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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Le saviez-vous ? # 80
Avec plus de 8000 terminaisons nerveuses, le gland du clitoris est l'organe du corps humain le plus sensible. À titre de comparaison, le gland du pénis ne compte qu'environ 6000 terminaisons nerveuses essentiellement concentrées sur la couronne et le frein. Ainsi, en matière de sexualité, les femmes seraient mieux loties que les hommes !
Katherine PANCOL, «Embrassez-moi »
Editions Albin Michel, 2003
Livre de poche n° 30408
Angela, la narratrice, est à New-York. Elle va y retrouver par hasard la trace d’un amour perdu et les souvenirs de sa rencontre avec Louise Brooks.
C'est Louise Brooks qui raconte (pages 189 et suivantes). Elle est vendeuse dans un magasin de vêtements et parle de son amie Eileen.
« - Heureusement, il y avait Eileen ! Eileen me montrait comment faire. Eileen m’encourageait.
J’allais la voir chez elle, à Harlem. Elle habitait un grand appartement. Je prenais le métro et, à la sortie, il y avait toujours des hommes noirs qui attendaient. Ils battaient la semelle en
attendant que des femmes blanches et riches viennent les enlever. Pour quelques heures, pour une fin de nuit… Elles les emmenaient dans des hôtels minables où elles se donnaient du plaisir pour
quelques dollars. Un soir, avec une amie, on est parties chercher un Noir et on a passé la nuit avec lui… Mais après, je ne sais pas pourquoi, je n’ai pas trouvé ça bien et je n’ai plus
recommencé. Tu as lu ce livre de Chester Himes, la Fin d’un primitif ? il y parle de la solitude de l’homme noir misérable, de la solitude de la femme blanche et riche que son mari
ne touche plus, de la soif de la femme blanche pour la peau d’un mâle noir, du dégoût de l’homme noir pour cette concupiscence de femme blanche esseulée, négligée, en colère… C’est tout
cela que j’ai ressenti au petit matin, quand le jour s’est levé dans la chambre, qu’on a remis nos masques de Blanches… »
Après avoir quitté son job de vendeuse, Louise, complètement à la dérive, cherche à renouer avec le monde du cinéma.
« Apposer son nom au bas d’un contrat et obéir.
Obéir à des producteurs qui ordonnent et décident pour vous.
Elle ne pouvait pas. Elle préférait suivre son désir. Toujours.
Le désir qui le jetait dans le lit d’un homme alors que les responsables des studios la suppliaient de venir travailler. Elle leur raccrochait au nez et reprenait le fox-trot endiablé avec un danseur dont les épaules la chaviraient. Se laisser remorquer par cet homme, le suivre sur la piste de danse, le suivre dans son lit, sentir le poids de son corps sur le sien et cette force qui la transporte quand il entre en elle, quand le sexe de l’homme entre dans son corps, impose sa loi, la saccage, la retourne comme une terre meuble, molle, la soulève en hoquets de douleur, d’extase et de reconnaissance.
- Tu sais ce dont je parle, hein, tu le sais ?
Elle insistait en me regardant de ses yeux noirs impitoyables qui ordonnaient ne mens pas, je t’ai reconnue, ne fais pas semblant… La force noire du sexe, la rage des deux corps qui se jettent l’un sur l’autre, la rage d’aller chercher au plus profond de soi la douleur, la douleur initiale, celle qui fait vibrer de plaisir interdit, dangereux, qui fait renaître le trouble ancien, la douleur ancienne. »
Francisco Solano LOPEZ est un illustrateur et auteur de BD argentin né en 1928 et décédé en 2011. Je pense beaucoup d'entre vous ont déjà vu certaines des illustrations de cet artiste très prolifique. Voici donc une première série de dessins sur un des thèmes favoris de Solano Lopez : le membre masculin hors-normes!
Suite à l'attentat dans les locaux de Charlie Hebdo, vous avez dû être nombreux à vous étonner de voir Jeannette Bougrab en larmes venir témoigner sur les plateaux télé de son désespoir d'avoir perdu son compagnon Stéphane Charbonnier, dit Charb, le directeur de Charlie Hebdo.
Jusqu'à ce jour funeste, comme la plupart d'entre vous, j'ignorais tout de leur liaison. Cependant, au-delà du malheur, l'idée que ces deux-là s'aimaient m'a réjoui : une ex-secrétaire d'Etat d'un gouvernement sarkoziste en couple avec un dessinateur communiste athée, cela avait de la gueule ! Quoi de plus réjouissant que ce pied-de-nez au conformisme, à la pensée unique et au politiquement correct !
Et puis, plus rien. Jeannette Bougrab disparaît des écrans. Elle est absente à la grande marche républicaine du 11 janvier, tout comme aux obsèques de Charb. Et voilà que j'apprends que, contre toute évidence, la famille de Charb dément cette "prétendue" liaison et refuse à Jeannette Bougrab le droit de s'exprimer sur le sujet et d'assister aux cérémonies. Afin de ne pas alimenter la polémique, cette dernière s'est éclipsée, non sans avoir auparavant laissé Paris Match publier une photo sans ambiguïté prise le 31 décembre dernier, au cours du réveillon. Cette simple image en dit plus qu'un long plaidoyer sur la sincérité de leur amour. J'ai appris aussi que Jeannette Bougrab, en état de choc et profondément meurtrie, avait été hospitalisée pendant quelques jours.
Tout cela pour dire mon immense déception et ma froide colère devant le sectarisme et l'étroitesse d'esprit de la famille. Depuis, je ne cesse de compatir à la souffrance de Jeannette Bougrab et j'ai beaucoup moins de sympathie à l'égard de ceux qui, au nom de l'idéologie n'ont cherché qu'à l'humilier.
Monika marqua encore un moment d’hésitation… On la sentait peser le pour et le contre. Caty la laissa faire tranquillement en imaginant toutes sortes de dialogues osés ou scatologiques. Elle ne se doutait pas qu’au fond d’elle-même Monika se préparait pour cette belle aventure qui lui tombait du ciel… Tous ces fantasmes ! Elles les égrenait les uns après les autres, ce qui provoquait une incontestable mouillure aux lèvres de sa vulve… Elle se décida enfin en acceptant l’aide de Caty pour se lever péniblement du sofa. D’une main confiante elle saisit le bras de sa future amante, se pencha vers son oreille pour lui demander
- Caty ! et toi ?
- Appelle-moi Mona ! J’ai peur
- Pourquoi avoir peur ! Nous allons simplement nous masturber ! Rien de bien grave.
- J’ai peur de ne pas y arriver !
- Je t’aiderai ! N’aie pas peur !
- Je t’apprendrai des mots dans ma langue.
- Si tu veux !
- Par exemple grabschen pour tripoter ou peloter.
- Je saurai te tripoter
- Je suis une Göre, une fille perdue
- Non ! tu es une femme tout simplement
- J’aime qu’on me reinjagen c’est-à-dire qu’on me pénètre, qu’on me nique, qu’on me trombine.
- J’ai un gode dans mon sac ! Tu seras satisfaite.
- J’aime qu’on touche mon Tropfsteinhöhle.
- Je connais ce mot : il désigne le vagin ! Je sais toucher un vagin.
- As-tu enlevé tous tes Unterwald ? Es-tu rasée ?
- Tu verras je suis épilée…
- Oseras-tu venir dans ma Honighöhle dans ma « grotte au miel », butiner ma Honigblüte, « fleur de miel »), mettre tes doigts dans ma Honigdoserl, « boîte à miel ») et déguster ma Honigfeige (« figue au miel »). ?
- Oui je viendrai te sucer la chatte, boire ton jus, bouffer ta cerise.
Mona se soûlait de ces mots d’argot qu’elle ne prononçait plus de longue date… Caty jouait le jeu. L’ivresse des mojito s’estompait petit à petit, mais Mona avait besoin de cette échappatoire pour accepter cette folle, aventure. Caty cherchait encore sa stratégie pour faire l’amour à sa partenaire. La séduction était acquise… Il fallait maintenant conclure de belle façon… Mais elle savait aussi qu’elle prenait un risque… celui de se perdre dans une relation trop intime avec Mona… Une relation sans lendemain mais avec des souvenirs dont il faudrait bien se départir le plus vite possible.
C’était plus qu’une chambre… Une véritable suite qui attendait les deux jeunes femmes. Un vaste lit King Size, une salle de bain et sur la table quelques verres de Mojito pour le cas où… une musique d’ambiance les accueillit. Caty reconnut son air favori et remercia les organisateurs pour ce choix
- Tu connais ?
- Bien sûr le seul concerto de Mozart écrit pour la clarinette… Koechel 600 et quelques…
Caty était surprise ! Pas si saoule que cela la Mona !
- Mais c’est aussi la bande son de OUT OF AFRICA, c’est mon film préféré…
- Karen Dinesen !
- Meryl Streep
- Karen Blixenof Africa
- Robert Redford
- Mais qui es-tu pour me voler mes souvenirs les plus intimes ?
- Et qui es-tu toi pour me poser une telle question ?
Caty eut un moment de doute… Il était encore temps de quitter cette chambre et de sortir de cette histoire ! Mais elle prit la main de Mona et l’amena vers le grand lit… Elle n’eut aucune difficulté à la coucher au travers… Monika lança son bras vers l’extrémité du lit souleva la couverture et s’y engouffra.
- Caty ! je vais me caresser pour toi. Tu ne verras que mon visage…
- Je te regarde ma belle !
- Ce ne sera pas long ! Car tu m’as drôlement émoustillée.
Caty se coucha à côté de Monika et contempla son visage… Elle savait que la main de Mona s’était glissée entre ses jambes et
elle surveilla la montée du désir sur son visage… Elle vit sa bouche mordre ses lèvres, les yeux se fermer, les ailes du nez vibrer doucement… Mona vivait son plaisir et attendait un orgasme qui
surgit brutalement. Pas un son ne sortit de sa bouche… Les yeux restaient fermés, mais l’orgasme était bien là, vibrant, long et intense… Caty n’osait pas bouger, elle ne voulait rien dire… Elle
attendait que l’initiative vienne de Mona. Elle ne fut pas déçue… Mona dégagea sa main de sous la couverture et la présenta à Caty !
- Tiens Caty ! Goûte-moi !
- Mmmm !
- Suce- moi les doigts et dis-moi si je suis à ton goût.
Caty ne parla pas et suça les doigts de Mona en dégustant son jus. Puis elle huma le fumet de la vulve de Mona.
- Tu as bon goût ! Et j’aime ton odeur ! Tu te caresses souvent comme cela ?
- Oui quelquefois trois fois pendant la nuit
- Et tu ne fais pas de bruit pour ne pas le réveiller !
- Tu as deviné.
- Et avec un vibro ?
- Non, trop de bruit !
- Tu veux que je me caresse pour toi ?
- Oui j’aimerais te voir jouir !
- Mais je vais me déshabiller d’abord !
Joignant le geste à la parole Caty commença un striptease qui sembla plaire à Mona. Elle manifesta dans son regard une certaine surprise que Caty ne porte pas de dessous !
- Que tu es belle ! Caty !
- Pas autant que toi Mona !
Caty se coucha sur le ventre, tourna son visage vers Monika, passa sa main droite sous son ventre et commença à se caresser. Elle ne bougeait pas, mais poussait de petits soupirs… Puis ce fut l’explosion… Son corps dansa sous le choc de l’orgasme qu’elle avait déclenché et elle poussa un cri strident. Elle n’arrêtait pas de regarder Mona et lut sur son visage le plaisir indicible que son plaisir lui avait occasionné. Monika tendit la main et caressa les fesses de Caty…
- C’est bon ta
caresse ! Continue !
- Ta peau est douce !
- J’ai envie de ta main sur mon sexe !
- Ecarte un peu les jambes !
- Voilà ma belle ! Je suis ouverte pour toi !
- Merci ! je cherche ta vulve !... Oh ! Comme tu es mouillée ! Je touche ton doigt ! Tu continues à te caresser ou tu me laisses la place ?
- Je te laisse faire Mona, ta main est si douce.
Monika appuya sa tête dans le creux des reins de Caty et commença à la travailler ! Elle sentait le corps de Caty vibrer ! Elle sentait la chaleur de cette chatte qui venait de jouir !… Elle chercha et trouva le clitoris tout bandé ! Elle tenta au toucher de comparer avec le sien ! Elle remit à plus tard cette comparaison si Caty acceptait de la laisser voir son sexe ! Mais le corps de Caty ondulait fortement ! Elle introduisit deux doigts dans le vagin de Caty, alla jusqu’aussi profond qu’elle pouvait, bougea dans tous les sens et entendit alors le cri de jouissance de celle qu’elle crapahutait.
Elle retira sa main et fit les mêmes gestes que Caty. Elle huma l’odeur de ce sexe et goûta Caty comme Caty l’avait goûtée… Puis elle remit ses doigts dans la vulve de Caty et les porta vers sa bouche.
- Tiens Caty, goûte toi, sens-toi, hume ton odeur ! Dis-moi si tu es différente de moi.
Caty ne répondit pas… goûta son jus et respira son odeur. Mona s’était couchée contre Caty et continuait à lui parler. Caty attendait la suite des évènements, certaine que Mona allait prendre d’autres initiatives… Elles parvinrent à une douce ambiance d’échange amoureux. Mona se défit de ses vêtements et fut très fière de montrer à Caty qu’elle aussi n’avait ni soutien-gorge ni culotte. Elle se recoucha sur le ventre le long de Caty… Les deux corps nus exposés, les deux visages face à face…
- Mona ! Tu dors !
- Oh ! Oui ! pardonne-moi je me suis assoupie ! Les mojito passent mal !
- Pourquoi as-tu choisi Mona comme nom
- Parce que l'un de mes livres de chevet est Sexus ! Tu connais ?
- Oui j'ai lu Henry Miller
- Mon exemplaire de Sexus est tout écorné ! Je repérais ainsi toutes les pages intéressantes
- Tu aurais aimé être Mona
- Non ! j'aurais aimé être Henry et pouvoir baiser tout mon saoul. Mais j'aime aussi certains livres de Mémoire de Putains ou de courtisanes C'est dans un de ces bouquins que j'ai découvert deux femmes qui s'aimaient et alors j'ai fantasmé sur le cunnilingus.
- Ce soir-là tu t'es caressée ?
- Oui trois fois de suite
- Et il dormait à côté de toi ?
- Oui, il n'a rien entendu de mes orgasmes
- Tu l’aimes ?
- Oui c’est l’homme de ma vie.
- Alors, pourquoi es-tu là ?
- Parce que le soleil ne se lève que pour celle qui va à sa rencontre… Je sais que tu es mon soleil !
- Pour une nuit !... Mais lui n’est-il pas ton soleil ?
- Pas ce soir ! Ce soir c’est toi mon soleil ! Et je voudrais que tu te lèves pour moi que tu brilles pour moi, que tu me brûles de tes rayons ardents…
- Mais lui ?
- La chair des femmes se nourrit de caresses comme l’abeille du nectar des fleurs !
- Cela veut dire quoi ? qu’il ne te caresse pas ?
- Pas assez en effet… J’aurais aimé qu’il me découvre… qu’il ressente les spasmes de mon plaisir… Qu’il me parle de ses fantasmes…
- Tu voudrais que je te suce ?
- Pas sucer ! Caresser ! Sucer c'est vulgaire ! Oui je voudrais que tu me caresses le sexe ! Mais avant je dois me laver !
- Tu as peur de quoi ?
- J'ai peur de cette caresse ! Alors je voudrais être au mieux de ma présentation !
- Alors ! Vas y !
....
- Caty ! Viens voir ! Il y a un bidet à l'ancienne ! Viens me faire ma toilette intime !
...- Oui comme cela ! Je sens tes seins sur mon dos ! Va bien jusqu'au fond
- Jusqu'où ?
- Jusqu'à l'anus ! Oups ! je brûle par là aussi ! Tu veux que je te fasse ta toilette aussi ?
- Oui mais dans la même eau que toi.
- Assieds-toi alors ! Ton sexe est doux
- Tu peux toucher mon anus ! Moi aussi j'aime cette caresse !
- Allez ! je me sèche ! Et on y va… vers l’inconnu et au-delà…
à suivre…
Hier, dans la nouvelle "Le soutien-gorge rouge", vous avez fait la connaissance de Lida. La voici en photo...
Michel M., un lecteur homonyme, m'a envoyé ce récit inédit très inspiré de faits réels et m'a proposé de le mettre en ligne sur le blog si je le jugeais digne d'être publié. La qualité du texte justifie cette publication. Les illustrations de Dubigeon sont aussi un souhait de l'auteur.
Le soutien-gorge rouge
Nous sommes un couple mature, Lida, asiatique, petite, BCBG, très bien conservée et sexy, gros seins un peu pendants ornés de grosses auréoles marron, chatte poilue, anus naturellement sans poil, Moi Michel, français, candauliste convaincu et bi.
Nous venons d’avoir la visite de Bernard un ami de longue date. Il est un peu plus âgé que nous. Lida travaillait avec lui il y a plusieurs années quand il était pépiniériste.
Un jour Lida est rentrée du travail en me disant :
- Tiens, Bernard m’a dit te passer cette enveloppe, je crois que ce sont des magazines.
Intrigué, j’ouvre l’enveloppe et y trouve trois bouquins porno un peu anciens, type années 60, coquins mais gentils… J’avoue que je ne suis pas indifférent aux belles femmes un peu plantureuses de cette époque, gros culs, chattes poilues, grosses mamelles portant des gaines moulantes et de gros soutien-gorge.
Ce qui m’intrigue, c’est quand même pourquoi il m’a envoyé cela alors que je ne me souviens pas lui avoir parlé d’un de mes passe-temps favoris, la pornographie… Me poser la question m’excite énormément. Après une nuit de réflexion, je me dis qu’après tout, je vais jouer son jeu et lui rendre la gentillesse en lui prêtant quelques bouquins de mon extensive collection. Je prépare une petite variété (Hétéro, homo, Bi, zoo, bondage) que je vais remettre à Lida pour qu’elle les lui passe. Avant de fermer l’enveloppe, je me décide à glisser discrètement dans l’un des magazines trois photos très intimes de Lida, L’une debout en soutien-gorge rouge chatte poilue à l’air, la seconde allongée sur le lit jambes très écartées montrant sa chatte grande ouverte et ses grosses lèvres marron bien mouillées, la troisième en levrette prise de derrière sa main écartant ses fesses pour montrer son anus et sa chatte, son visage bien reconnaissable sur les trois photos.
- Tiens tu donneras cela à Bernard en lui disant que cela lui donnera de bonnes idées.
Je suis quand même inquiet que Lida trouve les trois photos d’elle si elle se décide de fouiller dans l’enveloppe.
J’attends avec impatience et excitation une réaction venant de Bernard. Une semaine passe et toujours rien. Je commence à
croire que Bernard n’a pas trouvé les photos ou qu’elles ont glissé du magazine au fond de l’enveloppe. Ou tout simplement, qu'il n’est pas intéressé bien que je le soupçonne d’être
très vicieux avec ses petits yeux pétillants.
Lida rentre un soir en me disant :
- Tu sais ce que Bernard m’a demandé aujourd’hui ?
- Aucune idée
Il m’a demandé :
- Tu portes ton soutien-gorge rouge aujourd’hui ?
- Je lui ai dit que non, et que j’en avais un blanc aujourd’hui. Mais comment sais-tu que j’ai un soutien-gorge rouge?
Il m’a dit en souriant :
- Je sais, Je sais tout….
- Je ne comprends pas, je n’ai jamais mis mon soutien-gorge rouge au travail. Comment le sait-il ?
Bernard avait donc visiblement étudié les photos en détail, et s’il connaissait l’existence du soutien-gorge rouge, il avait également dû se branler en étudiant la chatte, le cul et les nichons de Lida. Cela m’excitait terriblement de savoir qu’un de mes meilleurs amis connaissait ma femme dans son intimité.
Qu’allait-il faire maintenant ? Mon espoir était qu’il essaye d’aller plus loin et de baiser Lida.
J’ai tout d’un coup réalisé qu’il y avait quelque d’anormal dans ma réaction. Alors que je devais être jaloux, je voulais au contraire que ma femme se fasse baiser par un autre homme.
C’est à cet instant que j’ai découvert mon penchant pour le candaulisme.
Quelques jours plus tard, Lida est rentrée en me disant :
- Bernard était complètement gaga aujourd’hui, il me faisait même un peu peur. J’étais seule dans le tunnel où nous faisons germer les graines de palmiers quand il est arrivé. Il faisait sombre et j’étais au fond travaillant sur une table. Il tournait en rond et faisait semblant de s’occuper.
Il m’a alors demandé :
- Est-ce que vous êtes échangistes ?
- Qu’est-ce que c’est ?
- Est-ce que vous faites l’amour avec d’autres hommes ou couples.
- Non, définitivement pas.
- Vous devriez essayer, c’est très enrichissant !
- Il est venu derrière moi et s’est alors plaqué contre moi. Ses mains ont saisi mes seins alors qu’il appuyait son bassin contre mes fesses. Je sentais sa queue bandée à travers son short appuyer entre mes fesses. Je me suis alors énervée et je lui ai dit de se calmer. Ce qu’il a fait immédiatement. Il n’est pas revenu à la charge sur le coup et m’a laissée tranquille.
Dix ans plus tard Bernard est toujours notre ami et est donc venu nous rendre visite hier. Quand elle a entendu sa
voiture arriver Lida a disparu dans la chambre pour se changer. Quand elle en est ressortie, elle était ravissante et portait une superbe mini robe large et assez transparente avec des manches
très amples qui laisser deviner toutes ses généreuses formes. Je remarquai notamment sa poitrine bien relevée. Sa manche entrouverte me révéla un soutien-gorge rouge, un La Perla que je venais de
lui acheter. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir au travers du tissu de la robe qu’elle ne portait pas de culotte sous sa robe. Je pouvais en effet deviner l’ombre de sa touffe et le
clivage de ses fesses.
Bernard lui de ses yeux pétillants ne perdait pas un instant du spectacle et je suis sûr qu’il avait lui aussi repéré le soutien-gorge rouge et deviné la touffe de sa chatte. C’était un retour de dix ans en arrière !
J’avais bien du mal à contenir mon excitation et je crois que lui aussi.
Quand il est reparti hier soir, j’ai demandé à Lida :
- Dis-moi, le soutien-gorge rouge, tu l’avais fait exprès ?
- Oui probablement. Tu as aimé ?
- Oui et je crois que Bernard aussi, il ne t’a pas quitté des yeux de tout l’après-midi. Cela a dû lui rappeler des souvenirs…
- Oui, c’est ce que je voulais et je voulais également profiter du moment pour te faire une révélation
- Révélation de quoi ?
- Quand je travaillais chez lui, tu sais le jour où il a essayé de me sauter dans le tunnel, et bien il m’a effectivement sautée, il était absolument déchaîné ce jour-là et bien plus fort que moi. Il a réussi à me déshabiller, arracher mon soutien-gorge et ma culotte avant de me pénétrer sauvagement la chatte. Il avait une queue pas très épaisse mais très longue qu’il a déchargée en moi. Il ne s’est pas contenté de cela, le lendemain, il a recommencé mais cette fois, il m’a enculée.
Et cela a duré encore pendant les six mois suivants où j’ai travaillé chez lui. J’y avais droit pratiquement tous les
après-midi après que les autres employés étaient partis. Je travaillais en général dans la grande serre parmi les palmiers avancés. Bernard arrivait et me coinçait contre la table avant de me
demander en souriant la couleur de mon soutien-gorge. Il me demandait de le lui montrer. C’était devenu un peu un jeu entre nous. J’ouvrais mon corsage pour lui révéler mes charmes. Il regardait
longuement mes seins mais n’y touchait pas. Puis il me retournait et me faisait appuyer mes mains sur le rebord de la table et cambrer ma croupe. Je sentais monter son excitation. Tout allait
alors très vite. Il baissait mon pantalon et ma culotte qu’il descendait à mes pieds, m’écartait les cuisses, me prenait par les hanches avant de forcer d’un seul coup de rein sa longue
queue dans ma chatte. Il commençait alors à me saillir à grands coups de reins butant dans mon utérus. Au bout de plusieurs minutes je sentais son corps se raidir avant qu’il ne décharge
plusieurs jets de sperme en moi. Certains jours, il préférait prendre mon anus mais il y mettait un peu plus de douceur au début de sa pénétration, mais dès qu’il sentait que son gland avait
passé mes sphincters, rien ne l’arrêtait plus jusqu’à ce qu’il inonde mon fondement de son sperme. Il se retirait alors, je me rhabillais avant de rentrer chez nous. Je ne voulais pas t’en parler
car j’avais peur que tu réagisses mal. Maintenant tu le sais… J’avoue que je commençais à apprécier ces petites sessions surtout quand tu étais absent en déplacement pour plusieurs
semaines.
- Rassure-toi, je ne t’en veux pas. Je me doutais qu’il se passait quelque chose et cela m’excitait de le savoir. J’y ai probablement contribué un peu.
- Qu’est-ce que tu veux dire ?
- Non rien…
Depuis cette récente révélation de Lida, mon esprit divague et fait la chamade. Je suis un candauliste invétéré depuis de nombreuses années et de savoir que Lida m’a aidé sans que je le sache à réaliser ce qui était pour moi mon plus grand fantasme m’excite terriblement. Je ne peux cesser d’imaginer la longue queue de mon ami touchant les lèvres pourpres de la chatte poilue de ma femme avant de les écarter et s’enfoncer tout au fond d’elle. Il commence à donner de gros coups de reins qui arrachent des gémissements de ma femme. Il se cambre pour finalement déverser son sperme tout au fond d’elle…… Il s’intéresse maintenant à la rosette pourpre foncée de son anus et y appuie son gland jusqu’à ce qu’il ait ouvert son passage. Lida mordille ses lèvres, elle doit avoir mal. Le satyre s’enfonce inexorablement jusqu’à ce que ses couilles touchent les fesses de Lida. Les violents coups de reins arrachent des couinements à ma femme avant qu’un énorme jet de sperme chaud inonde son fondement.
J’entends la porte s’ouvrir et Lida rentrer. Elle va directement à la chambre.
- Michel, viens j’ai une surprise pour toi.
Elle est en train de se déshabiller rapidement. Elle libère ses magnifiques seins un peu pendants de son soutien-gorge, descend son pantalon et sa culotte en coton blanc. Elle se retourne et se penche vers l’avant en écartant ses cuisses pour me présenter son derrière et sa chatte.
- Tiens regarde, un petit cadeau de Bernard !
Je n’en crois pas mes yeux quand je réalise que sa chatte et son anus souillés de sperme sont encore dilatés et rouges du plaisir qu’elle vient de recevoir.
- Tu aimes ?
- Oui beaucoup !
- Veux-tu me nettoyer avec ta langue ?
Je ne fais pas prier et plonge mon visage entre les fesses de Lida. Le parfum du sexe de Lida s’ajoute à celui du sperme. Je commence à déguster ce nectar d’amour. Le sperme ressort en gros filets de son anus et sa chatte encore béants et coule le long de ses poils et à l’intérieur de ses cuisses. Je m’empresse de tout lécher pour ne rien en perdre et pour finir l’avaler …..
- Viens mon chéri, saute-moi maintenant.
PS : Si cette histoire vous a plu (ou déplu d’ailleurs), J’invite vos commentaires et réflexions sur le sujet par mail : sunaxxxq@gmail.com
Demain, si vous en manifestez le désir, vous pourrez découvrir en photo toute l'intimité de Lida.
Anne- Marie fait du naturisme...
Le soleil d'été s'attarde sur sa peau nue. Elle sent sur son dos, sur ses fesses la chaleur de sa caresse. Les regards des hommes s'attardent sur sa peau nue. Elle sent sur son dos, sur ses fesses la chaleur de ces regards qui la caressent. Elle sait que leurs yeux ne peuvent ignorer la ligne sombre des poils qui dépassent... Ça l'excite de penser à ces regards posés sur la raie de ses fesses. Son amant est là, juste derrière qui prend des photos. Il n'a qu'un mot à dire pour qu'elle écarte davantage les cuisses, se cambre un peu pour leur montrer à tous sa fente chaude de soleil et déjà mouillée du désir de queue...
Yasunari KAWABATA
Ecrivain japonais né en 1899, mort en 1972 (suicide)
Prix Nobel de littérature 1968
« Les belles endormies » 1961 Editions Albin Michel (traduit du japonais par R. Sieffert)
Au bord de la mer, dans une étrange maison close, des vieillards viennent passer la nuit auprès de jeunes vierges profondément endormies sous l’effet de puissants narcotiques. C’est là que se rend régulièrement le vieil Eguchi. Cette nuit-là, sa « concubine » parle en rêvant…
Pages 77-79
- Maman ! La fille avait poussé une exclamation étouffée.
- Là, là, tu t’en vas ? Laissez-moi, laissez…
- De quoi rêves-tu ? C’est un rêve, un rêve, te dis-je ! Ce disant, Eguchi la serrait plus fort pour
essayer de la tirer de son rêve. La tristesse contenue dans la voix de la fille quand elle appelait sa mère envahit le cœur d’Eguchi. Ses seins étaient pressés contre la poitrine du vieillard au
point de s’écraser. Elle remua les bras. Dans son rêve, prenait-elle Eguchi pour sa mère, qu’elle cherchait à étreindre ? Mais non, même endormie, même vierge, elle restait incontestablement
provocante. Il semblait au vieil Eguchi qu’en soixante-sept ans il n’avait jamais touché à pleine peau une jeune femme à ce point provocante. À supposer qu’un mythe pût être lascif, cette
fille-là sortait de ce mythe.
Il en venait à la considérer non comme une ensorceleuse, mais comme la victime d’un enchantement. Avec cela « tout
endormie qu’elle fût, elle vivait », en d’autres termes, encore que sa conscience fût plongée dans un profond sommeil, son corps par contre restait éveillé dans sa féminité. Il y avait là
non pas une conscience humaine, mais rien qu’un corps de femme. Se pouvait-il qu’on l’eût parfaitement dressée pour servir de partenaire aux vieillards au point que l’hôtesse ( la tenancière
de la maison close) en pût dire qu’elle était « entraînée » ?
Eguchi desserra son bras qui la tenait fortement, et quand il eut disposé le bras nu de la fille de telle sorte qu’elle parût l’enlacer, elle lui rendit en effet docilement son étreinte. Le vieillard ne bougea plus. Il ferma les yeux. Une chaude extase l’envahit. C’était un ravissement presque inconscient. Il lui sembla comprendre le plaisir et le sentiment de bonheur qu’éprouvaient les vieillards à fréquenter cette maison. Et ces vieillards eux-mêmes, ne trouvaient-ils pas en ces lieux, outre la détresse, l’horreur ou la misère de la vieillesse, ce don aussi d’une jeune vie qui les comblait ? Sans doute ne pouvait-il exister pour un homme parvenu au terme extrême de la vieillesse un seul instant où il pût s’oublier au point de se laisser envelopper à pleine peau par une fille jeune. Les vieillards cependant considéraient-ils une victime endormie à cet effet comme une chose achetée en toute innocence, ou bien trouvaient-ils, dans le sentiment d’une secrète culpabilité, un surcroît de plaisir ? Le vieil Eguchi, lui, s’était oublié, et comme s’il avait de même oublié qu’elle était une victime, de son pied il cherchait à tâtons la pointe du pied de la fille. Car c’était le seul endroit de son corps qu’il ne touchait pas. Les orteils étaient longs et se mouvaient gracieusement. Leurs phalanges se pliaient et dépliaient du même mouvement que les doigts de la main, et cela seul exerçait sur Eguchi la puissante séduction qui émane d’une femme fatale. Jusque dans le sommeil, cette fille était capable d’échanger de devis amoureux rien qu’au moyen de ses orteils. Le vieillard toutefois se contenta de percevoir leurs mouvements comme une musique, enfantine et imparfaite certes, mais enchanteresse, et il resta un moment à la suivre.
Les illustrations de Toshio Saeki me semblent avoir été très inspirées du récit de Kawabata
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