Jeudi 13 mars 2014 4 13 /03 /Mars /2014 15:11

À partir du 20 mars, à Pontoise, vous pourrez admirer une galerie de dessins érotiques de Denis Verlaine (alias Denis). Ci-dessous affiche de l'expo.

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Ce sera aussi l'occasion de renouveler ici mon admiration pour cet illustrateur de grande classe !

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 10 mars 2014 1 10 /03 /Mars /2014 09:00

Comme à la télé... ou presque

Rendez-vous en terre inconnue est une émission diffusée sur France 5 puis sur France 2 depuis décembre 2004 et présentée par Frédéric Lopez qui en est aussi le concepteur. Le principe est d'emmener une célébrité (showbiz, sport, acteur...) pour quelques jours vers une destination lointaine à la rencontre d'un peuple méconnu.

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Dimanche 9 mars 2014 7 09 /03 /Mars /2014 09:26

Francesca Bussa de Leoni, née en 1384 et décédée en 1440. 

Parce qu'elle était issue de la bonne noblesse romaine, la jeune Françoise dut, à 13 ans, épouser Lorenzo de Ponziani, avec qui elle vécut un mariage heureux et exemplaire. Mais  dans l'oratoire de son jardin, elle réservait à Dieu ses conversations secrètes. Devenue veuve après 40 ans de mariage, elle se retira dans la petite congrégation des Oblates de Saint Benoit et consacra désormais sa vie à la prière et aux bonnes oeuvres. Elle mourut chez elle en soignant son fils malade.

C'est sans doute parce que la légende dit qu'elle était toujours accompagnée d'un ange gardien qui lui indiquait le bon chemin qu'elle est devenue la sainte patronne des automobilistes.

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Samedi 8 mars 2014 6 08 /03 /Mars /2014 09:00

Joao Ciudad, enfant portugais, fait à 8 ans une fugue et se retrouve vagabond sur les routes. Pendant 33 ans, il va mener une vie d'errance. Il parcourt l'Espagne étant tour à tour berger, soldat, serviteur, mendiant, journalier, infirmier, libraire... Il va même jusqu'à guerroyer contre les Turcs en Hongrie. Mais un jour, à Gibraltar, il assiste à un sermon de Saint Jean d'Avila qui l'exalte. Il va dès lors changer complètement de vie et se consacrer aux misérables et nécessiteux. Il ouvre un hôpital à Grenade et fonde l'Ordre des frères de la Charité, ou Frères Hospitaliers de Saint Jean de Dieu.

Saint Jean de Dieu est le saint patron protecteur des malades

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Vendredi 7 mars 2014 5 07 /03 /Mars /2014 09:00

Comme à la télé... ou presque.

Cauchemar en cuisine est une émission diffusée sur M6 depuis 2011, adaptée d'une émission britannique ayant pour titre Ramsay's Kitchen Nightmares.

Dans chaque épisode, le chef Philippe Etchebest intervient pour tenter de redresser la situation d'un restaurant en grande difficulté et au bord du dépôt de bilan.

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C'est le cas le plus déterminé de suicide que je n'ai jamais vu


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Jeudi 6 mars 2014 4 06 /03 /Mars /2014 13:55

Les quatre saisons


J'aime à voir au printemps les chattes primevère

Leur timide bouton de narcisse pascal

Leur vulve délicate aux pétales d'iris

Et le doux friselis de leur gazon en fleur

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J'aime à voir en juillet les belles de nuit s'épanouir

Les hortensias de leurs seins à l'ombre s'arrondir

Alors que des senteurs de seringat et d'oeillet mauve

Montent de leur ventre au sexe d'abricot mûr

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J'aime à voir au soleil bas et blanc de novembre

Sur leur pubis de marbre fleurir les chrysanthèmes

Des parfums de pommes et de poires comice

S'accrochant à l'épaisse bruyère de leur pelage d'automne 

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J'aime à voir en janvier palpiter les cons d'hellébore

Respirer le vétiver de leur cul grand ouvert

Et sous la sapinière persistante de leur mont de Vénus

Caresser et lécher le perce-neige de leur désir. 

© M.Moppera, mars 2014


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Mardi 4 mars 2014 2 04 /03 /Mars /2014 09:00

J'inaugure aujourd'hui une série d'articles sur le thème : "Comme à la télé... enfin presque". Il s'agit de reprendre des titres d'émissions culte et populaires, et d'en proposer une vision plus libertine... si vous voyez ce que je veux dire. On commence par "L'amour est dans le pré", émission de télé-réalité de M6 qui en est à sa 8ème saison et présentée par Karine Le Marchand...

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Lundi 3 mars 2014 1 03 /03 /Mars /2014 13:26

Le verbe jouir apparaît dans la langue française au XIIème siècle. C'est un dérivé du verbe latin populaire  "gaudere" qui signifie "se réjouir".

JOUIR : avoir du plaisir, profiter pleinement des plaisirs que procure ce que l'on a, ce qui s'offre.

Voir : Jouissance, jouisseur, jouissif

Cette même racine latine "gaudia" donnera le mot "joie"

À partir de là, le sens de certains mots ou expressions nous apparaît beaucoup plus clair. Comme la gaudriole (plaisanteries grivoises), les "filles de joie" ( qui donnent à jouir), ou même "les joyeuses" pour parler des testicules. (Je pourrais même y ajouter le nain "Joyeux" dans Blanche-Neige qui ne serait rien de plus qu'un jouisseur, représentant de la luxure, l'un des 7 péchés capitaux)

Sans oublier tous les dérivés du verbe "se réjouir" (1849). Rendre joyeux, mettre de bonne humeur. Ce qui nous amène aux réjouissances : joie collective.

Dans les "Petits poèmes en prose" ( 1862), Baudelaire écrivait :" Mais qu'importe l'éternité de la damnation à qui a trouvé dans une seconde l'infini de la jouissance"

Voici donc quelques instantanés où il me semble que le photographe est parvenu à saisir dans son objectif cette seconde d'infini. Il y a dans l'expression des visages, si proche parfois de la douleur, quelque chose qui ne trompe pas... Devant les photos de ces femmes au  paroxysme du plaisir solitaire, je ne peux m'empêcher de me souvenir des paroles d'une chanson de Charles Trénet où l'on avait surpris la bonne de la maison en train de "se donner de la joie" derrière une porte ( avec quel objet ? je me me souviens pas. Mais caty m'informe qu'il s'agit d'une passoire !) ... Comme d'habitude, je vous laisse juges.

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Dimanche 2 mars 2014 7 02 /03 /Mars /2014 09:00

Depuis le 30 janvier dernier, les Chinois sont entrés dans l'année du Cheval. Dans l'astrologie chinoise, le Cheval est fougueux et indépendant, mais surtout considéré comme un travailleur qui privilégie l'action. Il brille par sa créativité et a constamment beboin d'aller de l'avant...

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Vendredi 28 février 2014 5 28 /02 /Fév /2014 09:13

Rappel de l'épisode précédent : la narratrice et son mari ont pris rendez-vous avec un black pour une première expérience candauliste. Après un dîner au restaurant, ils se retrouvent tous les trois dans une chambre d'hôtel.

Claude m’a fait asseoir sur l’unique chaise devant le petit bureau. Mes deux hommes ont pris place chacun au pied d’un lit. Claude m’a donné les premières instructions :

- Odette, s’il te plaît, soulève ta robe, ouvre les cuisses et montre ta culotte à Samuel.

J’ai obéi en regardant intensément Samuel. Ses yeux sont venus se poser sur mon ventre.

- Penche-toi un peu en arrière et écarte ta culotte qu’il voie ta chatte…

mot-triple3-1J’étais très mouillée et mes lèvres étaient toutes gonflées de désir. Quand j’ai ouvert à deux doigts ma vulve, Samuel s’est levé. Tout en ne me quittant pas des yeux, il s’est lentement déshabillé. Pour finir, faisant glisser son boxer le long de ses cuisses musculeuses, il a libéré une bite de très belle taille quoiqu’à peine bandante. En dehors de quelques films pornos, je n’avais jamais vu de bite noire et aussi grosse. Je la dévorais déjà des yeux.

Toute à mes fantasmes, j’en avais négligé Claude. Lui aussi s’était déshabillé et discrètement installé sur son lit, le sexe à la main, afin de ne rien perdre du spectacle que nous allions lui offrir. Au cours des trois heures de folie qui ont suivi, je n’ai pas oublié que mes désirs étaient aussi ceux de mon mari. Alors, à chaque instant, j’ai fait en sorte qu’il voie TOUT, qu’il ne soit pas déçu ou frustré, qu’il ne sente pas exclu. Souvent je lui parlais, je lui disais mon bonheur, je lui demandais ce qu’il ressentait et ce qui lui ferait plaisir…

Mais cela ne m’empêchait pas de me donner tout entière à Samuel. Aucune parcelle de mon corps ne lui était interdite : il pouvait y poser les doigts, les yeux, les lèvres et son sexe désormais en érection permanente que je tenais à deux mains. Samuel avait la peau très douce, soyeuse et chaude. Je m’enivrais de l’odeur de ses aisselles, de son pubis planté de poils crépus et de sa bite  que je suçais avec délectation. Il n’était pas en reste, faisant de ses lèvres la fête à mes seins, à ma nuque, à ma chatte, à mon cul qu’il léchait de sa langue féline.mot-triple3-5

- Chéri, regarde comme je mouille !!! Je sens que ça vient… Donne-moi ta main, je vais jouir… Oh, ça y est !

C’est Claude qui s’est chargé d’enfiler le préservatif sur la queue raide de Samuel et qui a présenté la tête du gland au bord de mon vagin. Puis il a regardé l’énorme bite s’enfoncer en moi, me dilater la vulve… Jamais je n’avais éprouvé tant de plaisir à me faire pénétrer. C’était comme un accouchement à l’envers, un enfantement où la douleur avait été remplacée par l’intensité de la jouissance.

Maintenant, le visage de Claude était tout près du mien. Les yeux dans les yeux, on se chuchotait des confidences.

- Oh, mon chéri, tu ne peux pas imaginer comme c’est bon !

- Et toi, tu ne peux pas imaginer combien je suis heureux ! Tu es si belle !

- Tu bandes ?

- Oui, comme jamais je n’ai bandé…   

mot-triple3-3Pendant ce temps, la bite de Samuel labourait mon ventre huileux. Les mains passées sous mes fesses, il m’ouvrait la vagin afin de me pénétrer jusqu’aux couilles. Jamais je ne serais crue aussi profonde, aussi large, aussi salope… Je sentais ma mouillure couler sur mon périnée et mon cul dilaté avant de se répandre sur le drap. J’ai eu un premier orgasme qui m’a surpris par sa soudaineté, puis un second tout aussi inattendu. Je ne lâchais pas la main de Claude qui me regardait avec amour.

- Jouis, mon Odette adorée… Jouis encore et encore ! Pense à la grosse bite que tu as dans le ventre, une belle queue de black qui ne bande que pour toi, pour ta chatte, pour ton cul…

- Tu crois que je pourrai ?

- Quoi ?

- Me la mettre dans le cul…

Mes propres paroles m’ont rendue lubrique. J’avais maintenant envie de pornographie, d’obscénité. Sans doute Samuel avait-il deviné ce désir nouveau dans les ondulations de mon bassin qui venait à la rencontre de son sexe. Il accéléra tellement la cadence que je suis me sentie plonger dans une sorte de transe orgasmique faite de frissons, de râles, de coups de rein et de propos incohérents. Seule l’éjaculation de Samuel dans son préservatif a mis provisoirement fin à mon délire en continu. Les soubresauts de sa bite m’ont ébranlé le col de l’utérus, inondée de cyprine et brusquement apaisée.

Pendant l’entracte qui a suivi, nous avons partagé une bouteille de champagne. J’étais sur un des deux lits avec Samuel, Claude sur l'autre qui nous observait tout en branlant doucement sa bite tendue comme un ressort.

Assise en tailleur sur le lit, une flûte de champagne dans une main, de l’autre je tenais le sexe de Samuel. Même au repos, il était impressionnant. Samuel qui jusque-là s’était montré  très discret, voire réservé, me parlait tendrement tout en me caressant. Il me tutoyait et ce tutoiement abolissait les tabous.mot-triple3-4

- Ne me lâche pas, ta main est chaude et douce, aussi douce que ton sexe. Tu vas bientôt le sentir grossir sous tes doigts. Odette, écarte plus les cuisses que je te prépare le trou du cul… Car c’est de ça que tu as envie maintenant, de ma queue dans ton cul, n’est-ce pas ? Allez, dis-le moi… Je veux te l’entendre dire…

- Oui, je veux que tu m’encules…

- Devant Claude ?

- Surtout devant Claude, qu’il voie ton énorme bite s’enfoncer entre mes fesses écartelées…

- Et après ?

- Je veux que vos foutres se mélangent dans les poils de ma chatte…

Tout en me parlant, il m’avait glissé deux puis trois doigts dans le cul et me malaxait le rectum avec une grande douceur. Je me devinais toujours plus ouverte, plus disponible à toutes les audaces. Quand il m’a jugée prête, Samuel m’a fait mettre à quatre pattes sur le lit, la croupe en l’air, les fesses bien écartées dans la position d’une chienne en chaleur. Claude nous a rejoints et s’est agenouillé devant moi, de sorte que sa bite en rut soit à portée de ma bouche. En se penchant en avant, il avait une vue imprenable sur mes fesses et le trou de mon cul.

Bien que généreusement lubrifiée, il a fallu des efforts et de la patience pour accueillir dans mon cul la bite de Samuel. Ce n’était pas vraiment douloureux, mais comme un gigantesque suppositoire qui s’enfonçait dans mes entrailles. Claude m’encourageait :

- C’est magnifique, Odette ! Je n’ai jamais rien vu d’aussi beau. Si tu savais comme je t’aime en ce moment même ! Tu me donnes la plus belle preuve de ton amour. Chérie, tu es belle à mourir…

Je l’écoutais et ses mots tendres avaient le pouvoir de m’exciter davantage.

- Oh, Samuel, vas-y, défonce-moi le cul ! Dis-moi que je suis une salope de bourgeoise en chaleur…

mot-triple3-2Alors, tout est allé très vite et j’ai vécu la suite comme dans un rêve éveillé. Je me souviens d’un dernier orgasme fulgurant, de la bite de Claude dans ma bouche, de giclées de sperme qui m’ont aspergé le ventre, de lèvres qui m’embrassaient, et d’un long sommeil profond et très serein…

Quand je me suis réveillée, le lendemain matin, il faisait grand jour. Samuel était parti depuis très longtemps. Claude était assis, tout habillé, au bord de son lit et caressait des yeux mon corps nu. Je me suis levée et je l’ai enlacé avec tendresse.

- Je suis heureuse, et toi ?

- Moi aussi… Peut-être qu’un jour, on pourra recommencer…

- Pourquoi pas ! Mais cette fois, ce sera à mon tour d’être spectatrice…. Tu as des préférences ?

- Oui, mais on en reparlera un autre jour…

FIN

 

 

© Michel Koppera, janvier 2014  

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