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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Se faire belle, c'est choisir une lingerie à nous rendre fous... fous d'amour et de désir... Comme ça !
Pour aujourd'hui, avant une petite pause préparatoire aux festivités de la Saint-Sylvestre, je vous propose une toute petite galerie d'amours saphiques sous le regard complaisant, curieux ou choqué de celui qui arrive à l'improviste
Scène 2. Juillet 1971.
Grèce
(comme il est parfois mentionné dans les pubs, les illustrations ne sont pas contractuelles)
Sur la route, à la sortie d’un petit village près de Delphes en Grèce. Après-midi de grande chaleur. Nous faisons sans succès de l’auto-stop pour rejoindre Athènes. Nous frappons à la porte d’une maison voisine pour quémander un peu d’eau fraîche. L’homme nous invite à entrer et nous désaltérer dans son jardin, à l’ombre d’une tonnelle de vigne. L’endroit est agréable. L’homme parle un anglais approximatif. Il doit avoir environ 60 ans, les cheveux grisonnants mais le regard et les gestes encore vifs… Tout en buvant de l’eau fraîche aromatisée de sirop de fruits, nous entamons une conversation un peu laborieuse. Comme il désire savoir d’où nous venons, je dessine une carte de France sur un carnet et entreprends de lui expliquer notre périple en Grèce ( Corfou, Crète, Péloponnèse… )
Sous prétexte de mieux suivre mes explications, il vient se placer debout derrière nous, juste entre nous deux. Anne
est assise à ma droite, juste vêtue d’un t-shirt, d’une jupette de coton blanc et de sandales… Le vieil homme, tout en feignant d’écouter mes explications, commence à lui caresser l’épaule puis
le sein droit. Je vois distinctement les tétons d’Anne se dresser sous son t-shirt.
- Il caresse comme un dieu ! me dit-elle doucement, les yeux mi-clos.
Je n’interviens pas, je laisse faire. Lorsque le vieil homme nous propose de l’accompagner dans sa maison, je me contente de
suivre le mouvement. Dans le salon, les volets sont clos. Debout dans la chaude pénombre, Anne se laisse déshabiller. Juste le t-shirt, la jupette et la culotte de coton à enlever ! Une fois
qu’elle est nue, il la fait asseoir sur un canapé et passe ses mains légères comme une brume partout sur son corps abandonné…
Elle ferme les yeux, s’offre à ses doigts, écarte les cuisses pour qu’il lui caresse la fente… Moi, en retrait, je regarde, à la fois troublé et vigilant… Je suis un peu son ange-gardien. Mais je n’aurai pas à intervenir : le vieil homme va commettre seul l’erreur fatale… Croyant à tort Anne à sa merci et consentante, il défait la ceinture de son pantalon, ouvre sa braguette et prenant la main d’Anne la pose sur son sexe nu. Alors, Anne rouvre les yeux, le regarde durement et dit « Non ! ». Dans la foulée, elle rassemble ses vêtements éparpillés sur le sol, se rhabille en toute sérénité. Le vieil homme qui croit à une sorte de chantage sort un gros billet de sa poche… Elle lui rit au nez. Il n’a rien compris. On s’en va sans tarder.
Plus tard sur la route, je dis à Anne qu’elle prend des risques inutiles, parce que ça aurait pu se terminer plus mal. Elle hausse les épaules, me répond qu’elle fait les choses comme elle les sent, que le vieil homme était inoffensif et que je peux lui faire confiance. Quoique…
C'est le jour des cadeaux !
Vous êtes la seule personne qui m'ait jamais demandé ce que je désirais pour Noël
Bon appétit à toutes et à tous... Et n'oubliez pas, celui qui conduit, c'est celui (ou celle) qui ne boit pas !
1971 : une saison candauliste
Episode n° 1. Juin 1971. Bretagne
(Pour illustrer ce premier épidode, j'ai choisi des dessins de Tom Poulton)
Pendant 6 ans, j’ai partagé la vie d’Anne. C’est bien après notre séparation en 1977 que j’ai enfin mis un mot sur la nature profonde de cet été 1971 : candaulisme. En effet, au cours de cette saison sans pareille, nous n’avons touché réellement au plaisir que par le biais du voyeurisme et d’une sorte d’humiliation consentie. Anne avait 18 ans, j’en avais 19.
Donc jour de juin 1971. Week-end à la plage dans un camping. Nous y retrouvons par hasard un étudiant venu passer quelques
jours dans la caravane familiale. Il nous y invite à dîner. La nuit venue, alors que nous discutons autour de la table du petit espace salon, voilà que brusquement la lumière du camping-gaz baise
et finalement s’éteint. Cartouche vide et rien pour la remplacer, ni bougies, ni lampe torche. Nous sommes donc plongés tous les trois dans l’obscurité totale. Or, il se trouve qu’au moment de la
panne, Anne était assise à côté de notre hôte, sur une banquette. Moi, seul en face, de l’autre côté de la table. Dans le noir, nous continuons de discuter de notre projet de voyage en Grèce,
mais j’entends aussi des froissements de tissu, des mouvements de corps de l’autre côté de la table. Dans l’obscurité, Anne se saisit de ma main posée sur la table et me la tient fermement. On
cause encore, jusqu’à ce que le copain se taise.
Avec Anne on poursuit notre conversation. Sa main me serre plus fort comme si elle s’agrippait à moi. Cela dure longtemps. Enfin, le copain émerge de son silence, se lève, ouvre la porte de la caravane et sort fumer une cigarette. Un carré de lumière pâle éclaire l’intérieur de la caravane. Anne en profite pour se glisser à mes côtés. Lorsque je passe la main entre ses cuisses, je constate sans surprise qu’elle ne porte plus de culotte et que sa chatte est toute engluée de sperme. Ça m’excite et je bande à tout rompre. Sans attendre, je l’entraîne à l’extérieur vers notre tente toute proche. À peine sous la toile, je la force à s’agenouiller, le cul relevé et je l’enfile. Ma bite patauge dans son vagin déjà plein de foutre. Je jouis rapidement, elle aussi…
Une saison candauliste (en 5 épisodes)
Présentations. Printemps 1971
Anne et moi projetons un périple de deux mois en Grèce, sans beaucoup d’argent (nuits chez l’habitant ou à la belle étoile, pas de tente, juste 2 sacs à dos). Itinéraire : train de Paris à Brindisi. Ferry à destination de Corfou puis Igoumenitsa. Descente en auto-stop jusqu’à Athènes. Ferry pour la Crète où nous séjournerons une quinzaine de jours. Retour à Athènes puis de nouveau auto-stop vers l’ouest. Traversée du Péloponnèse. Ferry vers Corfou avec escales à Kephalinia et Ithaque. Séjour de trois semaines à Corfou avant de reprendre le bateau vers l’Italie.
Anne avait 18 ans, moi 19. À l’époque nous n’étions pas majeurs, mais en rupture avec nos familles. Le sexe occupait une place essentielle dans notre vie. Nous baisions 1 à 2 fois par jour, sans compter les masturbations. Pendant les règles d’Anne, la masturbation devenait systématique. Rappel important : c’était des temps de grande liberté : pilule, pas de SIDA, les MST ne faisaient pas peur.
Portrait d’Anne : 1m60, visage rond, cheveux châtains raides et mi-longs, petits seins en pomme, très fermes. Paradoxalement, sa fringale sexuelle s’accompagnait d’une sorte de répulsion quasi-obsessionnelle du phallus : il était hors de question de toucher une queue en érection, elle trouvait ça agressif. Ce qui ne l’empêchait pas de prendre son pied en se faisant enfiler dans toutes les positions.
Pour terminer cette présentation, voici 4 photos d'Anne prises par mes soins à l'époque
Anne de dos
Anne à contrejour qui nous montre son petit cul et sa touffe
La petite chatte d'Anne sous sa jupette en daim
Le con d'Anne (sa vulve humide et son clitoris)
"Petit miroir, petit miroir chéri,
Quelle est plus plus belle de tout le pays ?"
Les frères Grimm, Blancheneige
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