Jeudi 6 février 2014
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Mes aventures et mésaventures, # 10
Marion X, été 1967
Vacances familiales au camping
« Les Dunes » à C* sur mer. Il y a des groupes d’ados qui se sont constitués le temps de l’été. Au programme, bains de soleil sur le sable, jeux de ballon, baignades… Et le soir venu,
séance ciné ou boum dans le sous-sol d’une villa. Dans notre groupe, on est une bonne douzaine. Parmi les filles, il y a Marion, venue du Nord avec toute sa famille, la caravane et les tentes.
Marion a 14 ans, des maillots de bain deux pièces d’un bleu outremer, la peau blanche et satinée, les cheveux châtains, des yeux noisette, un beau sourire et des taches de rousseur sur les
pommettes.
Un après-midi du mois d’août, quelques jours avant son départ, nous nous retrouvons allongés côte à côte dans les dunes, sous
un soleil de plomb, à l’abri du vent et des regards. Sa petite sœur et mon petit frère jouent ensemble à quelques mètres de nous, jeux de pelles, de seaux et de râteaux. Marion et moi sommes
allongés sur le ventre, nos visages tournés l’un vers l’autre, les yeux dans les yeux. On ne se parle pas, on se regarde, et son regard me dit son désir. Alors, tout doucement, telle un serpent,
ma main entame une lente reptation sur la serviette de Marion, jusqu’à sa hanche où elle s’arrête. Sans un mot, sans quitter mon regard, Marion soulève imperceptiblement son bassin pour permettre
à ma main de me glisser sous son ventre. Mes doigts reprennent leur lente et silencieuse reptation, frôlent son nombril et plongent plus bas, se faufilent dans son maillot de bain, atteignent
enfin sa touffe… Marion écarte un peu les cuisses. Ma main descend encore plus bas, dans sa fente très humide. Sa touffe dans ma paume, mes doigts au bord de sa vulve gluante, Marion se laisse
retomber de tout son poids sur ma main qu’elle retient prisonnière. Puis, toujours sans un mot, toujours son regard dans le mien, elle commence à se branler sur ma main. Son désir inonde mes
doigts. À petites pressions, à force de contractions spasmodiques des cuisses et du pubis, elle finit par jouir. Au moment fatidique, elle ferme simplement les yeux et sourit en soupirant très
doucement.
Quand c’est terminé, elle se soulève un peu pour libérer ma main, se lève brusquement et file vers la mer pour aller se
baigner en entraînant les petits dans son sillage. Je suis resté seul au creux des dunes, avec mon érection dérisoire et mon désir inassouvi
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