Mardi 13 octobre 2015 2 13 /10 /Oct /2015 09:00

Le saviez-vous ? # 82

Au Japon, le phénomène JK ( JK, initiales de "Joshi Kokosei" qu'on peut traduire par "jeunes lycéennes") est peu à peu contrôlé par la pègre locale. Il est en effet possible, en pleine rue, de louer à l'heure les services d'une collégienne mineure en jupe plissée et socquettes blanches (l'uniforme des écolières japonaises) officiellement pour une "conversation". Dans les faits, il s'agit le plus souvent de séances de voyeurisme (regarder sous les jupes des jeunes filles est un des fantasmes favoris des hommes nippons) parfois de caresses ou d'attouchements sans équivoque. Les autorités ont bien du mal à empêcher le phénomène car il faut savoir qu'au Japon, les délits de prostitution de mineure et de proxénétisme ne sont reconnus que s'il y a eu coït !

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Par michel koppera - Publié dans : le saviez-vous ? - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 12 octobre 2015 1 12 /10 /Oct /2015 08:30

Encore une histoire de sperme, mais en Chine cette fois. Ils sont confrontés à la même pénurie de donneurs que le Royaume-Uni. Comme dans de nombreux pays, le dernier Iphone d'Apple est hors de prix et très recherché. Alors, deux cliniques chinoises proposent, dans leur campagne de recrutement sur les réseaux sociaux, de verser 6000 yuans (l'équivalent du prix d'un Iphone 6 en Chine) pour chaque don de sperme. 

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Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 10 octobre 2015 6 10 /10 /Oct /2015 09:00

Pierre Louÿs, "Pybrac" quatrains 177 à 120

Je n'aime pas à voir la bonne de Marcelle

Qui chaque soir au lit la gougnotte (Oh ! combien !)

S'assure en même temps qu'elle est toujours pucelle

Et le dit à sa mère en passant : "Tout va bien."

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Je n'aime pas qu'à poil deux sœurs couchent ensemble

Se touchent par-devant et par-derrère aussi

Puis d'un long doigt bandeur qui masturbe et qui tremble

Se branlent pour leurs flirts et se disent : Merci.

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Je n'aime pas qu'un soir la fille de cuisine

Sculpte une pine en bois sans couillons par-dessous

Puis subrepticement la passe à ma cousine

Qui crie :" Ah ! que c'est chic !" et lui donne cent sous.

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Je n'aime pas à voir la joyeuse Niniche

Qui dit en s'excusant de revenir si tard :

"Maman, je suis pucelle, on peut voir ma moniche

Ils m'ont tous fait l'amour par le petit pétard."

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Vendredi 9 octobre 2015 5 09 /10 /Oct /2015 08:30

Mamie Van Doren (de son vrai nom Joan Lucille Olander) est née en 1931 dans le Dakota du Sud (USA). Actrice et pin-up, elle fut un des sex-symbols des années 50. Sa carrière d'actrice débuta dès 1949 et dura jusqu'en 2002. Elle tourna dans plus de 40 films. En 1963, elle posa pour Playboy, à la suite de sa rencontre avec Howard Hughes mais ne fut jamais la Playmate du mois du magazine. Elle se voulait l'égale de Marilyn Monroe ou de Jane Mansfleld mais, bien que blonde oxygénée et dotée d'une impressionnante poitrine comme ses rivales, elle n'atteignit jamais leur popularité, même si elle collectionna elle aussi les amants célèbres dans le microcosme hollywodien.

Les titres de certains des films où Mamie Van Doren est apparue donnent un bon aperçu du genre de rôle qu'on lui destinait:

- " The girl in black stockings" (1957) La fille avec des bas noirs

- "The beautiful legs of Sabrina" (1958) Les belles jambes de Sabrina

- " The private life of Adam and Eve" (1961)

- "Sex Kittens go to college" (1960)

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Jeudi 8 octobre 2015 4 08 /10 /Oct /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 20 b

crissie20b-1 La  plantureuse Sonia salue avec un sourire et nous invite à entrer. Monsieur K a l'air de vouloir rester, à l'inverse de la fois précédente. La jeune femme lui avance un fauteuil. Je demande à Monsieur K de me libérer le temps de la séance, ce qu'il fait de bonne grâce. Puis il me laisse aux mains de l'esthéticienne expérimentée. Elle me demande de me déshabiller et m'installe sur le dos. Je ferme les yeux. Doucement, elle masse mon crâne, tire mes cheveux en arrière, masse longuement mon visage avec un fluide parfumé, le brumise, me dit régulièrement de me laisser aller, ce que je fais sans aucune résistance, commence à se pencher sur mon corps pour en enduire les bras, les épaules, le buste, d'huile parfumée. Elle se penche, ses seins me touchent régulièrement. Les mouvements sont longs, onctueux, veloutés, j'ai peu à peu l'impression d'être une fleur de papier qui se déplie dans l'eau... Laissez-vous aller, laissez-vous aller... Elle tourne autour de la table des plaisirs. Elle masse mes pieds, - je revois une scène d'Épouses et concubines - masse mes jambes, s'appesantit un peu à la fourche des cuisses. Je ne retiens pas un gémissement, tourne autour de moi, je garde les yeux fermés, je sens le frôlement régulier de son corps, je devine qu'elle a ôté sa blouse, je respire des effluves réguliers de parfums ambrés, je ne sais plus ce qui me masse : ses mains, son corps, les deux, laissez-vous aller, laissez-vous aller... Je suis à la fois raide et distendue. J'entends sa voix me dire très doucement de me tourner sur le ventre et je m'exécute. Sonia, après la face nord, caresse la face sud de ses doigts habiles, me masse longuement le dos, dissout les tensions, délie tous les noeuds, laissez-vous aller... Sonia me caresse, me masse, me palpe les fesses. Je sens monter un désir douloureux et subtil. Mais ses gestes restent encore ceux de l'effleurement. Elle me fait attendre, me fait espérer. Tourne, effleure, tourne, effleure, laissez-vous aller... Enfin, devant sans doute mon corps qui se cambre vers elle comme en une supplication, elle entre très doucement un doigt, deux doigts, dans mon con huilé, parfumé, trois doigts, les ressort… Puis je sens sa main entière s'immiscer avec douceur, elle a de longues mains fines, elle me fiste complètement le vagin, tourne, va et vient, n'arrête plus. J'ai la sensation étrange d'être en lévitation.

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Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 7 octobre 2015 3 07 /10 /Oct /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 20 a

Pendant de longues minutes, j’ai l’illusion de te posséder entièrement, corps et âme, et cette sensation me procure un plaisir incommensurable. Tout de toi m’appartient : ton dub133-0sexe que j’ai cadenassé, ton ventre que je tiens en laisse, ton cul où je suis planté, tes seins que je pétris, ta main que je serre dans la mienne, ton image dont je me repais,  tes pensées obscènes, ton plaisir même dont je suis le maître. Pour la première fois de ma pauvre existence, j’éprouve l’ivresse de la domination, du pouvoir. Mon désir comme ma jouissance en sont décuplés. Je lance mon sperme à l’assaut de ton rectum, de tes tripes, de ton cœur. Je ne sais si tu jouis de nouveau ; à vrai dire, peu m’importe. Je suis transporté dans un autre monde où rien d’autre ne compte que la quête de l’orgasme absolu, celui qu’on appelle à juste titre « la petite mort »…

Une fois ressuscité, je t’entraîne à la salle de bain où je te lave comme une enfant. Puis, je te rhabille avec soin de ta courte robe de cotonnade par-dessus un adorable string de saison.

- On a un rendez-vous dans une demi-heure, dis-je en te tendant ton sac à main. On est presque en retard.

Comme d’habitude, tu ne poses aucune question.

Dans le taxi qui nous emmène, je retrousse ta robe, écarte ton string, remets le cadenas en place ainsi que la laisse chromée. C’est ainsi que nous faisons notre entrée dans l’institut de beauté où nous sommes attendus : moi devant, faussement désinvolte, saluant la maîtresse des lieux tout en tenant de la main gauche la poignée de cuir de la chaînette qui remonte entre tes cuisses, sous ta robe plissée.  Je croise des regards de femmes offusquées, d’autres incrédules, plus rarement amusées. Pendant que j’échange des banalités polies avec la patronne, tu te tiens en retrait, immobile, mais la tête levée, l’air hautain, affrontant avec arrogance la multitude des regards qui convergent vers toi, vers cette chaînette chromée qui disparaît entre tes cuisses légèrement entrouvertes.

- Monsieur K, c’est un plaisir de vous revoir. Sonia vous attend, c’est elle qui va s’occuper de votre amie. Si vous voulez bien me suivre.

Elle écarte un rideau cramoisi et nous désigne d’un geste le couloir sombre :

 

- Je vous ai réservé la cabine 17… À tout à l’heure. 

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Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 6 octobre 2015 2 06 /10 /Oct /2015 08:00

On arrive maintenant dans la série des tableaux qui font polémique, ceux qui transgressent plus ou moins ouvertement les tabous tels que l'inceste, la pédophilie... 

Pour commencer, je vous propose deux oeuvres en apparence relativement "sages" mais qui si on y réfléchit bien sont plus que dérangeantes.

Le premier tableau s'intitule "Bride" (la mariée). Ce n'est qu'une enfant mais ce n'est pas un jeu, son voile et sa robe blanche ne sont pas un déguisement. Son visage dit toute sa douleur et sa résignation devant l'inéluctable. Autour d'elle, disposés sur sa coiffeuse, quelques vestiges de son enfance perdue (une poupée, un vaporisateur à parfum, un petit miroir...) La rose qu'elle tient dans sa main nous paraît comme le symbole de son innocence condamnée : comme elle, elle sera flétrie avant la fin du jour...  

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Le second tableau a pour titre "Caress". Un couple pas si banal qu'il n'y paraît. Si la jeune femme correspond à tous les canons de la féminité (poitrine avenante, belle paire de fesses, sourire engageant...), le physique et le comportement de son compagnon sont beaucoup plus inquiétants : tête disproportionnée, corps malingre, visage déformé par le désir, dents de prédateur... On craint le pire. 

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 5 octobre 2015 1 05 /10 /Oct /2015 09:00

Après les kits cellulite, acné ou vergetures (voir photo ci-dessous) la poupée Lammily  a maintenant ses règles. Son créateur, Nickolay Lamm, explique le concept : " Nous voulions qu'elle ait ses règles pour montrer (sous-entendu aux petites filles) que ce n'est pas effrayant". Pour 10 dollars, on peut donc acquérir un kit d'accompagnement comprenant sous-vêtements, lot de serviettes périodiques colorées, livret explicatif et calendrier pour suivre le cycle. Le but étant de préparer les fillettes à leur puberté et d'éviter la difficulté d'aborder la question dans nombre de familles...

En images :

 La poupée Lamilly

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La poupée Lammily et ses serviettes périodiques

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Le livret explicatif

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Une fillette "jouant" à la poupée Lammily

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Samedi 3 octobre 2015 6 03 /10 /Oct /2015 08:00

Je crois qu'il est ici inutile de présenter Cara Delevingne, ex-mannequin (née en 1992 !), actrice et accessoirement chanteuse. Elle a publié sur son compte Instagram une photo super sexy où elle pose en slip Superman impudiquement mis en exergue dans le triangle de ses mains. J'ai trouvé la photo magnifique, et la bouche et les paupières baissées  de Cara y sont sans doute pour beaucoup !

cara-delevingne

En bonus, une photo d'une pub pour YSL où la bouche de Cara est tout aussi sublime

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Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 30 septembre 2015 3 30 /09 /Sep /2015 09:00

" Crissie et Monsieur K.", chapitre 19 b

crissie19b-1J'obéis. J'ôte ma robe. Le seul vêtement qui m'habille désormais, c'est cette lueur pâle de l'or blanc sur mon sexe, et la longue chaîne qui se balance avec lenteur. Le seul accessoire qui va m'orner dans quelques instants, c'est le dildo vertical dressé sous mes fesses, et qui palpite avec vigueur.

Je ne me précipite pas. Je me regarde dans le miroir. Ne pas me précipiter.

Je fais attendre Monsieur K. Son corps est tendu à tout rompre.

Je joue avec son désir. Je m'accroupis. Dans la glace, je me découvre la détermination d'une mante religieuse.

Je crache dans mes doigts, j'humecte le gode vivant de ma salive et le saisis. Sans transition, en un long mouvement continu régulier, je m'empale sur Monsieur K, tellement loin, que j'ai l'impression que les deux verrous d'une même mécanique se sont bloqués à la fois, en un corps unique, hermétique. Le plaisir est immédiat.

 

J'ouvre les yeux par intermittences vers le miroir qui me fait face, je ne vois que quelques images : la tête de Monsieur K qui s'agite et qui ne peut plus se retenir de montrer la jouissance qui le traverse, la grimace de ma bouche qui me dit la même chose.

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Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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