Rappel de l'épisode précédent : la narratrice et son mari ont pris rendez-vous avec un black pour une première expérience
candauliste. Après un dîner au restaurant, ils se retrouvent tous les trois dans une chambre d'hôtel.
Claude m’a fait asseoir sur l’unique chaise devant le petit bureau. Mes deux hommes ont pris place chacun au pied d’un lit.
Claude m’a donné les premières instructions :
- Odette, s’il te plaît, soulève ta robe, ouvre les cuisses et montre ta culotte à Samuel.
J’ai obéi en regardant intensément Samuel. Ses yeux sont venus se poser sur mon ventre.
- Penche-toi un peu en arrière et écarte ta culotte qu’il voie ta chatte…
J’étais très mouillée et mes lèvres étaient toutes gonflées de désir. Quand j’ai ouvert à deux doigts ma vulve, Samuel
s’est levé. Tout en ne me quittant pas des yeux, il s’est lentement déshabillé. Pour finir, faisant glisser son boxer le long de ses cuisses musculeuses, il a libéré une bite de très belle taille
quoiqu’à peine bandante. En dehors de quelques films pornos, je n’avais jamais vu de bite noire et aussi grosse. Je la dévorais déjà des yeux.
Toute à mes fantasmes, j’en avais négligé Claude. Lui aussi s’était déshabillé et discrètement installé sur son lit, le sexe
à la main, afin de ne rien perdre du spectacle que nous allions lui offrir. Au cours des trois heures de folie qui ont suivi, je n’ai pas oublié que mes désirs étaient aussi ceux de mon mari.
Alors, à chaque instant, j’ai fait en sorte qu’il voie TOUT, qu’il ne soit pas déçu ou frustré, qu’il ne sente pas exclu. Souvent je lui parlais, je lui disais mon bonheur, je lui demandais ce
qu’il ressentait et ce qui lui ferait plaisir…
Mais cela ne m’empêchait pas de me donner tout entière à Samuel. Aucune parcelle de mon corps ne lui était interdite :
il pouvait y poser les doigts, les yeux, les lèvres et son sexe désormais en érection permanente que je tenais à deux mains. Samuel avait la peau très douce, soyeuse et chaude. Je m’enivrais de
l’odeur de ses aisselles, de son pubis planté de poils crépus et de sa bite que je suçais avec délectation. Il n’était pas en reste, faisant de ses lèvres la fête à mes seins, à ma nuque, à
ma chatte, à mon cul qu’il léchait de sa langue féline.
- Chéri, regarde comme je mouille !!! Je sens que ça vient… Donne-moi ta main, je vais jouir… Oh, ça y est !
C’est Claude qui s’est chargé d’enfiler le préservatif sur la queue raide de Samuel et qui a présenté la tête du gland au
bord de mon vagin. Puis il a regardé l’énorme bite s’enfoncer en moi, me dilater la vulve… Jamais je n’avais éprouvé tant de plaisir à me faire pénétrer. C’était comme un accouchement à l’envers,
un enfantement où la douleur avait été remplacée par l’intensité de la jouissance.
Maintenant, le visage de Claude était tout près du mien. Les yeux dans les yeux, on se chuchotait des confidences.
- Oh, mon chéri, tu ne peux pas imaginer comme c’est bon !
- Et toi, tu ne peux pas imaginer combien je suis heureux ! Tu es si belle !
- Tu bandes ?
- Oui, comme jamais je n’ai bandé…
Pendant ce temps, la bite de Samuel labourait mon ventre huileux. Les mains passées sous mes fesses, il m’ouvrait la
vagin afin de me pénétrer jusqu’aux couilles. Jamais je ne serais crue aussi profonde, aussi large, aussi salope… Je sentais ma mouillure couler sur mon périnée et mon cul dilaté avant de se
répandre sur le drap. J’ai eu un premier orgasme qui m’a surpris par sa soudaineté, puis un second tout aussi inattendu. Je ne lâchais pas la main de Claude qui me regardait avec amour.
- Jouis, mon Odette adorée… Jouis encore et encore ! Pense à la grosse bite que tu as dans le ventre, une belle queue de
black qui ne bande que pour toi, pour ta chatte, pour ton cul…
- Tu crois que je pourrai ?
- Quoi ?
- Me la mettre dans le cul…
Mes propres paroles m’ont rendue lubrique. J’avais maintenant envie de pornographie, d’obscénité. Sans doute Samuel avait-il
deviné ce désir nouveau dans les ondulations de mon bassin qui venait à la rencontre de son sexe. Il accéléra tellement la cadence que je suis me sentie plonger dans une sorte de transe
orgasmique faite de frissons, de râles, de coups de rein et de propos incohérents. Seule l’éjaculation de Samuel dans son préservatif a mis provisoirement fin à mon délire en continu. Les
soubresauts de sa bite m’ont ébranlé le col de l’utérus, inondée de cyprine et brusquement apaisée.
Pendant l’entracte qui a suivi, nous avons partagé une bouteille de champagne. J’étais sur un des deux lits avec Samuel,
Claude sur l'autre qui nous observait tout en branlant doucement sa bite tendue comme un ressort.
Assise en tailleur sur le lit, une flûte de champagne dans une main, de l’autre je tenais le sexe de Samuel. Même au repos,
il était impressionnant. Samuel qui jusque-là s’était montré très discret, voire réservé, me parlait tendrement tout en me caressant. Il me tutoyait et ce tutoiement abolissait les
tabous.
- Ne me lâche pas, ta main est chaude et douce, aussi douce que ton sexe. Tu vas bientôt le sentir grossir sous tes doigts.
Odette, écarte plus les cuisses que je te prépare le trou du cul… Car c’est de ça que tu as envie maintenant, de ma queue dans ton cul, n’est-ce pas ? Allez, dis-le moi… Je veux te
l’entendre dire…
- Oui, je veux que tu m’encules…
- Devant Claude ?
- Surtout devant Claude, qu’il voie ton énorme bite s’enfoncer entre mes fesses écartelées…
- Et après ?
- Je veux que vos foutres se mélangent dans les poils de ma chatte…
Tout en me parlant, il m’avait glissé deux puis trois doigts dans le cul et me malaxait le rectum avec une grande douceur. Je
me devinais toujours plus ouverte, plus disponible à toutes les audaces. Quand il m’a jugée prête, Samuel m’a fait mettre à quatre pattes sur le lit, la croupe en l’air, les fesses bien écartées
dans la position d’une chienne en chaleur. Claude nous a rejoints et s’est agenouillé devant moi, de sorte que sa bite en rut soit à portée de ma bouche. En se penchant en avant, il avait une vue
imprenable sur mes fesses et le trou de mon cul.
Bien que généreusement lubrifiée, il a fallu des efforts et de la patience pour accueillir dans mon cul la bite de Samuel. Ce
n’était pas vraiment douloureux, mais comme un gigantesque suppositoire qui s’enfonçait dans mes entrailles. Claude m’encourageait :
- C’est magnifique, Odette ! Je n’ai jamais rien vu d’aussi beau. Si tu savais comme je t’aime en ce moment même !
Tu me donnes la plus belle preuve de ton amour. Chérie, tu es belle à mourir…
Je l’écoutais et ses mots tendres avaient le pouvoir de m’exciter davantage.
- Oh, Samuel, vas-y, défonce-moi le cul ! Dis-moi que je suis une salope de bourgeoise en chaleur…
Alors, tout est allé très vite et j’ai vécu la suite comme dans un rêve éveillé. Je me souviens d’un dernier orgasme
fulgurant, de la bite de Claude dans ma bouche, de giclées de sperme qui m’ont aspergé le ventre, de lèvres qui m’embrassaient, et d’un long sommeil profond et très serein…
Quand je me suis réveillée, le lendemain matin, il faisait grand jour. Samuel était parti depuis très longtemps. Claude était
assis, tout habillé, au bord de son lit et caressait des yeux mon corps nu. Je me suis levée et je l’ai enlacé avec tendresse.
- Je suis heureuse, et toi ?
- Moi aussi… Peut-être qu’un jour, on pourra recommencer…
- Pourquoi pas ! Mais cette fois, ce sera à mon tour d’être spectatrice…. Tu as des préférences ?
- Oui, mais on en reparlera un autre jour…
FIN
© Michel Koppera, janvier 2014
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