Jeudi 28 novembre 2013 4 28 /11 /Nov /2013 11:41

Décidément, Air France m'offre le détournement sur un plateau !

N.B : Il est très important de lire le texte qui donne au détournement toute sa saveur, et le regard de la passagère vers l'hôtesse s'en trouve changé

La pub originale

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La pub revue et corrigée

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Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 27 novembre 2013 3 27 /11 /Nov /2013 10:50

Mes aventures et mésaventures, # 7

Marie-Christine G*, 1974

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Mon aventure avec Marie-Christine est l’histoire d’une nuit du printemps 1974.

Je l’avais rencontrée en 1971 dans les amphis de la fac où nous préparions tous les deux une licence de lettres. Au fil des semaines puis des années, il s’était établi entre nous une solide complicité faite d’interminables discussions au bar de la fac, de débats politiques (mai 1974, Giscard contre Mitterrand), de travaux universitaires en binôme, de sorties ciné ou restau.

k7-0Mon installation en couple avec Anne n’avait que peu influé sur notre relation : Marie-Christine était devenue une de nos  amies communes avec qui nous partagions fêtes et sorties.

Début 1974, mon couple traversa une période de fortes turbulences faite d’infidélités réciproques, d’éloignement professionnel et de doutes. C’est dans ces circonstances agitées que Anne s’enticha de Arsène, un homme marié de près de 30 ans son aîné.

Un samedi de mai 1974 (juste après l’élection de Giscard), nous voici tous invités chez Arsène. Belle maison de maître entourée de bois, loin des rumeurs de la ville pourtant proche. On est une demi-douzaine d’invités. La femme d’Arsène n’est pas des nôtres. Vers minuit, après le dîner, la plupart des convives prennent congé et on se retrouve à quatre au salon : Arsène, Anne, Marie-Christine et moi. C’est le moment que choisissent Anne et Arsène pour s’éclipser à l’étage sous prétexte de chercher des disques. Le temps passe, ils ne reviennent pas. Avec Marie-Christine, on se décide à aller voir de quoi il retourne. Et nous voilà au premier, dans un long couloir. Marie-Christine frappe à la première porte, l’entrouvre et la referme précipitamment. Elle me regarde, vient vers moi et me prend par le bras :

- Viens, me dit-elle. On s’en va… On n’a plus rien à faire ici !

Elle n’a pas besoin d’en dire plus. On reprend la route en silence. En arrivant en ville, Marie-Christine me demande :

- J’ai pas envie de rester seule, je peux coucher chez vous ?

Une fois dans l’appartement, je lui montre la chambre d’amis où elle s’installe.

- J’ai rien apporté pour dormir… Tu pourrais pas me prêter un truc ?k7-2

Dans la commode d’Anne, je trouve une sorte de nuisette en coton rose vichy, en me disant que ce serait sans doute un peu juste. Autant Anne était menue, autant Marie-Christine était plantureuse. Sans être grosse, elle avait des rondeurs généreuses : grosse poitrine, fessier bien rebondi. Avec cela, une bouche large, des yeux tendres, des cheveux châtains mi-longs. En fait, depuis que je la connaissais, c’était la première fois que je pensais vraiment  à son corps.

Comme je l’avais pressenti, la nuisette était trop étroite, c’est ce qu’elle vient me dire en me rejoignant dans notre chambre au grand lit.

- Ça ne couvre pas grand-chose, sourit-elle en s’asseyant au bord du lit. Ce faisant, la nuisette remonte haut sur ses cuisses nues et découvre sa chatte très fournie, châtain comme sa chevelure. Sa poitrine déborde du décolleté.

- Ça te dérange si je dors avec toi ?

Elle se glisse dans les draps, se colle contre moi. On s’embrasse, on se caresse. Comme j’essaie de lui ôter la nuisette trop étroite, elle arrête ma main.

- Non, laisse ! J’ai envie de la garder… Cette nuit, je ne suis que la remplaçante !

Ce fut une nuit inoubliable, à jamais gravée dans ma mémoire. Avant tout parce qu’elle fut unique, sans lendemain, et que nous en étions conscients alors même que nous la vivions avec intensité. Aussi, je me souviens de tout, de chaque geste, de chaque odeur, de chaque sensation, de chaque mot. On avait laissé les lampes allumées pour ne rien perdre. Je vois encore sa peau mate et chaude, ses cheveux défaits, ses lèvres entrouvertes, ses cuisses écartées, sa chatte huileuse, ses mamelons tous excités et durs… J’ai encore en mémoire la saveur épaisse de sa vulve, la senteur un peu épicée de ses aisselles et le souffle rauque de ses orgasmes.

k7-5Nous avons baisé plusieurs fois, jusqu’au matin où nous nous sommes accouplés une dernière fois. Elle avait 22 ans comme moi.

Après le petit déjeuner, je l’ai raccompagnée jusque chez elle, à l’autre bout de la ville. Puis, la vie a repris comme avant, comme s’il ne s’était rien passé. En 1976, Marie-Christine quitta la région et nous nous sommes définitivement perdus de vue.   k7-4

Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 26 novembre 2013 2 26 /11 /Nov /2013 09:38

Paul Laurenzi est un peintre né en juillet 1964 à Antibes. Ses oeuvres érotiques ont été exposées à la librairie-galerie "Les Larmes d'Eros" (58 Rue Amelot 75011 Paris) et à L'Erotic Museum de Hambourg (aujourd'hui fermé). Les tableaux de Laurenzi  tendent tous vers un but unique : mettre en valeur le corps de la femme. Ses robes trop étroites, ses déshabillés, ses bustiers moulants, ses caracos, ses bas et ses jarretelles subliment la sensualité des courbes et font naître le désir.

Pour tout contact avec l'artiste : laurenzi1@voila.fr

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Lundi 25 novembre 2013 1 25 /11 /Nov /2013 12:29

Encore une tentative pour identifier l'auteur de ces illustrations, bien que je ne me fasse guère d'illusions dans la mesure où même le gestionnaire du site où je les ai trouvées ignore le nom de l'artiste. La signature est illisible. Restent des dessins particulièrement sexués, à la limite de l'obscène, mais c'est précisément ce qui en fait tout le charme !

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Dimanche 24 novembre 2013 7 24 /11 /Nov /2013 15:16

La saison et les temps difficiles s'y prêtent

DANSE MACABRE : Sarabande qui mêle morts et vivants. Elle souligne la vanité des distinctions sociales devant la mort.

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Samedi 23 novembre 2013 6 23 /11 /Nov /2013 10:18

Deuxième partie

Avertissement : pour répondre aux souhaits de la femme à qui il est dédié, ce texte a un contenu explicitement pornographique.

Rappel de la première partie : En covoiturage avec la narrateur vers le Sud, Josette s'exhibe devant les routiers sur le périphérique bordelais


covoiturage7 Heureusement, notre jeune camionneur belge fut bientôt remplacé par un gros chauffeur allemand, en débardeur laissant voir des épaules et des biceps de déménageur, ornés de tatouages du plus bel effet. Josette ne tarda donc pas à reprendre son numéro d’exhibitionniste. Afin d’exciter davantage son public, elle se permit même d’écarter sa culotte et de montrer ainsi sa vulve toute moite de désir. Pour exprimer sa satisfaction, le chauffeur se passa la langue sur les lèvres et répéta un geste obscène avec son index coulissant dans l’anneau formé par son majeur et son pouce réunis.

- Ça te dirait ? me demanda Josette en s’ouvrant la chatte à deux mains.

- Et toi ?

- Moi oui, je ne pense qu’à ça depuis ce matin.

Comme nous l’avions pressenti, le camion allemand quitta le périphérique en même temps que nous pour prendre la direction de l’Espagne. Une fois sur l’autoroute, il nous laissa le dépasser et nous suivit docilement en attendant que nous nous arrêtions sur une aire de repos.

La jupe toujours retroussée, Josette se caressait doucement tout en me massant la bite à travers mon jean.

Il était près de 16h30 lorsque nous sommes entrés sur l’aire de repos « Lugos » Josette a vérifié dans le rétroviseur que le camion allemand nous avait bien suivis. Il était là, juste derrière nous.

- Essaie de nous trouver une place tranquille, si possible sous les arbres.

J’ai trouvé l’endroit rêvé, tout au fond du parking. À cette heure-là, les aires d’autoroute sont plutôt calmes et désertes. Le camion est sagement venu se ranger à nos côtés. Quelques minutes plus tard, on faisait connaissance dans le camping-car dont Josette, en femme prévoyante, avait tiré tous les rideaux, baissé les stores et verrouillé la porte.

Notre compagnon parlait un français plutôt approximatif mais suffisant pour nous apprendre qu’il se prénommait Helmut, qu’il avait 39 ans et qu’il se rendait au Portugal pour livrer des pièces de rechange pour des machines-outils. Helmut était très costaud, avec des muscles partout et un peu de bedaine.covoiturage9

Josette s’était mise entièrement nue et s’était assise en tailleur sur le grand lit deux places qui une fois déplié occupait à lui seul presque tout l’espace habitable du camping-car. Difficile de ne pas avoir le regard attiré par ses seins aux mamelons grenus, sa grosse chatte velue, sa moule entrouverte et luisante de mouillure.

En deux temps trois mouvements, Josette eut bientôt à ses côtés deux mâles en érection aussi peu habillés qu’elle et prêts à lui donner tout ce dont elle aurait envie.

Elle commença par nous sucer alternativement ; les lèvres de Josette étaient douces, onctueuses. La bite d’Helmut était impressionnante, tant par sa taille que par sa rigidité. Pour un peu j’en aurais fait des complexes. Pendant qu’elle nous taillait des pipes, on la caressait partout : la nuque, les épaules, le dos, les seins… mais surtout le ventre et le cul où on glissait nos doigts. Josette était trempée et sa moule grasse clapotait dans nos mains.

Le premier acte de la séance de baise débuta par une double pénétration vaginale. Helmut était couché sur le dos avec Josette assise sur sa queue. Je n’eus plus qu’à venir entre ses cuisses et glisser ma queue dans son con spacieux. C’était la première fois que je sentais une autre bite contre la mienne et c’était loin d’être désagréable. Josette avait le con si large qu’on aurait pu aisément s’y mettre à trois ! Dans ma position, j’avais l’avantage de pouvoir lui sucer les tétasses et de l’embrasser à pleine bouche. Ainsi prise, elle eut un premier orgasme où elle nous traita, pour notre plus grand plaisir, de gros porcs, de salauds et autres amabilités.

Mise en appétit, elle manifesta le désir d’être prise en sandwich. Avec sa bite hors norme Helmut obtint le privilège de l’enculer alors que je devrais me contenter de son con. En lot de consolation, Josette me pria de lui lécher le cul et de lui préparer manuellement le rectum. À quatre pattes sur le lit, elle avait l’air d’une truie, la peau blanche et mate, les cuisses épaisses, la croupe poilue bien ouverte et la moule béante. Son rectum était un vrai délice, avec une légère saveur épicée d’étron. Quand elle fut prête, elle me coucha sur le dos et s’empala à califourchon sur moi.

covoiturage8- Écarte-moi les fesses au maximum, me souffla-t-elle, il va me la mettre…

Et presque aussitôt Helmut vint se placer derrière et je sentis sa grosse queue pénétrer le cul de Josette. Au fur et à mesure qu’elle s’enfonçait, Josette ouvrait plus grand la bouche, les yeux dans le vague, sur les rives de la jouissance…

- Oh putain, qu’elle est bonne ! Allez-y, bougez un peu, défoncez-moi… Michel, mords-moi les tétons !

Je ne saurais raconter la suite en détail. Josette  a joui plusieurs fois, une sorte d’orgasme en continu qui soulevait des vaguelettes dans ses entrailles et lui arrachait des râles. Moi, j’ai éjaculé un sperme si délicieux qu’il en fut presque douloureux. Quant à Helmut, il se montra très endurant et lui lima si longuement le cul qu’elle finit par demander grâce et le supplia de lui lâcher tout dans le rectum. Et il ne fut ainsi…

Au crépuscule, Helmut a repris la route. Josette et moi, nous avons passé la nuit dans le camping-car, sur l’aire de Lugos, enlacés et nus, à baiser et à faire des projets de covoiturage.

FIN

 

© Michel Koppera, août 2013

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 22 novembre 2013 5 22 /11 /Nov /2013 07:36

COVOITURAGE

 

Cette petite nouvelle sans prétention a été inspirée par une correspondante dont j’ai voulu satisfaire un de ses nombreux fantasmes routiers.

covoiturage1

Première partie

L’an dernier, début novembre, comme je devais rejoindre ma femme au Maroc avec le camping-car pour passer l’hiver sous des cieux plus cléments, ma belle-sœur Josette m’a demandé si elle pouvait faire un bout de route avec moi, jusqu’à Bayonne où elle devait passer quelques jours chez sa fille et son gendre. Bien entendu, j’ai accepté, non pour alléger un peu la facture de carburant, mais surtout pour avoir de la compagnie sur l’autoroute.

covoiturage3Josette a 45 ans ; elle est mariée et mère de trois enfants déjà grands. On se rencontre plusieurs fois l’an pour les anniversaires et autres fêtes familiales. Josette est très brune, plutôt petite et potelée, et toujours d’humeur joviale.

Un lundi matin, on a quitté Paris sous la pluie qui nous a accompagnés jusqu’à Niort. Malgré le temps maussade, Josette était vêtue d’une jupe plutôt courte et d’un léger corsage largement échancré. Comme je m’étonnais de sa tenue, elle me dit :

- J’ai consulté la météo, le soleil ne devrait pas tarder et dans le sud, il fait plus de 20 degrés.

Effectivement, le ciel s’éclaircit et les nuages finirent par se dissiper complètement. À chaque fois qu’on dépassait une voiture, Josette jetait un œil sur le côté, dans l’habitacle du véhicule en contrebas.

- Michel, est-ce que tu sais que d’en haut, on voit des choses très intéressantes ?

- Quoi, par exemple ?

- Des trucs pas croyables, comme des passagères sans culotte, ou des gens qui se caressent sur la banquette arrière… J’en ai même vu deux qui se suçaient !

Je l’ai regardée intensément, enfin aussi intensément que me le permettait la plus élémentaire prudence. Elle était assise à mes côtés, très sérieuse, mais la jupe remontée si haut sur les cuisses que je pouvais voir sa culotte blanche et même quelques poils sombres qui dépassaient sur les bords. Elle avait les jambes un peu écartées, la bouche entrouverte…covoiturage4

Plus on roulait vers le sud, plus sa jupe remontait sur ses hanches. Quand on est arrivés dans les interminables bouchons du périphérique bordelais, on peut dire que Josette était quasiment en petite culotte. Maintenant, j’avais sous les yeux et à portée de main son ventre à peine vêtu d’un slip blanc d’où débordait par le haut et sur les côtés sa touffe très fournie. La culotte en était comme matelassée, lui donnant l’aspect d’un petit coussin molletonné. Mais je n’étais pas le seul à profiter du spectacle. Dans l’embouteillage, les chauffeurs routiers n’en perdaient pas une miette. Josette se prêtait volontiers aux invitations gestuelles des voyeurs. Elle avait déboutonné son corsage et en avait sorti le sein gauche dont elle s’excitait le mamelon. Les jambes très écartées, le pied gauche sur le tableau de bord, le droit sur l’accoudoir de la portière, elle s’exhibait avec obscénité. Pendant près d’un quart d’heure, nous sommes restés à la même hauteur qu’un semi-remorque belge dont le jeune chauffeur semblait fasciné par le spectacle de l’entrecuisse de Josette. Tout en ne le quittant pas des yeux, elle se caressait lubriquement les seins et le ventre. Moi, je bandais sérieusement et à chaque arrêt dans le bouchon, je lâchais le levier de vitesse pour poser la main sur sa cuisse gauche, au plus près de sa fourche velue.

Mais alors que Josette était au bord d’un orgasme spontané, le routier belge emprunta la bretelle d’accès de l’autoroute vers Toulouse.

- Dommage ! soupira Josette. Je m’amusais bien, pas toi ?

à suivre…

© Michel Koppera, août 2013

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 21 novembre 2013 4 21 /11 /Nov /2013 07:49

Pourvu que ça morde ! Pour ça, il faut de l'habileté et beaucoup de patience

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Par michel koppera - Publié dans : agenda - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 20 novembre 2013 3 20 /11 /Nov /2013 08:07

Mes aventures et mésaventures, # 6

Michèle R*.

1973. J’avais connu Michèle au lycée, en classe de terminale. Au cours de l’année, nous nous étions déjà livrés à quelques attouchements et caresses très sexuelles à l’occasion de séances de ciné-club et d’une obscurité propice au rapprochement des corps… Mais rien de plus. Michèle était un peu rousse, avec un visage lunaire aux joues piquetées d’innombrables taches de rousseur. Elle avait les cheveux coupés court, la bouche très large, les yeux marron clair. Elle avait les hanches généreuses et une toute petite poitrine qu’elle noyait sous d’amples pull-overs.

k6-4À l’université, par le plus grand des hasards, je croisai de nouveau Michèle dans un couloir. Elle logeait en chambre universitaire, moi en ville. Vie d’étudiants : cours magistraux, restau U, après-midi dans les cafés, soirées au cinéma ou au théâtre, manifs… On se sentait libres. Nous sortons souvent ensemble. Michèle affirme qu’elle a un mec mais on ne le voit jamais… Elle dit qu’il fait des études à B*, à plus de 200 kilomètres de là ! Bref, de fil en aiguille, par un après-midi d’hiver, on finit par se retrouver tous les deux au lit, dans sa petite chambre. Pas question d’aller chez moi, les proprios ont interdit les visites féminines ! Le corps nu de Michèle est très pâle et sa poitrine à peine formée. Mais ses mamelons sont très sensibles et érectiles. Son pubis est couvert d’une touffe clairsemée aux poils très longs et plutôt gros. Au fil des caresses, je constate que Michèle mouille abondamment, à tel point que cette mouillure ressemble à de l’eau sucrée. Et puis, elle a la vulve très large, le vagin béant. Lorsque ma bite s’enfonce dans sa chatte, si visqueuse et si vaste, je ne sens presque rien. Elle non plus. Elle est à genoux au-dessus de moi… Ma main contourne sa hanche et se glisse entre ses fesses. L’anus est tout humide de désir ; cependant que mon index lui caresse le trou de son cul, elle est saisie de tremblements convulsifs. Inquiet, je retire en toute hâte mon doigt, mais la voilà qui rattrape ma main et la ramène entre ses fesses. Je devine son anus dilaté, ouvert comme une bouche de poisson. J’y glisse un doigt curieux.

- Oui. Essaie par là, me souffle-t-elle.k6-3

C’est la première fois que je vais pratiquer la sodomie. Elle se soulève un peu, me saisit la queue, se la plante entre les fesses et s’affaisse lentement. L’anus de Michèle n’oppose aucune résistance, au contraire. J’ai l’impression d’être aspiré comme un suppositoire entraîné dans les chaudes ténèbres de son rectum. Ça rentre comme dans du beurre ! Michèle recommence à trembler, un tremblement continu, une sorte de vibration intérieure qui émet des ondes qui parcourent tout son corps. Je suce et mordille ses tétons incroyablement durs. Toute sa peau en a la chair de poule. Elle entame un lent va et vient, de la base du gland jusqu’à la racine de ma bite, au ras des couilles. Elle gémit, une sorte de longue plainte. Je crois qu’elle pleure, mais en réalité, elle jouit. Son cul me palpe, me presse, me pompe la bite, avec l’avidité d’un poulpe. J’envoie mes bordées de sperme dans l’obscurité étroite de son rectum. Je jouis très fort, le plaisir me descend jusqu’aux orteils.

k6-1Nous avons réitéré l’expérience cinq ou six fois, je ne sais plus. Et puis, elle a fini par nous présenter le fameux copain ! Ce n’était pas une fiction, il existait réellement ! D’ailleurs, au printemps 1975, ils se sont mariés en grande pompe : église, robe blanche et tout le tralala. Difficile d’oublier en assistant à la cérémonie, pendant les chants, l’échange des alliances, que j’avais enculé la mariée ! Ils eurent deux enfants et, aux dernières nouvelles, ils vivaient toujours ensemble.

k6-2

Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 19 novembre 2013 2 19 /11 /Nov /2013 09:20

Pour illustrer sa conception personnelle de la tolérance, Michel V* m'a adressé cette photo de Julia Nikonova.

tolerance-Julia Nikonova

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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