Mercredi 2 août 2017 3 02 /08 /Août /2017 08:00

" C'est l'amour à la plage... " Vous vous souvenez sans doute des paroles de ce tube de Niagara qui enchanta un de nos lointains étés. Je souhaite à tous ceux d'entre vous qui auront le loisir de goûter aux plaisirs balnéaires de rencontrer l'amour à la plage...

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Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 31 juillet 2017 1 31 /07 /Juil /2017 08:00

Le site de Jac-Zap

"Ne pas dormir" : Galerie d'oeuvres de Jac-Zap sur Trumbl

Je ne vais même pas essayer de vous décrire l'univers de Jac-Paz, ni mes sentiments devant ses compositions. Les mots me manqueraient, tant il faudrait créer de nouveaux superlatifs. Créativité, inventivité, transgression, sensualité, sexualité, émotions, rêves... Magie des images et des mots qui les accompagnent. 

Je ne peux que vous conseiller de vous plonger dans la contemplation et la lecture en vous rendant sans tarder sur les deux sites que je vous mets en liens.

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 28 juillet 2017 5 28 /07 /Juil /2017 08:00

Le saviez-vous ? # 95

Lu dans le Canard Enchaîné du mercredi 5 juillet cette brève : " Un éditeur numérique propose une nouvelle expérience de "lecture sensorielle" sur tablette : "des textes érotiques connectés à un sex-toy (jouet sexuel ou accessoires assimilés)". Le magazine "Livres Hebdo" du 30 juin explique que "des vibrations procurent du plaisir pendant les passages coquins".

l'article du Canard conclut : "En cas de bug, est-il prévu un retour au pilotage manuel ?"

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Par michel koppera - Publié dans : le saviez-vous ? - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 26 juillet 2017 3 26 /07 /Juil /2017 08:00

"À découvert", chapitre 6

6. Cette première expérience fut suivie de quelques autres, au gré des envies et des humeurs d’Anne. Chaque semaine était désormais ponctuée de deux ou trois exhibitions qui nous avaient définitivement mis à l’abri du besoin et des menaces des huissiers. Le bouche-à-oreille et Internet faisaient merveille si bien que l’agenda d’Anne était bien rempli.

decouvert20-1En hiver, Anne a été contactée par un couple qui souhaitait s’offrir un cadeau d’anniversaire très particulier. Le rendez-vous fut fixé pour le samedi soir au domicile du couple, dans un bel appartement situé au dernier étage d’un immeuble qui offrait une vue imprenable sur la ville. Tout respirait l’aisance bourgeoise. Le mari, un beau quinquagénaire un peu grisonnant, avait l’assurance d’un chef d’entreprise. Son épouse, sans doute du même âge, en tailleur strict et cheveux blonds impeccablement permanentés, affichait un air hautain. Ils prirent place côte à côte dans un profond canapé de cuir, laissant à Anne un vaste espace couvert d’épais tapis d’orient et de coussins où elle put s’offrir en spectacle. Alors que couchée sur le dos, les cuisses ouvertes, Anne leur montrait sa vulve et son anus, l’épouse jusque-là impassible lui demanda :

- Dites-moi, mademoiselle, serait-il possible que mon mari vous fasse l’amour ? Si oui, quel serait votre prix ?

Anne prit le temps de la réflexion.

- Il faudra doubler la mise…

- Marché conclu ! répondit l’autre sans hésiter. Allez-y, mon cher, elle est à vous !

Sans tarder, le mari rejoignit Anne sur les tapis où elle le déshabilla intégralement, le caressa, le branla, le suça, se l’enfila…

 Moi qui comme d’habitude me tenais en  retrait, j’observais la scène de loin. Tout d’abord, je concentrai mon attention sur les deux baiseurs dans la lumière, mais regardant par hasard l’épouse assise dans le canapé, je vis avec surprise qu’elle avait la main droite glissée sous la jupe de son tailleur, tandis que de la main gauche, elle se caressait les seins qu’elle avait sortis de son corsage de soie. Je l’observai plus attentivement ; l’agitation de sa main droite sous le tissu était sans ambiguïté : elle était en train de se branler. Je m’approchai du canapé. Elle dut deviner ma présence derrière elle et se retourna vers moi.

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- Ah ! Vous êtes là ! dit-elle sans retirer sa main. Je vous avais oublié. Vous êtes quoi exactement pour elle ? Son garde du corps ? Son mac ?

- C’est ma femme.

Son regard se posa sur la bosse qui déformait mon pantalon.

- Alors, comme ça, vous aussi vous êtes candauliste ?

- Quoi ? Que voulez-vous dire ?

- Renseignez-vous, mon ami ! Désolé de vous abandonner, mais je veux profiter de mon cadeau !

Ce disant, elle reporta toute son attention sur le spectacle et reprit sa masturbation avec le plus grand sérieux. Le mari baiseur se donnait à la tâche, Anne y mettait du sien et ne faisait pas semblant.

Tant et si bien qu’ils jouirent tous les trois, chacun leur tour. Ce fut d’abord Anne qui ne retint plus ses halètements, se mit à agripper son fouteur par les fesses afin de l’attirer contre elle, au plus profond d’elle, et dont les orteils s’épanouirent brusquement en bouquet… Son amant la suivit de peu en grognant et en serrant les fesses. Quant à son épouse sur le canapé, elle accéléra progressivement le rythme de ses caresses sous sa jupe, se pinça les tétons et lorsque l’orgasme la saisit, elle referma brusquement les cuisses en poussant de petits glapissements aigus. Je fus le seul à ne pas trouver le chemin de l’extase ; il faut dire que les paroles de la femme m’avaient troublé.

Plus tard, avec Anne, nous avons cherché en vain le mot candaulisme dans le Petit Larousse. Le Petit Robert était tout aussi muet sur la question. Finalement ce fut Anne qui lança les recherches sur le Net. En quelques clics nous avions tout compris. Nous nous sommes regardés et embrassés très tendrement.

- Bienvenue au club ! m’a dit Anne en s’emparant de ma queue raide. Tiens, il y a même des vidéos ! On les regarde ?

 © Michel Koppera, août 2014

 

 

 

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Lundi 24 juillet 2017 1 24 /07 /Juil /2017 08:00

"À découvert", chapitre 5

5. Dès lors, Anne et moi avons commencé à baiser beaucoup plus souvent. Non seulement nous n’avions plus de soucis d’argent, mais les souvenirs de ses rendez-vous érotiques nourrissaient nos fantasmes et entretenaient une sorte de fringale sexuelle dont nous n’étions jamais repus. Pendant que je la baisais ou l’enculais, on parlait de ses exhibitions, de ce que nous avions ressenti chacun de notre côté, de nos nouveaux désirs et de nos rêves partagés. Anne m’avoua que, dès le premier rendez-vous, elle avait  éprouvé du plaisir à montrer son sexe à un autre homme en ma présence. L’idée que j’assistais à la scène avait suffi à la faire mouiller et l’avait amenée à l’orgasme.

decouvert10-0Quelques semaines plus tard, nous avons eu l’occasion de franchir un nouveau cap. Cela se passa un dimanche après-midi dans une demeure bourgeoise des beaux quartiers. La garde-robe d’Anne s’était enrichie de sous-vêtements très sexy, comme des corsets de soie, des soutien-gorge à balconnet ou des petites culottes en dentelle fendues en leur milieu… Cette fois-là, l’homme était beaucoup plus jeune qu’à l’ordinaire – pas plus de la trentaine – et aussi plus séduisant. Il nous reçut très cordialement dans le salon meublé de grands canapés en cuir profonds et confortables. Anne était très en forme : elle avait les tétons très durs et la vulve luisante de mouillure. Les yeux dans ceux du client médusé, elle avait déjà joui en se caressant le clitoris entre le majeur et l’index…Comme il semblait paralysé par l’émotion, Anne prit l’initiative :

- Si vous en avez envie, vous pouvez me baiser.

Ses mots m’électrisèrent la bite que j’avais déjà sortie de mon pantalon.

- C’est que je n’ai pas prévu de préservatifs, bredouilla le jeune homme, très gêné.

- Moi, j’en ai apporté… Jacques, s’il te plaît, va les chercher dans mon sac à main.

Effectivement, il y en avait une boîte entière. Comme je revenais vers Anne en lui tendant un sachet, elle me regarda en souriant.

- Tu sais que ce serait sympa si c’était toi qui le lui enfilais… S’il te plaît, mon chéri…decouvert10-copie-1

L’autre, un peu surpris, avait déjà ouvert son pantalon et sorti sa queue. Cependant, il était tellement excité que ce petit changement de programme ne suffit pas à le faire débander. Je me suis donc agenouillé devant lui, j’ai fini de le débarrasser de son pantalon et de son boxer. Il avait une belle bite, bien droite, avec un gland couleur prune, gonflée de sang. La tige était vibrante et chaude. Les doigts dans la fente, Anne me regardait faire. Une fois la queue habillée de latex, elle s’est approchée.

- Jacques, je te laisse le plaisir et l’honneur de me la mettre dans la chatte.

Elle s’est présentée à califourchon au-dessus du ventre de son amant d’un jour. Je tenais sa queue à la verticale, tendue vers le ciel de son con. Alors, très lentement, Anne a plié les genoux et son sexe béant est doucement descendu à la rencontre de son baiseur. La tête du gland s’est logée entre les grandes lèvres huileuses, puis a disparu dans le ventre d’Anne. J’ai lâché la queue maintenant bien enfoncée dans sa caverne. Mais je suis resté là, à genoux derrière eux, à  regarder le membre raide du jeune homme aller et venir entre les fesses de ma compagne. C’était un spectacle fascinant, d’une grande beauté et pour tout dire divin. Dans mon esprit revenaient sans cesse les mêmes pensées : « Je suis en train de regarder ma femme baiser avec un autre homme ; je suis en train de regarder la bite d’un inconnu qui pénètre le vagin de ma femme ; je suis en train de regarder ma femme se donner à un autre homme… »

Quand elle fut bien ramonée, Anne m’a parlé :

- Tu vois bien tout, mon amour ? Tu vois comme je suis excitée ?

decouvert10-1Et quand elle se taisait, c’était pour embrasser l’autre à pleine bouche. je n’avais pas besoin de me branler pour être au bord de l’extase. D’ailleurs, je ne résistai pas longtemps, ma queue fut saisie de soubresauts et mon foutre est monté d’un seul coup, s’élançant en lourdes giclées à l’assaut de l’entrefesses d’Anne. Ce chaud arrosage ne fit que décupler leur ardeur. En quelques vigoureux coups de cul, Anne amena l’autre à l’orgasme : je vis la peau de ses couilles se rétracter, sa queue se cabrer et, en gémissant, il se répandit dans le préservatif. Anne aussi jouit en remuant frénétiquement du cul et en proférant des phrases d’une grande lubricité.

Pour cette prestation, elle refusa le supplément que voulait lui donner le client plus que satisfait.

- Tout le plaisir était pour moi, dit-elle. Enfin, je veux dire pour nous…

 

J’ai apprécié l’ambiguïté du « nous » à sa juste valeur.  

à suivre...

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 21 juillet 2017 5 21 /07 /Juil /2017 08:00

Voilà bien une saine activité quotidienne : se branler. À la main ou avec accessoire, c'est un plaisir sans cesse renouvelé, universel et intemporel...

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Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 19 juillet 2017 3 19 /07 /Juil /2017 08:00

"À découvert", chapitre 4

4. Ces deux premiers rendez-vous furent suivis d’une demi-douzaine d’autres, assez semblables. À chaque fois, j’éprouvais les mêmes intenses émotions et Anne avait à chaque fois les mêmes réactions, à savoir une réelle excitation pendant son exhibition, puis quelques heures plus tard venaient les remords et un certain dégoût d’elle-même. Elle se promettait alors de ne plus jamais recommencer, m’accusant de chercher à l’humilier et de manquer totalement de sens moral. Cependant, dans la boîte aux lettres, on ne trouvait plus ni lettres de rappel, ni menaces d’huissier. Mieux, à la fin du mois, on a pu se racheter une télé toute neuve ! Aussi, lorsqu’elle reçut sur sa boîte mail une proposition de rendez-vous dans un hôtel de la périphérie, non loin de l’autoroute, elle accepta sans même m’en informer.

decouvert8Ce qu’il y a de commode dans ce genre d’établissement, c’est qu’on peut accéder librement aux chambres sans passer par la réception. Les chambres étaient regroupées dans deux petits bâtiments à deux étages, posés dans un parc arboré. Je me souviens encore du numéro de la chambre : le A217.  En ce samedi après-midi d’automne, il tombait une petite pluie fine mais persistante. Anne avait revêtu sa tenue habituelle. La porte de la chambre était entrouverte. L’homme qui nous y attendait assis au bord d’un des lits jumeaux avait une cinquantaine d’années. Il était très gros – sans doute plus de 120 kilos – avec une bedaine imposante et un cou empesé de graisse, mais des mains très fines chargées de lourdes bagues. Il avait le regard vif et une voix fluette, presque enfantine. Sur le bureau, près de la télé allumée, il avait déjà déposé l’enveloppe contenant la rémunération de la future prestation d’Anne. Lorsqu’elle me présenta à celui qui disait s’appeler Monsieur Roger, en lui précisant que je serais présent pendant toute la séance, celui-ci me regarda d’un air entendu en répétant : « Je vois, je vois… »

 Au début, tout se déroula selon le scénario désormais habituel : effeuillage, auto-caresses, exhibition cuisses et fesses grands ouvertes, présentation ostentatoire des trous humides, masturbation clitoridienne. Monsieur Roger la regardait faire avec intensité, avec le regard ravi d’un gamin au cirque, lorsque tout à coup, il rompit le silence :

- Cinquante euros de plus si vous acceptez de me sucer.

Anne qui était à quatre pattes sur le lit, la croupe en l’air, une main entre les cuisses en train de s’astiquer, marqua un temps d’arrêt. Elle tourna la tête vers moi et m’interrogea du regard. Je lui répondis d’un haussement d’épaules… Je retins mon souffle.decouvert10

Alors Anne changea de position et vint s’agenouiller entre les grosses cuisses de Monsieur Roger assis au bord de l’autre lit. Mon cœur battait à tout rompre. Avec des gestes précis mais presque tendres, Anne déboutonna la chemise blanche de Monsieur Roger, caressa son torse et son énorme ventre velu, puis elle déboucla son ceinturon, ouvrit sa braguette et, fouillant dans son pantalon, en sortit une très grosse bite, déjà bandante, assortie de couilles volumineuses et poilues. Elle entreprit de la branler à deux mains pour la durcir encore. De mon côté, debout dans une encoignure, comme en proie à la fièvre, j’avais moi aussi ouvert mon pantalon, sorti ma queue que je caressais vigoureusement. Lorsqu’elle le jugea assez excité, Anne se pencha vers le ventre de Monsieur Roger et engloutit d’un seul coup son énorme engin. Tout en lui caressant les couilles à pleine paume, elle se mit à le pomper avec la constance d’un piston, allant et venant dans un bouillonnement de salive sucrée. Monsieur Roger en avait le visage congestionné et s’efforçait tant bien que mal de retarder l’échéance. Une main posée dans les cheveux d’Anne, il tentait de freiner ses ardeurs. Mais rien n’y faisait, elle pompait de plus belle.

C’est moi qui ai joui le premier, en éclaboussant la moquette d’une éjaculation puissante. Je n’en pouvais plus de bonheur. Monsieur Roger me suivit de près en soufflant comme un phoque avec de petits cris aigus. Son sperme épais et abondant déborda bientôt à la commissure des lèvres d’Anne qui avala le tout sans rechigner, n’en perdant aucune goutte…

Quelques dix minutes plus tard, alors que nous quittions en voiture le parking de l’hôtel, Anne qui recomptait ses billets me dit :

- Alors, tu t’es bien rincé l’œil toi aussi ! Finalement, c’était pas mal. Tu sais, je suis sûre que si tu n’avais pas été là, je n’aurais jamais osé… Pas parce que j’aurais eu peur, non ! J’ai accepté uniquement parce que j’ai lu dans tes yeux que tu en avais envie, et c’est ton envie qui a fait naître en moi la même envie… Chacun de nous y trouve son compte.

Ce jour-là, j’ai compris que notre relation venait d’entrer dans une ère nouvelle. 

à suivre...

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Lundi 17 juillet 2017 1 17 /07 /Juil /2017 08:00

"À découvert", chapitre 3

3. Deux jours plus tard, après l’euphorie d’un passage au supermarché et à la station service, on était revenus à la case départ, c’est-à-dire à la « case galère ». La deuxième séance a eu lieu dans un hôtel plutôt chic du centre-ville. Il s’est présenté comme un cadre commercial d’une grosse boîte d’informatique, de passage dans la région. Un homme soi- disant marié qui ne souhaitait pas tromper sa femme. La quarantaine bien tassée, il avait le type méditerranéen, le teint mat, les cheveux très noirs avec une ombre de barbe qui lui donnait des airs de latin lover. Beau parleur aussi, avec une voix chaude… Bref, le genre d’homme qui ne devait pas déplaire à Anne. Comme la chambre était vaste, L’homme s’est installé dans le fauteuil qui faisait face au grand lit où il invita Anne à prendre place. Puis, il s’est tourné vers moi :

- Si cela vous gêne, vous pouvez descendre l’attendre à la réception…

- Non ! dit Anne avec détermination. Jacques va rester ! S’il s’en va, je sors avec lui…

- Comme vous voulez, dit-il visiblement contrarié.

decouvert6Je me suis donc fait le plus discret possible, assis à même le sol, dans la pénombre du vestibule qui donnait accès à la salle de bains et à la porte d’entrée. Mais, de mon poste d’observation, je pouvais les voir tous les deux : Anne plein cadre sur le lit, le client de profil, confortablement installé dans son fauteuil. Anne était venue habillée comme pour son premier rendez-vous, avec juste par-dessus un imperméable pour prendre le tram, marcher dans la rue et traverser le hall de l’hôtel sous le regard désabusé du réceptionniste. Sur l’écran de la télé allumée passait l’épisode d’une série américaine très bavarde.

Debout sur le lit, Anne commença à onduler des hanches en retroussant sa jupe à la lisière de ses bas noirs, mais quand elle voulut la dégrafer, l’homme l’arrêta d’un geste :

- Ne vous déshabillez surtout pas ! ordonna-t-il. Montrez-moi tout, mais gardez vos vêtements, ce sera beaucoup plus excitant comme ça.

Anne conserva donc jupe, escarpins, chemisier, bas et petite culotte… Effectivement, son exhibition en devint beaucoup plus sensuelle et troublante. Jaillis de l’échancrure de son chemisier, ses seins bien ronds exerçaient tout leur pouvoir érotique avec leurs globes laiteux, leurs aréoles ocre foncé et leurs tétons durcis sous la caresse de ses doigts… Et que dire de son sexe, là où venait s’échouer le regard, son sexe poilu au bas de son ventre, au croisement de la peau nue de ses cuisses au-dessus des bas, son sexe fendu par l’empiècement de sa petite culotte tendue qui s’incrustait profondément dans sa fente, faisant ressortir et gonfler ses lèvres vaginales et épousant l’arrondi de son mont de Vénus touffu. Pour s’exciter le clitoris Anne  frottait le tissu dans sa fente, puis quand elle se sentit mouillée, elle écarta d’une main l’empiècement  de sa culotte et exhiba sa vulve luisante de cyprine épaisse, comme tuméfiée de désir.

- Continuez, vous êtes très belle…

Je n‘avais pas remarqué que, sans la quitter des yeux, il avait ouvert son pantalon, sorti sa bite et qu’il se branlait doucement. De profil, je voyais bien son érection et la tête du gland, très gonflée, comme enduite de graisse. Rien que l’idée que cet inconnu bandait en regardant Anne, qu’il la désirait si fort qu’il en éprouvait le besoin de se caresser, cette simple idée suffit à me faire bander moi aussi, si puissamment que je glissai une main dans la poche de mon jean pour m’astiquer discrètement. Ce n’était pas le spectacle pourtant magnifique de la chatte trempée d’Anne qui m’excitait, ni la vue de son cul ouvert, ni le jeu de ses doigts sur son clito, non, ce qui me plaisait au plus haut point, c’était de penser qu’un homme, tout près d’elle, se branlait en contemplant son intimité. Et lorsque son sperme a jailli en trois puissantes giclées blanches, je me souviens que j’aurais aimé qu’il éjacule sur le ventre d’Anne, qu’il lui englue la touffe et le vagin de foutre chaud.

 

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En partant, l’homme remercia chaleureusement Anne de sa prestation et lui donna l’enveloppe sans me prêter la moindre attention. J’aurais légitimement pu en être vexé ou jaloux, mais j’étais alors habité par un autre sentiment, plus confus, une impression d’inachevé et d’ivresse mêlés…

Alors, à peine sortis dans le couloir de l’hôtel, j’ai poussé Anne dans un local à balais, j’ai soulevé sa jupe et cherché son sexe. Elle était vraiment trempée. En tout hâte, je l’ai plaquée contre le mur, elle s’est cambrée et je l’ai enfilée. Pendant que je la limais, c’étaient les images du type en train de se branler tout en regardant Anne qui défilaient derrière mes paupières closes. J’ai joui comme jamais.

- Ben, dis donc ! qu’elle m’a dit en remettant de l’ordre dans ses vêtements. Il y avait urgence. Qu’est-ce qui t’arrive ?

- Je ne sais pas, c’est sans doute de te voir si désirable… Ça me donne des idées. 

à suivre...

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 14 juillet 2017 5 14 /07 /Juil /2017 08:00

Toujours et encore "la langue au chat" version féminine. Comme spectacle, ça vaut bien le feu d'artifice du 14 juillet !

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Par michel koppera - Publié dans : sapho - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 12 juillet 2017 3 12 /07 /Juil /2017 08:00

"À découvert", chapitre 2

decouvert32. Le samedi suivant, on avait rendez-vous à 15 heures dans un immeuble cossu du centre-ville. Pour l’occasion, Anne avait mis une jupe courte facile à ouvrir et un chemisier de soie mauve. Dessous, malgré ses réticences, je lui avais conseillé de porter des bas, un porte-jarretelles et une toute petite culotte blanche qui laissait déborder de chaque côté sa touffe de poils châtain foncé.

- J’ai l’impression d’être déguisée en pétasse qui va poser pour un magazine de cul, dit-elle en se regardant une dernière fois dans le miroir. Tu crois vraiment que c’est nécessaire ?

- Écoute, si ça ne convient pas, rien de plus facile que de t’en débarrasser. On verra sur place, selon les goûts du client.

C’est une femme d’une cinquantaine d’années, en tablier blanc, qui est venue nous ouvrir.

- Ah ! Je suppose que c’est vous que Monsieur attend. Suivez-moi, je vous prie.

Elle nous a précédés dans un long couloir jusqu’à une porte qui donnait sur un salon inondé de lumière.

- C’est ici, dit-elle en s’écartant pour nous laisser passer.

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La pièce était vaste, meublée avec goût. Le maître de maison était là, près de la cheminée, assis dans un fauteuil roulant. La soixantaine passée, les cheveux poivre et sel, il a regardé Anne de la tête aux pieds.

- C’est très bien, a-t-il conclu en reculant son fauteuil. Vous savez pourquoi vous êtes là, alors je vous laisse faire.

Anne ne savait trop comment s’y prendre. Pour lui faciliter la tâche, j’ai demandé à mettre une musique d’ambiance. L’homme au fauteuil roulant m’a désigné une chaîne hifi et une collection de CD. J’ai choisi « Nights in white satin » des Moody Blues. C’est sur cette mélodie qu’Anne a commencé à se déhancher, à se déshabiller lentement. Afin d’oublier son trac, elle gardait les yeux clos. Moi, je suis resté tout le temps debout près de la porte, un œil sur Anne, l’autre sur son spectateur qui restait impassible. Quand elle n’eut plus sur elle que son porte-jarretelles et ses bas noirs, il lui dit d’une voix très douce mais autoritaire :

- Montrez-moi vos fesses, s’il vous plaît. C’est cela, maintenant, penchez-vous en avant et écartez bien que je voie votre fente et votre cul !

Anne obéit docilement. L’homme approcha son fauteuil si près qu’en se penchant il aurait pu lui embrasser et lui lécher l’entrefesses. Il n’en fit rien.

- Vous savez que vous êtes très belle comme ça ? Vous le savez sans doute,  sinon pourquoi votre con serait-il mouillé ? Cela vous excite tant que ça de montrer votre cul  à des inconnus ?

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- Je ne sais pas, monsieur, c’est la première fois.

Ces paroles prononcées sur le ton de la confidence me firent spontanément bander. Puis, l’homme demanda à Anne de se retourner vers lui, de s’asseoir au bord du canapé de cuir, d’écarter grand les cuisses et de lui montrer sa chatte ouverte à deux mains…

- Ouvrez les yeux et regardez-moi ! N’ayez pas peur, je ne vous ferai aucun mal… Je suis impuissant mais cela ne m’empêche pas d’apprécier ce qui est beau. Regardez-moi dans les yeux tout en vous caressant… Ce sera ma façon à moi de vous faire l’amour.

Anne se laissa prendre au jeu et tout en se branlant le clitoris de l’index et du majeur réunis, elle regardait l’homme avec un indicible sourire sur les lèvres. Je bandais comme un âne. Finalement, Anne fut saisie d’un tremblement convulsif et d’un halètement de chienne assoiffée. Son périnée où suintait sa mouillure se mit à palpiter en cadence.

Pendant qu’Anne se rhabillait, l’homme fit venir sa domestique qui nous remit avec dédain les deux billets de 50 euros.

- C’était très bien, dit le maître de maison à Anne alors que nous prenions congé. Pour une première fois, vous vous en êtes plutôt bien sortie, non ?

 

Arrivés dans la rue, Anne se refusa à parler ce cette expérience. Elle me demanda juste l’argent qu’elle fourra rageusement dans son sac à main et alluma une cigarette qu’elle fuma lentement, en silence, tout en jetant de temps à autre un regard vers les fenêtres des immeubles cossus de l’avenue.

à suivre...

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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