Leone Frollo est un artiste italien né en 1931 à Venise. Auteur de BD, il est surtout connu pour ses illustrations érotiques et plus particulièrement ses tableaux lesbiens.
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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Leone Frollo est un artiste italien né en 1931 à Venise. Auteur de BD, il est surtout connu pour ses illustrations érotiques et plus particulièrement ses tableaux lesbiens.
Après l'émotion d'hier, retour à des choses plus légères... Comme le dit la promotion : " La montagne, ça vous gagne ! "
En ce jour de cérémonie planétaire à l'occasion de la mort de Nelson Mandela - quelle coïncidence ! -, pour une fois je ne ferai ni dans l'ironie, ni dans la dérision...
Mes aventures et mésaventures, # 8
Annick S*, 1986
Notre rencontre eut lieu lors du réveillon de la Saint Sylvestre chez des copains de mon frère que j’accompagnais pour l’occasion. Je vivais seul depuis près de trois années ; Annick aussi était seule, depuis plus longtemps encore. J’ai appris beaucoup plus tard que cette coïncidence n’avait rien de fortuit : notre relation avait été en quelque sorte programmée à notre insu.
Ce soir-là, il ne se passa rien entre nous, tout juste quelques regards échangés, mais rien de plus. Cependant, dans la semaine qui suivit, Annick me téléphona pour m’inviter à passer chez elle prendre un verre.
Annick avait mon âge et était caissière dans un supermarché (on ne disait pas encore hôtesse de caisse). Plutôt petite, blonde platine coiffée à la Sylvie Vartan, très grosse poitrine. Elle était mère d’un garçon de 12 ans, pensionnaire pendant la semaine dans une section sport-études. Le père ne donnait plus signe de vie. Le soir même de ce premier tête-à-tête, on s’est retrouvés dans le même lit. Notre liaison dura près de neuf mois.
Ce fut une étrange relation. Pendant presque un an, je partageai 2 à 3 fois par semaine le lit d’une femme blonde alors que j’ai toujours eu un faible pour les brunes. Plus étonnant encore, je me mis au tiercé dominical, à la belote familiale et aux rengaines du Top 50 !
Si en public Annick affichait beaucoup de réserve et de pudeur, dans l’intimité elle faisait preuve de beaucoup plus d’audace. Dans la douce chaleur de son petit appartement, elle portait des déshabillés d’un rose vaporeux qui ne cachaient presque rien de ses seins lourds et de son ventre au large pubis à la blondeur clairsemée. Elle aimait me branler entre ses seins qu’elle tenait à deux mains comme dans les films pornos dont elle était très friande. Mais le plus déroutant, c’était ses préférences sexuelles. Quand elle était excitée –lui téter les seins la rendait folle – Annick mouillait si abondamment que son sexe devenait une sorte de marécage où ma bite s’enlisait, trop à l’aise dans sa fente béante et comme savonnée. Alors, à chaque fois, elle me demandait de l’enculer et son rectum était aussi accueillant qu’un vagin où je m’enfonçais avec délice et aisance, pour son plus grand plaisir. Annick jouissait par le cul en se masturbant frénétiquement le clitoris.
Les semaines passèrent. On dînait ensemble, on baisait, on jouissait, on dormait… C’était notre rituel. Elle y croyait, moi pas.
En octobre 1986, alors que je venais de prendre possession de ma maison tout juste rénovée, Annick parla avec insistance de vie commune. Elle ne comprit pas mes réticences, puis mon refus. On en resta là. Je retourna à ma solitude, à mes travaux d’écriture un temps abandonnés. C’en était fini de la belote, du tiercé et du Top 50 !
Pour cette journée, je vous ai choisi une oeuvre de Banksy intitulée "Crudeoil". je ne saurais dire exactement pourquoi mais elle m'a paru bien correspondre au thème du jour ( peut-être à cause du parapluie, ou de la danse insouciante de ce couple sur la plage polluée).
Voici une petite galerie d'images tendres et chaleureuses qui nous réconcilient avec le genre humain...
Dans le grenier familial, j'ai retrouvé plusieurs exemplaires plus ou moins bien conservés du magazine "Mon film" datant des années 1947-1948. Voici quelques couvertures et dernières pages de la revue. Séquence nostalgie en noir et blanc et sépia...
Éloge de la pornographie
PORNOGRAPHIE : Description d’actes sexuels ayant pour objectif d’exciter sexuellement le spectateur ou le lecteur.
Au nom de la morale, du respect de la dignité humaine et du bon goût, il est convenu que l’érotisme est acceptable voire utile, au contraire de la pornographie qui doit être condamnée et combattue.
Selon l’opinion généralement admise, l’érotisme relève de l’art, la pornographie du commerce ; l’érotisme fait appel à l’imaginaire, il est l’expression sublimée du désir, alors que la pornographie attise les instincts les plus bas de l’être humain et le rabaisse au rang d’animal… En résumé, la pornographie est vulgaire, sale et bestiale.
Cependant, entre érotisme et pornographie, je choisis la pornographie. Je préfère le dit au sous-entendu, le montré au suggéré. Je me délecte des ouvrages d’Esparbec, de Pierre Louÿs et de Henry Miller. J’aime les substantifs con, bite, chatte et foutre ; les verbes baiser, branler, enculer ; les adjectifs obscène et indécent…
Mes lecteurs ne s’y sont pas trompés. Je me souviens du commentaire d’une lectrice lors de la parution du recueil de nouvelles « Osez 20 histoires de sex-toys » (Editions de la Musardine) où a pris place une de mes nouvelles intitulée « Le gros lot » : « Je suis allée directement à la nouvelle de Michel Koppera, je savais déjà que ce serait la plus hard, celle qui m’exciterait le plus ! » Le compliment m’avait flatté.
Alors oui, je suis un pornographe et je le revendique haut et fort. La pornographie me fait bander et c’est avant tout ce qu’on lui demande. J’aime inventer et raconter des histoires de cul bien salaces, j’y prends un réel plaisir et pour les mois à venir je vous annonce de nouveaux textes inédits à lire d’une seule main.
En attendant, je me permets de vous donner une liste de lectures pornographiques parmi celles que je considère comme les meilleures
- Henry Miller : Tropique du Cancer et Sexus
- Pierre Louÿs : Trois filles de leur mère
- Esparbec : La pharmacienne, Les mains baladeuses
- Restif de la Bretonne : L’Anti-Justine
- Anonyme : Ma vie secrète
- Françoise Rey : la femme de papier
- Alyna Reyes : le Boucher
- Sentilly : Le rideau levé
Et pour terminer, une petite galerie d’illustrations pornographiques aux fantasmes variés
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