En préambule. L'an dernier, mon amie Zézette m'a demandé de lui écrire une nouvelle dont elle serait l'héroïne livrée aux turpitudes sexuelles de deux solides baiseurs amateurs de femmes rondes. Les consignes d'écriture étaient des plus claires : langage très cru, scènes d'humiliation et pornographie sans tabous... Voici le résultat.
Zézette et les deux tringleurs
- Où est-ce qu’on va ?
- On va baiser.
- Comment t’as dit qu’elle s’appelle ?
- Zézette.
- Sérieux ? Comme dans le film alors ?
- Si tu veux, sauf que cette Zézette-là, elle est moins farouche et un peu plus ronde…
- C’est une pute ?
- Pas vraiment, mais elle fait comme si.
- C’est encore loin ?
- Dans dix minutes on y sera. T’as pensé aux capotes ?
- Oui, t’inquiète ! Tu la connais depuis longtemps cette Zézette ?
- Assez. C’est Marco qui me l’a présentée…
- Marco, le mec qui travaille au dépôt ?
- En personne… On se l’est faite dans la réserve aux légumes, lui devant, moi derrière.
- Elle accepte ça ?
- Zézette accepte tout, à condition que tu t’y donnes à fond…
- Putain, j’en bande déjà !
- Et bien, garde ton énergie, tu vas en avoir besoin.
Les deux mecs roulaient sur la nationale, avec la camionnette de la boîte. Ils s’appelaient Stéphane et Loïc. Stéphane c’était celui qui conduisait, en débardeur, avec des tatouages plein les biceps. Loïc, c’était le plus jeune, assez baraqué aussi, mais moins que Stéphane qui commençait à avoir un peu de bedaine à cause de la bière et des moules frites. On était vendredi soir, et ils allaient voir Zézette qui les attendait dans son petit appartement au troisième étage, deuxième porte à gauche en sortant de l’ascenseur.
Elle avait mis une tenue de circonstance : courte jupe écossaise, chemisier blanc, pas de soutif, des escarpins noirs à hauts talons, des bas noirs qui lui arrivaient à mi-cuisse, et une culotte fendue qui donnait libre accès à sa moule et à son cul. Bref, un look de pouffe, de salope bas de gamme. C’est ce qu’elle voulait, avoir l’air vulgaire et qu’ils la traitent comme telle !
Elle est prête, elle a mis les bières au frais et fait de la place dans le salon. Elle entend la camionnette se garer en bas sur le parking, et rien qu’au bruit des portières qui claquent elle en a le bout des seins qui durcit et la moule inondée.
Les voilà sur le palier, devant la porte de l’appartement de Zézette. Elle aimerait les faire poireauter un peu, mais elle a tellement envie de se faire sauter qu’elle leur ouvre à la première sonnerie. Stéphane entre le premier, pas besoin de faire les présentations, il lui roule direct un patin baveux tout en lui fourrant la main sous la jupe, direct sur la chatte.
- T’as l’air en forme ! Je te présente Loïc, c’est un mec qui assure !
Zézette embrasse le nouveau venu, en profite pour lui caresser la braguette.
Ils passent au salon. Elle les fait asseoir sur le canapé et va chercher les bières dans le frigo. Quand elle revient, ils ont pris leurs aises. Ils sont vautrés dans le canapé, les cuisses écartées qui mettent en valeur le gros paquet de leurs couilles et de leur bite moulées dans leur jean. Zézette pose les canettes et les verres sur la table basse. Quand elle se penche en avant, ses grosses loches ballottent dans son chemisier blanc et sa jupe qui se retrousse découvre son cul.
- Mets-toi à quatre pattes sur le tapis et montre ton bazar à Loïc ! Oui, comme ça. Écarte bien les cuisses qu’il voie toute ta boutique ! T’as vraiment l’air d’une truie avec tes jambons et ton gros cul. Regarde Loïc, elle suinte de la moule… Allez, fous-toi à poil, salope. On n’est pas venus jusque là rien que pour te reluquer les fesses !
Zézette s’exécute. Quand elle ouvre son chemisier, ses tétasses lui tombent lourdement sur le ventre. Loïc se lève et les malaxe méchamment en pinçant les tétons. Zézette aime tellement ça qu’elle gémit et que ça lui dégouline entre les cuisses. Stéphane lui dégrafe sa jupe qu’il envoie valser en travers du salon. Voilà Zézette en bas noirs et culotte fendue. Ils la retournent pour regarder le buisson poilu qui pousse au bas de son ventre.
- Regardez-moi cette sale putain qui a de la bave qui lui coule du con ! Je parie qu’on pourrait coller des dizaines d’affiches avec la mouillure gluante de sa chatte. Elle aime tellement la baise qu’elle en salive par tous les trous… Allez, ouvre-moi ça plus grand… La vache, ça fait comme des filaments, on dirait du sirop de sucre !
Loïc lui met trois doigts dans le vagin. Ça fait le bruit d’un pied qui s’enfonce dans la boue. Zézette ouvre la bouche mais pas un son ne sort. Elle a l’air stupide des vaches qui se font renifler le cul par un taureau. Stéphane commence à perdre les pédales.
- Viens nous sucer la bite et les couilles pendant qu’on boit notre bière ! Après si t’es sage, on te mettra une canette dans le cul !
Zézette s’agenouille devant le canapé et entreprend d’ouvrir les pantalons des deux mecs. Ils bandent tellement que c’est compliqué. Quand elle baisse les fermetures éclairs, les bites bondissent du slip comme des diables d’une boîte. Ils ont tous les deux une belle queue : celle de Stéphane est massive, elle sent fort la sueur et le sperme refroidi ; celle de Loïc est plus fine, mais longue et frétillante… Elle les branle, les embrasse, les lèche jusqu’aux couilles, se les fourre dans la bouche à s’en donner des hauts le cœur. Elle aime ça, sentir la bite qui lui titille la glotte ! Pendant ce temps, les deux mecs sirotent leur bière en parlant du cul de Zézette.
- T’as vu comme il est large… Et son trou du cul, tu l’as regardé ? Un vrai garage à bites… Si on voulait, on pourrait s’y mettre à deux… T’aimerais ça, grosse vache deux mecs dans le cul ?
- Réponds quand on te parle ! C’est quand même pas sorcier de dire oui ou non !
- Oui, ça me plairait…
- Alors, on verra ça tout à l’heure. Ce sera ton bonus, mais avant ça, il faudra que tu nous obéisses au doigt et à la queue ! T’as bien compris ?
- Oui…
- En attendant, branle-moi la bite entre tes grosses mamelles ! Et me fais pas jouir, sinon je te ferai passer le goût du foutre pour un bout de temps ! Et n’oublie pas mon pote qui bande dans le vide…
Zézette s’affaire sur les deux bites. Zézette aime qu’on lui parle comme à une chienne. Ça la rend encore plus gourmande. Elle se dit qu’elle aurait dû naître guenon bonobo pour baiser à longueur de journée dans les arbres, se gouiner avec ses sœurs ou se branler avec des bananes ou des tubercules qu’elle se serait fourrés dans le cul pour se ramoner le fondement. Sa vie n’aurait été qu’un gigantesque orgasme perpétuel, avec des litres de sperme, de mouillure et de salive mélangés en une délicieuse mixture poisseuse… Elle pense à ça pendant qu’elle baise la bite de Stéphane entre ses seins et qu’elle branle de la main droite la queue raide de Loïc qui ferme les yeux pour ne pas juter trop vite.
à suivre…
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