Lundi 23 mars 2015 1 23 /03 /Mars /2015 10:17

En préambule. L'an dernier, mon amie Zézette m'a demandé de lui écrire une nouvelle dont elle serait l'héroïne livrée aux turpitudes sexuelles de deux solides baiseurs amateurs de femmes rondes. Les consignes d'écriture étaient des plus claires : langage très cru, scènes d'humiliation et pornographie sans tabous... Voici le résultat.

Zézette et les deux tringleurs

 

- Où est-ce qu’on va ?

- On va baiser.

- Comment t’as dit qu’elle s’appelle ?tringleurs

- Zézette.

- Sérieux ? Comme dans le film alors ?

- Si tu veux, sauf que cette Zézette-là, elle est moins farouche et un peu plus ronde…

- C’est une pute ?

- Pas vraiment, mais elle fait comme si.

- C’est encore loin ?

- Dans dix minutes on y sera. T’as pensé aux capotes ?

- Oui, t’inquiète ! Tu la connais depuis longtemps cette Zézette ?

- Assez. C’est Marco qui me l’a présentée…

- Marco, le mec qui travaille au dépôt ?

- En personne… On se l’est faite dans la réserve aux légumes, lui devant, moi derrière.

- Elle accepte ça ?

- Zézette accepte tout, à condition que tu t’y donnes à fond…

- Putain, j’en bande déjà !

- Et bien, garde ton énergie, tu vas en avoir besoin.

Les deux mecs roulaient sur la nationale, avec la camionnette de la boîte. Ils s’appelaient Stéphane et Loïc. Stéphane c’était celui qui conduisait, en débardeur, avec des tatouages plein les biceps. Loïc, c’était le plus jeune, assez baraqué aussi, mais moins que Stéphane qui commençait à avoir un peu de bedaine à cause de la bière et des moules frites. On était vendredi soir, et ils allaient voir Zézette qui les attendait dans son petit appartement au troisième étage, deuxième porte à gauche en sortant de l’ascenseur.

Elle avait mis une tenue de circonstance : courte jupe écossaise, chemisier blanc, pas de soutif, des escarpins noirs à hauts talons, des bas noirs qui lui arrivaient à mi-cuisse, et une culotte fendue qui donnait libre accès à sa moule et à son cul. Bref, un look de pouffe, de salope bas de gamme. C’est ce qu’elle voulait, avoir l’air vulgaire et qu’ils la traitent comme telle !

Elle est prête, elle a mis les bières au frais et fait de la place dans le salon. Elle entend la camionnette se garer en bas sur le parking, et rien qu’au bruit des portières qui claquent elle en a le bout des seins qui durcit et la moule inondée.

tringleurs1Les voilà sur le palier, devant la porte de l’appartement de Zézette. Elle aimerait les faire poireauter un peu, mais elle a tellement envie de se faire sauter qu’elle leur ouvre à la première sonnerie. Stéphane entre le premier, pas besoin de faire les présentations, il lui roule direct un patin baveux tout en lui fourrant la main sous la jupe, direct sur la chatte.

- T’as l’air en forme ! Je te présente Loïc, c’est un mec qui assure !

Zézette embrasse le nouveau venu, en profite pour lui caresser la braguette.

Ils passent au salon. Elle les fait asseoir sur le canapé et va chercher les bières dans le frigo. Quand elle revient, ils ont pris leurs aises. Ils sont vautrés dans le canapé, les cuisses écartées qui mettent en valeur le gros paquet de leurs couilles et de leur bite moulées dans leur jean. Zézette pose les canettes et les verres sur la table basse. Quand elle se penche en avant, ses grosses loches ballottent dans son chemisier blanc et sa jupe qui se retrousse découvre son cul.

- Mets-toi à quatre pattes sur le tapis et montre ton bazar à Loïc ! Oui, comme ça. Écarte bien les cuisses qu’il voie toute ta boutique ! T’as vraiment l’air d’une truie avec tes jambons et ton gros cul. Regarde Loïc, elle suinte de la moule… Allez, fous-toi à poil, salope. On n’est pas venus jusque là rien que pour te reluquer les fesses !

Zézette s’exécute. Quand elle ouvre son chemisier, ses tétasses lui tombent lourdement sur le ventre. Loïc se lève et les malaxe méchamment en pinçant les tétons. Zézette aime tellement ça qu’elle gémit et que ça lui dégouline entre les cuisses. Stéphane lui dégrafe sa jupe qu’il envoie valser en travers du salon. Voilà Zézette en bas noirs et culotte fendue. Ils la retournent pour regarder le buisson poilu qui pousse au bas de son ventre.tringleurs2

- Regardez-moi cette sale putain qui a de la bave qui lui coule du con ! Je parie qu’on pourrait coller des dizaines d’affiches avec la mouillure gluante de sa chatte. Elle aime tellement la baise qu’elle en salive par tous les trous… Allez, ouvre-moi ça plus grand… La vache, ça fait comme des filaments, on dirait du sirop de sucre !

Loïc lui met trois doigts dans le vagin. Ça fait le bruit d’un pied qui s’enfonce dans la boue. Zézette ouvre la bouche mais pas un son ne sort. Elle a l’air stupide des vaches qui se font renifler le cul par un taureau. Stéphane commence à perdre les pédales.

- Viens nous sucer la bite et les couilles pendant qu’on boit notre bière ! Après si t’es sage, on te mettra une canette dans le cul !

Zézette s’agenouille devant le canapé et entreprend d’ouvrir les pantalons des deux mecs. Ils bandent tellement que c’est compliqué. Quand elle baisse les fermetures éclairs, les bites bondissent du slip comme des diables d’une boîte. Ils ont tous les deux une belle queue : celle de Stéphane est massive, elle sent fort la sueur et le sperme refroidi ; celle de Loïc est plus fine, mais longue et frétillante… Elle les branle, les embrasse, les lèche jusqu’aux couilles, se les fourre dans la bouche à s’en donner des hauts le cœur. Elle aime ça, sentir la bite qui lui titille la glotte ! Pendant ce temps, les deux mecs sirotent leur bière en parlant du cul de Zézette.

- T’as vu comme il est large… Et son trou du cul, tu l’as regardé ? Un vrai garage à bites… Si on voulait, on pourrait s’y mettre à deux… T’aimerais ça, grosse vache deux mecs dans le cul ?

tringleurs3- Mmmmhh !

- Réponds quand on te parle ! C’est quand même pas sorcier de dire oui ou non !

- Oui, ça me plairait…

- Alors, on verra ça tout à l’heure. Ce sera ton bonus, mais avant ça, il faudra que tu nous obéisses au doigt et à la queue ! T’as bien compris ?

- Oui…

- En attendant, branle-moi la bite entre tes grosses mamelles ! Et me fais pas jouir, sinon je te ferai passer le goût du foutre pour un bout de temps ! Et n’oublie pas mon pote qui bande dans le vide…

Zézette s’affaire sur les deux bites. Zézette aime qu’on lui parle comme à une chienne. Ça la rend encore plus gourmande. Elle se dit qu’elle aurait dû naître guenon bonobo pour baiser à longueur de journée dans les arbres, se gouiner avec ses sœurs ou se branler avec des bananes ou des tubercules qu’elle se serait fourrés dans le cul pour se ramoner le fondement. Sa vie n’aurait été qu’un gigantesque orgasme perpétuel, avec des litres de sperme, de mouillure et de salive mélangés en une délicieuse mixture poisseuse… Elle pense à ça pendant qu’elle baise la bite de Stéphane entre ses seins et qu’elle branle de la main droite la queue raide de Loïc qui ferme les yeux pour ne pas juter trop vite.

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à suivre…

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Samedi 21 mars 2015 6 21 /03 /Mars /2015 08:00

Laurent Paturaud est un dessinateur français auteur de BD né en 1969 à Chartres; Ses portraits de très belles jeunes femmes dénudées me rappellent les pin-ups d'Aslan. Même parti pris de l'esthétisme et de la sensualité gracieuse...

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 20 mars 2015 5 20 /03 /Mars /2015 08:00

article n° 3 (quatrains 9 à 12)

Je n'aime pas à voir la malheureuse gousse

Dont le poil amer est trop rouge et le jus trop amer.

Elle n'a pas d'amie et son foutre de rousse

Aux filles qui l'ont bu donnait le mal de mer.

p-163

Je n'aime pas à voir la suceuse gourmande

Qui sirote le foutre et dit à son amant :

" En reste-t-il encore un peu ? J'en redemande."

Elle peut bien attendre un quart d'heure, vraiment.

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Je n'aime pas à voir la petite soularde

Qui soupe avec des gens peut-être encore plus saouls

Et qui s'enfile avec un pilon de poularde

Pendant qu'un amateur l'encule par-dessous.

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Je n'aime pas à voir la fille trop juteuse

Qui pleure et bave et pisse en déchargeant

Galope à coups de cul, fait la grande fouteuse

Et crie :" Ah ! pour çà non ! Je ne veux pas d'argent !"

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Par michel koppera - Publié dans : pybrac - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 19 mars 2015 4 19 /03 /Mars /2015 08:30

Dans la catégorie "storynet", les aventures sexuelles des couples occupent une place primordiale. La masturbation, manuelle ou avec accessoire, est un incontournable des photos intimes. En voici une petite série de 10. Je vous ai volontairement choisi des femmes de tous âges, dans leur environnement familier ( chambre, salon...) avec des expressions du visage très variées (notez qu'aucune ne semble triste ou contrainte) Je ne sais quelle signification donner à ces clichés : est-ce le simple plaisir de l'exhibition ou une puissante preuve d'amour ? Ou encore l'affirmation de l'incroyable force du désir ? Sans doute un peu des trois...

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Une fois n'est pas coutume, je vous ai ajouté en bonus une petite vidéo d'une jeune femme qui se masturbe jusqu'à jouir devant sa webcam. Vous remarquerez comment toute la séquence est mise en scène : tenue partculièrement soignée, monologue sexy, recherche du bon cadrage de façon à nous offrir son sexe et son visage... Un joli moment de bonheur pas si solitaire que ça!

Vidéo : masturbation devant la webcam

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 18 mars 2015 3 18 /03 /Mars /2015 10:38

Rappel : Paul Laurenzi est un artiste français né en 1964.

Paul Laurenzi

paul-laurenzi

C'est moi qui ai attribué le titre à ce tableau d'une grande pureté plastique. La sobriété du décor et  les tons sombres de la robe et des bas de la jeune femme, magnifient la flamboyance de sa chevelure. L'habillage de velours rouge de la chaise suggère la passion amoureuse. Et notre ligne de lecture verticale du tableau part du pâle visage de la jeune femme, suit le bord de sa chevelure rousse, se pose sur ses mains affairées et finit par ne plus quitter le long croissant de chair nue de sa cuisse. Peau si blanche, si pure qu'elle n'en est que plus sensuelle et désirable. 

Par michel koppera - Publié dans : la grande galerie - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 17 mars 2015 2 17 /03 /Mars /2015 08:30

Garde-à-vous ! : commandement militaire ordonnant au soldat de se tenir debout, immobile, dans une attitude attentive et respectueuse... Plus généralement, position immobile du soldat prêt à exécuter un ordre.

Au sens figuré : attitude contrainte, raidissement.

garde-a-vous1

Autre commandement : Présentez armes !

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Et tout ça pour finir par tirer un coup et décharger .

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Par michel koppera - Publié dans : lexique coquin - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 16 mars 2015 1 16 /03 /Mars /2015 11:26

Article n° 2 (quatrains 5 à 8)

Je n'aime pas à voir l'Andalouse en levrette

Ouvrir les bords poilus de son cul moricaud

Qui porte à chaque fesse une sorte d'aigrette

Sur l'anus élargi comme un coquelicot.

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Je n'aime pas à voir trois petites gougnottes

Qui ne pouvant coucher ensemble ouvertement

Se branlent dans les coins, se goussent dans les chiottes

Et se pissent en bouche et trouvent ça charmant.

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Je n'aime pas à voir qu'une vierge sans tache

Peigne ses poils du cul devant son cousin Jean

Les frise en éventail, puis en double moustache

Et dise avec un air railleur : " Tu n'as pas d'argent ?"

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Je n'aime pas à voir dans la salle d'études

Vingt filles se moquer d'un maître faible et doux

Et dire en affichant leurs sales habitudes :

"Ah ! laissez-nous jouir, on se branle pour vous !"

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Par michel koppera - Publié dans : pybrac - Communauté : Fantasmes et écriture
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Samedi 14 mars 2015 6 14 /03 /Mars /2015 09:05

Vous n'avez sans doute pas manqué de remarquer qu'à l'approche du printemps les oiseaux se sont remis à chanter dans les arbres et les buissons. On a coutume de dire que c'est le retour de la "saison des amours". Et si nous pouvions comprendre et traduire en mots leur charmant  ramage ?

langage-oiseaux

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
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Vendredi 13 mars 2015 5 13 /03 /Mars /2015 09:17

pierre-louys

En 1927, deux ans après la mort de Pierre Louÿs (1870-1925) était publié clandestinement "Pybrac". Le titre faisait référence à un ensemble de quatrains écrits par le seigneur du Faur de Pibrac, chancelier du duc d'Alençon, édités en 1574, "Quatrains contenant préceptes et enseignements utiles pour la vie de l'homme". Le texte parodique de Pierre Louÿs est à ma connaissance le plus long poème pornographique jamais écrit en langue française. L'ensemble était composé de 313 quatrains en alexandrins, débutant tous par la même formule :" Je n'aime pas ...". La version dont je dispose ne comporte que 256 quatrains que je vous propose au cours des prochains mois de découvrir dans leur intégralité, à raison de quatre strophes par article (ce qui fait 64 articles au total), chaque strophe étant illustrée par un dessin ou une photo.

article 1 (quatrains 1 à 4 )

Je n'aime pas qu'Agnès prenne pour concubine

Sa bonne aux cheveux noirs, gougnotte s'il en fut

Qui lui plante sa langue au cul comme une pine

Et qui lui frotte au nez son derrière touffu.

pybrac1

Je n'aime pas à voir qu'en l'église Saint-Lupe

Une pucelle ardente aux yeux évanouis

Confessant des horreurs, se branle sous sa jupe

Et murmure :" Oh ! pardon... mon Père... je jouis."

pybrac2

Je n'aime pas à voir la gosse qu'on enferme

Dans un cabinet noir parce qu'elle a tété

Son frère, et que, la bouche encor pleine de sperme

On l'a vue au salon cracher ça dans le thé.

pybrac3

Je n'aime pas à voir la nouvelle tenue

De la jeune lady qui vient au bal masqué

Une cuisse en culotte et l'autre toute nue

Jusqu'au milieu du con. Madame, c'est risqué.

pybrac4

Par michel koppera - Publié dans : pybrac - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 12 mars 2015 4 12 /03 /Mars /2015 10:12

"Clandestin", adaptation et dessins de Ptoma, édtions Emmanuel Proust, collection noirquadri, 2005.

clandestin

Adaptation d'un roman de James Ellroy, ce premier tome en BD du polar "Clandestin" réalisé par Ptoma a pour cadre Los Angeles au début des années 50. On y suit les aventures professionnelles et sentimentales d'un policier nommé Frederick Underhill et de son équipier Herbert Walker, dit la Fêlure, tous les deux obsédés par la quête du plaisir sexuel. Dans ce premier volet qui met en place les fils de l'intrigue, on rencontre d'abord Sarah, puis Sandra Weinberg, la fille rondelette d'un producteur d'Hollywood, dont Herbert est accro, en enfin la blonde et mystérieuse Mary.

Sarah

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clandestin2

Sandra

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clandestin3

Mary

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L'histoire est intéressante, il est cependant dommage que le texte soit truffé de grossières fautes de conjugaison !

Par michel koppera - Publié dans : B.D - Communauté : Fantasmes et écriture
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