Entre femmes, les sensations sont sans aucun doute encore plus fortes et le spectacle vraiment charmant...
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Entre femmes, les sensations sont sans aucun doute encore plus fortes et le spectacle vraiment charmant...
Le saviez-vous # 94
Lu dans le Canard Enchaîné du mercredi 7 juin 2017, un article intitulé : Alerte aux réseaux de "call-dogs".
On y apprend que sur internet des sites proposent un service pour le moins original, à savoir la location de chiens (malinois, beaucerons, lévriers, bergers allemands...) afin de pimenter les soirées érotiques. Les proxénètes pour chiens y proposent des animaux à des tarifs qui varient selon les aptitudes des animaux qui sont dressés spécialement pour ces prestations (pas de grognements, ni de coups de crocs ou de griffes..) Ainsi, un propriétaire propose la location de son labrador pour 60 € la demi-heure !!! Cette prostitution canine a pris tellement d'ampleur qu'elle inquiète la SPA.
L'article nous apprend aussi que la "zoophilie n'est interdite en France que depuis treize ans et que la loi qui la réprime est sujette à interprétation". En effet le Code pénal parle de "sévices de nature sexuelle envers un animal domestique, apprivoisé ou captif". Certains magistrats estiment qu'un chien utilisé comme partenaire sexuel actif ne saurait être considéré comme victime de sévices ! Les condamnations sont donc très rares...
"Concertino" chapitre 6
Sur le canapé, Martine et Alexandre étaient en sueur, presque intégralement nus : elle n'avait gardé que ses bas sombres, lui sa Rolex. Ils étaient tête-bêche, lui dessous, elle dessus, en train de se prodiguer un prodigieux 69. De son fauteuil d'observation, Dominique avait une vue imprenable sur l'entre-fesses ouvert de Martine qui se faisait copieusement lécher la fente par la langue épaisse d'Alexandre. Sa vulve dégoulinait de salive et de mouillure mêlées. De son côté, elle avait la bouche remplie à ras bord par la bite raide d'Alexandre tandis que de sa main libre elle lui massait les couilles. Elle eut un premier orgasme qui la fit tressauter du bassin. Quand elle eut recouvré son calme, Alexandre la saisit par les hanches et la souleva comme si elle n'était qu'une poupée de chiffon. Dans ses bras, elle n'avait pas plus de volonté qu'une marionnette. Il la souleva donc et la reposa assise sur son ventre, tournée vers son mari.
— Vas-y salope, prends-le et plante-le toi dans la chatte. Et quand tu l'auras calé dans ton ventre, n'oublie pas de te pencher en arrière et de bien écarter les cuisses. Il faut que ton mari voie bien ta moule pleine, qu'il voie absolument tout, c'est le plus important pour lui comme pour toi !
Alexandre avait compris tout l'enjeu de cette soirée. Lorsque la queue raide pénétra enfin dans son vagin, ce fut pour Martine comme une libération, les dernières barrières de la décence tombèrent et elle se laissa définitivement sombrer dans la lubricité. Elle se mit à penser sexe, à respirer sexe, à parler sexe :
— Dis-moi, mon chéri, tu la vois bien la grosse queue d'Alexandre dans ma chatte ? Ça te plaît que je sois sa putain et toi le cocu ? Je mouille, tu entends le petit gargouillis de son nœud dans ma moule toute grasse ? Regarde comme il me pistonne, ça rentre et ça sort ! Tu ne peux pas imaginer comme c'est bon ! Tu bandes aussi mon amour ? Retiens-toi ! Ah ! mon dieu, je sens que ça vient ! Je vais jouir...
Au moment de l'orgasme, Martine ne put s'empêcher de resserrer les cuisses et de replier un peu ses genoux sur son ventre comme si elle cherchait à empêcher le plaisir de s'envoler, à le retenir le plus longtemps possible au creux de son corps... Puis elle reprit lentement son souffle, baissa les genoux et écarta de nouveau les cuisses. Alexandre était toujours planté droit dans son ventre.
— Ça t'a plu ? demanda-t-elle à son mari.
—Tu étais très belle. Tu en as encore envie ?
Elle rougit un peu si bien qu'il devina ses pensées secrètes
— Peut-être... Tu crois que je peux ?
— Tu sais que c'est ce qui me ferait le plus plaisir, mais je veux t'entendre le lui demander.
Alexandre aussi sembla le deviner car, saisissant de nouveau Martine par les hanches, il la souleva. Quand sa queue sortit du vagin de Martine, cela fit comme un bruit de ventouse dans la vase. Martine tourna la tête vers Alexandre et lui dit doucement :
— Je veux que tu m'encules...
— Passe-moi le tube de vaseline ! dit-il à Dominique qui s'empressa de lui tendre le tube qu'il avait caché dans le tiroir de la table basse...
à suivre...
Première mini-galerie consacrée à l'expression "donner sa langue au chat" ( à l'origine on disait "jeter sa langue au chat", ce qui correspondait mieux aux images qui suivent)
Dans mon roman "La seconde vie de maximilein Bémol", il est fait référence à quelques lectures de Maximilien Bémol lors de sa recherche de textes littéraires relatifs au poil pubien. L'éditeur a omis de citer les références des extraits cités : Henry Miller, Mirabeau, Rétif de La Bretonne... Mais j'aurais aussi bien pu y ajouter ce passage de "La Vie Sexuelle de Robinson Crusoë " parue en 1977 aux Editions J.C Simoen sous le nom de Michel Gall
" De sa vie, Robinson n'avait vu une semblable beauté (...) Ses fesses étaint rondes et
dodues. Comme elle écartait les jambes pour prendre un appui et tirer sur sa ligne, son corps se plia en avant. Robinson eut une surprise : elle portait à la moitié du corps une crinière noire aussi touffue
et longue que les plumes dont se coiffent les Indiens d'Amérique. Une touffe de petits poils bouclés s'épanouissaient entre les deux fossettes qui creusaient le sommet de ses fesses, tandis que,
beaucoup plus bas, des cheveux assez courts et plus raides naissaient jusqu'à la moitié interne de ses cuisses. Elle se retouna vers lui, tenant un poisson dans sa main. Du bas-ventre pendait une
crinière de lion, pluisieurs queues de cheval. Elle était encore plus belle de face que de dos. (...) Au mitan du ventre pendait une toison, un pelage fauve qui contrastait avec celui qu'il avait
aperçu par derrière et qui lui avait paru bien noir. Les mèches en descendaient jusqu'à la fourche, s'écartant autour des petites lèvres bien visibles et très haut placées. De profil, cette
touffe avançait en avant bien plus que les seins.(...) La fille fit trois pas en arrière, leva le bras gauche, découvrant une peluche presque aussi fournie que celle de la fourche. Elle
pivota, offrant son aisselle à Robinson qui se pencha et y posa les lèvres. la fille eut un spasme et bondit en arrière. Puis, se mettant à trembler convulsivement , elle revint vers lui,
l'enlaça de ses bras, de ses jambes..."
"Concertino", 5ème partie
À partir de cet instant, tout se déroula comme dans un film.
Le décor : Un vaste salon aux plafonds hauts dans un antique manoir breton.. Ameublement classieux, tableaux de maître et bibelots de valeur. Face à la grande cheminée où danse un feu de bois, sont disposés un large canapé de cuir et un fauteuil assorti. le sol carrelé est couvert par endroits d'épais tapis persans de laine.
La bande son : En fond musical, une succession de chanteurs et de groupes anglo-saxons des années 80-90 comme Neil Young, Chris Rea, Dire Straits, UB40... Mais ce qui domine, ce sont les voix des deux protagonistes, leurs souffles, leurs soupirs, le glissement de leurs mains sur les peaux nues, le froissement des tissus, les bruits de succion et le clapotis huileux de leurs sexes emboîtés.
Les plans et les cadrages: Le film est tourné en caméra fixe, sans aucun travelling. C'est une sorte de long plan séquence qui dure presque deux heures avec juste, de temps à autre, un zoom avant pour mieux voir les lèvres en fourreau sur une verge, une langue sur un clitoris, un anus dilaté par une sodomie profonde...
Les acteurs
1) L'homme : Il s'appelle Alexandre Meyer, C'est un dermatologue renommé. Quinquagénaire au physique rappelant Gary Grant. Grand, brun, se mouvant avec la souplesse d'un félin, le regard acéré, le verbe plein d'assurance, celui de l'homme habitué à commander, à être écouté et obéi. Ses mains et ses gestes ont la même autorité que sa voix. Il n'est pas possible de leur dire non. Ses doigts courent sur la peau comme les serpents de la tentation, caressent la nuque, agacent les mamelons, se faufilent sous le voile des tissus, écartent les nymphes qui s'épanouissent à la manière des fleurs au soleil, s'aventurent dans l'ombre moire de la raie culière, y débusquent l'œillet indécent de l'anus où ils s'enfoncent profondément. Son torse est large et velu, son sexe circoncis long et puissant. La femme arrive à peine à l'enserrer d'une seule main ; les couilles sont à l'avenant, lourdes et comme gonflées de foutre. Il parle à la femme avec le langage obscène du désir sauvage : il l'entretient de sa chatte, de sa moule, de son cul, de ses loches qu'il suçote avec gourmandise. Il lui dit qu'elle n'est qu'une salope comme les autres, une sainte n'y touche qui ne pense qu'à la baise, qu'à se faire mettre une grosse bite dans la fente ou dans le rectum, une bête à jouir... " Ton mari m'a dit que tu t'étais fait épiler définitivement la chatte et l'entrefesses... Montre-moi ça !"
2) La femme : Elle se prénomme Martine. Mariée, femme au foyer. Sexagénaire plutôt menue, aux cheveux au carré avec des reflets roux. Physique comme un compromis de Isabelle Huppert et de Charlotte Rampling. Elle ne veut pas fermer les yeux, elle veut tout voir. Voir ses propres doigts fourrageant dans l'épaisse mais douce fourrure qui recouvre le torse de son amant, voir sa main ouvrir le pantalon de l'étranger et se saisir de son gros braquemart circoncis qu'elle a tant de peine à empoigner d'une seule main tant il est massif, voir la main de l'homme enpaumer son pubis, observer le jeu de ses doigts dans sa fente mielleuse. Elle ne ferme pas non plus les yeux quand il l'embrasse à pleine bouche, lui fourre sa langue entre les dents, l'inonde sa salive parfumée au scotch. Elle garde les yeux ouverts pour croiser le regard de l'homme agenouillé devant elle, penché sur son ventre, la tête entre ses cuisses et qui lui lèche la vulve, du clitoris au périnée, qui lui met sa langue dans la moule comme une bite molle mais infatigable. Elle lui tient la tête à deux mains pour maintenir la bouche de l'homme ventousée à son sexe ouvert comme un coquillage marin. Elle garde encore les yeux grand ouverts quand il la fait mettre à quatre pattes sur le canapé, lui écarte les fesses en grand et lui lèche le cul avec l'ardeur d'un chien en rut. Elle se cambre pour mieux s'ouvrir, pour mieux s'offrir. Dans cette position, elle lui tourne le dos et elle a en face d'elle son mari qui la fixe intensément, amoureusement. Ils se regardent et ils partagent le même bonheur...
Le metteur en scène. Il est aussi scénariste et réalisateur. Il se prénomme Dominique. C'est le mari de la femme, sexagénaire comme elle. Dès les premiers instants de la scène, il a été envahi par un sentiment de plénitude qui lui était inconnu. Jamais de toute son existence, il ne s'est senti aussi intensément vivant. Il bande tellement que son érection en est presque douloureuse. Par pure commodité, il a ôté son pantalon et se tient le sexe dressé comme un mât de beaupré au milieu de la tempête de son désir. Le sang bat ses tempes avec obstination. Il essaie de ne rien perdre du spectacle que lui offrent Martine et Alexandre. Surtout tout graver dans sa mémoire : chaque caresse, chaque parole, chaque bruit, chaque silence... Étrangement il n'éprouve aucune jalousie, aucune souffrance. Au contraire, il se sent comblé, comme quand on parvient au sommet d'une montagne après une longue, très longue marche d'approche...
à suivre...
Au début du récit "La Chute" paru chez Gallimard en 1956, le narrateur qui vit à Amsterdam présente à son interlocuteur rencontré dans un bar le célèbre "quartier rouge" de la ville.
" Bonne nuit ! Comment ? Ces dames, derrière ces vitrines ? Le rêve, monsieur, le rêve à peu de frais, le voyage aux Indes ! Ces personnes se parfument aux épices. Vous entrez, elle tirent les rideaux et la navigation commence. Les dieux descendent sur les corps nus et les îles dérivent, coiffées d'une chevelure ébouriffée de palmiers sous le vent. Essayez. "
Voilà un des moments les plus importants de la journée. De la réussite du petit déjeuner dépend souvent celle de la journée toute entière. Alors, autant partir du bon pied, comme sur ces trois illustrations !
"Concertino", 4ème partie
Deux heures plus tard, lorsque Martine redescendit, les deux hommes étaient au salon assis côte à côte dans le vaste canapé de cuir fauve tourné vers les flammes qui montaient haut dans l'âtre. Dehors la nuit était tombée et les lourdes tentures de laine avaient été tirées devant les fenêtres. Ils avaient terminé le thé depuis longtemps et en étaient maintenant au whisky pur malt. En vieux routiers de la politique et de l'existence, ils parlaient en se tutoyant de l'Union Européenne et de la misère sociale. Martine fut étonnée de n'entendre en fond sonore ni Chopin ni Bach, mais un bon vieux Dire Straits.
— C'est Alexandre qui a choisi la musique, dit Dominique pour s'excuser. L'invité est roi !
Martine ne se méprit pas sur l'ambiguïté de la phrase et prit place dans le fauteuil placé à gauche de la cheminée. D'un simple regard, Dominique sut qu'il allait vivre des moments inoubliables, des heures qu'il avait mille fois imaginées, rêvées, espérées... Martine avait troqué son jean et son pull champêtres contre une jupe noire plutôt courte qui découvrait plus que nécessaire ses jambes et ses genoux gainés de bas sombres. Aux pieds, elle portait des escarpins noirs vernis à fine bride et talons aiguilles qui lui donnaient un petit air putain. Quant au haut, elle avait juste enfilé un chemisier de soie rose pâle sous lequel il était évident qu'elle ne portait pas de soutien-gorge : ses tétons en érection pointaient avec insolence sous le tissu trop fin. Elle s'était maquillée et coiffée avec soin et arborait avec élégance boucles d'oreilles, bracelets et bagues en or. Dominique se dit qu'elle était exactement "comme il faut".
— Qu'est-ce que je te sers ? demanda-t-il d'une voix qu'il voulait calme malgré son excitation.
— La même chose que vous, ce sera parfait !
Pendant qu'il s'affairait avec le verre et les glaçons, Martine observa les deux hommes. Grands et bruns tous les deux, comme frères. L'aîné et son cadet. Le premier familier, toujours aimable et prévenant, son amant au quotidien, rassurant. Le second, totalement inconnu, imprévisible et mystérieux, juste de passage dans sa vie mais terriblement séduisant et dangereux. Il lui revint en mémoire quelques images du film Jules et Jim et elle se rêva en Jeanne Moreau fatale. La conversation reprit, décousue, chaotique, comme si chacun avait l'esprit ailleurs. De temps à autre, Martine surprenait le regard furtif d'Alexandre posé sur son cou, ses cuisses, ses mains... Et plus longuement celui de son mari bienveillant et amoureux.
Ils venaient d'en terminer avec leur seconde rasade de scotch lorsque Dominique donna le signal du laisser-aller :
— On va faire quelques photos souvenir, dit-il, pour notre album personnel.
Il tendit son smartphone à Martine et lui demanda de les prendre tous les deux, assis côte à côté sur le canapé. Puis, il se leva, reprit le smartphone et invita Martine à prendre sa place aux côtés d'Alexandre. Spontanément, comme il l'avait fait sous la tonnelle de rhododendrons, Alexandre passa son bras droit par-dessus l'épaule de Martine et posa sa main directement sur son sein qu'il empauma avec autorité. Le sourire aux lèvres, elle se serra contre lui : " Cheese !"
Une fois les photos prises et le smartphone reposé sur la table basse, Dominique se rassit dans le fauteuil qu'occupait auparavant son épouse, endossant ainsi le rôle de spectateur. Alexandre n'avait retiré ni son bras, ni sa main. Le cœur en émoi, Martine attendait.
Du regard, Alexandre interrogea Dominique qui lui répondit d'un bref hochement de tête sans ambiguïté.
à suivre...
Ils sont jeunes, nus, en train de visionner ensemble une vidéo X. ils sont excités et se caressent, les yeux rivés sur l'écran
vidéo n° 1 : Couple qui se branle mutuellement en regardant une vidéo porno (durée : 1 minute)
Suite de la première vidéo : elle le suce pendant qu'il lui masse la chatte et lui met les doigts dans la fente. Observez bien comment elle n'oublie pas de caresser le trou du cul de son partenaire !
Vidéo n° 2 : Fellation et caresses profondes (durée : 4 minutes)
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