Samedi 29 mars 2014 6 29 /03 /Mars /2014 10:52

Dans un article daté d'octobre 2012 (voir lien ci-dessous), j'avais présenté quelques photos de la compagne slave d'un lecteur du blog. Il y a quelques jours, ce même lecteur m'a de nouveau adressé quatre photos récentes du fessier de sa compagne, photos prise lors d'une escapade amoureuse à Amsterdam. Notre lecteur voue un amour sans borne au cul de son amie et on le comprend.

Beauté slave

slave1

slave2

slave3

slave4

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Vendredi 28 mars 2014 5 28 /03 /Mars /2014 09:33

Comme à la télé... ou presque.

Des trains pas comme les autres  est une série documentaire française diffusée depuis janvier 1987 d'abord sur Antenne 2, puis France 2 et, depuis 2006, sur France 5. Il s'agit en 52 minutes, dans un voyage en train, de découvrir un pays, le plus souvent lointain, à travers ses lignes ferroviaires.

train

train1

train2

train3

train4

train6

Par michel koppera - Publié dans : émisssions télé - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 27 mars 2014 4 27 /03 /Mars /2014 08:50

Rappel : La soirée se poursuit en dansant. Colette se retrouve nue en galante compagnie

reveillon9J’aurais peut-être dû les laisser, aller me coucher comme l’avait fait Corinne. Mais non, je suis resté en proie à une curiosité malsaine. Cette nuit-là, j’ai compris ce qu’était le plaisir intense du voyeur. Je ne saurais dire si je bandais ; je crois que non, mais l’essentiel était ailleurs. L’important, c’était qu’à quelques mètres de moi, sous mes yeux, Colette, mon épouse bien aimée, la mère exemplaire des nos enfants,  ma fidèle compagne, était nue sur un tapis de matelas, en train de faire l’amour avec quatre hommes et une femme. Des quatre mâles, Gérard était sans conteste le mieux membré. Il arborait une grosse bite circoncise, trapue, assez longue et droite. Les trois autres se situaient dans une honnête moyenne, sans prétention. Quant à Solange, blonde de chevelure mais brune de chatte, elle avait une belle poitrine, assez généreuse pour astiquer une queue entre ses deux seins.reveillon8

Faire l’amour n’est pas l’expression adéquate pour décrire ce qui se déroulait devant moi. Après plus de quinze années de vie commune, je croyais connaître Colette. Je mesurais brutalement toute l’étendue de mon ignorance : Je la croyais sage, je la découvrais salope ; je la croyais discrète, je la découvrais obscène ; je la croyais passive et soumise, je la découvrais pleine d’initiatives… Rien ne lui était interdit, comme de lécher le con de Solange ou le cul de son mari, de prendre une paire de couilles en bouche, de se faire baiser et enculer en même temps, de laper du sperme répandu sur les seins de Solange avant de le recracher dans la bouche de Gérard, de dire avec innocence les mots les plus orduriers… Je suis incapable de me souvenir combien de fois elle a joui, sans doute une bonne demi-douzaine d’orgasmes à en juger par ses cris et ses râles de féline. Dans ma mémoire sont à jamais gravés quelques tableaux vivants, figés dans la cire tiède de la nostalgie. Comme la fragile et éphémère figure de leurs six corps enchevêtrés, emboîtés, encastrés. Colette avait deux bites dans le vagin et une troisième dans la bouche, deux doigts de Solange dans le cul, et dans la main droite la bite de François qu’elle branlait avec l’énergie du désespoir. Malgré leur surnombre, les quatre mâles avaient le plus grand mal à satisfaire les deux femelles. Bien que moins déchaînée que Colette, Solange n’était pas en reste : elle affichait un goût prononcé pour les fellations profondes et le cunnilingus qu’elle dispensait à langue et lèvres que-veux-tu.

reveillon6Vers 3 heures du matin, le combat cessa faute de combattants en érection. Ils renoncèrent l’un après l’autre, prenant la queue basse le chemin de la salle de bain pour y chercher l’absolution d’une douche chaude. Colette fut la dernière, mais avant d’aller se livrer à ses ablutions, elle a tenu à venir vers moi. De près, son corps portait les stigmates de sa luxure : traînées de sperme séché, vulve suintante de foutre, anus tourmenté et tuméfié comme une anémone de mer, commissures des lèvres engluées de salive et de sperme mêlés, cheveux empesés… Il flottait autour d’elle une forte odeur de sueur lubrique, odeur de sexe, puissante et envoûtante comme un parfum de luxe. Ensemble, tout en discutant,  nous avons partagé une cigarette.

- Alors, tu ne t’es pas trop ennuyé ?

- Non… Le spectacle valait le coup.

- Vrai ? Je l’ai fait aussi pour toi,  je ne voulais pas te décevoir.

- Je sais, je t’en remercie. Bonne année, ma chérie.

 

Quand nous nous sommes levés, le lendemain, vers midi, tous les autres invités étaient déjà partis. Il ne restait plus donc qu’Alain et Corinne. Cette dernière, encore patraque, n’arrêtait pas de répéter qu’elle était navrée de nous avoir abandonnés en pleine soirée, qu’elle était  morte de honte, qu’elle aurait tant aimé faire la fête avec nous… Colette l’a consolée en lui disant qu’il ne fallait surtout pas qu’elle se sente coupable, que cela aurait pu arriver à n’importe lequel d’entre nous… Pendant ce temps, Alain remettait de l’ordre dans la maison. Alors qu’il passait près de la cheminée, je l’ai vu se baisser et ramasser un morceau de tissu rouge qu’il a prestement fourré dans la poche de son pantalon : c’était le string de Colette.

FIN

 

© Michel Koppera, mars 2014

reveillon10

 

 

   reveillon4

Par michel koppera - Publié dans : inédits
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 26 mars 2014 3 26 /03 /Mars /2014 06:36

Rappel : Colette et Michel ont été invités par des amis à fêter ensemble la Saint Sylvestre au Croisic

Lorsque nous sommes arrivés sur place, le 31 décembre vers 20 heures, dans la douceur océane et le vent, tous les invités étaient déjà là. Nous ne serions que huit. Bien sûr, il y avait Corinne et Alain qui faisaient partie du cercle de nos amis depuis près de 15 ans. Il y avait aussi un autre couple, Solange et Denis, qu’Alain nous présenta comme d’anciens collègues de bureau. Puis deux hommes d’une trentaine d’années : François, le jeune frère de Corinne, dont je connaissais déjà l’existence mais que nous n’avions jamais rencontré, et un certain Gérard dont je ne compris pas très bien le lien de parenté avec Denis. Tout ce petit monde s’affairait à la cuisine et dans la grande salle à manger pour préparer la soirée. Dans la salle, il y avait un sapin de noël tout enguirlandé, une cheminée avec un feu de bois bienvenu et, dans un coin, une chaîne hifi où Gérard s’était improvisé DJ et assurait l’ambiance musicale.

reveillon13Comme convenu, nous avions apporté le foie gras et du champagne. Alain et Corinne s’étaient occupés du plateau de fruits de mer et du muscadet, Solange et Denis du dessert, les deux autres  du fromage, du vin rouge et de l’apéro. Dans sa petite robe de soie noire, Colette était resplendissante. Tout s’annonçait pour le mieux.

Nous sommes passés à table vers 22 heures, après un apéro prolongé. J’ai eu l’impression que Corinne était déjà un peu ivre : elle parlait haut et riait aux éclats sans raison. Colette a pris place entre Gérard et Alain, moi, je me suis retrouvé en bout de table, à côté de Solange et de François.

Jusqu’à minuit, la soirée se déroula sans accroc : on mangeait, on buvait, on parlait, on riait. On était heureux d’être ensemble. Au zéro du traditionnel compte à rebours, on s’est embrassés en se souhaitant tout le bonheur du monde. C’est là que j’ai réalisé que Corinne était maintenant complètement soûle et qu’elle tanguait sérieusement. À peine les vœux échangés, elle s’est affalée dans un canapé où elle s’est bientôt assoupie. Alain était désolé. Je l’ai aidé à accompagner – ou plutôt porter-  Corinne jusqu’à leur chambre au premier étage.

- Elle était trop fatiguée, m’a dit Alain pour l’excuser. C’est quand même la première fois que je la vois dans cet état !reveillon12

Quand on est redescendus dix minutes plus tard, la soirée avait pris pendant notre courte absence une nouvelle tournure. La table avait été poussée contre le mur et la pièce transformée en boîte de nuit. Gérard était à la platine. Le lustre avait été éteint et remplacé par un éclairage indirect. Sur la piste, les autres se trémoussaient au rythme du disco. Alain s’y est mis aussi. Moi, je ne suis pas très danse, j’ai quand même fait un effort pour ne pas avoir l’air rabat-joie. Mais au bout de deux tubes de déhanchement, j’ai renoncé et trouvé refuge dans un fauteuil en compagnie d’un cognac millésimé. Je regardais amoureusement Colette onduler comme une algue au rythme des basses. Qu’elle était belle dans sa petite robe de soie noire !

Puis Gérard a lancé le premier slow. Deux couples sont restés sur la piste : Solange avec Gérard qui avait abandonné son poste de DJ pour laisser tourner une cassette audio, Colette et Denis. Et dès le début, j’ai vu qu’il se passait quelque chose d’anormal : ils se tenaient trop serrés, les mains des hommes se posaient trop bas… Il y avait dans l’air comme une drôle d’atmosphère. Pour le second slow, Colette s’est retrouvée dans les bras de François. Je ne les quittais pas des yeux. Le slow, c’était « Nights in white satin » des Moody Blues, on en avait pour un bon quart d’heure. Et là, j’ai clairement vu que Colette se laissait peloter les fesses. De l’autre main, François lui caressait les seins. Le visage niché au creux du cou de son cavalier, elle se laissait faire. Au bord de la piste,  un verre de champagne à la main et le sourire aux lèvres, les autres observaient la scène. Je crois qu’en temps normal, me connaissant, je serais immédiatement intervenu pour les séparer et mettre un point final à cette humiliation. Et là, étrangement, non seulement je ne bougeais pas d’un  pouce, mais je sentais au fond de moi naître un plaisir inconnu et troublant. Un peu comme un metteur en scène de cinéma qui voit ses acteurs s’écarter du scénario, improviser des répliques et des gestes, créer des situations inédites, et qui n’ose pas les interrompre de peur de passer à côté de quelque chose de génial. Alors, je suis resté dans mon fauteuil à les regarder danser, seuls au milieu de la pièce, même s’il n’était plus désormais question de danse.

reveillon15En effet, Colette se trouva bientôt retroussée jusqu’à la taille, le cul à l’air, avec juste la ficelle de son string rouge disparaissant entre ses fesses. Ils s’embrassaient à pleine bouche. J’ai vu aussi qu’elle avait ouvert la braguette de son cavalier et lui tenait fermement le sexe. Après les Moody Blues, ce fut Scorpion. Le cercle des autres s’était resserré. Lentement, Colette fut entièrement déshabillée. Les cinq autres en firent autant, tout en continuant de la caresser, de l’embrasser. Puis les quatre hommes allèrent dans les chambres chercher deux matelas qu’ils étendirent par terre, devant la cheminée. C’est alors seulement que Colette me regarda en souriant un peu tristement. Comme prise de remords, elle s’approcha, s’agenouilla près de moi et me prit la main:

- Tu es fâché ?

- Non, je ne crois pas.

- Tu sais, ça s’est fait naturellement, presque sans que je m’en aperçoive. Je ne te dis pas ça pour me chercher une excuse. J’ai l’impression que cela devait arriver et que, maintenant, il est trop tard pour revenir en arrière…

- Comme je sais que pour moi il est trop tard pour prendre le train en marche. Allez, vas-y, amuse-toi !

Les matelas étaient prêts et les acteurs en place. Colette m’a tendrement serré la main pendant qu’Alain venait l’inviter à les rejoindre devant la cheminée. Il lui caressa les seins, elle m’abandonna.

- Tu as de la chance d’avoir une femme comme elle, me dit Alain. Elle est vraiment fantastique !

reveillon3

 

à suivre…

© Michel Koppera, mars 2014

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mardi 25 mars 2014 2 25 /03 /Mars /2014 09:13

Avant-propos : Il y a quelque temps, Colette et Michel, un couple lecteur du blog, m'a envoyé une photo en me demandant si j'accepterais d'écrire une histoire à partir de cette image. C'est avec plaisir que j'ai relevé le challenge. Voici donc le texte original imaginé en partant d'une photo que vous aurez le plaisir de découvrir demain, à la fin de la deuxième partie de la nouvelle.

Bonne année, Colette !

 à Colette et Michel

reveillon11 

C’était en décembre 1985. La gauche était aux affaires, on y croyait encore un peu. On n’avait jamais entendu parler du SIDA.

- Allô, Michel ? C’est Alain. Dis, vous avez prévu quelque chose pour le réveillon du nouvel an ?

- Non… Pas vraiment.

- Alors, si ça vous dit, on vous invite. On va fêter ça, sans les gosses, dans notre villa du Croisic : c’est grand et ça résout le problème du couchage. On ne sera pas nombreux, une dizaine au maximum…

- Il faut apporter quelque chose ?

- Oui, si tu veux. Nous, on s’occupe des fruits de mer.

- Du foie gras et du champagne, ça irait ?

- Parfait ! Passe le bonjour à Colette. On vous attend au Croisic, le 31, en fin d’après-midi, disons 19 heures… Ça nous laissera le temps de tout préparer.

 

reveillon1Je me souviens que dans la semaine qui a précédé le réveillon, j’ai offert, comme chaque année, quelques frivolités à Colette : un ensemble string soutien-gorge rouge, un porte-jarretelles noir, une paire de bas et une petite robe de soie noire fendue sur la cuisse. La lingerie lui allait si bien ! De son côté, comme chaque année aussi, elle s’est fait faire une épilation intégrale – je veux dire du mont de Vénus à l’entrefesses – afin d’être nue comme au premier jour pour la nouvelle année. Comme Colette avait eu ses règles juste avant noël – nous l’avions fêté avec les enfants chez ses parents, ce qui tombait plutôt bien – nous savions que pour la nuit de la Saint Sylvestre, elle serait en pleine ovulation, c'est-à-dire dans d’excellentes dispositions pour célébrer sensuellement le nouvel an. Bien qu’inquiète de ne pas savoir exactement avec qui nous passerions cette soirée, l’idée d’un réveillon sans enfants dans une grande villa au bord de l’océan la ravissait.

reveillon2 

à suivre…

 

© Michel Koppera, mars 2014

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 24 mars 2014 1 24 /03 /Mars /2014 06:47

Marcel Vidoudez ( 1900-1968). D'origine suisse romande,  enfant d'une famille chocolatière protestante, il suivit d'abord les cours de l'Ecole de Dessin et d'Arts Appliqués de Lausanne, puis ceux de l'Ecole des Beaux Arts de Paris. 

Marcel Vidoudez mena parallèlement deux carrières : du côté officiel, celle d'un illustrateur de livres pour la jeunesse ou pour les albums de chocolat et d'affichiste pour les institutions romandes : d'un autre côté, ses oeuvres érotiques (400 aquarelles) restèrent secrètes et ne furent découvertes qu'après sa mort par sa fille.

vid

 

vid1

Vid10-1

 

Vid11-1

Vid1-2

Vid12-1

Vid12-2

Vid2-1

Vid2-2

Vid3

Vid4-1

Vid5-1

Vid6

Vid7-1

Vid8-1

Vid9-1

Vidoudez-marcel1-1

Je tiens à remercier Bruno, fidèle lecteur du blog, de m'avoir fait découvrir cet artiste et surtout d'avoir généreusement partagé ces images

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Samedi 22 mars 2014 6 22 /03 /Mars /2014 10:03

Mes aventures et mésaventures, # 12

Marinette C**, 1976

k21-1Marinette était une collègue de travail. À l’époque, nous étions tout un groupe en poste à P***, à une bonne trentaine de kilomètres de la grande ville. Pendant la semaine, nous organisions un covoiturage (2 voitures pour 9 personnes), mais le samedi, comme la boîte tournait au ralenti, nous n’étions plus que deux, Marinette et moi, à faire la route ensemble. Marinette avait une VW Coccinelle, moi une BMW série 3. Comme son domicile se trouvait sur ma route, on avait pris l’habitude de boire un café chez elle avant de partir. Marinette était mariée, mais quand je passais le samedi matin, son mari était toujours absent. Marinette me disait alors qu’il était allé « creuser un puits chez un copain ». Le fait est que je ne l’ai jamais rencontré. Pendant que je prenais le café, Marinette allait et venait dans l’appartement en nuisette et petite culotte, comme si elle venait de sortir du lit. Marinette était plutôt mignonne, avec un visage ovale, des yeux verts, des cheveux châtains coupés court. D’allure sportive, elle avait les jambes musculeuses et la silhouette élancée.

Et voici qu’un matin d’hiver, alors qu’elle était en train de mettre la dernière touche à son maquillage, elle reçoit un coup de fil qui nous annonce que la neige tombe abondamment à P***, que les routes sont dangereuses et que la boîte restera exceptionnellement fermée toute la matinée. Il est à peine 8 heures ! Malgré la perspective inespérée d’un matin libre, on se sent un peu décontenancés. En principe, la boîte devait ouvrir l’après-midi. On avait donc quatre bonnes heures de liberté devant nous.

- Qu’est-ce qu’on fait ?

- Je ne sais pas… Qu’est-ce que tu proposes ? Moi, ça ne me dit rien de rentrer chez moi…

- Alors, on fait la grasse matinée… Je t’invite.

C’est comme ça que je me suis retrouvé dans le lit conjugal en slip et T-shirt, couché à côté de Marinette, en petite culotte et nuisette de coton ultra courte. Et inévitablement, ce qui devait arriver arriva. On ne fit même pas semblant de dormir. On commença par parler, puis par se taire et se regarder dans les yeux, puis par se toucher, se caresser, se dénuder, s’embrasser, se tripoter, se branler…k21-3

- Tu n’as pas peur que ton mari revienne ?

- Je te l’ai déjà dit : il creuse un puits chez un copain !

Alors, on a pris notre temps pour nous envoyer en l’air. Marinette avait la chatte complètement rasée. Il faut reconnaître que pour la lécher, c’était pratique. Mais, personnellement, je n’étais déjà pas chaud partisan du glabre intégral. Ça ne m’a pas empêché de baiser, et dans de multiples positions, car Marinette était souple, presque ductile. Elle avait le con savoureux et savonneux.

On s’est sucés, on a baisé jusqu’à épuisement des stocks. À midi, on a cassé la croûte dans un snack et on est allés bosser comme si de rien n’était. Notre matinée de givre n’eut pas de suite, on n’en a jamais reparlé. L’été suivant, à l’occasion d’une promotion interne, Marinette a été mutée et on s’est perdus de vue

Quelques années plus tard, je l’ai rencontrée par hasard dans une allée du jardin des plantes. Elle tenait par la main une gamine de trois ans. C’était sa fille. On a parlé quelques instants. Je l’ai félicitée pour sa petite fille.

- Tu vois qu’il a fini par le creuser, son puits ! m’a dit Marinette avec un sourire des plus désarmants.

k21-2

 

 

 

 

Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Fantasmes et écriture
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Vendredi 21 mars 2014 5 21 /03 /Mars /2014 12:53

Comme à la télé...ou presque.

Le plus grand cabaret du monde est une émission de divertissement française créée en décembre 1998 et présentée depuis le début par Patrick Sébastien. Elle est diffusée le samedi soir en prime time sur France 2

cabaret6

cabaret7

cabaret5

cabaret4

cabaret3

cabaret2

cabaret1

cabaret8

Par michel koppera - Publié dans : émisssions télé - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 20 mars 2014 4 20 /03 /Mars /2014 14:25

Eric MOUZAT, Carnet sexuel d’une femme de chambre

Editions de La Musardine, 2013, collection Lectures amoureuses

mouzat

Pages 48-49. La narratrice reçoit les confidences d’une des ses employeuses qui lui raconte comment, avec son mari, elle avait dragué une fille de 18-19 ans pour participer à une soirée un peu spéciale dans un club échangiste.

mouzat1« On est allé avec la fille dans une chambre. Comme on n’a pas fermé la porte à clé, plusieurs mecs sont venus. On a expliqué qu’ils pouvaient regarder, mais pas participer. Jean-Jacques (le mari de l’employeuse) est hétéro +++, il ne supporterait pas qu’un homme le touche même sans faire exprès. Alors, tu imagines quand on baise… Il y avait de la place pour trois ou quatre voyeurs autour du matelas. Les hommes se masturbaient en nous regardant faire l’amour. Assez cocasse. Jean-Jacques prenait son pied : deux bouches pour une fellation, c’est très agréable, d’autant que la fille avait une gorge d’une profondeur inouïe. Moi, je ne suis jamais arrivée à avaler plus de la moitié de sa verge. Ça butte toujours au fond et j’ai des nausées. Elle, elle allait quasiment jusqu’au bout, alors je me contentais de sucer les testicules de Jean-Jacques et de le doigter comme il aime. Ça, la fille elle ne pouvait pas le savoir. Plusieurs mecs se sont relayés autour de nous. Vers la fin, après que la fille ait eu fait jouir Jean-Jacques dans sa bouche et pendant qu’elle me suçait le clitoris en enfonçant ses doigts dans ma chatte, un noir est arrivé. Quand j’ai vu son engin, j’ai cru à une farce. Je ne te mens pas. Une demi-baguette de pain ! Et pas une petite baguette famélique de supermarché ! Une bonne baguette de boulanger.mouzat4

La fille essayait de faire rentrer sa main dans mon vagin. Je n’avais plus les idées très claires. J’ai fait signe au noir d’approcher. Jean-Jacques a changé de côté. Il est allé se mettre derrière la fille et lui a léché la chatte. Je n’ai pas pu résister à prendre cette queue dans mes mains. Tu n’imagines pas ce que j’ai ressenti. Je me suis demandé ce qui me ferait le plus d’effet : la main de la jeune fille ou cette verge gigantesque. J’ai sucé son gland quelques minutes. La fille avait réussi à rentrer sa main complète et elle la faisait tourner doucement. J’ai joui. Puis j’ai retiré sa main de ma chatte et je me suis mis à quatre pattes, les fesses à hauteur de la verge du noir. Il m’a prise par les épaules et s’est enfoncé d’un coup, sans préparation, jusqu’au fond. Ça doit être sacrément élastique là-dedans ! J’ai senti ses testicules battre contre mon pubis. Il était au fond. Bien au fond. J’avais l’impression qu’il était presque au milieu de mon ventre. Tu ne peux pas savoir ce que ça fait. J’ai réessayé après avec des grosses courgettes, et je n’ai jamais retrouvé cette sensation d’être remplie, envahie, écartelée, mais aussi d’absorber, d’englober, de posséder cette chair. »

mouzat3

Ce que j'en pense : rien de bien nouveau sous le soleil noir de la littérature érotique. Une série de récits croisés sur le thème de la jeune fille délurée au service de patrons et patronnes plus ou moins déjantés ou pervers. C'est plaisant, mais on a l'impression d'avoir déjà lu tout ça... 

mouzat2

 

 

Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 19 mars 2014 3 19 /03 /Mars /2014 12:43

Je pense qu'il est inutile de présenter le personnage qui est devenu, fort logiquement, le saint patron des artisans et des charpentiers

19-03-joseph-charpentiers

19-03-joseph-artisans

"Votre femme dit que vous ne devez pas entrer tant qu'elle n'est pas entièrement satisfaite"


19-03-joseph-artisans1

"Comment ça a l'air avec juste une couche ?" ( jeu de mots sur le mot coat qu'on peut traduire par couche ou manteau )

Par michel koppera - Publié dans : agenda - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Novembre 2024
L M M J V S D
        1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30  
<< < > >>

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés