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Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Après les combinaisons hétérosexuelles, il est grand temps d'aborder les trios homosexuels. À commencer par les lesbiennes où vous ne manquerez pas de noter que les illustrateurs (des hommes) ne peuvent s'empêcher d'introduire dans le triangle amoureux un élément masculin sous la forme d'un godemichet
Un petit supplément aux articles récents, avec deux photos amateur bien représentatives du plaisir candauliste et un lien pour une vidéo de six minutes (sans son, mais c'est beaucoup mieux comme ça) d'un unique plan séquence : un camescope au cadrage fixe : sur le lit une femme qui chevauche un inconnu, son mari qui assiste, encourage, prend même des photos. Un grand moment de pur candaulisme.
Nouvelle combinaison : 2 hommes pour une femme. Comme l'écrivait Benjamin Péret, "Il faut être deux pour être trois".
Fils d'un laboureur d'Amette dans le nord du royaume de France, Benoît-Joseph Labre était l'aîné d'une famille de quinze enfants. Il passa sa jeunesse au travail des champs avec son père mais rêvait de devenir moine. Après plusieurs tentatives infructueuses pour entrer dans une congrégation, il devint une sorte de routard-pélerin. La route était son monastère.
En sept années, il parcourut à pied plus de 30 000 kilomètres, passant par l'Espagne, la Suisse, l'Allemagne et même la Pologne, dans un total dénuement et partageant la vie des mendiants et des plus pauvres. Mais à chaque fois ses pérégrinations le ramenaient à Rome où il passait ses journées en prières. C'est là qu'il mourut le mercredi saint de l'an 1783. Dès sa mort, les miracles se multiplièrent sur son tombeau. Il fut béatifié en 1860 et canonisé en 1883. Benoît-Joseph est devenu le saint patron des SDF, des pauvres et des exclus.
Suite de la combinaison 2 femmes pour un homme.
"Les chaînes du mariage sont lourdes, il faut être deux pour les porter, parfois trois." (Alexandre Dumas fils)
En 1974, sortait Le trio infernal, film de Francis Girod avec dans les rôles principaux Michel Piccoli, Romy Schneider et Mascha Gonska. L'histoire, tirée d'un fait divers réel des années 20, d'un avocat véreux qui se livre à des magouilles financières avec la complicité de deux soeurs qui sont aussi ses amantes.
L'occasion de vous proposer une première galerie d'illustrations sur la combinaison 2 femmes pour un seul homme. Trio infernal ? Plutôt trio paradisiaque, si l'on en croit les images...
Aujourd'hui, début d'une série d'articles (surtout de galeries d'images coquines) sur le thème du trio, décliné sous toutes ses formes. Commençons par le trio musical.
Comme à la télé... ou presque.
Un dîner presque parfait est une émission diffusée depuis 2008 sur M6 du lundi au vendredi à 17 h 40.
Le principe : 5 candidats habitant dans la même ville doivent tour à tour inviter les quatre autres à dîner. Chaque candidat est noté par ses hôtes sur la qualité du repas, l'ambiance de la soirée ( animation, convivialité...) et la décoration de sa table. Le vainqueur de la semaine gagne la somme de 1000 €.
Mes aventures et mésaventures, # 13
Pauline G*, mai-octobre 1977
Elle se prénommait Pauline, elle était gauchiste, tendance trotskyste. Elle était petite et boitait, séquelles d’une attaque de poliomyélite dans son enfance. Pauline avait le visage rond, un regard de myope derrière ses lunettes, les cheveux châtains coupés à la Sylvie Vartan. On se rencontrait parfois dans des bars pour discuter à bâtons rompus de la révolution ; elle croyait encore au grand soir ! À l’époque, j’étais plutôt situationniste et lecteur de Guy Debord. Pour moi, c’était l’époque où mon couple avec Anne partait en vrille. Anne passait deux semaines par mois à Paris où elle poursuivait ses études.
C’est à la suite d’un pari
perdu (sur l’année de la mort de Lénine) que je suis tombé entre les mains de Pauline. L’enjeu du pari était un repas que le perdant devait offrir au gagnant. Plutôt qu’un banal restau, je
lui ai proposé d’aller chez elle lui cuisiner un menu spécial : coquilles saint Jacques et profiteroles. J’apporterais aussi le vin : chablis et pomerol. Le soir dit, je suis donc
arrivé avec mes victuailles. Pauline me reçut chaleureusement, vêtue d’une sorte de djellaba bleue qui lui allait très bien. Première surprise, pour dîner, il n’y aurait ni table, ni chaises. Le
sol du salon était recouvert d’un épais tapis flocatis avec de gros coussins pour prendre ses aises. On posait les assiettes sur un grand plateau de cuivre à même le sol. Deuxième surprise,
Pauline apprécie ce que je lui ai préparé et aussi le vin. Pendant tout le dîner, on ne parle pas une seule fois politique, mais musique, expos et littérature. On écoute du Pink Floyd et du
Leonard Cohen. Et puis, alors que nous sommes vautrés sur les coussins, un peu ivres tous les deux, Pauline se colle contre moi et, sans hésiter, s’attaque à mon jean : ceinturon, boutons et
braguette, slip… Rien ne lui résiste.
Ce qui l’intéresse, c’est ma bite ! Une fois qu’elle l’a en main, elle la tient délicatement entre ses doigts comme un cierge : elle la caresse, la couve du regard, la branle, la lèche, la suce, l’avale jusqu’à la luette. Je soulève sa djellaba. Troisième surprise : là-dessous, elle est intégralement nue ! La première chose que je vois, c’est son sexe à la touffe discrète dont la fente est luisante de mouillure. Elle est vraiment trempée .De ma main libre, je débranche les lampes du salon de façon à ne garder qu’une sorte de veilleuse qui plonge la pièce dans une lumière orangée. Alors seulement, elle se déshabille. On baise sur place.
Pauline est si petite et légère que j’ai l’impression d’avoir une poupée vivante dans mes bras. Mais un jouet très lubrique, une vraie affamée de bite. Il la lui faut partout : en bouche, en mains, en con, en cul. Son corps est menu mais ses orifices sont larges, profonds et généreux. Ses petits seins font merveille comme tétines. Son plaisir, c’est d’observer ma queue qui s’enfonce en elle, grâce à deux grands miroirs posés contre les murs. Au cours de cette première nuit, on a baisé sans discontinuer jusqu’au petit matin. Pendant les entractes, on se mettait en 69, moi dessous, elle dessus, et je lui léchais le con et le cul jusqu’à plus soif, pendant qu’elle me pompait encore et encore…
C’était en mai. À partir de là, on s’est rencontrés régulièrement plusieurs fois par semaine pour baiser. Cela a duré jusqu’en octobre. Pauline était toujours aussi obsédée par ma bite à
laquelle elle vouait un véritable culte qui lui faisait perdre tout contrôle d’elle-même. Ce que je n’avais pas prévu, c’était qu’elle allait tomber amoureuse de moi. Aussi, lorsqu’en octobre,
j’ai rencontré Julia et que j’ai voulu mettre fin à nos soirées, j’ai dû affronter les pleurs, les suppliques, puis plus tard le chantage (elle me menaçait de tout révéler à Julia qui
malheureusement pour elle était déjà au courant de tout !). Finalement, Pauline renonça et retourna à ses réunions politiques où elle put dire tout le mal qu’elle pensait de moi.
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