Mercredi 21 mai 2014 3 21 /05 /Mai /2014 08:58

savoir74-1

John Holmes (1944-1988), acteur porno américain, fut au temps de sa gloire présenté comme l'homme au plus gros sexe de l'histoire du porno. Au repos, son membre mesurait de 30 à 35 centimètres de long selon les estimations. Mais cette démesure n'avait pas que des avantages. Saviez-vous qu'il ne pouvait que rarement parvenir à une érection complète ? En effet, si cela avait été le cas, la quantité de sang nécessaire à cette érection aurait entraîné une irrigation sanguine insuffisante du cerveau et  provoqué une perte de connaissance. C'est la raison pour laquelle, dans tous ses films, John Holmes n'arborait qu'une demi-érection plutôt molle...  Heureusement qu'en dessin tous les excès sont permis... 

savoir74-2

savoir74-3

savoir74-4

savoir74-5

savoir74-6

Par michel koppera - Publié dans : le saviez-vous ? - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mardi 20 mai 2014 2 20 /05 /Mai /2014 09:57

Bernardin de Sienne était originaire d'une famille noble italienne. Devenu orphelin, il est élevé par son oncle. Très doué, il fait de savantes études. Au cours de l'épidémie de peste qui ravage Sienne en 1400, il fait preuve de beaucoup de dévouement et de charité pour prêter assistance aux malades, si bien qu'alors qu'il n'a que 20 ans, on lui confie la direction provisoire de l'hôpital la ville. Deux ans plus tard, il devient prêtre et prédicateur. Ce sera sa vocation principale. De sa voix forte, il prêche dans toute l'Italie, parfois devant des assemblées de plusieurs milliers de personnes. Il meurt en 1444 à L'Aquila dans les Abruzzes. Bernardin de Sienne est devenu le saint patron des publicitaires.

20-05-publicitaires2

20-05-publicitaires4

20-05-publicitaires

20-05-publicitaires-carla-coca

Par michel koppera - Publié dans : agenda - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 19 mai 2014 1 19 /05 /Mai /2014 10:05

Yves Hélory était le fils d'un pauvre chevalier breton. Orphelin très jeune, il est élevé par sa mère qui l'envoie à l'Université de Paris où il fait de brillantes études de théologie et de droit. À la fin de ses études, il revient en Bretagne où il est nommé à la fois prêtre et juge. Dans ses fonctions, il s'efforcera toujours de défendre les pauvres et les démunis. Après sa mort en 1303, son culte de développe rapidement en Bretagne, puis dans toute la France. Yves est le saint paton des avocats, des avoués et des hommes de loi

19-05-avocats

Par michel koppera - Publié dans : agenda - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 18 mai 2014 7 18 /05 /Mai /2014 09:00

Débutant avec un lecteur du blog un travail d'écriture à quatre mains, celui-ci m'a demandé fort légitimement si j'avais des préférences en matière de femmes ou si je les aimais toutes. Je lui ai répondu que je n'avais pas de modèle féminin de prédilection, que je les aimais également de tous âges, de toutes corpulences, de toutes couleurs et que ce que j'appréciais et vénérais avant tout chez une femme, c'était tout simplement sa chatte, sa vulve, sa moule, son con...

fav12

fav11

fav10

fav9

fav8

fav7

fav6

fav5

fav4

fav3

fav2

fav1  

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 6 commentaires
Samedi 17 mai 2014 6 17 /05 /Mai /2014 11:13

restif0

Cet ouvrage avait déjà fait l'objet d'un court article sur mon blog le 29 janvier 2008

Restif de la Bretonne : l'Anti-Justine.

Restif de la Bretonne, l’Anti-Justine

Récit pornographique et essentiellement incestueux paru en 1798 qui se voulait, comme son titre l’indique, une réponse à la Justine de Sade

J’ai trouvé en début d’ouvrage ce beau récit candauliste

restif«  J’étais voisin vis-à-vis d’un vieil horloger, qui avait une femme jeune et charmante (…) La beauté de cette femme n’avait pas d’égale, pour le moelleux  et le provoquant. Son mari l’adorait ; mais il n’était plus jeune ! Cependant comme il était riche, il lui prodiguait tout ce qu’elle paraissait désirer. Mais il n’atteignait pas le but, et Fidelette était chaque jour plus triste. Enfin, un soir, ce bon mari lui dit : « Mon ange ! Je t’adore, tu le sais ? Cependant tu es triste, et je crains pour tes jours précieux. Tout ce que je fais ne te flatte en rien ? Parle ! C’est un ami tendre qui t’en conjure. Dis-moi ce que tu désires. Tout, tout ce qui sera en mon pouvoir, va t’être accordé. »

- « Oh ! Tout ? dit la jeune femme » -

« Oui, tout fût-ce… Est-ce à ton cœur ? Est-ce à ton divin conin qu’il  manque quelque chose ? » 

- « Tu remplis mon cœur, cher mari ! Mais j’ai des sens trop chauds, et quoique blonde cendrée, mon bijou a des démangeaisons… terribles ! »

- « T’est-il indifférent qui le satisfasse, ou aurais-tu un goût ? »

- « Sans aimer, j’ai un goût… un caprice… Mais je n’aime que toi. »

- « Qui excite ta main que je vois en ce moment chercher  ton gentil petit chose ? »

- «  Tiens, ce voisin qui me regarde… et dont… je me suis déjà plainte. »

- « Passe au bain, mon ange adoré, je reviens dans l’instant. »

Il courut me trouver.

- «Jeune voisin, on dit que vous aimez madame Folin l’horlogère … »restif4

- « Ma foi, on dit vrai, je l’adore.

- « Venez ! il en arrivera ce qu’il pourra, allons ! »

Il me prit la main et nous allâmes chez lui.

- « Déshabillez-vous, passez dans ce bain que ma femme quitte. Voilà de mon linge. Régalez la nouvelle mariée ou ménagez-vous pour différentes nuits, à votre choix et au sien. J’adore ma Fidelette, mais pour cette épouse chérie, je suis content dès que je la vois satisfaite, heureuse. Quand vous l’aurez foutue, que son petit conin aura bien déchargé, je l’enconnerai à mon tour, pour lui porter mon petit présent. »

Et il me fit entrer dans le lit où sa femme était depuis le bain. Il s’en allait.

- « Mon cher mari ! s’écria cette timide colombe, tu me laisses seule avec un inconnu ! Ho, reste ! Et si tu m’aimes, sois témoin des plaisirs que je ne devrai qu’à toi ! »

restif1Et elle nous baisa tous deux sur la bouche. Le lit était vaste : le bon Folin s’y mit avec nous. Je grimpai sur le ventre de la jeune épouse, aux flambeaux allumés, au vu du mari et j’enconnai roide. Elle répercutait avec fureur.

- « Courage, ma femme ! criait l’excellent mari, en me chatouillant les bourses. Décharge, ma fille ! Hausse le cul ! Darde ta langue… Ton fouteur va t’inonder !... Toi, jeune vit, plonge… plonge ! Lime… Lime-la. »

 

Nous déchargeâmes comme deux anges. Je la foutis six fois dans la nuit, et les deux époux furent très contents de moi. 

restif2

Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 16 mai 2014 5 16 /05 /Mai /2014 14:24

Honoré fut peut-être évêque d'Amiens au VIème siècle. Les origines de son cullte qui se développe au XI ème siècle sont assez mystérieuses, mais il est indéniable que sa renommée se répandit dans toute la France et plus particulièrement à Paris. Honoré est le saint patron des boulangers et des pâtissiers.

16-05-patissiers

16-05-patissiers1

16-05-patissiers2

16-05-patissiers3

Par michel koppera - Publié dans : agenda - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 15 mai 2014 4 15 /05 /Mai /2014 16:43

Comme à la télé... ou presque

La parenthèse inattendue est une émission de télévision française présentée et animée par Frédéric Lopez, diffusée depuis février 2012 sur France 2, le mercredi en deuxième partie de soirée.

Le principe : Frédéric Lopez invite trois personnalités (showbiz, écrivains, sportifs...) qui ne se connaissent pas dans une maison de campagne où ils vont passer 24 heures. Ensemble, dans un cadre intimiste et campagnard, ils évoquent librement leurs parcours professionnlels et évoquent leurs rêves... Il est important de remarquer que la plupart du temps ces trois personnalités sont composées de deux hommes et d'une femme, ce qui justifie mes choix d'illustrations.

parenthese1

parenthese2

parenthese3

parenthese4

Par michel koppera - Publié dans : émisssions télé - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 14 mai 2014 3 14 /05 /Mai /2014 13:29

Je ne sais si cette photo est un montage mais quoi qu'il en soit, elle me plaît. Il y a là tellement de non-dit, de désespoir et de désir, que j'en suis tout ému, au bord des larmes...

tag

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 13 mai 2014 2 13 /05 /Mai /2014 15:22

Après les excès de "Livraison à domicile", une pause sensuelle avec cette petite galerie consacrée à la lettre qu'on devine d'amour...

lettre1

lettre2

lettre3

lettre4

lettre5

lettre6

lettre7

lettre8

lettre9

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Dimanche 11 mai 2014 7 11 /05 /Mai /2014 09:00

Livraison à domicile (3 ème partie)

livraison3-4Le patron s’est allongé sur la table, couché sur le dos. Son ventre faisait comme une colline au pied de laquelle se dressait la poutre de sa bite épouvantablement dure.

- Monte-moi dessus et viens te la mettre dans la chatte. T’es tellement large et mouillée que t’en feras qu’une bouchée !

Je me suis allongée sur son ventre doux comme un édredon de fourrure. La tête de sa bite battait la chamade à l’entrée de ma vulve. C’était quand même un morceau de taille à s’enfiler.

- Antoine, toi qu’es debout et qui ne fais rien, va chercher la bouteille d’huile qu’est dans le placard !

Le commis est revenu avec une bouteille d’huile de colza à moitié entamée.

- Verse-lui en une bonne rasade entre les fesses, ça servira aux deux !

J’ai senti l’huile tiède me couler sur l’anus, le périnée et assaisonner ma vulve et le bout de la queue du patron. Effectivement, avec la sauce, ça rentrait tout seul. Malgré tout, j’ai eu l’impression de m’enfiler une énorme saucisse de Morteau dans le con. Elle prenait toute la place mais c’était loin d’être désagréable. Il m’a pistonnée deux ou trois minutes, façon de dilater le bazar, de prendre ses aises dans mon ventre, puis il s’est arrêté pour laisser Thomas m’enfoncer sa bite dans le cul.livraison3-1

- Vas-y Thomas, à fond, jusqu’aux couilles. Tiens-la par les hanches pour bien la bourrer. T’aimes ça la grosse ?

- Ouiiii … ma voix n’était plus qu’un souffle.

Ils ont d’abord essayé de me fourrer en alternance, mais ce n’était pas concluant, alors le patron s’est calé au fond de mon vagin, la tête de bite glissée sous le col l’utérus, de façon à ce que Thomas puisse y aller de bon cœur.

- Putain, Thomas, t’arrête surtout pas, je sens que ça vient !

J’ai gueulé un grand coup en jouissant. Mon cul a serré si fort la bite de Thomas que ça l’a fait jouir lui aussi et j’ai senti son foutre me noyer l’intestin.

- Salope, putain de salope, grosse poufiasse… répétait Thomas tout en se vidant les couilles.

Mais je n’en avais pas pour autant fini avec mon trio infernal. J’avais à peine repris mon souffle que le patron retirait sa bite luisante d’huile de ma chatte tuméfiée. Avec autorité, il m’a retournée comme une crêpe si bien que je me suis retrouvée couchée sur le dos, vautrée sur son ventre doux, avec la tête huileuse de sa bite entre mes fesses écartées, pointée sur mon rectum encore entrouvert. D’un simple coup de reins bien ajusté, il s’est enfoncé en moi.

livraison3-3- Doucement, salaud, tu vas me défoncer le ventre avec ton gros dard de paysan !

Ça l’a fait rigoler. Il a appelé son commis à la rescousse.

- Alors gamin, tu bandes ? Allez, viens prendre ta part. Tu vois la chatte de cette garce comme elle est ouverte et grasse. Viens-y mettre ta queue et baise-la !

Le commis est monté sur la table. Il s’est agenouillé entre nos cuisses ouvertes et avant de s’y mettre, il est resté quelques instants à admirer le spectacle de l’énorme queue de son patron enfoncée jusqu’à la racine dans mon cul. Il  trouvait ça fascinant. Puis il s’est décidé. Sa bite vigoureuse est venue naturellement se glisser dans ma chatte. Il était tout léger, frétillant comme un gardon. Heureusement qu’il avait déjà juté une demi-heure auparavant, comme ça il a pu prendre le temps de m’astiquer, de me sucer les nichons, de m’embrasser à pleine bouche. N’empêche qu’il n’a pas tenu plus de dix minutes. De nouveau, j’ai senti sa bite me vibrer dans le vagin et puis les spasmes de son éjaculation qui m’ont électrisé le ventre. Il s’est retiré aussitôt, me laissant  béante, enculée jusqu’à la garde, avec tout son foutre qui coulait de ma vulve et dégoulinait sur les couilles du patron. C’est peut-être cette sensation qui l’a excité ; toujours est-il qu’il s’est mis à me bourrer le cul en me traitant de tous les noms, de salope, de grosse coche, de traînée, de pétasse bouffeuse de bite… Tout ça, c’était pour se stimuler, pour faire monter son foutre qu’il a fini par cracher en grognant et en soufflant comme un bœuf.

Après être ressorti tout flasque et gluant de mon cul, le patron a envoyé Antoine chercher une cuvette sous l’évier. Il l’a posée sur la table et il m’a demandé de m’accroupir au-dessus pour que je me vidange les deux trous devant eux. Mélangés à ma mouillure et à  ma merde, des filets de sperme pendouillaient sous mes fesses et tombaient goutte à goutte dans la cuvette en émail. J’ai pissé aussi, pour leur plus grande joie. Et comme j’en avais encore envie, je me suis finie à la main, en me branlant frénétiquement le clito entre le majeur et l’index. J’étais heureuse.

 

Une fois rhabillés, on a repris un café, sérieux comme des papes. Sur la table, Thomas a laissé la facture, le patron a signé les papiers pour la livraison du frigo juste à côté des traces de sperme et d’huile qui traînaient encore sur la toile cirée.

- Antoine, il faudra me nettoyer tout ça avant que la patronne  revienne !

Dehors, il faisait nuit noire. J’ai repris la route avec Thomas. On n’a quasiment pas parlé, comme si on était gênés.

Il m’a déposée au pied de mon immeuble. Je l’ai remercié de sa gentillesse.

- Je  vous inviterais bien à prendre le café, mais ça pourrait être mal interprété, lui ai-je dit en rigolant. Ce sera peut-être pour une autre fois.

- Peut-être… On ne sait jamais. Et si un jour vous achetez une nouvelle machine à laver, un congélateur ou une télé, n’hésitez pas à demander Thomas pour la livraison à domicile.

FIN


© Michel Koppera, mars 2014

livraison3-5

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Juin 2025
L M M J V S D
            1
2 3 4 5 6 7 8
9 10 11 12 13 14 15
16 17 18 19 20 21 22
23 24 25 26 27 28 29
30            
<< < > >>

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés