Lundi 4 mai 2015 1 04 /05 /Mai /2015 09:23
Crissie, chapitre 1 a

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Voilà maintenant plus de vingt jours que tu es tombée entre mes griffes. Je suis Monsieur K.
crissie1-a-2Souviens-toi. Je t'ai rencontrée au vernissage de ce graphiste porno-chic dans une galerie branchée, non loin du Jardin des Plantes. Je t'ai vite repérée, un peu à l'écart, comme perdue dans la foule des courtisans. Ton cocktail à la main, immobile devant un tableau aux dimensions monumentales, tu tentais de te donner une contenance. Je t'ai abordée. Au premier regard, j'ai su que tu serais ma chose, ma proie, sans doute à cette façon si particulière que tu as de détourner les yeux tout en offrant ton corps. Ce soir-là, tu n'as presque rien dit, rien que ton nom "Crissie" qui m'a griffé le coeur.  Je t'ai parlé, tu m'as écouté, et lorsque tard dans la nuit, je t'ai dit : "On y va !", tu m'as suivi, docilement, naturellement...
Je t'ai installée dans la chambre d'amis. C'est là que depuis plus de deux semaines, tu passes le plus clair de ton temps seule, à lire et relire "La nouvelle Justine" de Sade, à regarder en boucle " Chambre sur cour" de Hitchcock. Je te soupçonne, en secret, de lire un autre livre et de regarder un autre film, mais je ne suis pas encore parvenu à en percer le mystère. Tu pourrais t'enfuir, la porte n'est jamais fermée à clef, même quand je m'absente pour la journée entière, pourtant tu restes là, à transcrire sur un carnet rouge le récit de notre aventure.
Ce soir, pour la première fois, tu es venue me rejoindre au salon, à peine vêtue d'un peignoir de soie bleu pâle qui dérobe à mes regards ta lingerie intime. Que portes-tu ?  Tu as pris place dans un des fauteuils de cuir, face à moi, et tu attends, silencieuse...

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Par michel koppera - Publié dans : Crissie et Monsieur K. - Communauté : Fantasmes et écriture
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Samedi 2 mai 2015 6 02 /05 /Mai /2015 17:12

Un mois somme toute assez calme, avec 106 584 pages vues. 

Depuis la création du blog, nous en sommes à 4 675 523 pages vues.

Comme d'habitude, ce sont les articles consacrés au candaulisme qui ont votre faveur. L'article du mois étant l'extrait du livre de Marcela Iacub 

Marcela IACUB, "Belle et Bête"

Pour les albums, votre favori est "album insolite"

En cadeau, une petite image de situation candauliste

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Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 1 mai 2015 5 01 /05 /Mai /2015 09:00

Pour fêter le premier mai, ce joli brin de fille signé Aslan. Reposez-vous bien !

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Mercredi 29 avril 2015 3 29 /04 /Avr /2015 18:46

HISTORIQUE

En novembre 2009, j'ai commencé à entretenir une correspondance régulière avec une fidèle lectrice du blog. N* aimait mes écrits (romans, nouvelles), j'aimais son sens critique, sa culture artistique et sa sincérité. Au fil des mois, nous sommes devenus si complices que, sans nous être jamais physiquement rencontrés ( nous ne nous sommes parlé que 2 ou 3 fois au téléphone) nous avons décidé d'entreprendre l'écriture d'un texte érotique à quatre mains. L'aventure a duré presque une année entière : j'écrivais un chapitre que j'envoyais à N*, elle rédigeait la suite, etc. Nous nous concertions par mail pour les ajustements et les corrections. C'est ainsi que fut créé " Crissie et Monsieur K."

L'expérience prit fin brutalement en mai 2011 avec l'intervention concertée de nos conjoints respectifs qui nourrissaient chacun de leur côté une jalousie maladive et nous sommèrent d'interrompre notre relation, ne fût-elle que littéraire.

Le texte composé de 38 chapitres (chaque chapitre étant divisé en deux parties, a et b, 38 écrites par N*, 38 par moi) est resté pendant quatre ans en sommeil sur mon disque dur. J'estime qu'il est grand temps de le mettre en ligne. Si par hasard N* lit encore parfois mon blog, j'espère qu'elle comprendra cette publication qui débutera le lundi 4  mai 2015 et s'étendra sur 76 articles.

Avant l'écriture proprement dite, Crissie (le personnage créé par N*) se définissait en quelques touches : secrète, silencieuse, passive ; aime se faire forcer, être obligée ; fantasmes de viols, clairs-obscurs, insultes, jouet d'hommes en bande.

Voici comment je me représente les deux personnages principaux

Crissie : tableau de Franz von Stuck intitulé "Le Péché"

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Monsieur K. : affiche du film "Après la pluie" 

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Mercredi 29 avril 2015 3 29 /04 /Avr /2015 09:00

Article n° 10 (quatrains 37 à 40)

Je n'aime pas qu'un homme enculant une fille

Tire son vit du trou, le fourre entre les dents

Et rie à voir comment la bouche dégobille

Quand le membre merdeux éjacule dedans.

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Je n'aime pas à voir après une escarmouche

Le soldat qui déflore un con de dix-sept ans

Viole aussi l'anus, décharge dans la bouche

Et sent alors son vit coupé d'un coup de dent.

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Je n'aime pas à voir la fille sans vergogne

Qu'on charge de garder les enfants d'un ami

Et qui joue avec eux à la Mère Gigogne

Jusqu'au dernier détail qu'on appelle mimi.

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Je n'aime pas qu'au bar celle avec qui je soupe

Foute à cheval sur moi, devant un autre amant

Qui lui fait le plaisir de l'enculer en croupe,

Ce partage d'un cul ne me plaît nullement.

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Mardi 28 avril 2015 2 28 /04 /Avr /2015 10:22

Bien que rien ne la distingue dans sa technique de la pipe républicaine, la pipe royale est évidemment réservée à une élite aristocratique. Les monarques et leurs proches (princes et princesses) s'y adonnent en arborant un symbole de leur pouvoir (couronne, sceptre...)

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Illustration du regretté Georges Pichard 

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Lundi 27 avril 2015 1 27 /04 /Avr /2015 10:22

"Les feux de l'amour" est une série américaine qui a débuté en mars 1973 sur CBS. Son titre original est "The young ans the restless" qu'on pourrait traduire par "Jeunes et agités". En France, la diffusion de cette série a débuté en 1989, au 3263 ème épisode, sur TF1 en semaine sur le créneau 14-15 h. La diffusion de cette série est programmée aux USA jusqu'en 2007 ( soit 2010 en France)

"Les feux de l'amour" est une saga familiale (plusieurs familles rivales sur le modèle Dynasty ou Dallas) dans le milieu des affaires (mode, presse people). Mais l'essentiel des péripéties repose sur les aventures sentimentales des protagonistes et, à coups de mariages, divorces, réconciliations, adultères et séparations en série, tout le monde finit par coucher avec tout le monde, toutes générations confondues. Au fil des ans, les couples se font et se défont avec cependant quelques tabous : pas de relations sexuelles inter raciales (en particulier blanc-noir), ni d'homosexualité...

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Vendredi 24 avril 2015 5 24 /04 /Avr /2015 11:36

Une douzaine d'images pour illustrer un des classiques de la littérature érotique, à savoir l'éducation sexuelle des jeunes filles ("jeunes" au sens large, de la gamine à la demoiselle) au cours de situations voyeuristes, volontaires ou accidentelles...

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Jeudi 23 avril 2015 4 23 /04 /Avr /2015 08:44

Article n° 9 (quatrains 33  à 36 )

Je n'aime pas à voir, impasse de l'Ecuelle

La putain qu'on encule en plein air dans le coin

Et dit chaque fois sa phrase habituelle :

"Crache-toi sur la queue, elle entrera plus loin."

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Je n'aime pas à voir la bergère en guenilles

Relever ses haillons sous les yeux d'un gamin

Lui montrer au soleil par où pissent les filles

Et guider vivement la pine avec la main.

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Je n'aime pas à voir la fillette à la coule

Qui rentre après minuit, saute à califourchon

Sur son père et lui dit :"Bon Dieu ! que je suis saoûle !

Je ne sais plus par quel trou tu fais l'amour, cochon !"

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Je n'aime pas la vierge éprise d'enculage

Qui prend ses lavements avec un godemiché

Et d'un doigt frémissant branle son pucelage

Toute heureuse d'avoir le derrière douché.

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Par michel koppera - Publié dans : pybrac - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 22 avril 2015 3 22 /04 /Avr /2015 11:19

BUG ( 2ème partie)

 bug4

Une fois dans la chambre spacieuse, avec vue imprenable sur le port et le grand large, Bruno nous a invités à nous asseoir au bord du lit extra large, puis il a fureté dans un attaché-case. Il en sortit une liasse de billets de 50 euros.

bug5- Mille euros pour le week-end, ça vous suffira ?

- C’est trop, beaucoup trop !

- Prenez quand même. Il vaut mieux prévoir large, on ne sait jamais…

Il a compté vingt coupures et les a posées sur la table de chevet. Puis il est venu nous rejoindre au bord du lit, à côté de Catherine maintenant coincée entre nous deux. Sans attendre, Bruno a posé une main sur le genou nu de Catherine. Je n’ai rien dit… Comme je n’ai pas protesté quand sa main est remontée le long de sa cuisse alors qu’elle écartait un peu les jambes… Comme je l’ai laissé ouvrir la fermeture éclair de sa robe qui a glissé de ses épaules et libéré ses seins aux mamelons déjà durs.

Il lui soupèse affectueusement les seins et gobe un téton qu’il mordille à la manière d’un chiot. Catherine se mord les lèvres et tente de contenir un gémissement de plaisir. Elle tourne la tête vers moi, cherche mon regard. Elle a déjà comme un voile de bonheur posé sur les yeux. Je devine ce qu’elle attend de moi. Alors, d’un simple hochement de tête, je lui donne le feu vert.

Maintenant, il nous sera impossible de revenir en arrière. Je le sais, elle aussi. Nous venons de sauter à l’aveugle dans le gouffre sombre de nos fantasmes.

Tout en continuant de lui agacer le bout des seins, Bruno a saisi une main de Catherine et l’a posée sur la braguette de son jean dont la boursouflure du tissu est plus que prometteuse.

Encore une fois, je suis étonné de la dextérité et de l’empressement avec lesquels Catherine déboucle le ceinturon, fait sauter les boutons et extirpe la grosse queue de Bruno, tendue comme un ressort. Elle l’empoigne avec passion. Je me sens envahi d’un sentiment de fierté : fier de sa beauté, de son audace, de sa sensualité. La perspective de la voir fait l’amour avec un quasi-inconnu me remplit de bonheur. Mais je ne souhaite pas m’en  tenir au rôle de simple voyeur, je veux que Catherine garde de cette soirée un délicieux souvenir qui alimentera longtemps sa libido.bug7

- Bruno, je vous conseille de lui lécher la chatte, elle adore ça !

Alors Catherine se laisse ôter sa culotte, allonger sur le dos, écarter les jambes. Le coquillage de son sexe bâille, les lèvres sont humides. À genoux au pied du lit, Bruno fourre la tête entre ses cuisses et commence à lui lécher la moule. Il s’y prend bien : je vois distinctement le boute de sa langue tourner autour de la tête du clitoris, puis glisser plus bas, fouiller le vagin, ses lèvres se ventouser à la vulve comme pour aspirer tout le miel. Les mains posées sur la nuque de son lécheur, les yeux clos, la ouche ouverte, le souffle court, Catherine l’attire contre son ventre offert.

- N’oubliez pas de lui lécher le cul !

Comme s’il n’attendait que mon conseil, Bruno relève les cuisses de Catherine ce qui lui ouvre naturellement les fesses. L’étoile brune de son anus luit déjà de mouillure. La langue chaude de Bruno parcourt sur toute sa longueur le grand sillon, du bas des reins jusqu’au mont de Vénus. Catherine cherche ma main qu’elle serre avec tendresse.

- Mon chéri, je te raconterai plus tard tout ce que j’éprouve, tout ce plaisir que tu me donnes en cadeau, me dit-elle d’une voix rauque entrecoupée de soupirs.

bug6Quand ils eurent épuisé tous les délices du cunnilingus, ce fut Catherine qui se chargea de déshabiller intégralement Bruno, de l’allonger sur le lit et de se mettre en position pour un soixante-neuf d’enfer. Le spectacle était fascinant et j’étais aux premières loges. Les deux acteurs en scène, Bruno allongé sur le dos, Catherine à quatre pattes, tête-bêche, au-dessus de lui. Côté cour, Catherine en train de lui tailler une pipe. Elle le pompait sur toute la longueur de la bite, de la prune charnue du gland qu’elle flattait et suçait avec gourmandise comme elle l’aurait fait d’un Chuppa Chups, passait la pointe de la langue sur le méat, excitait le frein, puis, lentement, l’avalait en entier jusqu’aux couilles poilues qui lui chatouillaient les narines. Elle le gardait ainsi au fond de sa gorge comme pour en apprécier la saveur secrète avant de le régurgiter avec la même patiente lenteur. Côté jardin, le visage de Bruno juste au-dessous du ventre grand ouvert de ma femme. Des deux mains, il lui écartait les fesses de manière à bien dégager l’anus et la vulve. Sa langue épaisse et gluante lui lapait goulûment l’entrejambe, le nappait de salive tiède, se jouait des plis et replis, s’aventurait alternativement dans les vestibules du  vagin et du rectum, s’abreuvait de ses secrétions intimes toujours plus grasses, toujours renouvelées…

À ce double jeu diabolique, Catherine ne put retenir un orgasme. Je vis avec précision l’œillet de son anus palpiter à la manière d’une anémone de mer qui hésite à s’épanouir. Ses spasmes se propagèrent à son périnée puis à son vagin qui se mit à s’ouvrir et se fermer comme la bouche du poisson en manque d’oxygène. À bout de souffle, Catherine sortit entièrement la bite de Bruno de sa bouche et la frotta affectueusement contre sa joue. Elle se laissa emporter par sa jouissance jusqu’à l’apaisement.

 bug9

Mais ils n’en étaient pas pour autant rassasiés. Catherine se redressa et avisa le grand miroir mural qui faisait face au lit. De nouveau ; l’étrange lueur du désir illumina ses yeux. Sans que Bruno ait à changer  de position, elle vint s’accroupir au-dessus de son sexe dressé comme un mât de misaine.

- S’il te plaît, chéri, prends-le et mets-le moi dans la chatte. Je veux que ce soit toi et personne d’autre. Comme ça, je me verrai dans le miroir et ce sera comme si j’assistais en direct au tournage d’un film porno.

bug10-1Appuyée sur ses mains posés à plat sur le lit pendant que Bruno la tenait fermement par la taille, elle se pencha un peu en arrière afin de présenter sa chatte béante à la queue raide que j’avais en main. C’était la première fois de ma vie que je tenais une bite d’homme ; elle était incroyablement dure et comme animée d’une vibration continue. J’ai posé la tête du gland entre les lèvres tuméfiées du sexe de Catherine, délicatement, je l’ai faite aller et venir de bas en haut avec de petits clapotis mouillés… Puis quand je l’ai sentie prête, je l’ai enfoncée dans la vagin où elle a lentement disparu, comme aspirée par une ventouse. Le regard fixe sur le miroir, Catherine se regardait baiser et ce spectacle avait le don de la sublimer.

- Que c’est beau ! souffla-t-elle. Je n’aurais jamais cru que ce serait si beau. Oh, mon chéri, tu vois comme il entre en moi, comme il me remplit… Et mon clitoris, regarde comme il est gros et dur… Oh, mon dieu, je crois que je vais jouir… Oh, pas maintenant, pas encore !

Mais il était trop tard. La machine de l’orgasme était enclenchée et impossible à enrayer. Le piston de la queue de Bruno s’est emballé. Il n’a pas tardé à donner lui aussi des signes de grande excitation. La peau des couilles s’est rabougrie et il s’est mis à grogner et à souffler comme un bûcheron tout en proférant des insanités où Catherine aux anges fut tour à tour traitée de belle salope, de chienne et de sacrée putain…

Je crois que c’est Bruno qui a  joui le premier en bloquant sa bite au plus profond du ventre de Catherine. Elle est partie dans la foulée avec de petits cris très aigus. Ils sont restés de longues minutes comme ça, emboîtés, immobiles, hébétés, à reprendre haleine. Du sperme suintait sur les couilles de Bruno. Catherine regardait toujours son reflet dans le miroir, hypnotisée par sa propre image, par son obscénité. J’ai regretté de ne pas avoir apporté notre camescope pour immortaliser ces instants. Heureusement, je me suis souvenu du smartphone de Catherine, alors j’ai photographié leurs sexes encastrés, puis sa chatte dégoulinante de foutre et la queue flasque et empesée de Bruno.bug8

La nuit était tombée depuis longtemps. Au loin brillaient des phares et les sémaphores de l’entrée du port. Catherine s’est retirée dans la salle de bains pour se refaire une respectabilité.  Bruno et moi somme allés sur le balcon respirer l’air frais de la nuit d’été.

- Vous rentrez quand en Belgique ? m’a-t-il demandé.

- Dans une dizaine de jours…

Le regard dans le noir horizon, il parut réfléchir.

- Lorsque vous viendrez me rendre l’argent, ce serait mieux que vous veniez seul… Je veux dire sans votre femme…

- Mais pourquoi ?

- Je pense que Cécilia, mon épouse, sera enchantée de faire votre connaissance… Elle est aussi membre de « Namur et Partage », comme vous et moi…

 

FIN

 

© Michel Koppera, février 2015 

 

 

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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