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Charles BUKOWSKI, "Women", Editions Grasset (1981)
Collection Livre de poche n° 5900
Récit autobiographique des aventures et mésaventures de l'écrivain, alias Henry Chinaski, accro à l'alcool et aux femmes. Le récit alterne et mêle les beuveries, les lectures publiques et les scènes de baise. L'ensemble donne volontairement l'impression désagréable d'une routine... à l'exception de la dernière rencontre, juste à la fin du livre avec une jeune lectrice-admiratrice d'une vingtaine d'années prénommée Tanya venue lui rendre visite :
Pages 394-395
" - Écoute, je pense que tu es un écrivain formidable. Tu fais partie des rares écrivains que j'arrive à lire.
- Ah ! ouais ? Qui sont les autres salauds ?
- Je ne réussis pas à retrouver leurs noms pour l'instant.
Je me suis penché pour l'embrasser. Sa bouche était humide, ouverte. Elle s'abandonnait facilement. Un sacré numéro. Quarante-cinq kilos. L'éléphant et la souris.
Le verre à la main, Tanya s'est levée, a remonté sa jupe et s'est assise à califourchon sur mes genoux, face à moi. Elle ne portait pas de petite culotte. Elle s'est mise à frotter sa chatte contre ma queue dressée. On s'embrassait sauvagement, elle frottait de plus belle. Très efficace. Tortille-toi, petite enfant-serpent !
Ensuite, Tanya a descendu la fermeture Éclair de mon pantalon. Elle s'est emparée de ma queue et l'a
poussée dans son con. Elle a commencé à monter et descendre. Elle savait y faire, avec ses quarante-cinq kilos. J'avais du mal à penser. Je bougeais vaguement, m'accordais parfois au rythme de
Tanya. On s'embrassait de temps en temps. C'était quand même fort : j'étais en train de me faire violer par une gamine. Elle s'est lancée dans sa phase rotatoire. J'étais coincé, pris au piège.
C'était fou. Rien que de la chair, sans un gramme d'amour. La puanteur du sexe empestait l'air. Mon enfant, mon enfant. Comment ton petit corps réussit-il toutes ces prouesses ?
Qui a inventé les femmes ? Dans quel but ultime ? Ce pieu, par exemple ! Et dire que nous étions parfaitement étrangers l'un à l'autre ! J'avais l'impression de baiser
ma propre merde.
Elle me besognait comme un singe sur une corde raide. Tanya était une fidèle lectrice de toutes mes œuvres. Elle attaquait bille en tête. Cette enfant en connaissait un rayon. Elle sentait mon angoisse. Elle ramonait furieusement, tout en se limant le bouton, la tête rejetée en arrière. Nous participions tous les deux au plus ancien jeu du monde, au plus excitant. Nous avons joui ensemble, ça a duré une éternité, jusqu'au moment où j'ai pensé que mon cœur allait s'arrêter. Elle est tombée contre moi, frêle, minuscule. J'ai touché ses cheveux. Elle était en nage. Ensuite, elle s'est écartée de moi et est allée dans la salle de bain."
Le saviez-vous ? # 124
L'agalmatophilie ( du grec "agalma" statue) est une paraphilie qui consiste à ressentir une excitation sexuelle à la vue et/ou au toucher de statues, de poupées ou de mannequins. Cette excitation est provoquée par l'immobilité, l'attitude figée de l'objet à figure humaine ou animale.
Le pygmalionisme est une variante de l'agalmatophilie où le sujet est excité par sa propre création. On pense alors à des artistes comme Pierre Molinier ou Hans Bellmer, tous les deux créateurs de poupées très sexuées.
B comme "Boudin"
La recette du jour : BOUDIN NOIR A
L'ANCIENNE
Ingrédients
5 litres de sang
5 kilos d'oignons
5 kilos de gorge de porc ou de sanglier
boyaux de porc
une belle botte de persil, 13gr de sel par kilo de mêlée finale
4 gr de poivre par kilo de mêlée finale
(les proportions sont à modifier si vous faites moins de quantité) le boudin est poids pour poids, rien d'autre.
MATERIEL A PREVOIR
1 grosse gamelle
1 grand recipient
1 hachoir
1 entonnoir à boudin
1 bâton bien rond et lisse
1 aiguille fine
1 plaque alvéolée
Mélanger le sang sans cesse pour ne pas qu'il coagule.
Hacher les oignons, la gorge de porc sans la couenne et le persil entier. Mettre le tout avec le sang et mélanger sans cesse - saler poivrer
Mettre votre récipient dans une grande gamelle avec de l'eau frémissante et tourner le sang (pour faire les boudins le sang doit être tiède et ne pas coaguler. mais attention il ne doit pas cuire
à cette étape de la recette)
Au préalable vous aurez fait tremper des boyaux de porc dans de l'eau tiède
Placez le boyau sur l'entonnoir à boudin
Serrez avec la main le boyau avec l'entonnoir, verser avec une louche un peu de mêlée, ensuite lâchez le tout, le sang va s'écouler doucement dans le boyau.
Ne faites pas de boudins trop long sinon ça risque de casser à la manipulation. Une fois le boyau rempli, faites un noeud à l'extrémité.
Soit vous le laissez comme ca, soit vous le tournez pour en faire des portions. à vous de choisir
Une fois toute la mêlée passée dans les
boyaux, faites bouillir de l'eau avec quelques feuilles de laurier dedans (pas plus de 80°)
pour éviter que le boudin éclate retirer la casserole d'eau bouillante que vous remplacerez par une même casserole d'eau bien froide.
Plonger doucement les boudins dedans et laisser cuire 20 mn
Pour surveiller la cuisson à l'aide d'une aiguille à coudre, piquez le boudin. Si un liquide sort continuez la cuisson, si rien ne sort le boudin est cuit
retirer à l'aide d'un bâton les boudins cuits
placez les sur une plaque alvéolée pour qu'ils refroidissent doucement
une fois refroidis et égouttés, ils sont prêts ... pour les griller attendez le lendemain.
bon appétit. !
On aurait pu aussi citer : le boudin blanc, le boudin antillais, le boudin de campagne...
Vania Zouravliov est un artiste d'origine russe installé à Edimbourg en Ecosse. Son œuvre très prolifique se caractérise par une grande précision du graphisme, richement illustré. (je n'ai pas trouvé d'informations biographiques autres que son pays d'origine)
Illustration pour Gamiani d'Alfred de Musset
Il lui arrive aussi d'aborder des sujets "politiquement incorrects" comme les deux tableaux ci-dessous. Le dernier a pour titre "come into land" ( ce qui pourrait se traduire par "invasion")
" JEU DÉCISIF", chapitre 10 (fin)
MATHIEU
Je ne voulais surtout pas gâcher la magie de l'offrande par une maladresse ou un impair. En silence, j'ai entrepris d'apprivoiser le trou de son cul qui me contemplait de son œil plissé : l'effleurer du bout des doigts, d'une pression du pouce en éprouver la souplesse et la docilité, le humer au plus près, en découvrir les senteurs secrètes aux relents de poivre et d'oignon mêlés, le titiller de la pointe de la langue, le lécher comme un chien assoiffé, l'enduire avec passion de salive épaisse jusqu'à entendre la voix étouffée de Carole :
Pour dire la vérité, je n'en menais pas large. Pour moi, l'expérience était inédite ; je n'avais encore jamais pratiqué la sodomie. Essentiellement par crainte d'un refus. En effet, la seule fois où j'avais osé le suggérer à une partenaire que je croyais cool, je m'étais vu opposer un refus catégorique qui avait eu le don de refroidir mes ardeurs. Depuis cette mésaventure, j'avais refoulé ce fantasme au plus profond de mes pensées. Et voilà que la situation était totalement inversée, que c'était ma partenaire qui manifestait l'envie de ma queue dans son cul : le monde à l'envers !
Docilement, je me suis agenouillé derrière sa croupe offerte. Comme attirée par un aimant, la tête de ma bite est venue se poser sur son anus humide. À première vue, la disproportion entre les deux paraissait inconciliable : d'un côté l'œillet étroit de son cul, de l'autre mon gland gonflé de sang comme une grosse prune... Et pourtant, lorsque tenant fermement Carole par les hanches, je poussai mon bassin vers l'avant, elle s'ouvrit sans résistance. La collerette de son anus s'élargit, ses chairs se firent élastiques et mon gland s'enfonça tout doucement... Une fois la tête passée, comme celle du bébé pendant l'accouchement, le reste fut aisément englouti dans l'obscurité du rectum. Je fus assailli de sensations nouvelles : pression de l'anneau de son anus qui m'enserrait la queue, chaleur intense de son gros intestin, grande vacuité du rectum sans fond... D'un coup de reins, Carole m'a invité à lui pistonner le fondement. Alors, d'abord prudent puis de plus en plus audacieux, je me suis mis à aller et venir entre ses fesses. À ma grande surprise, Carole fut la première à jouir. Son anus fut saisi de spasmes puissants qui me baguaient la bite en cadence pendant que je sentais suinter sur mon gland une mouillure inconnue... En jouissant et en haletant, Carole prononça des mots sans doute obscènes qui ne firent qu'augmenter mon excitation. Alors, ce fut à mon tour d'être emporté par mon désir. À l'approche de l'orgasme, quand j'ai senti le flot de sperme monter du scrotum, je me suis enfoncé le plus loin possible dans son cul, jusqu'à ce que mes couilles viennent se frotter à sa vulve dégoulinante et que mes poils pubiens caressent sa raire culière. C'est sorti en giclées gluantes. Partie du périnée, l'onde du plaisir s'est répandue à travers tout mon corps, vers le sommet de mon crâne et l'extrémité des mes orteils où elle s'est épanouie en un bouquet d'étincelles sensuelles.
Après un rapide passage par le cabinet de toilette, nous sommes encore restés plus d'une heure au lit à nous cajoler, nous embrasser et nous caresser partout. Une fois nos sexes rassasiés, était venu le temps de la tendresse. Tout en se bécotant, on écoutait les couples de chambres voisines qui se prenaient bruyamment. Le jour a lentement décliné, puis ce fut la nuit. Carole s'est rhabillée sans hâte, me laissant tout le loisir de lui caresser encore une fois les seins, de lui lécher le nombril, de lui embrasser la chatte... Alors qu'elle venait d'enfiler son manteau, je lui ai enfin posé la question qui me brûlait les lèvres :
- On se revoit quand ?
- Plus jamais, me répondit-elle d'une voix terriblement calme. C'était la dernière fois et je vous demande de ne pas essayer de me retrouver.
Elle a ouvert la porte de la chambre et elle est sortie sans un baiser, sans même un regard..
ÉPILOGUE
Cette étrange et trop brève liaison date depuis plus de trois ans. Carole a tenu parole : son nom a disparu du listing des adhérents du club de tennis et je n'ai plus eu de ses nouvelles. Moi aussi j'ai arrêté le tennis et je me suis mis à la natation. Deux soirs par semaine, je vais à la piscine où j'aime observer les femmes, et plus particulièrement celles dans la cinquantaine qui ont de gros seins et surtout des pubis rebondis serrés dans leur maillot de bain mouillé si près du corps
© Michel Koppera, mars 2019
" JEU DÉCISIF ", chapitre 10 (suite)
MATHIEU
- Comme je suis habillée en putain, vous allez me traiter comme une putain. Je vous appartiens, je vous obéis...
- Vous me prenez au dépourvu. Je ne sais par où commencer...
- Déshabillez-moi puis on passera au bidet pour la toilette rituelle, comme dans les films en noir et blanc avec Arletty ou Martine Carol...
Je lui ai
donc ôté sa jupe, son corsage et sa petite culotte mais elle a tenu à conserver ses bas et son porte-jarretelles, ce qui la rendait effectivement diablement plus attirante.
À califourchon sur le bidet, les cuisses ouvertes, Carole s'est shampouiné la touffe et savonné la vulve. À genoux devant son ventre comme devant un tabernacle, j'étais en adoration. Elle m'a tendu la serviette pour que je l'essuie. Ensuite, ce fut à mon tour de me laver la queue debout devant le lavabo. Je bandais ferme. À peine rincé, Carole s'est accroupie et a entrepris de me tailler une pipe. Les mains solidement agrippées au bord du lavabo, les yeux mi-clos, j'ai apprécié la douceur de ses lèvres et la souplesse de sa langue qui caressait mon gland avec une habileté diabolique.
Mais je n'avais qu'une idée en tête : baiser. Alors, on est retournés dans la chambre, sur le lit. Elle en bas noirs et porte-jarretelles, moi intégralement nu. Le léger grincement du sommier ajoutait un petit plus à notre excitation. Allongée sur le dos, les cuisses écartées, les bras en croix, Carole s'abandonnait. Elle me donnait tout : son sexe évidemment, mais aussi ses seins lourds, sa bouche fardée, son cou, ses épaules, ses pieds s'il m'en prenait envie. À ce moment, j'aurais aimé que le temps s'arrête ou que tout se mette au ralenti afin que je puisse jouir de l'instant au maximum. Je crois que je l'ai caressée partout, embrassée, léchée, pelotée, palpée, sublimée... Un énigmatique sourire aux lèvres, elle se laissait faire, son corps n'opposait aucune résistance. Au bord de l'éjaculation spontanée, je me suis enfin décidé à la baiser. Devançant mon désir, elle a spontanément écarté les cuisses en grand, relevé un peu les genoux et, une fois ma bite plantée dans son con, elle a refermé les bras sur moi, a posé ses mains sur mes fesses et m'a donné le rythme de notre accouplement tandis que nos bouches ventousées échangeaient des flots de salive sirupeuse. Malgré mes efforts pour retarder l'échéance, je n'ai pas tenu très longtemps. Je lui ai tout lâché dans le ventre à grand renfort de grognements animaux.
Sans me laisser le temps de souffler, Carole m'a repoussé et est retournée au bidet pour se rincer profondément le vagin englué de foutre. Je la croyais contrariée mais, de retour sur le lit, elle m'a souri sans même paraître étonnée que je n'aie pas débandé. Me saisissant la bite à pleine main, elle m'a innocemment demandé :
- Ça vous dirait de m'enculer ?
Cette proposition formulée sur le ton de la plus grande banalité m'a littéralement électrisé. Elle a dû en ressentir les vibrations dans mon sexe qu'elle tenait fermement.
- Maintenant ?
- Oui, c'est aujourd'hui ou jamais !
C'est le genre de marché qui ne se refuse pas. Elle m'a lâché la queue pour se mettre en position, à quatre pattes sur le lit défait. Bien cambrée, ses grosses fesses blanches m'évoquèrent une énorme glace à deux boules au parfum exotique. Sa vulve poilue encore tuméfiée du souvenir de notre accouplement était comme une merveilleuse friandise fruitée. La tête posée sur l'oreiller, les seins écrasés sur le drap, elle attendait.
à suivre...
" JEU DÉCISIF " chapitre 9
MATHIEU
" RV samedi prochain 16 h, au pied des Horloges de la gare Saint-Lazare. Trouvez-nous un hôtel tout simple dans le quartier. Carole"
Si nous n'avions pas eu rendez-vous, j'aurais pu la croiser dix fois sans la reconnaître. Ce jour-là, elle
était tellement différente ! Elle portait un long manteau noir qui lui tombait à mi-mollet, avec un col de fourrure fauve qui la rendait encore plus mystérieuse. Je ne l'avais jamais vue aussi
maquillée : rouge à lèvres brillant et carminé, fard à paupières, mascara et chevelure impeccable. Je me souviens aussi de ses bottes de cuir noir dont les talons claquaient sur le pavé
parisien.
D'emblée, elle glissa son bras sous le mien en m'entraîna à l'abri des regards. Elle sentait délicieusement bon : c'était fruité et envoûtant, mais je ne m'y connais pas assez en parfum pour vous en dire plus.
- Alors Mathieu, où m'emmenez-vous ?
Je nous avais déniché un petit hôtel dans une rue peu passante pas loin du Boulevard Clichy. La façade ne payait pas de mine. La chambre était au troisième étage.
- Ça me plaît, dit-elle en me précédant dans l'escalier étroit. Vous avez tout compris.
Qu'y avait-il donc à comprendre ?
La chambre était aussi exiguë que l'escalier et se résumait au strict minimum à savoir un lit double, une table de chevet, une chaise, un cabinet de toilette minuscule avec lavabo, douche et bidet. Un grand miroir mural faisait face au pied du lit. La fenêtre aux rideaux tirés donnait sur une arrière-cour très sombre et sordide. À peine la porte refermée, Carole se débarrassa de son manteau et m'apparut de nouveau sous un autre jour. En effet, sous son manteau, elle ne portait qu'une courte jupe noire qui découvrait ses genoux et un chemisier parme d'un tissu fin et soyeux qui moulait ses gros seins libres de toute entrave. Elle me sourit malicieusement :
- Comment me trouvez-vous ?
- Merveilleuse.
- Je crois que ma tenue est en harmonie avec ces lieux. Écoutez ! Vous entendez la même chose que moi ?
En effet, traversant les fines cloisons, du couloir et des chambres contiguës, nous parvenaient les échos de la vie quotidienne de l'hôtel : claquements de talons hauts,, bruits de clés qu'on tourne dans les serrures, vibrations de tuyauteries, grincements de sommiers, soupirs, halètements et grognements de plaisir... Ce n'est qu'à ce moment-là que je réalisai que nous étions dans un hôtel de passe. Carole en paraissait ravie.
Elle s'était assise au bord du lit, les jambes croisées. Je remarquai qu'elle portait des bas noirs ornés d'arabesques brodées. Prenant appui sur ses deux bras, elle se renversa en arrière et contempla le plafond.
- J'ai mis des dessous de putain... Voyez par vous-même.
Je suis venu m'asseoir à ses côtés et j'ai retroussé sa jupe : c'était bien des bas, suspendus en haut des cuisses par un porte-jarretelles en dentelle. Elle ne portait qu'une petite culotte très étroite et ajourée qui moulait avec obscénité sa chatte qui m'apparut encore une fois comme la plus belle chose au monde.
à suivre...
"JEU DÉCISIF ", chapitre 8 (suite)
CAROLE ET FRANÇOIS
- À ce moment-là, vous aviez déjà baisé ?
- Pas vraiment. J'avais juste joué un peu avec sa queue, je me l'étais enfoncée dans le vagin comme pour faire un essai, pour tester la marchandise...
- Alors, une fois qu'il a joui, il a bien fallu qu'il fasse une pause !
- Pas du tout ! Il n'a même pas débandé. Je suis à peu près sûre qu'il avait pris des trucs pour assurer, du Viagra ou quelque chose dans le genre. Il avait à peine fini d'éjaculer qu'il m'a agenouillée au pied du canapé et m'a prise en levrette. Je ne saurais te dire combien de temps ça a duré, ni le nombre de mes orgasmes. Je jouissais en continu... Dis donc, ça a l'air de te faire de l'effet ce que je te raconte : tu bandes comme un âne !
- Oui, vas-y, branle-moi et raconte-moi encore.
- C'est moi qui ai fini par lui demander de faire une pause pour aller faire pipi et me rafraîchir le visage tout englué de sperme séché. J'avais le ventre en feu. Mais j'étais à peine revenue au salon qu'il m'a de nouveau sauté dessus. Le voilà qui me lèche encore le ventre, qui me caresse les seins, m'excite les mamelons. Il me remet sa bite dans la bouche. Il bande encore plus fort que la première fois. Sa queue est merveilleuse.
- T'étais aussi mouillée que maintenant ?
- Sans doute. Je me souviens qu'il m'a léché le trou du cul, qu'il m'a dit que j'avais la plus belle vulve du monde, qu'il banderait pour moi jusqu'à sa mort. Le plus drôle, c'est que je le croyais. Puis il s'est remis à me baiser, en missionnaire cette fois, sa bouche collée à la mienne, avec sa queue qui allait et venait dans mon vagin. Un vrai piston bien huilé.
- Tu as encore joui ?
- Oui, deux ou trois fois. je le serrais dans mes bras, je l'attirais au fond de moi pour que son pubis cogne sur mon clito en folie. C'était incroyablement bon...
- Et lui ?
- Il a joui aussi : tout son foutre sur mes seins, à grandes giclées, comme un ado..
- Ça s'est terminé comme ça ?
- Non. On est allés prendre notre douche ensemble. On s'est savonné l'un l'autre. Comme il bandait encore un peu, je l'ai branlé affectueusement. Moi, j'avais la moule tellement surexcitée que je pouvais à peine la toucher. Mais aujourd'hui, ça s'est calmé. Tu peux y aller à fond. Défonce-moi !
- Tu as l'intention de le revoir ?
- À ton avis ?
à suivre...
" JEU DÉCISIF ", chapitre 8
CAROLE ET FRANÇOIS
- C'est comment chez lui ?
- C'est propre et bien rangé, mais on sait tout de suite qu'on est chez un célibataire.
- C'est à dire ?
- Ça manque de chaleur. je ne saurais t'expliquer. C'est quelque chose que j'ai ressenti, comme une
absence. Par exemple, il n'y a pas de photos personnelles, pas un portrait...
- Ça t'a gênée ?
- Pas du tout. De toute façon, je ne m'étais pas invitée pour feuilleter des albums de famille !
- Allez, raconte-moi tout. Vous avez commencé par quoi ?
- Par des photos, justement.
- De cul ?
- Non... Enfin, pas vraiment. Il m'a demandé de poser en tenue de sport, avec ma jupette plissée, mon tee-shirt mauve, mes tennis, mes socquettes blanches et ma raquette. C'était marrant. Il me tournait autour pour me photographier sous tous les angles.
- Ce n'est pas très sexy !
- Détrompe-toi. Je peux t'assurer qu'il était à l'étroit dans son short. Et plus il me prenait en photo, plus je mouillais. Puis il m'a demandé de me mettre en position comme si j'allais recevoir un service et il est venu s'agenouiller derrière moi pour prendre les photos.
- Il t'a touchée ?
- Pas à ce moment-là ! Mais le bruit des clichés pris en rafale était super excitant. J'ai été la première surprise de sentir l'effet que ça me faisait : j'avais le ventre en sueur...
- Et après ?
- On s'est assis face à face dans le salon, chacun dans son fauteuil. Il m'a demandé de retrousser la jupe jusqu'à la taille et d'écarter les jambes. Il m'a dit qu'il n'avait jamais vu un pubis comme le mien, aussi bombé, aussi sexuel... Il a su trouver les mots pour me flatter. Sa voix grave était rassurante, je ne pouvais rien lui refuser. Il n'employait aucun mot vulgaire, ne me donnait aucun ordre. Il me proposait et je le faisais. Je n'obéissais pas, j'acceptais.
- Il ne faisait que parler ?
- Non. Il avait baissé son short jusqu'aux genoux et se caressait la bite en me parlant de mon ventre. Son sexe était dressé, droit comme un "I" majuscule. Incroyablement dur. J'en étais morte d'envie.
- Parle-moi encore de sa bite.
- Tu ne vas pas être jaloux ? Non ? Sa bite est toute droite, moins grosse mais plus longue que la tienne. Elle me fait penser à une asperge. Le gland n'est pas beaucoup plus gros que le reste. Il a de belles couilles plus sombres et le pubis couvert d'épais poils bruns très doux au toucher. Sa bite est aussi agréable à sucer...
- Parce que tu lui as taillé une pipe ?
- Oui, deux fois. La première fois, il a failli me jouir dans la bouche. On était tête-bêche sur le canapé, lui allongé dessous, moi à quatre pattes au-dessus de lui. Il me léchait la vulve pendant que je lui suçais la queue. Je dégoulinais, il lapait tout comme un chien. Je l'ai senti venir et je l'ai retiré à temps pour qu'il me lâche tout sur le visage. C'était bon, tu ne peux pas savoir !
à suivre...
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