigues à voix haute, claire et intelligible : mais n'allez pas croire au moins que c'est par la bouche qu'elles parleront.
- Et par où donc, ventre-saint-gris ! s'écria Mangogul, parleront-elles donc ?
- Par la partie la plus franche qui soit en elles, et la mieux instruite des choses que vous désirez savoir, dit Cucufa; par leurs
bijoux.
- Par leurs bijoux, reprit le sultan en s'éclatant de rire : en voilà bien une autre. Des bijoux parlants ! cela est d'une extravagance inouïe."
Au cours du récit, l'anneau sera utilisé à trente reprises et, à chaque fois, les "bijoux" des dames, parleront de leurs souvenirs, de leurs expériences heureuses ou malheureuses, de leurs désirs les plus intimes, de leurs déceptions. Des femmes à la réputation vertueuse se révèleront très portées sur le sexe, des hommes de cour verront leur impuissance ou leurs infidélités rendues publiques...
Pour parler de sexe, Diderot avait généralement recours à la périphrase, la métaphore, sauf dans le chapitre 47, lors du 26ème essai de l'anneau sur une certaine Cypria au bijou polyglotte. Le bijou de la courtisane va donc s'exprimer successivement en anglais, en latin, en italien et pour finir en espagnol. L'occasion pour Diderot d'user d'un langage beaucoup plus cru, comme dans ces extraits en anglais :
" A wealthy lord, travelling through France, dragg'd me to London. Ay, that was a man indeed ! He water'd me six times a day, and as often o'nights. His prick like a comet's
tail shot flamning darts : I never felt such quick and thrilling thrusts. (...) This noble lord was successed by a couple, lately return'd from cruising : they fuck'd me." (Un lord fortuné
qui voyageait en France m'entraîna jusqu'à Londres. Hé, c'était pour sûr un homme ! Il m'aspergeait (de foutre) six fois dans la journée, et autant de fois la nuit. Sa bite lançait des flèches
enflammées comme la queue d'une comète. Je n'avais jamais ressenti de poussées aussi rapides et aussi palpitantes. Un couple de retour d'un voyage en mer succéda à ce noble lord : ils me
baisèrent.)
En relisant les "Bijoux indiscrets" je me disais que c'était un peu la version première des "Monologues du vagin"
Photo n° 32
Le quatrième volet de cette série d'articles était déjà consacré au thème de l'exhibition en public, mais le cadre était celui d'un barbecue entre amis, alors qu'ici on se trouve en pleine ville, dans une rue où marchent des passants et roulent des voitures. Pour en avoir fait l'expérience avec une ex, je me souviens de la poussée d'adrénaline au moment de prendre la photo. Cela relevait du pari, du style "t'es cap ou pas cap ?" C'est le genre de situation dont on sait que, une fois la peur surmontée et les photos prises, on s'offrira des souvenirs et une superbe séance de baise.
Donc, nous voici à la terrasse d'un restaurant sur le trottoir d'une rue passante, dans une ville étrangère (je ne suis pas parvenu à identifier la langue de la carte de la pizzéria, ni la nationalité des drapeaux sur la façade de l'immeuble). Le temps est beau, la jolie blonde est légèrement vêtue, ne porte pas de culotte, et d'un geste bref, relève le bas de sa jupe écossaise pour montrer sa chatte épilée, sa fente d'où émerge des lèvres coquines. Je la soupçonne de ne rien porter sous son blouson, et qu'à la première occasion, elle montrera aussi ses seins nus.
Le système hospitalier français est au bord du gouffre : manque de personnel, urgences saturées, horaires de travail abusifs, locaux dégradés et matériel obsolète, restrictions budgétaires... L'avenir s'annonce très sombre. On pourrait disserter à l'infini sur les causes et les solutions à cette crise majeure. Mais ce dessin de Diego Aranega paru dans un Canard Enchaîné de novembre résume avec un humour féroce l'ampleur du malaise.
Il y a quelques jours, une amie qui travaille aux urgences de l'hôpital me racontait qu'une nuit, vers deux heures du matin, ils avaient vu arriver une femme d'une quarantaine d'années accompagnée de deux autres femmes (des "amies") qui la soutenaient car elle avait visiblement beaucoup de difficultés pour marcher. Et pour cause : elle avait, enfoncée profondément dans le vagin et impossible à retirer sans dommages, une bouteille en verre dont elle ne tenait vraiment pas à expliquer comment et pourquoi elle s'était retrouvée là.
Cela m'a rappelé ce que m'avait confié il y a des années de cela un ami médecin hospitalier : le week-end, ils accueillaient souvent des hommes qui arrivaient aux urgences avec, logée dans le rectum, une petite bouteille qu'ils s'y étaient enfoncée comme un gros suppositoire !
Concluez-en ce que bon vous semble !
Suite de l'index masturbateur : l'index dans la chatte. Il est le plus habile à trouver les zones sensibles, comme le petit coussinet grumeleux à l'entrée du vagin, siège de grand plaisir.
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