michel-koppera

Si vous n'êtes pas tenté par le mystère des grands fonds, il vous reste la piscine certes plus classique mais qui garde tout son charme...

Vous avez de l'argent ? Pourquoi ne pas profiter de l'été pour vous initier au golf. Pour commencer vous pourrez toujours essayer le golf miniatue, avant de passer au 18 trous sur le green !

"Ça ne sert à rien, Freddy ! Je n'ai jamais appris comment vous vous y prenez pour mettre vos deux boules dans un si petit trou !"

Pierre Louÿs, "Pybrac", quatrains 81 à 84

Je n'aime pas à voir la soeur des Ursulines

Qui songe, en explorant ses organes poilus :

"Dieu m'a donné dix doigts pour me servir de pines

Et je n'ai que deux trous ! J'en voudrais huit de plus."

Je n'aime pas à voir la vierge en tulle rose

Qui rejoint à l'écart un jeune homme inconnu

Et dit :" Pour commencer, fais-moi feuille de rose."

Ce n'est pas pour cela, vraiment, qu'il est venu.

Je n'aime pas la vierge aux prunelles d'opale

Qui branle son cousin parce qu'il bande trop

Et qui crie en voyant jaillir le foutre pâle :

"Ça m'excite un garçon qui pisse du sirop."

Je n'aime pas à voir la vaste maquerelle

Qui se fait un sérail de ses vingt-deux putains

Leur baise le derrière, en couche sept sur elle

Et décharge sept fois, rapport à ses instincts.

Le camping est un incontournable de l'été. Que ce soit traditionnellement sous la tente, dans une caravane, en camping-car ou en mobil-home, le camping dégage un fort potentiel érotique. Personnellement, je me souviens de séances de baise inoubliables sous une canadienne pendant l'été 1975 près de Morzine en compagnie d'une monitrice de colo rousse adepte de la sodomie profonde, ainsi que d'autres réjouissances sous la toile en Turquie près d'Izmir en 1972, en 1970 dans les dunes près de Carteret face à la Mer de la Manche ou encore en 1977 au bord d'un lac où nous faisions du camping sauvage non loin de Saint-Laurent du Verdon... Sans oublier en juin 1975, une nuit de folie avec une copine nymphomane au clitoris hors-norme dans la caravane familiale près de Saint-Malo... Encore aujourd'hui, je ne peux me glisser sous une tente sans être ému et troublé par l'odeur si particulière et quasiment sexuelle du tapis de sol... Pas vous ?

"Crissie et Monsieur K." Chapitre 11 b

Je suis surprise et en même temps fataliste... Nous y sommes ! Je me rétracte mais ça semble l'exciter : il renouvelle sa caresse, en insistant lourdement. Je sens une agitation, une électricité dans l'air. Pendant que l'amateur de fesses reste derrière moi et commence à se frotter, la dénommée Géraldine s'approche de mon visage, tire mon menton vers elle, et sans me laisser le temps de comprendre ce qui m'arrive, plonge sa langue dans ma bouche comme si c'était une lame : c'est inattendu, violent ; je n'imaginais pas une telle entrée en matière. Son geste dure une seconde. Et tout aussi brusquement, elle prend ma main, la glisse sous sa jupe, la dirige vers une moiteur déjà trempée… Dit : "Tu me fais beaucoup d'effet tu sais… J'aime bien ton côté sainte-nitouche, ton air mi-fugue mi-raison. Je pense que tu es du genre déchaîné sous tes airs de pas y toucher...". Son ex compagnon ajoute : "On va bien voir..."

Je me trouve subitement au milieu d'un tourbillon : l'homme derrière moi se frotte de plus en plus fort, en y mettant tout son temps, le photographe met un index, puis un majeur dans ma bouche en demandant de sucer bien profond, le chef de cabinet vient me pincer les seins, l'ex de Géraldine avance un doigt décidé dans l'échancrure de mon string. Le grand timide me regarde de loin et au vu de l'énorme bosse qui met en relief son pantalon, le spectacle lui fait de l'effet. Je commence à défaillir doucement, à en demander plus, à attendre que ça s'accélère. J'ai presque envie d'un gang-bang, je me sens ouverte à tout ce qu'on veut.

Je cherche Monsieur K des yeux...