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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Fin du chapitre écrit par Caty
Les deux femmes sont enlacées. Le baiser perdure, les deux corps ondulent. Caty a placé sa jambe entre celles de Mnoa, et simultanément elles plongent toutes les deux dans un délicieux plaisir commun, simultané, étonnant, étrangement long et vigoureux…
Mona et Caty sont maintenant couchées toute nues sur le dos… Un simple drap recouvre leur corps jusqu’au cou. Elles se tiennent par la main.
- À quoi penses-tu Caty ?
- Et toi Mona qu’elles sont tes pensées ?
- En passant cette porte notre histoire sera finie !
- Crois-tu que je pense à autre chose ?
- Je sais que tu penses la même chose !
- Pas de regrets ?
- Non, un beau souvenir qui sera éternellement gravé dans mon cœur et dans mon corps…
- Plus jamais je ne ferai l’amour sans penser à toi.
Qui parlait ! Qui répondait ! Nul ne sait ! Ces deux femmes s’étaient aimées, ces deux corps s’étaient unis, maintenant les deux cœurs battaient au diapason l’un de l’autre, les deux esprits voguaient sur les mêmes pensées.
- Tu t’habilles ?
- Commence ! Toi !
- On a encore quelques instants à vivre !
- Personne ne nous cherche.
- Quelle heure peut-il être ?
- Je ne sais pas ! Je m’en fous !
- Non ! Il vaut mieux dire je m’en moque !
De longues minutes s’écoulent dans ce moment étrangement doux et savoureux. Les deux femmes savent maintenant que c’est fini.
C’est alors que Mona se retourne vers Caty et lui avoue !
- Tu m’avais parlé d’un gode dans ton sac !
- Je l’avais oublié !
Caty se lève et récupère dans son sac un très beau gode noir bien cambré et un dong doré… Mona sourit et dit.
- J’ai les mêmes à la maison… mais je ne les utilise pas… tu me les mets tous les deux
- Bien sûr ma belle un gode ne va jamais sans un dong ! Couche-toi et écarte les jambes… pas sur le dos, sur le ventre.
Caty caresse les fesses de Mona, écarte les deux beaux hémisphères de chair, caresse le sillon découvre et admire le joli petit trou rectal…
- Ouvre-toi, toi-même avec tes deux mains… Oui comme cela c’est parfait… je mouille le dong avec ma salive et je te l’enfile en tournant de gauche et de droite… Tu le sens bien
- Oui je le sens.
- Tu n’as pas mal ?
- Pas du tout… Tu es très douce.
- Voilà ! Il est emmanché maintenant jusqu’à la garde…
- Tu me mets le gode dans mon vagin.
- Mais c’est toi qui vas le mouiller… Tiens ! Suce-le…
- C’est ton doigt que je sens dans mon sexe ?
- Oui c’est mon doigt… mais ton sexe est trempé… Ce n’était pas la peine de mouiller le gode.
-Vas-y Caty… je suis prête !
- Voilà ma belle… il rentre facilement… tu le prends en entier… J’aurais dû en prendre un plus long et plus gros !
- Oh non ! celui-là me plait bien !... fais-le vibrer…
- Voilà ma belle… Tu le sens bien !
Mona a déjà glissé sa main sous son ventre et saisi son clitoris entre pouce et index… Caty caresse tendrement son amante… les fesses, le dos, le cou, les épaules, les cheveux… Elle se couche à l‘envers sur Mona, ses deux jambes encadrant le tête de la récipiendaire… Elle ouvre à nouveau les fesses et glisse sa langue dans le sillon jusqu’à l’anus… d’une main elle appuie alternativement sur le gode et sur le dong… Mona est au bord de l’extase… Elle soupire tendrement puis se met à crier très fort… Caty ressent sous elle la violence des spasmes qui emportent Mona… Ce n’est que longtemps après qu’elle s’approche du visage de Mona pour lui dire :
- Tu es belle quand tu jouis.
- Merci Caty tu m’as emmené très loin… mais toi tu es restée en rade ! Que puis-je t’offrir à mon tour.
- Rien Mona, ce fut pour moi un plaisir de te sentir jouir sous moi.
- Mais tu n’as pas eu d’orgasme !
-Ton orgasme a été le mien ! En doutes-tu ?
- Non ! je n’en doute pas… Mais ! Laisse-moi respirer un peu ! Tu es lourde…
Caty bascule sur le côté, se couche sur le dos ! Mona monte sur elle et s’allonge tête bêche…
- Mmmm ! Tu sens le fauve !
- Toi aussi Mona ! mais que fais-tu ?
- Je te baise avec ton gode !
- Pas baise c’est vulgaire ! Fais-moi l’amour.
- Bien répondu ! Tu sens comme ton gode est mouillé avec mon jus… Tu sens comme ton vagin est trempé avec ton jus… Je l’enfonce et nos jus vont se mélanger pour ton plaisir… je mets la vibration…
- Tu es folle Mona !
- Non ! Je rends hommage à mon soleil !
- Je vais joui Mona… Je passe ma main entre nous… je touche mon clitoris et… je jouiiiiiis ! pour toi ! Par toi ! Grâce à toi !
- Je sens ta main bouger ! Je te sens jouir ! Ton orgasme me brûle comme un rayon de soleil.
- Tu as gardé le dong ? Je le sens !
- Tu veux que je te le mette ?
- Non !
- Alors ! Je sais ce que je vais faire ! Veux-tu connaître mon troisième fantasme ?
- Bien sûr ! Raconte-moi !
- Un nombre ! Un seul nombre ! Tu devines lequel ?
- Oui ! tu voudrais un 69 !
- Bingo ! Tu accepterais de me l’offrir !
- Il suffit de s’accorder sur la position ! Toi au-dessus, moi en dessous
- Et pourquoi pas l’inverse ?
- Choisis !
-Non, toi tu choisis !
Mona écarte les cuisses de Caty… Caty en fait de même… Mona enlève le gode du sexe de Caty. Caty décroche le dong des fesses de Mona. Et toutes les deux plongent entre les jambes l’une et de l’autre… le soleil luit alors dans la chambre… Un rayon lumineux s’est glissé entre les rideaux et vient éclairer les deux femmes qui communient. Le jour s’est levé… Plus un mot n’est prononcé. On n’entend plus que des soupirs, des bruits de bouche, des frôlements de mains… Caty pense qu’il eût fallu une musique pour accompagner ce double cunni ! le Kindertotenlieder de Gustav Mahler ! Elle l’écoutera lorsqu’elle arrivera à la maison et offrira une de ses versions à Monika ! La plus belle ! Celle de Kathleen Ferrier. Lorsqu’elle sera triste, cette musique lui permettra de tomber jusqu’au fond, puis de frapper des pieds et de remonter à la surface.
Mais pour le moment, elle écoute à la fois son corps et celui de Mona… Comment arriver en même temps au plaisir ! Et pourquoi ne pas attendre que l’une jouisse pour jouir à son tour… Soudain la folie se déclenche dans les deux corps qui vibrent puis sombrent dans une profonde extase post-orgasmique.
Ni Caty, ni Mona ne diront plus un mot. Ni l’une ni l’autre de regardera l’une ou l’autre. Pas un geste pour se toucher. Laquelle aura franchi la porte la première ? Je ne saurais vous dire ! L’une et l’autre débutent une autre vie à jamais marquée par le souvenir de ces quelques instants de bonheur ineffable.
En rentrant chez-elle Caty repensa longtemps à cette nuit avec Mona. Elle n’osa pas ajouter un qualificatif : Nuit d’orgie ! Nuit d’amour, Nuit de plaisir… Non ! Aucun qualificatif ne pouvait convenir ! Alors elle se contenta d’une petite statistique amusante : Caty et Mona avaient passé 8 heures 30 ensemble, Elles avaient bien dormi 2 heures, en général après leurs orgasmes, 6 orgasmes pour Caty 6 orgasmes pour Mona ! Mais au-delà de tout cela il fallait bien admettre que cette rencontre allait laisser des traces… Caty pensait à Mona et se disait qu’elle avait eu le privilège de rencontrer pendant ces quelques heures une femme exceptionnelle !
Longtemps après, c’est au cours d’une après-midi de caresses et de plaisir partagés que Caty avoua cette histoire à son amie, pour expliquer qu’elle ait mis sur le lecteur de cassettes le fameux Lieder de Mahler ! Elle termina en larmes : « C’est une aventure que je ne renouvellerai jamais ». Tu m’as rendu triste car tu viens d’effacer de ma mémoire, par tes caresses, la splendide Mona. »
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Le top 5 des albums en janvier
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Vos 5 articles préférés :
2. Michel Bernard, "Les vies de Lilli", extrait n° 2
5. "La chambre obscure", Chapitre 13, 2ème partie (texte inédit)
Comme pouvez le constater, les articles consacrés au candaulisme ont encore une fois vos faveurs
Une seule illustration pour accompagner ces stats, mais quelle image !!! Il y a sur le visage du mari voyeur, toute la détresse et toute la fascination que lui offre sa femme en manque de queue.
Suite et fin de la nouvelle :" les cadeaux de l'Aïd-el-Fitr"
Rappel : Karim vient d'offrir Moka, son épouse à Houssam...
Incrédule, il m’a regardé intensément.
- Mais… et toi ?
- Moi ? Je vais vous regarder et peut-être que je participerai, rien qu’un peu. Vas-y, n’aie pas peur… Je crois qu’elle aussi en sera très heureuse.
Alors, sans faire de bruit, Houssam s’est entièrement déshabillé. C’était un beau jeune homme au corps musculeux, à la peau cuivrée. Comme je l’avais présumé, il avait une très belle bite circoncise, avec un gland plus clair que sa peau et une grosse paire de couilles gonflées de foutre. Il bandait déjà à moitié.
À pas de loup, il a marché vers le lit où il s’est assis, avec les fesses de Moka à portée de main. Elle dormait ou du moins paraissait profondément endormie. Du plat de la main, avec une grande douceur, Houssam a commencé par lui caresser la nuque, le dos, de plus en plus bas, puis les fesses. De temps en temps, ses doigts légers s’aventuraient dans l’entrecuisse de ma femme et venaient effleurer son sexe où l’on apercevait déjà des reflets mouillés au bord de la fente entrouverte. Imperceptiblement, Moka se cambrait et répondait à ses caresses en ouvrant davantage les cuisses pour offrir son sexe à ses doigts indiscrets. Aussi, lorsque d’une ferme traction du bras il la força à se retourner, elle n’opposa aucune résistance, comme déjà soumise à ses volontés. Pendant ce temps, je m’étais moi aussi déshabillé et, à genoux au pied du lit, je les observais. Une fois Moka allongée sur le dos, il lui prit la main et la posa sur son sexe incroyablement gros et dur. Elle s’en saisit aussitôt et s’y agrippa avec fermeté. Se penchant au-dessus du corps nu de Moka dont la peau blanche et les cheveux blonds contrastaient fortement avec la peau hâlée et les cheveux bruns de Houssam, il lui lécha les seins, lui suça les mamelons qui durcirent et se dressèrent entre ses lèvres. Sa main glissa sur son ventre, caressa le mont de Vénus, dégagea le clitoris, ouvrit les lèvres vaginales gonflées de désir, fouilla à deux doigts son intimité huileuse. Moka gémit mais garda les yeux clos comme pour savourer pleinement ces instants de grâce. À genoux au pied du lit, je n’en perdais pas une miette. Sexe en main, je me masturbais légèrement, souhaitant retarder au maximum la montée inévitable de ma jouissance.
- Tu peux lui lécher la chatte, elle adore ça !
Quand Houssam posa sa tête entre les cuisses de ma femme, j’ai eu la certitude qu’elle ne dormait plus. Certes elle gardait les yeux fermés, mais à la façon dont elle écarta les jambes pour lui donner plus facilement accès à sa fente ou l’empressement qu’elle mit à ouvrir la bouche pour y laisser entrer le gland qu’il avait posé au bord de ses lèvres, je sus qu’elle faisait semblant de dormir et préférait jouer la comédie et, si nécessaire, plaider plus tard l’innocence.
Tout en tétant goulûment la grosse bite de Houssam qui lui remplissait la bouche, Moka se laissa donc docilement brouter le minou.
Mais il ne tenait pas à lui jouir dans la bouche. Il s’écarta et je pus voir la moule ruisselante de Moka, comme tuméfiée de désir, prête désormais à tous les plaisirs.
- Allonge-toi sur le dos, dis-je à Houssam. Elle va te grimper dessus, c’est la position qu’elle préfère.
Il fit ce que je lui demandais. Sans ouvrir les yeux, Moka se laissa faire lorsqu’il l’attira vers lui. Elle enjamba son corps de façon à présenter sa chatte béante juste dans l’axe de la bite majestueuse de son amant d’un soir. Lâchant ma queue, je montai moi aussi sur le lit et, saisissant d’une main le membre raide et chaud de mon ami, je posai la tête du gland à l’entrée du vagin. Alors devant mes yeux captivés débuta le plus merveilleux spectacle auquel il me fut donné d’assister.
Je vis la colonne de chair de Houssam s’enfoncer doucement mais inexorablement dans la chatte de ma femme. Ses lèvres s’écartaient démesurément pour lui ouvrir le passage. Elle y pénétra jusqu’aux couilles. Quand elle y fut toute entière, elle s’immobilisa quelques instants puis, avec la même lenteur, Moka releva son cul et la colonne de chair réapparut, mais luisante de cyprine, comme badigeonnée d’huile épaisse. Quand il n’y eut plus que la tête du gland dans la chatte, Moka se laissa retomber et de nouveau, avec un bruit de succion, la queue toute entière de Houssam disparut dans son ventre. Cela dura longtemps, longtemps, de plus en plus vite. J’avais sous les yeux non seulement sa chatte défoncée, mais encore le trou de son cul, gras lui aussi, prêt à s’épanouir comme une petite anémone de mer.
Quand Moka eut son premier orgasme, je vis nettement les violentes contractions de son périnée et les palpitations de son oeillet anal. Elle serra les dents pour ne pas gueuler de plaisir. Une fois apaisée la tornade de la jouissance, le jeu du piston de la queue de Houssam dans son vagin reprit de plus belle. Je me branlais énergiquement. Lorsque la peau des couilles de Houssam se resserra et vira au brun foncé, je compris qu’il allait jouir. Pour tout lui lâcher dans le vagin, il s’immobilisa au fond, la tête du gland bien calée sous le col de l’utérus. Les mains posées sur ses hanches, il la bloqua dans cette position et envoya ses giclées de sperme à l’assaut de sa matrice. Moka en fut comme électrisée. Saisie d’un tremblement continu qui lui vrillait le ventre, elle ne put cette fois contenir les cris plaintifs de son plaisir. Se penchant en avant, elle lui donna ses gros seins à téter et se laissa submerger par la puissance de son orgasme. Pour moi, le spectacle était à son apogée. Déjà, du sperme suintait du vagin de Moka et ruisselait sur les couilles de Houssam. Mon foutre jaillit à gros bouillons et s’en alla éclabousser l’anus dilaté de ma femme. Ce fut ainsi qu’entre les fesses ouvertes de Moka, mon sperme vint se mêler celui de mon ami.
On resta comme ça de longues minutes, immobiles, comme sidérés par notre audace. Puis Moka, basculant sur le côté, se libéra de la queue de Houssam qui n’en finissait pas de ramollir. J’eus une dernière vision de son sexe débordant de sperme encore chaud. Elle se recroquevilla en chien de fusil et replongea dans la nuit. Remontant le drap, je recouvris son corps nu. Sans bruit, Houssam et moi, nous nous sommes rhabillés.
De retour au salon, nous avons pris le temps de partager en silence une dernière cannette de bière. À trois heures du matin, Houssam a pris congé. On s’est retrouvés au travail quelques heures plus tard. Entre nous, il ne fut jamais question de cette soirée si particulière. À la fin de la semaine, je suis parti à la retraite. Depuis, Moka n’a plus jamais invité Houssam à la maison.
FIN
© Michel Koppera, décembre 2014
En préambule. En novembre dernier, j'ai été contacté par un certain Karim qui souhaitait que j'écrive une nouvelle où seraient réalisés ses fantasmes candaulistes. J'ai écrit ce texte que je lui ai envoyé. Le plus étonnant, c'est que Karim n'a jamais accusé réception du texte, ne m'a adressé en retour ni remerciements, ni commentaires !!! Je vous propose donc de prendre à votre tour connaissance de cette nouvelle inédite.
Les cadeaux de l’Aïd-el-Fitr
Pour Karim et Moka
Tout a commencé le jour où, à la pause du matin, j’ai été convoqué par le patron. Après m’avoir invité à prendre place dans un fauteuil en face de son bureau, il m’a dit :
- Karim, dans six mois tu vas partir à la retraite après plus de vingt-cinq années dans la boîte. Il va falloir te remplacer et tu sais comme moi que ce n’est pas évident de trouver celui qui va te succéder. Mais je pense avoir déniché l’homme de la situation…
Il a appelé sa secrétaire qui est entrée dans le bureau en compagnie d’un jeune homme costaud mais visiblement mal à l’aise…
- Karim, je te présente Houssam. En attendant qu’il prenne ta place, vous allez travailler en binôme pendant six mois. Tu devras assurer sa formation, en échange ton temps de travail sera progressivement réduit. Comme ça, quand tu partiras, il sera fin prêt à te remplacer.
Je ne peux pas dire que l’idée de travailler en équipe m’enchantait, mais je n’avais guère le choix : le patron venait de me confier ma dernière mission et je mettrais un point d’honneur à la mener à bien. D’ailleurs, au fil des jours et des semaines, la coopération avec Houssam se révéla fructueuse. On formait un tandem très efficace : Houssam avait des idées neuves, moi de l’expérience. Même en dehors des heures de travail, sa compagnie était plaisante. Malgré notre différence d’âge – j’avais 57 ans, lui 25 – nous partagions la même culture, les mêmes origines géographiques et les mêmes rêves de bonheur, si bien qu’il nous arrivait souvent de nous retrouver à l’extérieur pour partager un kebab ou une bière dans un pub. Célibataire, Houssam habitait un petit studio dans un quartier animé du centre-ville.
Comme il lui arrivait souvent de passer le week-end seul, je l’avais invité plusieurs fois à venir déjeuner chez nous le dimanche midi. C’est ainsi que ma femme Moka fit sa connaissance. Entre eux deux, ce fut tout de suite la bonne entente, une sorte de relation mère-fils des plus chaleureuses. Il faut dire qu’à presque 50 ans, et depuis que nos enfants avaient quitté le nid familial, Moka ressentait le besoin de donner encore de l’affection maternelle… Ainsi, lorsqu’on recevait Houssam à déjeuner, elle ne se contentait pas de lui préparer un bon repas – son tajine était toujours divin ! – elle s’inquiétait aussi de sa santé, de sa solitude et de ses projets. Je remarquai que ces jours de réception, Moka apportait un soin tout particulier à son apparence : elle se maquillait, arborait des vêtements qui mettaient en valeur les douces rondeurs de son corps et portait boucles d’oreilles, collier et bracelets en or…
Une nuit où Moka qui venait de jouir me chevauchait sur notre lit en se pistonnant tranquillement avec ma queue plantée dans son ventre, je lui demandai :
- Ça te dirait de baiser avec Houssam ?
- Quoi !?
- Tu m’as très bien entendu…
- Tu dis n’importe quoi ! Tu te rends compte, il est à peine plus âgé que nos enfants ! Faire l’amour avec lui, ce serait comme un inceste !
Alors qu’elle était penchée au-dessus de moi, je tenais ses gros seins à pleines mains et lui agaçais les tétons durs et savoureux comme des framboises.
- N’empêche que je suis certain que ça te plairait…
Elle ne répondit pas, mais au moment où je prononçais ces mots à son oreille, j’ai senti un flot de mouillure chaude et épaisse suinter dans son vagin. Alors, elle s’est arrêtée de se pistonner avec ma bite, l’a bloquée au fond de sa chatte et s’est laissé foudroyer par un puissant orgasme silencieux, en proie à des spasmes qui me massaient la queue et à des palpitations saccadées du trou de son cul devenu aussi huileux que sa vulve.
Pendant les deux mois qui ont suivi, nous n’en avons jamais reparlé.
À la mi-juillet, mon départ en retraite a coïncidé, à quelques jours près, avec la fin du ramadan. Houssam allait prendre définitivement ma succession. Bien que n’observant pas le jeûne, nous avons l’habitude, Moka et moi, de célébrer l’Aïd-el-Fitr dans l’intimité de notre couple, avec échange de cadeaux et un repas de fête. Comme cette année l’Aïd tombait un lundi, nous avons préparé un dîner auquel nous avons trouvé évident d’inviter Houssam qui était seul ce soir-là.
Il est arrivé vers 20 heures avec un bouquet de fleurs, un foulard de soie rouge pour Moka et une bouteille de champagne afin de célébrer à notre manière la fin du ramadan. Moka nous avait cuisiné un plantureux couscous et des pâtisseries au miel. Au dessert, nous avons ouvert la bouteille de champagne et Moka, qui d’ordinaire ne boit jamais d’alcool, a fait une exception en l’honneur de notre invité. L’effet des deux coupes de champagne n’a pas tardé à se faire sentir sur Moka : le feu lui est monté aux joues, elle est devenue très bavarde et rieuse avant de nous annoncer, vers 23 heures, qu’elle était désolée de nous abandonner mais qu’elle se sentait un peu « pompette » et qu’elle allait se coucher. Je suis donc resté seul en tête-à-tête avec Houssam. Nous avons un peu parlé et vidé quelques bières. Il devait être minuit passé lorsque, vaguement inquiet, je suis parti voir dans notre chambre comment allait Moka. Je l’ai découverte allongée sur le ventre en travers du lit, intégralement nue, la jambe droite repliée, offrant ainsi une vue imprenable sur ses fesses et surtout sur son sexe épilé, fendu comme un abricot bien mûr.
Au lieu de refermer discrètement la porte, je l’ai ouverte en grand.
- Houssam, viens voir !
Il s’est approché et est resté debout, comme pétrifié, dans l’encadrement de la porte.
- Elle est belle comme ça, tu ne trouves pas ?
- Oui, absolument magnifique, a-t-il chuchoté très bas, comme s’il avait peur de troubler son sommeil et de rompre la magie de l’instant.
- Elle te plaît ?
- Oui, beaucoup…
- Alors, prends-la !
à suivre…
Rappel : le gynécée était, dans l'Antiquité, le nom donné à l'appartement des femmes dans les maisons grecques et romaines. Au sens figuré, par extension, tout lieu ou tout rassemblement de femmes qui évoque l'atmosphère d'un gynécée.
Rêve : construction imaginaire destinée à satisfaire un besoin, un désir. Pensée qui cherche à échapper aux contraintes du réel. Voir : imagination, désir, fantasme, chimère, utopie...
" Un rêve sans amour est un rêve oublié" ( Paul Eluard)
" Il est souvent plus jouissif de rêver d'un objet que de le posséder" (Franck Thilliez)
On poursuit les aventures nocturnes de Caty et Monika (alias Mona pour un soir)
Lorsque Caty revient dans la chambre, la lumière est à son maximum et Mona est EXPOSÉE, au bord du lit, les deux jambes écartées les talons sur le bord du matelas.
- Viens Caty ! déguste-moi ! Avant de me toucher dis-moi ce que tu vois !
- Ce n’est pas facile à décrire !
- Essaye quand même !
- Je vois l'entrecuisse d'une femme, un mont de Vénus velouté, un clitoris déjà bien érigé, de magnifiques lèvres roses, ourlées et gonflées de désir. J'aperçois aussi ton anus ! C'est le plus beau spectacle que je n'aie jamais vu.
- Viens me sentir !
- Tu ne sens rien.
- C'est la toilette ! mais tu pourras sentir lorsque je vais jouir.
- Car tu sais que tu vas jouir ?
- Sais-tu combien j'appréhende cette caresse ?
- C'est la première fois
- Oui ! Et je te fais confiance pour être mon initiatrice !
- Raconte-moi alors tes fantasmes sur le cunnilingus !
- Si tu veux ! Approche ton visage ! souffle sur mon sexe ! Oh oui ! Je te sens ! Souffle encore un peu ! Descends vers l'anus ! Remonte vers le clitoris ! Souffle sur ma peau ! Peigne mes cheveux… avec tes doigts à revers ! Passe ta langue sur mes lèvres comme pour les mouiller ! Tu montes sur la gauche et tu redescends sur la droite ! Attention ne touche pas à mon clitoris, il est trop excité ! Je pourrais rester là des heures ! Et te sentir monter et descendre ! Monter à gauche ! Descendre à droite ! N'inverse jamais le sens ! C'est ma petite exigence ! Descends maintenant vers mon anus ! Tu tournes juste autour et tu remontes ! À la bifurcation, tu prends la gauche ! Les lèvres gauches ! Puis tu redescends sur les lèvres droites ! Tu les repousses un peu ! Tu vois l'entrée de ma grotte de miel ! Dis-moi ce que tu vois !
- Je vois toi ! je vois ton âme ! Je vois ton cœur ! Je vois Toi seulement toi.
- Alors fais-moi l’amour avec ta tangue. Introduis-la jusqu’au plus profond que tu pourras ! … Oui comme cela ! Oh que c’est délicieux… ! Trop bon ! Trop fort ! J’ai encore peur !
- Peur de quoi Mona ?
- Non ne me quitte pas ! laisse-moi apprivoiser ce plaisir tellement puissant, tellement fort, tellement sauvage, tellement violent… Oui tiens moi les cuisses… Accroche-moi à toi pour que je ne m’enfuie pas… Ta langue est délicieuse, douce, amoureuse, mouillée, chaude… Elle vibre, elle me touche, elle me pénètre… Tu sens comme je coule… Tu sens comme tu me fais couler… Dis-moi que mon jus est tiède… au chaud… ou brûlant… ou salé… ou sucré… ou piquant… ou épicé… Continue éternellement… Tu vas me faire jouir… je suis au bord d’un précipice dans lequel je vais plonger pour mourir… Et mourir de plaisir… Sors doucement de moi… Tout doucement … Tout doucement… remonte vers mon clitoris… rentre ta langue… serre mon clitoris entre tes lèvres… caresse-le, branle mon clito, masturbe-le, fais le bander… je me suis toujours demandé pourquoi le clitoris ne jouissait pas comme une bite avec des jets de stupre…. Je vais jouir Caty… Tu vas me faire jouir… J’ai peur de moi… J’ai peur de toi… J’ai peur… je jouiiiiiiiis !
Caty a toutes les peines du monde à maintenir Mona, à se maintenir dans la place forte de son sexe… Elle sait qu’elle fait du bien à Mona… Elle sait que la jouissance arrive… Elle sait qu’il lui faudra beaucoup d’énergie pour maintenir cette jument fougueuse et éviter qu’elle ne s’échappe à bride abattue… Loin très loin… Loin de cet orgasme qui pointe son nez et risque de tout détruire… Sur son passage… les cuisses de Mona se resserrent sur ses oreilles à lui faire mal… Elle tire sur ses bras pour maintenir le diabolique suçon sur un clitoris qui vibre et déclenche la tornade… Elle pense soudain à Sassafras… Elle entend alors le hurlement de la louve en saillie… Le chant du cygne subissant l’amour bestial de son compagnon, la poule soumise à son coq qui lui becque la tête… Elle est déçue de ne pas trouver la bonne image… Il n’y a pas d’image possible pour une femme faisant l’amour à une autre femme. Aucune image pour Mona hurlant, se débattant, criant son plaisir sous la caresse buccale, bestiale, sauvage de Caty… Elle sait maintenant que cette caresse initiatique aura été salutaire à Mona…
Deux mains se posent sur sa tête et lui massent tendrement le cuir chevelu… les cuisses se desserrent… Mais ce n’est que l’œil du cyclone… dans un moment le vent soufflera encore plus fort et balaiera tout sur son passage… le paysage ne sera plus le même avant et après…
- Caty tu as été divine… descends maintenant au creux de moi… et baise-moi avec ta langue… tu sens comme je suis trempée… Tu sens que je vais jouir ?
L’ouragan est de force 5 et plus… les cuisses se referment sur la tête de Caty… les mains sont parties pour tenir les deux seins de Mona… Caty s’accroche aux branches, force sa langue à pénétrer le sexe de Mona… la fait vibrer… Elle aurait aimé écarter les lèvres pour mieux entrer, plus profondément, mais si elle lâche les cuisses de Mona, elle l’aura perdue à jamais… le hurlement résonne alors plus strident, plus rythmé, plus mélodieux… Caty se laisse à son tour emporter dans le fantasme de Mona… Elle se sent jouir, elle essaye d’écarter cet orgasme hors de circonstance… mais plus elle tente de l’écarter, plus il s’incruste en elle… Elle jouit à son tour, ce qui décuple ses forces… Elle tire encore plus fort sur les cuisses de Mona , s’ancre dans Mona, baise Mona avec une langue qu’elle imagine aussi longue qu’une bite… Elle rejette cette image inconvenante, et trouve à sa langue de merveilleuses qualités… une douceur inégalée ; une vigueur inégalée, une vibration inégalée… elle se dit que lorsqu’elle écrira ce récit l’ordinateur saura lui trouver les bons qualificatifs… Ses papilles reçoivent alors de nouvelles essences étrangement aphrodisiaques… Elle essaye de trouver une description adéquate de ce breuvage… Elle ne trouve rien car un second orgasme violent l’emporte définitivement… Elle relâche les cuisses de Mona qui se tourne sur le côté en mettant ses deux mains sur son sexe… Elle fait pareil pour calmer les vibrations de son sexe… Elle introduit deux doigts dans sa vulve, se lève et vient offrir à Mona l’essence même d’elle… Mona est encore dans les nuages…
- Tiens Mona ! Goûte-moi ! Tu m’as fait jouir deux fois !
- Merci Caty ! Moi aussi j’ai joui deux fois.
- Je le sais ! je l’ai senti… j’en ai mal aux bras à force de retenir
- La première fois je me suis sentie mourir… Et tu m’as ressuscitée pour ce deuxième et immense plaisir, dans lequel je me suis sentie vivre, revivre
- C’était bon de te faire l’amour !
- C’était bon que tu me fasses l’amour ! C’est à mon tour de te manger, de te mâchouiller le sandwich, de lécher ton castor, de sucer ta palourde, de naviguer dans ton canyon, de grignoter ton biscuit, de boire à ta coupe vierge de tout poil, de dîner dans ton Y, de te manger la tarte…
- Arrête ! Tu m’excites trop.
- Veux-tu que je te joue mon deuxième fantasme ?
- J’en suis curieuse.
- Tu te couches sur le ventre
- L’accès à ma chatte sera difficile dans cette position.
- Fais-moi confiance… mets-toi en travers du lit… je m’assieds avec les jambes autour de ta tête et te faire un massage de pro de ton cuir chevelu… Tu as de beaux cheveux… ne parle pas… Tu bougeras lorsque je te l’aurai dit… Mets tes mains sur ta tête et aide-moi… je vais maintenant vers ton cou, puis tes épaules… ta peau est si douce… Je me lève… je me couche sur toi et je masse tout ton corps… Le dos, les reins bien creusés, tes fesses… On t’a dit que tu avais de belles fesses… Je passe un doigt dans le sillon… Tes cuisses bien musclées, tes mollets, tes pieds… Et je vais en me poussant un peu te lécher les oreilles l’une après l’autre en passant ma langue dans chaque interstice…. Et je te retourne sur le dos pour remonter… les chevilles que j’entoure de mes deux mains… Tes jambes toujours bien musclées… bande un peu tes cuisses… je passe une main entre elles… serre-moi fort… Plus fort… Tu as dû en faire jouir des bites avec une telle pression… Bravo !... laisse-moi partir… un petit salut sur ton pubis que je reverrai tout à l’heure… Ton ventre mérite que je m’y attarde avec des caresses circulaires… Et je termine par le nombril dans lequel je verse un peu de salive et où j’enfonce ma langue… Et me voici face à tes seins… Magnifiques aux tétons bien bandés… As-tu déjà fait jouir un homme entre tes seins… Non ! ne réponds pas ! Je sais que tu es une adepte de la cravate de notaire… Et j’arrive à tes aisselles… Tu as gardé les mains en haut et je peux à loisir les caresser, tu es fichtrement bien épilée… je passe ma langue à gauche et puis à droite… Ton visage Caty ! je voudrais y passer du temps pour mémoriser chacun de tes sourires, chacune de tes grimaces, chacune de tes mimiques, te faire rougir de plaisir, faire palpiter les ailes de ton nez, admirer le clignement de tes yeux… Tu as dû en faire des yeux doux à tes amants pour les remercier d’un bel orgasme, et ce front qui a dû se plisser après quelque chagrin amoureux… Voilà ! J’ai fini mon parcours et maintenant c’est à toi de jouer… Je me couche sur le dos… Tu places tes jambes de part et d’autre de ma tête et tu m’ouvres ton cœur, ta chatte, ta vulve… Voilà ! je cherche la bonne position et je vais t’envoyer en l’air… Même pas besoin de te tenir… Chaque fois que tu bougeras, ce sera pour mieux me faire entrer en toi… Ma conception à moi du cunnilingus est la suivante : pour avoir l’honneur de descendre sur le vagin d’une femme il faut au préalable avoir exploré tout son corps pour y détecter chaque point de plaisir, chaque parcelle de jouissance… Un oreiller pour mon confort et me mettre à la bonne hauteur… Et c’est parti.
Caty a le corps tout émoustillé de cette jolie balade à l’aune de son corps… l’exploration de sa vulve n’en sera que plus belle.
Elle maintient la tête de Mona fermement… elle adore ça… elle veut qu’elle continue. Mieux elle accélère ses mouvements de langue et l’introduit dans son vagin avant de revenir lécher le clitoris… Elle glisse un doigt dans la chatte ouverte, bien profondément … Caty gémit… Sa respiration s’accélère… Elle maintient la tête de Mona entre ses mains, Elle passe ses ongles dans ses cheveux et ondule son bassin d’avant en arrière pour l’encourager à continuer. Mona lui tète le clitoris, elle suçote mes lèvres, elle aspire et se délecte du jus abondant qui coule d’elle…
- Tu salives, Mona, tu te régales … j’adore quand tu me lèches comme ça … tu le fais tellement bien, c’est fantastique … c’est trop bon.
Caty gémit doucement. Elle sent deux doigts de Mona au fond de son vagin… Elle les enfonce bien loin, de plus en plus fort, de plus en plus vite, ses doigts la fouillent littéralement tandis qu’elle lui mange la chatte … Caty supplie Mona de continuer encore … encore … de la pointe de sa langue elle titille son clitoris …
- Je suis tellement excitée, tu me rends folle …
Mona enlève ses doigts et les lui met en bouche. Caty les suce lentement et voluptueusement pendant que Mona enfonce sa langue dans son vagin. Elle insinue à nouveau sa langue partout. Afin de faire redescendre un peu la pression, elle explore lentement et délicatement les moindres replis, les moindres recoins.
Mona recommence à donner de grands coups de langue sur le clitoris …
- Oui, continue comme ça, oui, continue … je sens à présent la pointe de ta langue qui me titille le clitoris … j’adore ça, j’en veux encore, oh oui, c’est bon, continue Mona, continue … je soupire, je m’abandonne, je vais jouir …
Le corps de Caty s’électrise. Elle est suspendue aux lèvres de Mona, à sa langue, à sa bouche …
_ Encore ! Oui, encore ! Mange-moi !
La langue de Mona s’achemine à nouveau à l’intérieur du sexe de Caty, elle joue à descendre et à remonter le long de la fente … Caty coule, son corps est brûlant, son souffle se fait plus fort, elle s’enflamme sous la bouche qui s’amuse à la butiner, son corps lui échappe, ses pensées tourbillonnent, elle n’arrive plus à réfléchir, sa seule préoccupation est le chemin de la bouche de Mona en train de la dévorer, le plaisir l’envahit, tout mon corps vibre, c’est une tempête qui se soulève sous l’effet de la langue de Mona, Caty frémit, sursaute, tressaille …
Mona s’échappe brusquement de ses jambes, revient vers Caty attire son visage vers le sien et l’embrasse violemment, lui faisant goûter ainsi à son tour les saveurs de son propre jus.
A suivre…
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