Loi de la jungle : Supériorité de la force brute ou de l'intérêt personnel dans la lutte pour survivre ou dans l'assouvissement de ses désirs.
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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Loi de la jungle : Supériorité de la force brute ou de l'intérêt personnel dans la lutte pour survivre ou dans l'assouvissement de ses désirs.
"Concertino", 3ème partie
Le dimanche matin, Martine dut cacher son soulagement quand elle apprit qu'Alexandre Meyer devait retourner pendant quelques heures au colloque pour y rencontrer des confrères espagnols. Elle ne fit donc que croiser leur hôte dans la cuisine, le temps d'un rapide petit déjeuner ponctué des formules de politesse d'usage. Elle passa le reste de la matinée à préparer le déjeuner. Elle avait prévu des langoustines suivies d'un carré d'agneau - c'était la saison - puis pour terminer un far aux pruneaux. Dominique s'occuperait du vin à leur retour. Tout en s'affairant aux fourneaux, elle pensa au malaise qui s'était emparé d'elle quand elle s'était de nouveau trouvée en présence de leur invité. Elle s'efforça de dissiper son angoisse à grand renfort de court-bouillon, d'oeufs, de farine et de robot multifonctions.
Les deux hommes ne furent de retour que vers 13 heures. On passa sans tarder à table. Dehors, il faisait presque beau et Dominique avait déjà projeté de faire avec Alexandre le tour du propriétaire, c'est à dire des deux hectares de pelouse, de bosquets et de vergers qui entouraient le manoir. Martine se sentait rassurée par la présence de son mari et se contenta de faire le service et de les écouter converser entre mâles dominants. Elle évitait de croiser le regard d'Alexandre Meyer et, dès qu'elle le pouvait, trouvait refuge dans la cuisine.
— On va faire un tour dans le parc, lui dit Dominique en reposant sa tasse de café. Tu pourras montrer ton massif de rhododendrons et tes rosiers à Alexandre. Ça l'intéresse.
Elle ne pouvait pas dire non.
Dans la douceur de l'après-midi de printemps, ils parcoururent le domaine de long en large. Martine parla avec une fierté naïve de ses fleurs, Dominique de ses pommiers. Alexandre les écoutait en hochant la tête, comme s'il comprenait. À un moment, ils firent halte sur le pont de pierre enjambant la rivière qui traversait le domaine, pour tenter d'apercevoir d'hypothétiques truites. Ils étaient tous les trois penchés au-dessus de l'eau, Martine entre les deux hommes. Et alors que Dominique expliquait à Alexandre la différence entre les truites arc-en-ciel et les truites fario, Martine sentit une main chaude lui caresser le creux des reins et lui palper les fesses à travers le tissu de son jean. Un rapide coup d'œil à sa droite suffit à confirmer ce qu'elle savait déjà : ce n'était pas Dominique qui lui mettait la main au cul - il était accoudé des deux bras sur le parapet - mais bien Alexandre Meyer. Cependant, au lieu de s'éloigner ou de repousser la main baladeuse, elle se cambra un peu et écarta insensiblement les cuisses pour sonner libre accès à sa fourche qu'elle sentit devenir toute moite. Imperturbable, Alexandre continuait de poser des questions sur les différences entre les deux variétés de truites, leur alimentation et leurs mœurs, pour le plus grand plaisir de Dominique, intarissable de connaissance et d'anecdotes piscicoles. Martine n'entendait plus rien, elle n'écoutait plus que le langage muet de la main qui s'était glissée profondément entre ses fesses et lui massait fermement la raie culière à travers le tissu. Elle se sentait paralysée par la honte et le désir.
Il fallut néanmoins poursuivre la visite du parc. À l'étape suivante, ce fut à Martine de parler. Ils s'étaient arrêtés devant l'impressionnant massif de rhododendrons, si épais qu'il formait comme un bosquet sous lequel s'enfonçait une sorte d'étroit tunnel sombre et frais. Tout au bout, on apercevait la sortie de la tonnelle de verdure qui donnait sur la pelouse éclaboussée de lumière. Martine stoppa devant l'entrée pour parler des rhododendrons, puis quand elle eut fini, Dominique s'engagea le premier dans le tunnel, Martine et Alexandre lui emboîtèrent le pas. La fraîcheur végétale leur tomba sur les épaules comme un châle. Alors, Alexandre dans un geste protecteur et bienveillant, passa son bras droit autour du cou de Martine qui se laissa aller contre lui, comme attirée par la chaleur de son corps si grand, si fort. Tout en marchant, dans la pénombre complice du tunnel des frondaisons, il glissa sa main dans l'échancrure de son pull de laine et s'empara de son sein droit, le pelota doucement et se saisit entre le pouce et l'index de son mamelon qu'il tritura avec dextérité. Martine se sentit flageoler sur ses jambes, comme prise d'ébriété. Peut-être averti par le silence, Dominique se retourna et il vit tout. Malgré la semi-obscurité, il les vit serrés l'un contre l'autre, il vit le bras d'Alexandre passé autour du cou de Martine, il devina sa main qui disparaissait dans l'échancrure du pull, il vit le visage livide et le regard trouble de sa femme. Il marqua un temps d'arrêt, Alexandre ne retira pas sa main. Alors, Dominique se remit en marche comme si de rien n'était. Quand ils débouchèrent dans la lumière aveuglante du soleil, Alexandre retira sa main, s'écarta de Martine et la promenade put reprendre son cours normal.
De retour au manoir, alors que Martine encore bouleversée était allée préparer un thé, Dominique vint la trouver dans la cuisine pour lui parler. Elle s'attendait à tout sauf à ce qu'il lui proposa à voix basse :
— Si tu en as envie, fais-le. Mais je te demande juste de ne pas rester seule avec lui. Je veux être là, à vos côtés et assister à tout.
Elle le regarda, médusée.
— Faire ça devant toi ! Tu te rends compte de ce que tu viens de me dire ?
Il ne répondit pas mais elle lut dans ses yeux qu'il parlait sérieusement.
— Laisse-moi m'occuper du thé, dit-il. Profites-en pour monter te changer... Je devrais plutôt dire "te mettre en tenue". Pendant ce temps-là, je vais allumer du feu dans la cheminée, ce sera plus chaleureux...
à suivre...
"Le chant des Sirènes". Mythologie
Les sirènes charmaient les hommes de leurs chants mélodieux pour les entrainer vers une vaste
prairie, couverte des ossements et de chairs desséchées des infortunés marins qui les avaient précédés, et ils y périssaient bientôt.
À partir du Moyen Àge, sans doute au contact des légendes des contrées nordiques, elles furent
représentées en femmes à queue de poisson.
Les Sirènes sont les filles d'Achéloos d'où leur nom d'Achéloïdes (Apollodore); ou de Phorcys (Plutarque). Leur mère, dans la première hypothèse, est tour à tour Stérope, ou Melpomène (Apollodore), Terpsichore (Apollonius), Calliope (Servius), Gaia (Euripide) ou bien selon une légende romaine, les suivantes de Proserpine que Cérès, sa mère, transforma en femmes-oiseaux pour ne pas être intervenues lors de l'enlèvement de sa fille par Pluton.
D'après la tradition suivie par le récit homérique de l'Odyssée, il s'agissait de divinités de la
mer postées à l'entrée du détroit de Sicile, sur une île située entre l’île d’Aea et celle des monstres Charybde et Scylla, mais il existe d'autres lieux de leur séjour comme le cap Pélore, l'île
d'Anthémuse (Anthémoessa), les îles de Sirénuses, ou Caprée.
Par leurs chants au charme irrésistible, elles attiraient les marins et les entraînaient à la mort.
Elles chantaient, paraît-il, des prophéties et des chansons inspirées par l'Hadès, l'Au-Delà.
On en dénombre un nombre variable selon les auteurs; ce nombre monte même jusqu'à huit chez Platon qui ne les nomme pas.
Une belle mature rousse à la chatte rasée se branle jusqu'à l'orgasme devant sa webcam. Elle parvient à nous faire partager la montée de son plaisir et l'intensité de sa jouissance en nous donnant toujours l'impression d'être à ses côtés. (durée : environ 12 minutes)
Bonus vidéo : Elle se masturbe devant sa webcam
"Concertino" 2ème partie
Dans les jours qui suivirent, Dominique consacra presque tout son temps à la préparation de son intervention au colloque de dermatologie. Il passa des heures sur internet, dans la lecture des revues spécialisées et des brochures économiques. Il en négligea Martine, partant tôt le matin, rentrant très tard le soir, la laissant seule au manoir où elle jouait à la maîtresse du logis dans les pièces vides et le parc en fleurs.
Cependant, le jeudi précédant l'ouverture du colloque, quand il revint du bureau, Dominique eut la surprise de la trouver au téléphone, un carnet à la main, en train de prendre des notes. Après qu'elle eut raccroché, elle lui demanda :
— Tu as déjà entendu parler d'Alexandre Meyer ?
— Non. Je devrais le connaître ?
— Pas vraiment. C'est un des meilleurs spécialistes de la greffe de peau.
— Alors, il va participer au colloque, c'est ça ?
— Exactement ! Mais sa venue n'était pas programmée. Ça s'est décidé au dernier moment. Il vient de Nancy et les organisateurs du colloque ont dû lui trouver en urgence un hébergement pour deux nuits. Tous les hôtels de Quimper et des environs affichent complet. Alors, comme ce Docteur Meyer apprécie la campagne et les vieilles pierres, on nous demande d'être ses hôtes pour le week-end.
— Qu'est-ce que tu leur as répondu ?
— Oui... Que voulais-tu que je puisse leur répondre d'autre ?
En naviguant sur le net, ils apprirent qu'Alexandre Meyer avait 53 ans, avait été formé à la faculté de Médecine de Strasbourg et s'était ensuite spécialisé dans la greffe de peau, plus particulièrement des grands brûlés. En résumé, c'était un ponte. Il y avait aussi quelques photos où il apparaissait entouré de collaborateurs ou d'assistants en blouse blanche. C'était un homme de grande taille, aux cheveux bruns, à la mâchoire volontaire et dont l'allure inspirait le respect. Ils ne trouvèrent aucune information sur sa vie privée.
— Est-ce qu'ils t'ont précisé s'il viendrait seul ? demanda Dominique à sa femme.
— Non, on m'a juste parlé de lui, pas d'une autre personne susceptible de l'accompagner. Je crois que je vais lui préparer la chambre bleue...
Le docteur Alexandre Meyer arriva le samedi matin par le TGV en provenance de Paris. Comme Dominique était déjà pris par l'animation de sa commission, ce fut Martine qui se chargea d'aller l'accueillir à la gare de Quimper, de l'emmener au manoir où il déposa ses bagages dans sa chambre et de l'accompagner ensuite au colloque où il fut aussitôt l'objet de tous les égards dus à sa renommée. Martine le suivit de loin, écouta ses prises de parole en public, éprouva comme chacun une admiration respectueuse pour l'homme de science mais aussi une angoisse sourde. Certes, la personne était brillante, pleine de charme. Sa voix était grave, très persuasive, sans aucune note d'agressivité ou de vanité. Néanmoins, au-delà des mots et des sourires convenus, Martine pressentit une sorte de force animale tapie dans l'ombre, prête à bondir et à dépecer sa proie. De toute évidence, Alexandre Meyer était un redoutable prédateur.
Le samedi soir, Alexandre Meyer participa au dîner officiel du colloque, dîner où fut également convié Dominique. Martine s'en revint donc seule au manoir et n'en fut pas mécontente.
Les deux hommes ne rentrèrent que tard dans la nuit. Martine dormait mais son mari la réveilla pour lui raconter sa journée. Elle l'écouta à travers les brumes ensommeillées de son esprit vagabond. Elle ne se montra vraiment attentive que lorsqu'il lui parla de son retour avec Alexandre Meyer, de leur conversation dans le taxi.
— Comment tu le trouves ? demanda-t-elle d'un ton qu'elle voulait anodin.
— Très sympathique et simple. Demain, il devrait passer la journée avec nous. Je pense qu'on pourrait l'inviter au restaurant. Qu'est-ce que tu en penses ?
— On verra ça demain matin... Pour l'instant, j'ai trop sommeil pour penser.
à suivre...
Le saviez-vous ? # 93
La technologie au service du plaisir ? (article du Canard Enchaîné d'avril 2017)
"Concertino", nouvelle inédite, 1ère partie
Cette nouvelle candauliste a été écrite à la demande de Dominique qui m'en a fourni les principaux éléments du scénario ainsi que les illustrations.
L'annonce de la prochaine tenue d'un colloque européen de dermatologie à Quimper à la mi-avril n'avait même pas fait la une de Ouest France. La nouvelle avait été reléguée dans les pages régionales, entre le braquage raté d'un bureau de tabac et le compte-rendu d'un festival de musique traditionnelle dans les Côtes d'Armor. Pourtant, l'événement était d'importance : ce serait la première fois qu'une telle manifestation se tiendrait en province et surtout qu'elle réunirait quelques-uns des meilleurs spécialistes de la profession.
La compagnie d'assurances dont Dominique F* dirigeait l'une des agences était partenaire de l'organisation du colloque. Aussi, un lundi matin de mars, ne fut-il pas vraiment étonné de voir débouler à l'agence le directeur de toute la région ouest venu tout spécialement de Nantes pour envisager quelle forme pourrait prendre la participation de la compagnie au fameux colloque.
— On a pensé à vous pour intervenir dans une des commissions du colloque, lança le directeur en prenant ses aises dans le fauteuil qui faisait face au bureau de Dominique.
— À moi ? Mais à quel titre ? Je n'y connais rien en dermatologie !
— En dermatologie non, mais en gestion de patrimoine, vous vous débrouillez plutôt bien... Vous pourriez animer la commission "Esthétique et optimisation fiscale".. Un discours bien ficelé, beaucoup de statistiques encourageantes et un peu d'humour... Qu'en dites-vous ?
— Pourquoi pas, même si l'intitulé de la commission ne manque pas de cynisme....
Le directeur se leva d'un bond et lui tendit la main.
— Alors, c'est d'accord ! Vous avez une petite quinzaine pour préparer le topo. On se revoit dans deux semaines au colloque.
Le soir même, quand Dominique annonça la nouvelle à son épouse Martine, celle-ci esquissa un sourire et le regarda d'un air mutin.
— Et de quoi comptes-tu parler ?
— Je n'y ai pas encore réfléchi...
— Tu pourrais leur suggérer de demander la prise en charge par la Sécu et les mutuelles des soins épilatoires au laser. Ça t'aurait évité de débourser plus de mille euros pour me faire épiler définitivement la chatte ! Sans parler de ce qu’ont coûté mon lifting et mes seins !
Il lui jeta à son tour un regard amusé. Elle était assise non loin de lui, dans le fauteuil de cuir fauve qui faisait face à la grande cheminée où dansaient les flammes. Elle se tenait un peu de profil et il la trouva plus belle que jamais.
Ils avaient tous les deux dépassé la soixantaine mais il l'aimait avec le même bonheur qu'aux premiers temps de leur rencontre vingt ans auparavant. Vêtue d'une jupe noire qui découvrait ses genoux, d'un chemisier façon léopard et de hautes bottes de cuir, elle était vraiment désirable. Entendre le mot "chatte" sortir de sa bouche aux lèvres discrètement ourlées de rouge carmin ne fit qu'attiser son envie de la posséder, là, maintenant, devant la cheminée, sur le carrelage... Il la mettrait à quatre pattes, lui retrousserait la jupe jusqu'au bas des reins, la débarrasserait de son collant, lui écarterait les cuisses et la prendrait en levrette comme le font les chiens... Mais il n'en fit rien : il était trop timide, trop sérieux. Il se contenta de la regarder avec plus d'intensité, comme s'il cherchait à lire le fond de ses pensées.
— Je plaisantais ! dit-elle en se levant pour aller remettre une bûche de hêtre dans le feu. Elle se pencha en avant ; ce mouvement remonta un peu sa jupe sur ses cuisses fines. Alors Dominique se dit qu'il avait vraiment de la chance....
Plus tard dans la nuit, alors qu'ils s'apprêtaient à se coucher, Martine glissa un CD dans la chaîne hifi et bientôt s'égrenèrent les premières notes du trio n° 3 opus 100 de Schubert. Dominique savait ce qui allait arriver. Une fois au lit, nus sur les draps, Martine vint coller son corps à celui de son mari. Il sentit ses cheveux glisser le long de son torse, de son ventre, puis les lèvres de Martine s'emparer de son sexe en érection. Elle lui tailla une pipe sensuelle au rythme langoureux de la mélodie de Schubert. Elle le suçait avec patience et méthode, lui caressait les couilles de ses doigts amoureux. Il parvint à se retenir. Quand la musique cessa, elle se coucha sur lui, les cuisses très écartées, attendant que la bite de Dominique vienne d'elle-même s'enfoncer dans son ventre, au plus profond. Elle l'engloutit jusqu'à la racine, le palpant avec les anneaux secrets de son vagin comme pour en extraire la substantifique moelle. À petites touches, il imprima un va-et-vient tout léger à son bassin, alors que Martine avait enfoui son visage au creux de son cou. Elle ne fut pas longue à jouir : sa vulve fut saisie de spasmes convulsifs, son anus palpita intensément comme un petit cœur en proie à l'émotion la plus vive. Elle n'émit qu'un faible gémissement prolongé, une sorte de râle venu du fond de sa poitrine et qu'elle tentait désespérément de refouler. Alors, il ne se retint plus et lui lâcha trois longues giclées de sperme en plein dans la matrice, dans l'obscurité huileuse de son ventre repu.
Pourtant, malgré la puissance libératrice de l'orgasme, il ressentit de nouveau au fond de lui comme un vide, quelque chose d'inavoué qui manquait à la plénitude de son bonheur.
à suivre...
Je vous livre dans son intégralité le contenu du mail que m'a récemment adressé une fidèle lectrice du blog :
"Voilà déjà bien longtemps que je voulais vous écrire, moi
aussi. Je prends donc aujourd’hui la plume pour vous conter une aventure que je vis tous les jours depuis quinze ans, date de mon mariage avec Gillou. Mon père étant éleveur de vaches laitières,
dès mon plus jeune âge, j’ai vécu au contact de la nature et des animaux. Tous les matins, lors des vacances scolaires, j’assistais à la traite des vaches. Pas en spectatrice mais bel et bien en
tant qu’actrice, et à l’ancienne s’il vous plaît, c’est-à-dire à la main… Devenue adolescente, la sensation de toucher les pis de nos vaches me faisait mouiller le fond de ma petite culotte.
évidemment, je me prenais à imaginer que le morceau de chair molle que je branlais était une bonne queue de mâle. à cette époque, ce n’était que cérébral.
Puis vinrent les années de mon émancipation et finalement, mon mariage. La présence quotidienne d’une bite bien raide dans mon lit me rappela ces souvenirs
d’enfance, tant et si bien que je décidai de traire mon homme tous les matins et d’en boire l’onctueuse substance lors de notre petit-déjeuner. C’est devenu un rite auquel Gillou s’est
parfaitement habitué, et je crois qu’il ne s’en plaint pas. Voilà comment nous procédons.
Dès notre réveil, nous venons l’un vers l’autre et nous nous embrassons. Je me dirige ensuite vers son entrecuisse pour mesurer la forme physique de son appendice. En général, il n’y a pas de problème. La dureté de sa superbe queue étant correcte, Gillou se positionne à quatre pattes à côté de moi. Pendant ce temps, je prends position, assise en tailleur à la hauteur de l’objet du désir. Je me mets alors à caresser sa bite de la main droite tandis que je titille ses couilles pendantes de la main gauche. Bien sûr, en comparaison, mamelles et pis de vaches et les attributs de mon homme ne sont pas similaires, mais je dois dire que chaque matin, à chaque traite de mon homme, mon trou mouille inexorablement, humidifiant mes lèvres et mon sexe glabre. Au bout de quelques minutes de caresses mutuelles, il faut bien commencer à passer aux choses sérieuses. C’est alors à ce moment-là que j’empoigne la bite et les couilles de Gillou. Je les branle énergiquement, alternativement de la main droite et gauche en faisant glisser cette peau le long de la bite durcie avec ma main droite et rouler les couilles entre mes doigts de la main gauche. Mon mari se laisse faire, telle une bonne vieille vache normande. Pas plus de cinq minutes suffisent à approcher de l’instant final, et c’est un mouvement de balancement des fesses de Gillou qui me signale la sortie imminente de son lait d’homme. Aussitôt, j’attrape la coupelle qui me sert à recueillir son précieux liquide. Encore quelques tractions et tirages de bite et de couilles, et voici ce jet si puissant qui expulse la semence dans ma coupelle argentée. L’éjaculation réalisée, je me fais plaisir en venant essuyer d’un coup de langue la toute dernière goutte de sperme chaud restée au bout de son gros gland. Une bonne petite tape sur les fesses de Gillou et j’en ai terminé.
Il est maintenant temps pour lui d’aller dans la cuisine afin de préparer notre petit-déjeuner. Une fois que je suis relevée à mon tour, je me dirige vers la
cuisine où je retrouve mon Gillou. C’est là que je déguste dans un yaourt ou encore parfois sur une tartine les deux cuillerées de ce liquide frais du matin qui me met en forme pour toute la
journée.
Femmes rebutées par le goût acide du sperme, essayez donc ma recette de dégustation de foutre, légèrement sucré, et vous changerez. Vous reviendrez certainement sur votre position, pour le plus grand plaisir de votre homme qui se laissera faire sans broncher. Lui aussi appréciera cette traite matinale, suivie de la dégustation de son produit dans la plus pure tradition française. Vous serez sûrement d’accord avec moi pour dire qu’il faut absolument conserver le goût du vrai et du naturel. Alors, qui a dit que les Français et les Françaises déjeunaient mal le matin ?"
Elena Ferrante : "Les jours de mon abandon", paru en 2002, traduit de l'italien par Italo Passamonti
Editions Folio n° 6165, 275 pages
Turin. Olga, 38 ans et mère de deux jeunes enfants, est brutalement abandonnée par son mari. Pour Olga, c'est la descente aux enfers.
Chapitre 1 : page 30
"La maîtresse de Mario. Je l'imaginais mûre, toutes jupes relevées dans les toilettes, et lui affalé sur elle, besognant ses fesses en sueur, lui fourrant les doigts dans le trou de son cul, le dallage ruisselant de sperme."
Chapitre 4. Page 36
" Ils (les faux amis) préféraient les nouveaux couples, toujours joyeux, toujours à se promener jusqu'à la tombée de la nuit, les visages repus de ceux qui n'ont rien d'autre à faire sinon baiser. Ils s'embrassaient, se mordaient, se suçaient afin de goûter la saveur des braquemarts, des chattes. De Mario et de sa nouvelle compagne, je ne m'imaginais que cela, désormais : comment et combien de fois ils foutaient. J'y pensais nuit et jour et, sur ces entrefaites, prisonnière de mes pensées, je me négligeais, je ne me coiffais pas, je ne me lavais plus. Combien de fois ils baisaient - je me le demandais avec une douleur insupportable -, où et comment."
Chapitre 8. page 58
(face à son mari). "Quels mots devrais-je utiliser pour tout ce que tu m'as fait, tout ce que tu es en train de me faire ? Quels mots devrais-je utiliser pour ce que tu fais avec cette autre ? Parlons-en ! Tu lui lèches la motte ? Tu la lui mets dans le cul ? Dis-le moi un peu ! D'autant plus que je vous vois ! Je vois avec mes propres yeux tout ce que vous faites ensemble, je le vois cent mille fois, je le vois la nuit et le jour, de mes propres yeux grands ouverts et les yeux fermés."
Chapitre 15, page 103
(par hasard, Elena voit passer dans la rue son mari avec Carla sa maîtresse qui porte ses propres boucles d'oreilles) "Elle se donnait des airs de Messaline avec mes bijoux, qui deviendraient par la suite les bijoux de ma fille. Elle écartait les cuisses, lui mouillait un peu le braquemart, et elle s'imaginait qu'elle l'avait baptisé de cette façon, je te baptise avec l'eau bénite de ma motte, j'immerge ton braquemart dans mes chairs humides et je lui donne un nouveau nom, je le dis mien et né pour une vie nouvelle. La sale connasse."
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