Vendredi 4 avril 2014 5 04 /04 /Avr /2014 13:38

Après les plaisirs de l'offrande, puis ceux du voyeurisme, voici venu le temps de la participation. Participer pour encourager, pour dire combien on est heureux et fier,.. Notez au passage que dans la plupart des situations, le partenaire d'un jour est comme exclu du couple. Certes il possède la femme, mais ce n'est qu'un outil. Son rôle dans le scenario se résume à celui de son sexe.

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Jeudi 3 avril 2014 4 03 /04 /Avr /2014 12:31

Deuxième volet de la série d'images consacrées au candaulisme. Après l'offrande, il y a le spectacle. Il s'agit désormais de regarder, d'observer, d'admirer... et de jouir de ce spectacle. Il y a souvent beaucoup de complicité dans les regards échangés...

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Mais il arrive aussi que le spectacle soit vécu comme une humiliation acceptée et désirée

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Mercredi 2 avril 2014 3 02 /04 /Avr /2014 12:31

Voici le bilan chiffré du blog pour le mois de mars 2014.

Depuis sa création le nombre de pages lues est de 3 210 835 

Pour le seul mois de mars 2014, ce nombre est de 124 755

Le top 5 des albums les plus visités :

n° 1. Album insolite : 2439 visites

n° 2. Vulves bovines : 1733 visites

n° 3. Beautés : 1469 visites

n°4. Vénus callipyges : 1246 visites

n° 5. Beautés noires et métisses : 1095 visites

L'aricle le plus lu du mois est :  "Images du candaulisme # 1" avec 1719 visites. 

Cela fait d'ailleurs plusieurs mois que les articles et textes inédits ayant pour thème le candaulisme sont les plus consultés sur ce blog. Afin de continuer de vous satisfaire, je vous ppopose une série de quatre galeries de photos ou de dessins consacrés au candaulisme, à partir de quatre verbes : offrir, regarder, participer, se souvenir

Commençons aujourd'hui par le plaisir d'offrir, du moment à forte charge émotive où la mari (ou compagnon habituel) présente sa femme à un inconnu.

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Mardi 1 avril 2014 2 01 /04 /Avr /2014 11:43

1er avril : allons-y de notre modeste contribution !

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Lundi 31 mars 2014 1 31 /03 /Mars /2014 14:08

Hans Bellmer ( kattowitz 1902 - Paris 1975). Hans Bellmer fut un artiste majeur du mouvement surréaliste. Il se consacra d'abord à la peinture et au dessin, mais en 1933, à l'arrivée des nazis au pouvoir en Allemagne, il décida de ne plus rien produire qui puisse être utile à l'état. C'est alors qu'il créa son oeuvre la plus connue : la poupée.

En 1938, classé dans la catégorie des "artistes dégénérés" et menacé par le régime, il quitta l'Allemagne pour s'installer à Paris. Il passa la plus grande partie de la guerre dans la clandestinité.

Je vous propose ici une galerie de dessins de Bellmer, facilement reconnaissables à sa technique de superposition et d'enchevêtrement des figures, ainsi qu'à la multiplication des lignes de relief, à la manière d'un relevé topographique.

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bellmer8- Analogies 1968, burin et pointe sèche sur vélin

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Samedi 29 mars 2014 6 29 /03 /Mars /2014 10:52

Dans un article daté d'octobre 2012 (voir lien ci-dessous), j'avais présenté quelques photos de la compagne slave d'un lecteur du blog. Il y a quelques jours, ce même lecteur m'a de nouveau adressé quatre photos récentes du fessier de sa compagne, photos prise lors d'une escapade amoureuse à Amsterdam. Notre lecteur voue un amour sans borne au cul de son amie et on le comprend.

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Vendredi 28 mars 2014 5 28 /03 /Mars /2014 09:33

Comme à la télé... ou presque.

Des trains pas comme les autres  est une série documentaire française diffusée depuis janvier 1987 d'abord sur Antenne 2, puis France 2 et, depuis 2006, sur France 5. Il s'agit en 52 minutes, dans un voyage en train, de découvrir un pays, le plus souvent lointain, à travers ses lignes ferroviaires.

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Jeudi 27 mars 2014 4 27 /03 /Mars /2014 08:50

Rappel : La soirée se poursuit en dansant. Colette se retrouve nue en galante compagnie

reveillon9J’aurais peut-être dû les laisser, aller me coucher comme l’avait fait Corinne. Mais non, je suis resté en proie à une curiosité malsaine. Cette nuit-là, j’ai compris ce qu’était le plaisir intense du voyeur. Je ne saurais dire si je bandais ; je crois que non, mais l’essentiel était ailleurs. L’important, c’était qu’à quelques mètres de moi, sous mes yeux, Colette, mon épouse bien aimée, la mère exemplaire des nos enfants,  ma fidèle compagne, était nue sur un tapis de matelas, en train de faire l’amour avec quatre hommes et une femme. Des quatre mâles, Gérard était sans conteste le mieux membré. Il arborait une grosse bite circoncise, trapue, assez longue et droite. Les trois autres se situaient dans une honnête moyenne, sans prétention. Quant à Solange, blonde de chevelure mais brune de chatte, elle avait une belle poitrine, assez généreuse pour astiquer une queue entre ses deux seins.reveillon8

Faire l’amour n’est pas l’expression adéquate pour décrire ce qui se déroulait devant moi. Après plus de quinze années de vie commune, je croyais connaître Colette. Je mesurais brutalement toute l’étendue de mon ignorance : Je la croyais sage, je la découvrais salope ; je la croyais discrète, je la découvrais obscène ; je la croyais passive et soumise, je la découvrais pleine d’initiatives… Rien ne lui était interdit, comme de lécher le con de Solange ou le cul de son mari, de prendre une paire de couilles en bouche, de se faire baiser et enculer en même temps, de laper du sperme répandu sur les seins de Solange avant de le recracher dans la bouche de Gérard, de dire avec innocence les mots les plus orduriers… Je suis incapable de me souvenir combien de fois elle a joui, sans doute une bonne demi-douzaine d’orgasmes à en juger par ses cris et ses râles de féline. Dans ma mémoire sont à jamais gravés quelques tableaux vivants, figés dans la cire tiède de la nostalgie. Comme la fragile et éphémère figure de leurs six corps enchevêtrés, emboîtés, encastrés. Colette avait deux bites dans le vagin et une troisième dans la bouche, deux doigts de Solange dans le cul, et dans la main droite la bite de François qu’elle branlait avec l’énergie du désespoir. Malgré leur surnombre, les quatre mâles avaient le plus grand mal à satisfaire les deux femelles. Bien que moins déchaînée que Colette, Solange n’était pas en reste : elle affichait un goût prononcé pour les fellations profondes et le cunnilingus qu’elle dispensait à langue et lèvres que-veux-tu.

reveillon6Vers 3 heures du matin, le combat cessa faute de combattants en érection. Ils renoncèrent l’un après l’autre, prenant la queue basse le chemin de la salle de bain pour y chercher l’absolution d’une douche chaude. Colette fut la dernière, mais avant d’aller se livrer à ses ablutions, elle a tenu à venir vers moi. De près, son corps portait les stigmates de sa luxure : traînées de sperme séché, vulve suintante de foutre, anus tourmenté et tuméfié comme une anémone de mer, commissures des lèvres engluées de salive et de sperme mêlés, cheveux empesés… Il flottait autour d’elle une forte odeur de sueur lubrique, odeur de sexe, puissante et envoûtante comme un parfum de luxe. Ensemble, tout en discutant,  nous avons partagé une cigarette.

- Alors, tu ne t’es pas trop ennuyé ?

- Non… Le spectacle valait le coup.

- Vrai ? Je l’ai fait aussi pour toi,  je ne voulais pas te décevoir.

- Je sais, je t’en remercie. Bonne année, ma chérie.

 

Quand nous nous sommes levés, le lendemain, vers midi, tous les autres invités étaient déjà partis. Il ne restait plus donc qu’Alain et Corinne. Cette dernière, encore patraque, n’arrêtait pas de répéter qu’elle était navrée de nous avoir abandonnés en pleine soirée, qu’elle était  morte de honte, qu’elle aurait tant aimé faire la fête avec nous… Colette l’a consolée en lui disant qu’il ne fallait surtout pas qu’elle se sente coupable, que cela aurait pu arriver à n’importe lequel d’entre nous… Pendant ce temps, Alain remettait de l’ordre dans la maison. Alors qu’il passait près de la cheminée, je l’ai vu se baisser et ramasser un morceau de tissu rouge qu’il a prestement fourré dans la poche de son pantalon : c’était le string de Colette.

FIN

 

© Michel Koppera, mars 2014

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Mercredi 26 mars 2014 3 26 /03 /Mars /2014 06:36

Rappel : Colette et Michel ont été invités par des amis à fêter ensemble la Saint Sylvestre au Croisic

Lorsque nous sommes arrivés sur place, le 31 décembre vers 20 heures, dans la douceur océane et le vent, tous les invités étaient déjà là. Nous ne serions que huit. Bien sûr, il y avait Corinne et Alain qui faisaient partie du cercle de nos amis depuis près de 15 ans. Il y avait aussi un autre couple, Solange et Denis, qu’Alain nous présenta comme d’anciens collègues de bureau. Puis deux hommes d’une trentaine d’années : François, le jeune frère de Corinne, dont je connaissais déjà l’existence mais que nous n’avions jamais rencontré, et un certain Gérard dont je ne compris pas très bien le lien de parenté avec Denis. Tout ce petit monde s’affairait à la cuisine et dans la grande salle à manger pour préparer la soirée. Dans la salle, il y avait un sapin de noël tout enguirlandé, une cheminée avec un feu de bois bienvenu et, dans un coin, une chaîne hifi où Gérard s’était improvisé DJ et assurait l’ambiance musicale.

reveillon13Comme convenu, nous avions apporté le foie gras et du champagne. Alain et Corinne s’étaient occupés du plateau de fruits de mer et du muscadet, Solange et Denis du dessert, les deux autres  du fromage, du vin rouge et de l’apéro. Dans sa petite robe de soie noire, Colette était resplendissante. Tout s’annonçait pour le mieux.

Nous sommes passés à table vers 22 heures, après un apéro prolongé. J’ai eu l’impression que Corinne était déjà un peu ivre : elle parlait haut et riait aux éclats sans raison. Colette a pris place entre Gérard et Alain, moi, je me suis retrouvé en bout de table, à côté de Solange et de François.

Jusqu’à minuit, la soirée se déroula sans accroc : on mangeait, on buvait, on parlait, on riait. On était heureux d’être ensemble. Au zéro du traditionnel compte à rebours, on s’est embrassés en se souhaitant tout le bonheur du monde. C’est là que j’ai réalisé que Corinne était maintenant complètement soûle et qu’elle tanguait sérieusement. À peine les vœux échangés, elle s’est affalée dans un canapé où elle s’est bientôt assoupie. Alain était désolé. Je l’ai aidé à accompagner – ou plutôt porter-  Corinne jusqu’à leur chambre au premier étage.

- Elle était trop fatiguée, m’a dit Alain pour l’excuser. C’est quand même la première fois que je la vois dans cet état !reveillon12

Quand on est redescendus dix minutes plus tard, la soirée avait pris pendant notre courte absence une nouvelle tournure. La table avait été poussée contre le mur et la pièce transformée en boîte de nuit. Gérard était à la platine. Le lustre avait été éteint et remplacé par un éclairage indirect. Sur la piste, les autres se trémoussaient au rythme du disco. Alain s’y est mis aussi. Moi, je ne suis pas très danse, j’ai quand même fait un effort pour ne pas avoir l’air rabat-joie. Mais au bout de deux tubes de déhanchement, j’ai renoncé et trouvé refuge dans un fauteuil en compagnie d’un cognac millésimé. Je regardais amoureusement Colette onduler comme une algue au rythme des basses. Qu’elle était belle dans sa petite robe de soie noire !

Puis Gérard a lancé le premier slow. Deux couples sont restés sur la piste : Solange avec Gérard qui avait abandonné son poste de DJ pour laisser tourner une cassette audio, Colette et Denis. Et dès le début, j’ai vu qu’il se passait quelque chose d’anormal : ils se tenaient trop serrés, les mains des hommes se posaient trop bas… Il y avait dans l’air comme une drôle d’atmosphère. Pour le second slow, Colette s’est retrouvée dans les bras de François. Je ne les quittais pas des yeux. Le slow, c’était « Nights in white satin » des Moody Blues, on en avait pour un bon quart d’heure. Et là, j’ai clairement vu que Colette se laissait peloter les fesses. De l’autre main, François lui caressait les seins. Le visage niché au creux du cou de son cavalier, elle se laissait faire. Au bord de la piste,  un verre de champagne à la main et le sourire aux lèvres, les autres observaient la scène. Je crois qu’en temps normal, me connaissant, je serais immédiatement intervenu pour les séparer et mettre un point final à cette humiliation. Et là, étrangement, non seulement je ne bougeais pas d’un  pouce, mais je sentais au fond de moi naître un plaisir inconnu et troublant. Un peu comme un metteur en scène de cinéma qui voit ses acteurs s’écarter du scénario, improviser des répliques et des gestes, créer des situations inédites, et qui n’ose pas les interrompre de peur de passer à côté de quelque chose de génial. Alors, je suis resté dans mon fauteuil à les regarder danser, seuls au milieu de la pièce, même s’il n’était plus désormais question de danse.

reveillon15En effet, Colette se trouva bientôt retroussée jusqu’à la taille, le cul à l’air, avec juste la ficelle de son string rouge disparaissant entre ses fesses. Ils s’embrassaient à pleine bouche. J’ai vu aussi qu’elle avait ouvert la braguette de son cavalier et lui tenait fermement le sexe. Après les Moody Blues, ce fut Scorpion. Le cercle des autres s’était resserré. Lentement, Colette fut entièrement déshabillée. Les cinq autres en firent autant, tout en continuant de la caresser, de l’embrasser. Puis les quatre hommes allèrent dans les chambres chercher deux matelas qu’ils étendirent par terre, devant la cheminée. C’est alors seulement que Colette me regarda en souriant un peu tristement. Comme prise de remords, elle s’approcha, s’agenouilla près de moi et me prit la main:

- Tu es fâché ?

- Non, je ne crois pas.

- Tu sais, ça s’est fait naturellement, presque sans que je m’en aperçoive. Je ne te dis pas ça pour me chercher une excuse. J’ai l’impression que cela devait arriver et que, maintenant, il est trop tard pour revenir en arrière…

- Comme je sais que pour moi il est trop tard pour prendre le train en marche. Allez, vas-y, amuse-toi !

Les matelas étaient prêts et les acteurs en place. Colette m’a tendrement serré la main pendant qu’Alain venait l’inviter à les rejoindre devant la cheminée. Il lui caressa les seins, elle m’abandonna.

- Tu as de la chance d’avoir une femme comme elle, me dit Alain. Elle est vraiment fantastique !

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à suivre…

© Michel Koppera, mars 2014

 

 

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Mardi 25 mars 2014 2 25 /03 /Mars /2014 09:13

Avant-propos : Il y a quelque temps, Colette et Michel, un couple lecteur du blog, m'a envoyé une photo en me demandant si j'accepterais d'écrire une histoire à partir de cette image. C'est avec plaisir que j'ai relevé le challenge. Voici donc le texte original imaginé en partant d'une photo que vous aurez le plaisir de découvrir demain, à la fin de la deuxième partie de la nouvelle.

Bonne année, Colette !

 à Colette et Michel

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C’était en décembre 1985. La gauche était aux affaires, on y croyait encore un peu. On n’avait jamais entendu parler du SIDA.

- Allô, Michel ? C’est Alain. Dis, vous avez prévu quelque chose pour le réveillon du nouvel an ?

- Non… Pas vraiment.

- Alors, si ça vous dit, on vous invite. On va fêter ça, sans les gosses, dans notre villa du Croisic : c’est grand et ça résout le problème du couchage. On ne sera pas nombreux, une dizaine au maximum…

- Il faut apporter quelque chose ?

- Oui, si tu veux. Nous, on s’occupe des fruits de mer.

- Du foie gras et du champagne, ça irait ?

- Parfait ! Passe le bonjour à Colette. On vous attend au Croisic, le 31, en fin d’après-midi, disons 19 heures… Ça nous laissera le temps de tout préparer.

 

reveillon1Je me souviens que dans la semaine qui a précédé le réveillon, j’ai offert, comme chaque année, quelques frivolités à Colette : un ensemble string soutien-gorge rouge, un porte-jarretelles noir, une paire de bas et une petite robe de soie noire fendue sur la cuisse. La lingerie lui allait si bien ! De son côté, comme chaque année aussi, elle s’est fait faire une épilation intégrale – je veux dire du mont de Vénus à l’entrefesses – afin d’être nue comme au premier jour pour la nouvelle année. Comme Colette avait eu ses règles juste avant noël – nous l’avions fêté avec les enfants chez ses parents, ce qui tombait plutôt bien – nous savions que pour la nuit de la Saint Sylvestre, elle serait en pleine ovulation, c'est-à-dire dans d’excellentes dispositions pour célébrer sensuellement le nouvel an. Bien qu’inquiète de ne pas savoir exactement avec qui nous passerions cette soirée, l’idée d’un réveillon sans enfants dans une grande villa au bord de l’océan la ravissait.

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à suivre…

 

© Michel Koppera, mars 2014

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