Deuxième partie
Avertissement : pour répondre aux souhaits de la femme à qui il est dédié, ce texte a un contenu explicitement
pornographique.
Rappel de la première partie : En covoiturage avec la narrateur vers le Sud, Josette s'exhibe devant les routiers sur le
périphérique bordelais
Heureusement, notre jeune camionneur belge fut bientôt remplacé par un gros chauffeur allemand, en débardeur laissant voir des épaules et des biceps de déménageur, ornés de tatouages
du plus bel effet. Josette ne tarda donc pas à reprendre son numéro d’exhibitionniste. Afin d’exciter davantage son public, elle se permit même d’écarter sa culotte et de montrer ainsi sa vulve
toute moite de désir. Pour exprimer sa satisfaction, le chauffeur se passa la langue sur les lèvres et répéta un geste obscène avec son index coulissant dans l’anneau formé par son majeur et
son pouce réunis.
- Ça te dirait ? me demanda Josette en s’ouvrant la chatte à deux mains.
- Et toi ?
- Moi oui, je ne pense qu’à ça depuis ce matin.
Comme nous l’avions pressenti, le camion allemand quitta le périphérique en même temps que nous pour prendre la direction de
l’Espagne. Une fois sur l’autoroute, il nous laissa le dépasser et nous suivit docilement en attendant que nous nous arrêtions sur une aire de repos.
La jupe toujours retroussée, Josette se caressait doucement tout en me massant la bite à travers mon jean.
Il était près de 16h30 lorsque nous sommes entrés sur l’aire de repos « Lugos » Josette a vérifié dans le rétroviseur
que le camion allemand nous avait bien suivis. Il était là, juste derrière nous.
- Essaie de nous trouver une place tranquille, si possible sous les arbres.
J’ai trouvé l’endroit rêvé, tout au fond du parking. À cette heure-là, les aires d’autoroute sont plutôt calmes et désertes. Le
camion est sagement venu se ranger à nos côtés. Quelques minutes plus tard, on faisait connaissance dans le camping-car dont Josette, en femme prévoyante, avait tiré tous les rideaux, baissé les
stores et verrouillé la porte.
Notre compagnon parlait un français plutôt approximatif mais suffisant pour nous apprendre qu’il se prénommait Helmut, qu’il
avait 39 ans et qu’il se rendait au Portugal pour livrer des pièces de rechange pour des machines-outils. Helmut était très costaud, avec des muscles partout et un peu de bedaine.
Josette s’était mise entièrement nue et s’était assise en tailleur sur le grand lit deux places qui une fois déplié occupait à
lui seul presque tout l’espace habitable du camping-car. Difficile de ne pas avoir le regard attiré par ses seins aux mamelons grenus, sa grosse chatte velue, sa moule entrouverte et luisante de
mouillure.
En deux temps trois mouvements, Josette eut bientôt à ses côtés deux mâles en érection aussi peu habillés qu’elle et prêts à lui
donner tout ce dont elle aurait envie.
Elle commença par nous sucer alternativement ; les lèvres de Josette étaient douces, onctueuses. La bite d’Helmut était
impressionnante, tant par sa taille que par sa rigidité. Pour un peu j’en aurais fait des complexes. Pendant qu’elle nous taillait des pipes, on la caressait partout : la nuque, les épaules,
le dos, les seins… mais surtout le ventre et le cul où on glissait nos doigts. Josette était trempée et sa moule grasse clapotait dans nos mains.
Le premier acte de la séance de baise débuta par une double pénétration vaginale. Helmut était couché sur le dos avec Josette
assise sur sa queue. Je n’eus plus qu’à venir entre ses cuisses et glisser ma queue dans son con spacieux. C’était la première fois que je sentais une autre bite contre la mienne et c’était loin
d’être désagréable. Josette avait le con si large qu’on aurait pu aisément s’y mettre à trois ! Dans ma position, j’avais l’avantage de pouvoir lui sucer les tétasses et de l’embrasser à
pleine bouche. Ainsi prise, elle eut un premier orgasme où elle nous traita, pour notre plus grand plaisir, de gros porcs, de salauds et autres amabilités.
Mise en appétit, elle manifesta le désir d’être prise en sandwich. Avec sa bite hors norme Helmut obtint le privilège de
l’enculer alors que je devrais me contenter de son con. En lot de consolation, Josette me pria de lui lécher le cul et de lui préparer manuellement le rectum. À quatre pattes sur le lit, elle
avait l’air d’une truie, la peau blanche et mate, les cuisses épaisses, la croupe poilue bien ouverte et la moule béante. Son rectum était un vrai délice, avec une légère saveur épicée d’étron.
Quand elle fut prête, elle me coucha sur le dos et s’empala à califourchon sur moi.
- Écarte-moi les
fesses au maximum, me souffla-t-elle, il va me la mettre…
Et presque aussitôt Helmut vint se placer derrière et je sentis sa grosse queue pénétrer le cul de Josette. Au fur et à mesure
qu’elle s’enfonçait, Josette ouvrait plus grand la bouche, les yeux dans le vague, sur les rives de la jouissance…
- Oh putain, qu’elle est bonne ! Allez-y, bougez un peu, défoncez-moi… Michel, mords-moi les tétons !
Je ne saurais raconter la suite en détail. Josette a joui plusieurs fois, une sorte d’orgasme en continu qui soulevait des
vaguelettes dans ses entrailles et lui arrachait des râles. Moi, j’ai éjaculé un sperme si délicieux qu’il en fut presque douloureux. Quant à Helmut, il se montra très endurant et lui lima si
longuement le cul qu’elle finit par demander grâce et le supplia de lui lâcher tout dans le rectum. Et il ne fut ainsi…
Au crépuscule, Helmut a repris la route. Josette et moi, nous avons passé la nuit dans le camping-car, sur l’aire de Lugos,
enlacés et nus, à baiser et à faire des projets de covoiturage.
FIN
© Michel Koppera, août 2013
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