Jeudi 2 avril 2015 4 02 /04 /Avr /2015 08:00

COUP DE GUEULE

Les dysfonctionnements et bugs récurrents de Erog ont considérablement perturbé ma gestion du blog. Les statistiques de fréquentation ne sont plus régulièrement mises à jour, les images difficilement mises en ligne quand elles ne sont pas directement effacées... Tout cela pour vous dire que ces problèmes commencent à me "gaver" et qu'après presque 8 années de travail et d'investissement sur ce blog, je fatigue... J'ai plus que jamais besoin de votre soutien, de vos encouragements. Faites quelque chose, manifestez-vous auprès de l'administration d'Erog pour qu'ils assurent un minimum de leurs obligations et ne se contentent pas d'empocher cyniquement les dividendes de tous les auteurs de blogs totalement désintéressés!

Ceci étant dit, voici les statistiques de fréquentation des mois de février et mars 2015

Nombre de pages vues en février : 106 793

Nombre de pages vues en mars : 118 814

Nombre totale de pages vues depuis la création du blog : 4 572 438

Comme les mois précédents, ce sont les articles consacrés au candaulisme qui recueillent vos suffrages. Je vous propose donc une photo de situation candauliste que ne devrait pas manquer d'alimenter vos fantasmes (Imaginez les sensations et pensées de la femme qui sent battre contre sa chatte la bite de son amant d'un jour, surtout si c'est son mari qui d'un geste affectueux sur la fesse, l'encourage à se donner à leur visiteur!)

candau-03-15 

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
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Mercredi 1 avril 2015 3 01 /04 /Avr /2015 09:00

Article n° 5 (quatrains 17 à 20)

Je n'aime pas à voir dans un bordel chouette

Les mains sur une roue et les deux pieds en l'air

La putain qui se fait enculer en brouette

C'est là, dirait saint Paul, pécher contre la chair.

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Je n'aime pas qu'Odette ait si mauvaise mine

Qu'elle aille se branler dans toute la maison

Et qu'elle couche avec une infâme gamine

Qui sait ouvrir les poils et téter le tison.

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Je n'aime pas qu'à table une infante se serve

Trop de piment, puis sorte au milieu du dîner

En disant tout à coup : "Cette sauce m'énerve !

Je vais chercher quelqu'un pour me faire piner."

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Je n'aime pas à voir l'écolière distraite

Qui se branle en tramway comme elle fait chez soi

Puis se trouble, rougit, baisse le nez, s'arrête

Et dit de l'air le plus ingénu : " C'est pas moi."

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Par michel koppera - Publié dans : pybrac - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 31 mars 2015 2 31 /03 /Mars /2015 09:00

Madeline von Foerster est une artiste américaine née en 1973 à San Francisco. Ses tableaux revisitent les grands classiques de la Renaissance à travers le prisme du surréalisme. Le résultat est plus qu'intéressant.

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 30 mars 2015 1 30 /03 /Mars /2015 08:30

Marcela Iacub : "Belle et Bête"

 éditions STOCK 2013, 121 pages

iacub

"Roman" à forte connotation autobiographique où la narratrice évoque sa brève et tumultueuse relation avec DSK en 2012.

Page 10

iacub2"La liste de tes maîtresses, de tes conquêtes d'un jour, de tes victimes, de tes putes successives et concomitantes dont la presse ne cessait de s'horrifier et de se régaler montrait un aspect émouvant de ta vie de cochon. Ces femmes étaient laides et vulgaires. Comme si en chercher des jolies était déjà une manière d'être plus homme que cochon. On sait que la plupart des humains n'aiment le sexe que dans certaines conditions. Qu'ils cherchent que l'objet de leurs désirs ait des beautés qui rachètent un acte qui peut être dégoûtant autrement. Il n'y a que les bêtes qui ne font pas attention à cet aspect des choses. Alors que toi tu me faisais penser aux chiens que j'ai eus et dont j'avais remarqué avec un certain étonnement qu'ils aimaient toutes les chiennes en chaleur sans distinction.

Voilà un authentique et merveilleux trait du cochon, une forme de générosité que tu peux montrer envers toute femme pour autant qu'elle ait les organes pour t'accueillir.

Je pensais, ébahie : "Plus elles sont moches et vulgaires, plus elle doivent lui plaire." Certains prétendaient que tu n'avais pas le physique pour trouver mieux. mais je ne me suis jamais ralliée à cette hypothèse mesquine. J'étais sûre que si l'on te faisait choisir entre Angelina Jolie et un laideron tu aurais choisi le laideron. Ton désir de laideur était pour moi un signe de ton appartenance à cette race férocement aristocratique, tragiquement démocratique des cochons." 

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Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Samedi 28 mars 2015 6 28 /03 /Mars /2015 09:25

Comme un joint ou la dernière cigarette, la pipe conviviale se partage entre amies. La queue passe de bouche en bouche et chacune tire une bouffée à tour de rôle. La pipe conviviale se taille jusqu'au bout et la plus chanceuse des suceuses sera évidemment celle qui aura droit à la dernière bouffée !

pipe-pour-2

Par michel koppera - Publié dans : pipes - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 27 mars 2015 5 27 /03 /Mars /2015 08:24

PANIER : Réceptacle fait, à l'origine, de vannerie, et servant à contenir, à transporter des marchandises, des provisions, des animaux. 

Mais ce qui nous intéresse ici, c'est le panier de la ménagère, qui est aussi un panier garni...

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Le dessus du panier ou le fond du panier ?

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Ou alors un panier percé 

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De mettre la main au panier

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enfin de ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier

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Par michel koppera - Publié dans : lexique coquin - Communauté : Arts érotiques
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Jeudi 26 mars 2015 4 26 /03 /Mars /2015 08:34

Article n° 4 (quatrains 13 à 16)

Je n'aime pas à voir qu'Alice aux longues tresses

Lèche à la pension tous les cons du dortoir

Sous les yeux indulgents des jeunes sous-maîtresses

Qui donnent des conseils et tiennent le bougeoir.

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Je n'aime pas à voir la gourmande qui mouche

Ses amants en suçant leurs nez comme des vits

Pour que la morve aussi jette à flots dans sa bouche

Le foutre dont ses sens ne sont point assouvis.

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Je n'aime pas à voir celle qui s'effarouche

Dès qu'un jeune homme ardent l'attaque par le bas

Et qui prend vivement la pine dans sa bouche

Pour avaler l'enfant dont elle ne veut pas.

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Je n'aime pas aux champs celles qui s'accroupissent

L'une en face de l'autre et se penchent pour voir

Comment bâillent leurs poils et comment elles pissent

Et qui nomment ce jeu "se regarder pleuvoir".

p-63

Par michel koppera - Publié dans : pybrac - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 25 mars 2015 3 25 /03 /Mars /2015 08:45

Parfois orthographié Saakian, Abraham Saakyan est un artiste arménien né à Erevan en 1964. Ses portraits féminins sont reconnaissables à ses arabesques aux motifs insolites (volutes florales, tentacules...) . L'ensemble est un peu kitsch, mais très harmonieux...

Saakyan

Saakyan0

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Saakyan 2

Saakyan BeautyRitual 

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 24 mars 2015 2 24 /03 /Mars /2015 08:00

Suite et fin des aventures de Zézette et de ses deux tringleurs

Quand les deux mecs en ont fini de leur bière, ils repoussent Zézette qui tombe en arrière sur le tapis, étendue sur le dos à gigoter comme une grosse tortue incapable de se retourner. Ils rigolent. Ils ont une vue imprenable sur sa large fente dégoulinante de désir et sur son entrefesse où palpite le trou de son cul tout humide et tuméfié.

tringleurs6- Reste comme ça ! ordonne Stéphane. Ouvre ta chatte à deux mains et pousse un maximum, comme si tu voulais nous montrer ton utérus. Putain, regarde comme elle bâille de la moule… On peut pas dire que c’est très ragoûtant, mais ça donne envie. Tiens, pousse aussi du cul, comme si tu voulais chier, qu’on voie ce que ça donne du côté de ton trou à merde !

- Comme ça ?

- Ouais, pas mal ! On dirait une bouche de mioche qui veut téter…

Stéphane se penche en avant, juste au-dessus du ventre ouvert de Zézette et crache dessus, en plein sur le trou du cul. Pour Zézette, c’est comme si un jet de foutre venait de lui électriser l’anus… Elle en pisse de bonheur !

- T’as pas fini salope, t’as vraiment aucune pudeur. Je vais t’apprendre moi, à pisser devant des inconnus !

Stéphane lui flanque une bonne claque sur chaque fesse. Les chairs en tremblent et une rougeur incendie les rondeurs callipyges. Les claques ne font qu’attiser la lubricité de Zézette qui se trémousse comme une possédée, en tortillant du cul et en poussant de petits cris de bête sauvage.

- Venez me baiser, s’il vous plaît, j’ai besoin de vos bites… supplie-t-elle en libérant un dernier ruisseau de pisse chaude.tringleurs7

C’est Stéphane qui s’y colle. En un rien de temps, il l’enfile, lui rentre la bite dans la moule jusqu’aux couilles. Ça fait des clapotis un peu dégueulasses. Loïc qui s’est débarrassé de son pantalon vient s’accroupir au-dessus du visage de Zézette

- Lèche-moi le cul et les couilles, que ce soit nickel !

Zézette ne demande pas mieux ! Le cul et les couilles de Loïc ont encore le goût de la jeunesse. Le trou du cul est bien serré, avec quelques poils autour qu’elle lisse du bout de la langue. La peau des couilles est encore glabre, et elle gobe les deux orphelines d’une seule bouchée en lui tenant la bite d’une main.  Pendant ce temps, Stéphane la pistonne à grands coups de reins… Zézette aime être défoncée, elle aime sentir la tête de bite cogner dans le fond de sa matrice, encore et encore…

tringleurs8En la baisant, pour s’encourager, Stéphane la traite d’un tas de noms d’ordures et de saletés qu’elle adore : il la traite de roulure, de sac à foutre, de grosse vache, de salope, de chienne enragée, de putain, de pouffiasse, d’obsédée du cul, de raclure de bidet, de tas de viande… Elle voudrait même qu’il invente des mots nouveaux, des mots venus d’ailleurs et encore plus orduriers, mais Stéphane manque cruellement d’imagination… Alors, elle se contente de savourer chaque insulte comme on suce un bonbon.

Zézette est tellement mouillée et disponible que c’est à peine si elle sent encore la queue de Stéphane qui va et vient dans son vagin. Elle en veut davantage. Stéphane est fatigué et défourne sa queue puis bascule sur le dos, la bite en l’air, dressée comme le mât d’un voilier en détresse.

- Monte-moi dessus, sale pute et bosse un peu, grosse fainéante !

Zézette ne se le fait pas dire deux fois. La voilà à califourchon au-dessus de Stéphane, avec ses mamelles qui traînent sur son buste velu, avec sa moule béante prête à avaler sa queue raide… Loïc vient par derrière et entreprend de lui bouffer le cul qu’elle a  grand ouvert. Il lui lèche l’anus, y met un, puis deux, puis trois doigts… Et plus il en met, plus elle a envie que toute sa main lui entre dans le rectum jusqu’au poignet et lui remplisse l’intestin comme un gros étron de chair vivante… De temps en temps, il retire ses doigts et les remplace par une canette de bière vide qu’il lui enfonce jusqu’au culot en l’utilisant comme une bite… Zézette n’en peut plus d’attendre.

- Encule-moi, demande-t-elle à Loïc qui bande comme un âne.tringleurs9

Maintenant, elle a la bite de Stéphane dans le con, et celle de Loïc dans le cul, et c’est le vrai bonheur. C’est comme ça qu’elle est heureuse, qu’elle se sent pleinement femme, une vraie femelle, prise par les deux trous. Elle se dit que le bonheur serait parfait si elle avait en plus une bite dans la bouche ou une chatte de femme à lécher, une grosse femme comme elle, avec de grosses fesses, de gros seins, de grosses cuisses bien grasses et si moelleuses au toucher. Stéphane lui tète les mamelons, Loïc lui laboure le cul… Elle a un orgasme, puis un deuxième où elle pisse encore un peu. Mais les mecs s’en foutent maintenant… Ils ne sont plus que trois animaux en rut, en saison, comme on dit parfois. Saison des amours… Alors ils lui donnent des noms de bête, la traitent de chatte lubrique, de sale chienne, de bâtarde, de lapine, d’otarie de cirque, de baleine blanche, de poulinière et de grosse vache laitière. Elle se dit que c’est affectueux !

Ils finissent par se branler sur son corps en sueur, par lui balancer de grandes et brûlantes bordées de foutre qui éclabousse ses seins, son ventre, qui coule entre ses fesses et calme un peu ses désirs inassouvis.

Plus tard,  ils reprennent ensemble une bière, assis sur le canapé, elle installée entre les deux mecs. Ils sont tous les trois à poil. Le sperme a refroidi et séché sur la peau de Zézette. Elle se sent bien, avec ces deux queues à portée de main… Elle en a le con et le cul qui palpitent de joie… Tout comme une guenon bonobo au cœur de la forêt primaire.

 tringleurs10

© Michel Koppera

octobre 2014

 

 

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Lundi 23 mars 2015 1 23 /03 /Mars /2015 10:17

En préambule. L'an dernier, mon amie Zézette m'a demandé de lui écrire une nouvelle dont elle serait l'héroïne livrée aux turpitudes sexuelles de deux solides baiseurs amateurs de femmes rondes. Les consignes d'écriture étaient des plus claires : langage très cru, scènes d'humiliation et pornographie sans tabous... Voici le résultat.

Zézette et les deux tringleurs

 

- Où est-ce qu’on va ?

- On va baiser.

- Comment t’as dit qu’elle s’appelle ?tringleurs

- Zézette.

- Sérieux ? Comme dans le film alors ?

- Si tu veux, sauf que cette Zézette-là, elle est moins farouche et un peu plus ronde…

- C’est une pute ?

- Pas vraiment, mais elle fait comme si.

- C’est encore loin ?

- Dans dix minutes on y sera. T’as pensé aux capotes ?

- Oui, t’inquiète ! Tu la connais depuis longtemps cette Zézette ?

- Assez. C’est Marco qui me l’a présentée…

- Marco, le mec qui travaille au dépôt ?

- En personne… On se l’est faite dans la réserve aux légumes, lui devant, moi derrière.

- Elle accepte ça ?

- Zézette accepte tout, à condition que tu t’y donnes à fond…

- Putain, j’en bande déjà !

- Et bien, garde ton énergie, tu vas en avoir besoin.

Les deux mecs roulaient sur la nationale, avec la camionnette de la boîte. Ils s’appelaient Stéphane et Loïc. Stéphane c’était celui qui conduisait, en débardeur, avec des tatouages plein les biceps. Loïc, c’était le plus jeune, assez baraqué aussi, mais moins que Stéphane qui commençait à avoir un peu de bedaine à cause de la bière et des moules frites. On était vendredi soir, et ils allaient voir Zézette qui les attendait dans son petit appartement au troisième étage, deuxième porte à gauche en sortant de l’ascenseur.

Elle avait mis une tenue de circonstance : courte jupe écossaise, chemisier blanc, pas de soutif, des escarpins noirs à hauts talons, des bas noirs qui lui arrivaient à mi-cuisse, et une culotte fendue qui donnait libre accès à sa moule et à son cul. Bref, un look de pouffe, de salope bas de gamme. C’est ce qu’elle voulait, avoir l’air vulgaire et qu’ils la traitent comme telle !

Elle est prête, elle a mis les bières au frais et fait de la place dans le salon. Elle entend la camionnette se garer en bas sur le parking, et rien qu’au bruit des portières qui claquent elle en a le bout des seins qui durcit et la moule inondée.

tringleurs1Les voilà sur le palier, devant la porte de l’appartement de Zézette. Elle aimerait les faire poireauter un peu, mais elle a tellement envie de se faire sauter qu’elle leur ouvre à la première sonnerie. Stéphane entre le premier, pas besoin de faire les présentations, il lui roule direct un patin baveux tout en lui fourrant la main sous la jupe, direct sur la chatte.

- T’as l’air en forme ! Je te présente Loïc, c’est un mec qui assure !

Zézette embrasse le nouveau venu, en profite pour lui caresser la braguette.

Ils passent au salon. Elle les fait asseoir sur le canapé et va chercher les bières dans le frigo. Quand elle revient, ils ont pris leurs aises. Ils sont vautrés dans le canapé, les cuisses écartées qui mettent en valeur le gros paquet de leurs couilles et de leur bite moulées dans leur jean. Zézette pose les canettes et les verres sur la table basse. Quand elle se penche en avant, ses grosses loches ballottent dans son chemisier blanc et sa jupe qui se retrousse découvre son cul.

- Mets-toi à quatre pattes sur le tapis et montre ton bazar à Loïc ! Oui, comme ça. Écarte bien les cuisses qu’il voie toute ta boutique ! T’as vraiment l’air d’une truie avec tes jambons et ton gros cul. Regarde Loïc, elle suinte de la moule… Allez, fous-toi à poil, salope. On n’est pas venus jusque là rien que pour te reluquer les fesses !

Zézette s’exécute. Quand elle ouvre son chemisier, ses tétasses lui tombent lourdement sur le ventre. Loïc se lève et les malaxe méchamment en pinçant les tétons. Zézette aime tellement ça qu’elle gémit et que ça lui dégouline entre les cuisses. Stéphane lui dégrafe sa jupe qu’il envoie valser en travers du salon. Voilà Zézette en bas noirs et culotte fendue. Ils la retournent pour regarder le buisson poilu qui pousse au bas de son ventre.tringleurs2

- Regardez-moi cette sale putain qui a de la bave qui lui coule du con ! Je parie qu’on pourrait coller des dizaines d’affiches avec la mouillure gluante de sa chatte. Elle aime tellement la baise qu’elle en salive par tous les trous… Allez, ouvre-moi ça plus grand… La vache, ça fait comme des filaments, on dirait du sirop de sucre !

Loïc lui met trois doigts dans le vagin. Ça fait le bruit d’un pied qui s’enfonce dans la boue. Zézette ouvre la bouche mais pas un son ne sort. Elle a l’air stupide des vaches qui se font renifler le cul par un taureau. Stéphane commence à perdre les pédales.

- Viens nous sucer la bite et les couilles pendant qu’on boit notre bière ! Après si t’es sage, on te mettra une canette dans le cul !

Zézette s’agenouille devant le canapé et entreprend d’ouvrir les pantalons des deux mecs. Ils bandent tellement que c’est compliqué. Quand elle baisse les fermetures éclairs, les bites bondissent du slip comme des diables d’une boîte. Ils ont tous les deux une belle queue : celle de Stéphane est massive, elle sent fort la sueur et le sperme refroidi ; celle de Loïc est plus fine, mais longue et frétillante… Elle les branle, les embrasse, les lèche jusqu’aux couilles, se les fourre dans la bouche à s’en donner des hauts le cœur. Elle aime ça, sentir la bite qui lui titille la glotte ! Pendant ce temps, les deux mecs sirotent leur bière en parlant du cul de Zézette.

- T’as vu comme il est large… Et son trou du cul, tu l’as regardé ? Un vrai garage à bites… Si on voulait, on pourrait s’y mettre à deux… T’aimerais ça, grosse vache deux mecs dans le cul ?

tringleurs3- Mmmmhh !

- Réponds quand on te parle ! C’est quand même pas sorcier de dire oui ou non !

- Oui, ça me plairait…

- Alors, on verra ça tout à l’heure. Ce sera ton bonus, mais avant ça, il faudra que tu nous obéisses au doigt et à la queue ! T’as bien compris ?

- Oui…

- En attendant, branle-moi la bite entre tes grosses mamelles ! Et me fais pas jouir, sinon je te ferai passer le goût du foutre pour un bout de temps ! Et n’oublie pas mon pote qui bande dans le vide…

Zézette s’affaire sur les deux bites. Zézette aime qu’on lui parle comme à une chienne. Ça la rend encore plus gourmande. Elle se dit qu’elle aurait dû naître guenon bonobo pour baiser à longueur de journée dans les arbres, se gouiner avec ses sœurs ou se branler avec des bananes ou des tubercules qu’elle se serait fourrés dans le cul pour se ramoner le fondement. Sa vie n’aurait été qu’un gigantesque orgasme perpétuel, avec des litres de sperme, de mouillure et de salive mélangés en une délicieuse mixture poisseuse… Elle pense à ça pendant qu’elle baise la bite de Stéphane entre ses seins et qu’elle branle de la main droite la queue raide de Loïc qui ferme les yeux pour ne pas juter trop vite.

tringleurs4

tringleurs5

 

à suivre…

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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