Vendredi 27 février 2015 5 27 /02 /Fév /2015 08:00

DIABLE : démon, personnage représentant le mal. Dans la tradition populaire le diable est représenté avec les oreilles pointues, des cornes, les pieds fourchus et une longue queue.

diable

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La beauté du diable

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Avoir le diable au corps

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Tirer le diable par la queue

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Vendre son âme au diable

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Faire le diable à quatre ( se démener, faire beaucoup de bruit)

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Par michel koppera - Publié dans : lexique coquin - Communauté : Arts érotiques
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Jeudi 26 février 2015 4 26 /02 /Fév /2015 15:05

Gros bug chez Erog, impossible d'ajouter des images dans un article. Patience, en attendant que le problème soit résolu

Par michel koppera
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Mercredi 25 février 2015 3 25 /02 /Fév /2015 10:03

strip-Affiche A4

Strip-Tyque (une genèse)

 

Le théâtre érotique est une grande tradition de la littérature érotique.

Il remonte aux Grecs et à la comédie antique (en particulier Aristophane avec notamment Lysistrata) mais on peut trouver dans Le Banquet de Xénophon (la scène IX) qui le clôt et qui présente un jeune homme et une jeune femme (Dionysos et Ariane) qui se caressent de façon de plus en plus réaliste et font fuir tous les convives pressés de rentrer chez eux auprès de leurs femmes (?) « pour en jouir », en démentant par leurs sens tous leurs discours philosophiques conformes à celui de Socrate qui refuse tout contact corporel et reste seul ou presque, plutôt que de rejoindre sa compagne Xantippe certes de trente ans plus jeune mais célèbre pour sa laideur et son caractère acariâtre.

De toute façon, formes théâtrales strictes ou romans emplis de dialogues, l’érotisme admis ou poursuivi a toujours irrigué des œuvres qui la plupart du temps s’accordaient avec une pensée réfractaire, irrévérencieuse, libre et joyeuse. 

Ce sont farces du Moyen-âge comme Le débat du con et du cu, puis les œuvres de la Pléiade, puis du XVIIème (le premier roman érotique que j’ai découvert à l’adolescence fut Le moyen de parvenir en belle édition reliée qui se trouvait dans la bibliothèque familiale) jusqu’au XVIIème siècle, les textes depuis les libertins jusqu’aux « débauchés »,  à ceux qui hélas ne sont plus joués de nos jours. Ils nous réjouissent par leur audace, leur verdeur et leur bonne santé.

On sait qu’au XIXème, Maupassant et son à la feuille de rose, maison turque ou Henri Monnier pour le Théâtre de la rue de la santé, ou l’œuvre « inavouable » de Pierre Louÿs  (mais sa pièce Connette et Chloris écrite en alexandrins n’a pas été jouée) ont pour le plaisir de tous et toutes troussé des dialogues savoureux, voire obscènes.

On trouve de nos jours de beaux romans érotiques (comme ceux de José Pierre ou d’André Hardellet) dont certains sont parfois portés sur scène (par exemple l’adaptation du château de Cène  de Bernard Noël), mais le théâtre actuel verse généralement dans la pornographie sans esprit dont seules les didascalies intéressent les spectateurs, ponctuées de temps à autre par des mots obscènes (sans métaphores inédites) disséminés dans une succession de halètements et de cris de jouissance feinte. Le théâtre graveleux en revanche a envahi les boulevards avec ses sous-entendus souvent appuyés, ses cocottes, ses adultères.

Bref, à notre connaissance, le genre a disparu (mais il est possible que je me trompe). J’ai voulu le réhabiliter, ce qui est une justification après-coup –si on me passe l’expression- car cette pièce m’est venue comme ça, qui part de ce qui paraît l’aliénation la plus évidente d’une femme objet des saillies des mâles jusqu’à son apothéose comme supérieurs à eux. L’homme, pour sa part, au contraire du macho coutumier s’émerveille devant les jouissances féminines qu’il envie au fond mais qu’il atteint avec elle en empathie. 

Avec Strip-tyque (Une genèse)  c’est en effet l’amour physique le plus cru auquel je me consacre (et que je consacre) : une femme décrit par le menu ce qu’une quinzaine d’hommes vont faire à son corps mais c’est elle qui au bout du compte les domine en gloire et se révèle comme prêtresse de Dionysos ; un homme après un hymne qu’il voue au clitoris avoue sa dépendance à l’état de son sexe. Les deux qui étaient rivés à leurs corps morcelés en bouts de jouissance pour eux-mêmes ou pour d’autres, d’objets partiels qu’ils étaient, elle pour les mâles en rut, lui du fait des caprices de sa pine, vont se retrouver dans une rencontre égalitaire, de sujet à sujet, dans une globalité triomphante de volupté partagée. Ils partent tous deux avec des corps réduits à quelques cm2, corps aliénés par les hommes qui transforment la femme en objet ou par la verge dont l’homme dépend. Mais c’est pleinement qu’ils vont se rencontrer.

La pièce (habillée) est défendue par deux acteurs et un joueur de bandonéon : l’atmosphère sera à la Pena cabaret de tango Le 1er acte a été créé par Anne de Broca à l’occasion de l’anniversaire de l’abolition de l’esclavage, il y a quelques années.

Cette pièce a été conçue comme un hymne aux femmes : Strip-tyque qui commence par les apparences de l’esclavage se révèle une initiation à la liberté, ou plutôt aux libertés. J’ai essayé d’être fidèle à la définition du scabreux par Breton : « ce qui côtoie tout au long le précipice, l’évitant de justesse pour en entretenir le vertige »

Denys Treffet

Elle sera créée à L’Essaïon tous les lundis et mardis à 21H30 du 09 mars au 21 avril 2015 pour 14 représentations.

Mise en scène Anne de Broca (assistée de Muriel Piquart) avec elle-même et Erwan Daouphars, musique de Pablo Nemirovsky au Bandonéon, scénographie et lumière Yves Collet

Théâtre Essaïon 6, rue Pierre-au-Lard 75004 Paris (angle 24, rue du Renard)

La place 20€ réservations 01 42 78 46 42 www.essaion-theatre.com

 

Pour tout contact avec l’auteur :  denys.treffet@gmail.com

 

Extraits de Strip-tyque

L’homme :

(…)

Le secret, il est là, le secret de la femme,

il est palpable, il se cache, son secret

dans ce repli minuscule au fond de ses replis,

cette boursouflure qui se dissimule,

petit germe,

dont on croit d’abord qu’il est timide,

qu’il est discret,

ce mignon,

qu’il désire rester inaperçu.

Mais il suffit que l’effleure un troisième doigt,

celui du milieu, celui qu’on nomme le médius,

d’autres l’appellent le majeur, quelle erreur :

tout ce qu’il accomplit est sur le mode mineur, intime,

(…)

Quelle  différence avec mon gland grossier.
On a dit que tu en étais la réduction envieuse.
En fait, c’est lui, mon gland,

qui est ton agrandissement vulgaire.
(…)

 

la femme :

(…)

A cet instant même

rien que par la grâce

de votre regard

sur moi

le premier miracle s'accomplit

vous sentez

là tout en bas de votre ventre,

cette chose qui se déroule

qui se gonfle

qui s'étend,

qui grossit,

qui raidit,

qui vous brûle,

qui s'érige,

qui se dresse vers moi.

Toutes ces pines

qui me désignent,

qui con-

vergent.

 

Elles regardent non pas les femmes

mais la Femme

par la fente de leurs glands

tendus vers tous mes trous.

Des trous, j'en ai six,

vous pouvez les compter :

(…)

on me fouille,

on me ligote,

on cravache mes fesses,

on plonge une main

gantée et lubrifiée

dans ma chatte distendue,

on m'enfonce des aiguilles

dans ma chair,

on me fait couvrir par un chien,

on m'injurie

mais 

personne,

personne

ne pourra jamais

m'humilier.

(…)

 

L’homme et la femme réunis :

(…)

Lui : son nom, oui, c’est d’abord «oui»,

         c’est son nom le plus connu

         mais il en a un autre,

         plus secret,

         d’autant plus secret qu’il est évident

 

 Elle : son nom ?

 

 Lui : son nom, pour tous, depuis toujours,

         dans toutes les langues (elle tire la langue), dans toutes les cultures

 

 Elle : son nom ?

 

 Lui : son nom, c’est la formule

         qui l’appelle

         qui le convoque

         c’est

 

 Elle : c’est ?

 

 Lui : mm

 

 Elle : comment ?

 

 Lui : mmm

 

 Elle : répète

 

 Lui : mmm,

        aucun mot, rien qu’un son,

        le son, pour chacun, de sa voix interne,

        intime,

        en résonance.

 

 Elle : mmm

 

 Lui : la caresse que je te fais

         effleure ma jouissance

 

 Elle : mmm dans le désir

         mmm vers toi

         vers moi aussi,

         mmm vers mon origine

         vers le battement premier

(…)

 

 

Denys Treffet denys.treffet@gmail.com   

mmmm

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Mardi 24 février 2015 2 24 /02 /Fév /2015 10:07

femme aux tetons

Je ne connaissais rien des origines de ce tableau : ni son auteur, ni sa date, ni son titre, mais Philippe m'a apporté les références utiles. Il s'agit donc du portrait de Dorette Woodward, seconde épouse de l'artiste, réalisé en 1934. Par les couleurs et la sévérité du vêtement, la raideur de la pose et la tristesse de l'arrière-plan, ce portait aurait tout pour être d'une grande austérité... Et pourtant l'ensemble dégage une indéniable sensualité qui émane de petits détails, à commencer par la pointe des tétons qui poussent sous le tissu qu'on devine un peu rêche. De toute évidence, la jeune femme ne porte pas de soutien-gorge ! Et puis, il y a cette bouche aux lèvres charnues, qui esquissent comme un début de sourire provocateur, ou encore son regard qui nous fixe hésitant entre sérieux et malice... Je contemple l'oeuvre et au bout de quelques instants, je n'ai plus qu'une envie : m'approcher pour embrasser sa bouche, déboutonner le haut de sa robe (robe de laine ?) pour caresser ses seins et sucer ses tétons tout raides de désir...

Par michel koppera - Publié dans : la grande galerie - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 23 février 2015 1 23 /02 /Fév /2015 09:42

Suzanne Ballivet, née en 1904 et décédée en 1985, est une artiste peintre et illustratrice française originaire de Montpellier. Après des études aux Beaux-Arts, elle fonde un foyer et "monte" à Paris en 1927 où elle travaille dans la mode et se spécialise dans le dessin d'anatomie Parmi les artistes qu'elle côtoie, elle fait alors la connaissance d'Albert Dubout. Ses premières illustrations pour des éditions d'art datent de 1943. En 1968, elle se remarie avec Albert Dubout. 

Suzanne Ballivet est surtout connue aujourd'hui pour ses illustrations de textes érotiques tels que 

- Les chansons de Bilitis de Pierre Louÿs

- L'ingénue libertine de Colette

- Le diable au corps de Radiguet

- Le rideau levé de Mirabeau

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Les illustrations pour "l'initiation amoureuse" de Anon forment un ensemble à part dans son oeuvre par la sensualité de son trait et par sa technique : Suzanne Ballivet y utilise parfois la ligne claire, comme pour une BD 

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Samedi 21 février 2015 6 21 /02 /Fév /2015 08:00

Ce week-end, les trois zones seront en vacances d'hiver. L'occasion pour moi d'évoquer avec vous les plaisirs et les dangers de la montagne... et bonnes vacances à ceux qui ont la chance d'en profiter !

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Vendredi 20 février 2015 5 20 /02 /Fév /2015 12:31

Valentin

 

chambre14-7Le contenu de l'enveloppe est éparpillé sur la paillasse du labo : une douzaine de photos de Monika, une mèche de cheveux blonds et, dans un sachet plastique, une poignée de poils pubiens, d'un brun soutenu, aussi légers qu'une brise marine. J'ai lu et relu la lettre de Philippe qui accompagnait cet étrange colis. Je m'y découvre recéleur de secrets, confident malgré moi.

Mais plus que dans les mots, c'est dans les images que j'ai cherché à trouver les clefs de l'énigme. Sur la douzaine de photos que m'a adressées Philippe, Monika est intégralement nue. Quand je dis nue, je ne veux pas simplement dire déshabillée, mais aussi sans toison pubienne. Une seule photo fait exception : on y voit Monika à quatre pattes au bord d'un lit, avec bas noirs et escarpins, la croupe relevée pour bien montrer son sexe et son entrefesse velus. J'agrandis les images : son sexe rasé de frais est plus une fissure virginale qu'une fente. Vulve close, réduite à un simple trait d'ombre...

Dans le huis clos de l'antichambre des secrets, la présence rassurante de Tabou encourage les confidences. Le corps se délie de son carcan de silence. Dans la cage de verre apparaît d'abord Monika-l'Immaculée, sans souillure, innocente. Monika au sexe si fin qu'il en devient presque virtuel. Monka d'avant sa métamorphose en femme. Sa peau est parfumée au lait d'amande douce, au savon de Marseille et à la crème Nivéa. Même lorsqu'elle écarte les cuisses, même lorsque sa vulve s'ouvre et cède sous la poussée du phallus qui la pénètre au plus profond, elle reste pure. C'est à peine si elle gémit à l'approche du plaisir qui, au dernier instant, s'enfuit de son corps labouré, de son ventre glabre de gamine impubère.chambre14-9

Puis, elle cède la place à l'autre Monika, Monika-la-Femelle, aux atours de pécheresse. De son ventre montent les effluves épicées de la maturité. Mélange de Guerlain, de sueurs intimes et de cuirs sauvages. C'est la femme sortie de la chrysalide de l'adolescence, femme accomplie, épanouie, prête à affronter la vie. Son sexe et son cul crient ses désirs inassouvis...

Je crois que Philippe cultive la nostalgie de la Monika d'avant la métamorphose, comme s'il avait le pouvoir d'abolir le temps, de le remonter même, pour retrouver et revivre un passé qu'il a idéalisé. La mèche de cheveux et la poignée de poils pubiens me font penser à des reliques. Qu'espérait-il en me les confiant ? Que je m'en serve pour accomplir je ne sais quel rite d'envoûtement ? Que je n'enivre de leur parfum ? Dans sa cage de verre, Monka à quatre pattes se cambre davantage et m'appelle :

- Viens, Valentin, n'aie pas peur ! Viens me respirer, viens me lécher... partout ! S'il te plaît, prends-moi ! Je n'en peux plus de passer ma vie à attendre !

Ce matin, Caty m'a téléphoné. Elle m'a touché quelques mots de sa fin de soirée en compagnie de Monika. « Une femme exceptionnelle ! » a-t-elle lâché avant de raccrocher.

Finalement, j'ai tout remis dans l'enveloppe : photos, mèche de cheveux et poignée de poils. Au bas de la lettre de Philippe, j'ai juste ajouté :

«  Pour le triptyque, je crois que vous en avez désormais acquis les droits. Mais vous n'êtes pas sans savoir qu'un triptyque ce n'est pas la simple juxtaposition de trois images, mais que l'ensemble doit se lire comme un récit. Quel sera votre récit ? Celui des trois âges de la vie, avec comme fil conducteur les métamorphoses du corps de Monika ?

Votre obligé

Valentin Deriez »

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Jeudi 19 février 2015 4 19 /02 /Fév /2015 11:55

Le conte de Perrault a inspiré de nombreux illustrateurs érotiques avec des interprétations des plus sages aux plus osées, et leur vision de l'héroïne va de la gamine innocente à la jeune femme délurée

Ce thème a déjà été abordé dans deux articles précédents

Les aventures sexuelles du Petit Chaperon Rouge, # 1

Les aventures sexuelles du Petit Chaperon Rouge, # 2

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Mercredi 18 février 2015 3 18 /02 /Fév /2015 11:30

CAVANNA

«  … et le singe devint con »

L’aurore de l’humanité

Éditions Belfond, 1984

Dessins de l’auteur.

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L’avènement du règne de l’homme sur la Terre vu et revu par Cavanna

 Extrait n° 1. page 51

«  La domestication des animaux devait avoir sur l’humanité une influence considérable. La Femme, déchue de son rôle ancestral de moteur universel, ne sut plus quoi faire de ses journées. Elle acheta des dessous transparents et se livra à l’adultère. »

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Extrait n° 2. page 141-142. à propos de la découverte du mensonge  par une femme néanderthalienne nommée Petite-Rosée

«  Petite-Rosée prit le mensonge entre ses doigts mignons, et voici, le mensonge fut un prince aux yeux verts, au manteau d’or et de diamants.

Petite-Rosée montra le mensonge aux autres femmes, et le mensonge devint multitude.

Il s’appela rêve, il s’appela poésie. Il s’appela prière, il s’appela pardon. Il s’appela promesses, contrats, fards, confession, art, histoire, déclaration d’impôts…

Il eut une vie innombrable et prodigieuse. Il fut partout, anima tout, compliqua tout, pourrit tout, magnifia tout.

Les hommes vécurent une aventure imprévisible, dans un monde truqué où les mots et les faits ne coïncidaient que par inadvertance.

 

Sans mensonge, point de serments, sans serments, point d’amour. Et sans mensonges, pas de commerce, pas de politique, pas de religion, pas d’histoires de pêche. »

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Mardi 17 février 2015 2 17 /02 /Fév /2015 09:38

Seconde série de l'envoi de Bruno. Cette fois, on revient dans l'hétérosexualité. On y voit que Dubout savait alterner avec talent humour, cruauté et lubricité.

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