Dimanche 11 mai 2014 7 11 /05 /Mai /2014 09:00

Livraison à domicile (3 ème partie)

livraison3-4Le patron s’est allongé sur la table, couché sur le dos. Son ventre faisait comme une colline au pied de laquelle se dressait la poutre de sa bite épouvantablement dure.

- Monte-moi dessus et viens te la mettre dans la chatte. T’es tellement large et mouillée que t’en feras qu’une bouchée !

Je me suis allongée sur son ventre doux comme un édredon de fourrure. La tête de sa bite battait la chamade à l’entrée de ma vulve. C’était quand même un morceau de taille à s’enfiler.

- Antoine, toi qu’es debout et qui ne fais rien, va chercher la bouteille d’huile qu’est dans le placard !

Le commis est revenu avec une bouteille d’huile de colza à moitié entamée.

- Verse-lui en une bonne rasade entre les fesses, ça servira aux deux !

J’ai senti l’huile tiède me couler sur l’anus, le périnée et assaisonner ma vulve et le bout de la queue du patron. Effectivement, avec la sauce, ça rentrait tout seul. Malgré tout, j’ai eu l’impression de m’enfiler une énorme saucisse de Morteau dans le con. Elle prenait toute la place mais c’était loin d’être désagréable. Il m’a pistonnée deux ou trois minutes, façon de dilater le bazar, de prendre ses aises dans mon ventre, puis il s’est arrêté pour laisser Thomas m’enfoncer sa bite dans le cul.livraison3-1

- Vas-y Thomas, à fond, jusqu’aux couilles. Tiens-la par les hanches pour bien la bourrer. T’aimes ça la grosse ?

- Ouiiii … ma voix n’était plus qu’un souffle.

Ils ont d’abord essayé de me fourrer en alternance, mais ce n’était pas concluant, alors le patron s’est calé au fond de mon vagin, la tête de bite glissée sous le col l’utérus, de façon à ce que Thomas puisse y aller de bon cœur.

- Putain, Thomas, t’arrête surtout pas, je sens que ça vient !

J’ai gueulé un grand coup en jouissant. Mon cul a serré si fort la bite de Thomas que ça l’a fait jouir lui aussi et j’ai senti son foutre me noyer l’intestin.

- Salope, putain de salope, grosse poufiasse… répétait Thomas tout en se vidant les couilles.

Mais je n’en avais pas pour autant fini avec mon trio infernal. J’avais à peine repris mon souffle que le patron retirait sa bite luisante d’huile de ma chatte tuméfiée. Avec autorité, il m’a retournée comme une crêpe si bien que je me suis retrouvée couchée sur le dos, vautrée sur son ventre doux, avec la tête huileuse de sa bite entre mes fesses écartées, pointée sur mon rectum encore entrouvert. D’un simple coup de reins bien ajusté, il s’est enfoncé en moi.

livraison3-3- Doucement, salaud, tu vas me défoncer le ventre avec ton gros dard de paysan !

Ça l’a fait rigoler. Il a appelé son commis à la rescousse.

- Alors gamin, tu bandes ? Allez, viens prendre ta part. Tu vois la chatte de cette garce comme elle est ouverte et grasse. Viens-y mettre ta queue et baise-la !

Le commis est monté sur la table. Il s’est agenouillé entre nos cuisses ouvertes et avant de s’y mettre, il est resté quelques instants à admirer le spectacle de l’énorme queue de son patron enfoncée jusqu’à la racine dans mon cul. Il  trouvait ça fascinant. Puis il s’est décidé. Sa bite vigoureuse est venue naturellement se glisser dans ma chatte. Il était tout léger, frétillant comme un gardon. Heureusement qu’il avait déjà juté une demi-heure auparavant, comme ça il a pu prendre le temps de m’astiquer, de me sucer les nichons, de m’embrasser à pleine bouche. N’empêche qu’il n’a pas tenu plus de dix minutes. De nouveau, j’ai senti sa bite me vibrer dans le vagin et puis les spasmes de son éjaculation qui m’ont électrisé le ventre. Il s’est retiré aussitôt, me laissant  béante, enculée jusqu’à la garde, avec tout son foutre qui coulait de ma vulve et dégoulinait sur les couilles du patron. C’est peut-être cette sensation qui l’a excité ; toujours est-il qu’il s’est mis à me bourrer le cul en me traitant de tous les noms, de salope, de grosse coche, de traînée, de pétasse bouffeuse de bite… Tout ça, c’était pour se stimuler, pour faire monter son foutre qu’il a fini par cracher en grognant et en soufflant comme un bœuf.

Après être ressorti tout flasque et gluant de mon cul, le patron a envoyé Antoine chercher une cuvette sous l’évier. Il l’a posée sur la table et il m’a demandé de m’accroupir au-dessus pour que je me vidange les deux trous devant eux. Mélangés à ma mouillure et à  ma merde, des filets de sperme pendouillaient sous mes fesses et tombaient goutte à goutte dans la cuvette en émail. J’ai pissé aussi, pour leur plus grande joie. Et comme j’en avais encore envie, je me suis finie à la main, en me branlant frénétiquement le clito entre le majeur et l’index. J’étais heureuse.

 

Une fois rhabillés, on a repris un café, sérieux comme des papes. Sur la table, Thomas a laissé la facture, le patron a signé les papiers pour la livraison du frigo juste à côté des traces de sperme et d’huile qui traînaient encore sur la toile cirée.

- Antoine, il faudra me nettoyer tout ça avant que la patronne  revienne !

Dehors, il faisait nuit noire. J’ai repris la route avec Thomas. On n’a quasiment pas parlé, comme si on était gênés.

Il m’a déposée au pied de mon immeuble. Je l’ai remercié de sa gentillesse.

- Je  vous inviterais bien à prendre le café, mais ça pourrait être mal interprété, lui ai-je dit en rigolant. Ce sera peut-être pour une autre fois.

- Peut-être… On ne sait jamais. Et si un jour vous achetez une nouvelle machine à laver, un congélateur ou une télé, n’hésitez pas à demander Thomas pour la livraison à domicile.

FIN


© Michel Koppera, mars 2014

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Samedi 10 mai 2014 6 10 /05 /Mai /2014 09:00

Livraison à domicile (2ème partie)

La livraison, c’était dans un trou paumé, au bout du bout d’une petite route de campagne, avec plein de virages, de sous-bois sombres et de prés humides où broutaient des vaches. En faisant confiance au GPS, on a fini par échouer dans une cour de ferme parcourue de long en large par deux chiens faméliques et gueulards.

livraison2-3- Bougez pas, m’a dit Thomas en coupant le moteur. J’en ai pas pour longtemps.

Il était à peine descendu de la camionnette que les chiens ont fermé leur gueule. Avec sa carrure de déménageur, il en imposait le Thomas. Rien ne lui résistait : ni les clébards, ni le frigo qu’il soulevait de terre avec autorité.

À peine cinq minutes plus tard, il était de retour.

- On nous invite à prendre un café… Vous venez ?

Je lui ai emboîté le pas pour traverser la cour. Un des chiens me suivit à la trace et glissa son museau sous ma jupe :

- N’ayez pas peur, me dit Thomas, les chiens font toujours ça, ils reniflent la femelle.

On est entrés dans une vaste salle commune de ferme comme on en voyait dans les films d’avant-guerre : une longue table recouverte d’une toile cirée, deux bancs, une cheminée où brûlait un feu d’enfer, un fourneau, un vaisselier, un buffet en chêne massif, un crucifix avec une branche de laurier et des images pieuses accrochés au mur. Ça sentait la fumée, l’encaustique et un peu l’étable. Assis à la table où étaient déjà posées les quatre tasses à café, il y avait deux hommes, un jeune et un plus âgé, pas loin de la soixantaine.

- Installez-vous ! nous a dit le plus vieux qui était visiblement le patron. Il s’appelait Bernard ; le plus jeune, c’était Antoine, son commis. La patronne n’était pas là. On nous dit qu’elle était partie pour la journée en pèlerinage à Lisieux.

- Tout ça, c’est des bondieuseries de bonnes femmes ! a dit Bernard pour couper court. Alors, la petite dame, elle prend du sucre avec son café ?livraison2-2

On a donc pris le café. Puis, après, le patron a insisté pour me faire goûter à son eau-de-vie de mirabelles, fabrication maison. Thomas qui conduisait a poliment décliné la proposition.

- Un petit canard, ça n’a jamais fait de mal à personne… Avec un sucre, ça passe tout seul !

Effectivement, c’était pas mauvais. Le patron m’en a même servi un deuxième. Tout en sirotant la mirabelle, ils discutaient de la météo, du prix du lait et des aliments pour bétail…

Je crois que c’est le patron qui a donné le signal en me prenant par la taille pour m’attirer contre lui. Je me suis laissé faire ; la mirabelle faisait déjà son effet et l’idée de me faire sauter par trois hommes d’un coup n’était pas pour me déplaire. De ses grosses paluches rugueuses, le patron m’a caressé – plutôt malaxé – les seins sans ménagement tout en me roulant un patin parfumé à la mirabelle. J’aimais ça ! Déjà tout émoustillé, Antoine a débarrassé vite fait la table des tasses et des bouteilles. Ils m’ont fait grimper sur la table.livraison2-1

- Allez, la petite dame de la ville, montrez-nous tout ce que vous savez faire… On est bon public.

J’étais en représentation, comme sur le podium d’une boîte de strip-tease. J’étais déjà fringuée comme une pute, il ne me restait plus qu’à jouer le rôle. Tout en me trémoussant, je leur ai tout exhibé : mes grosses loches de nourrice dont j’ai léché les tétons, mon gros cul de pétasse, ma chatte poilue à l’étroit dans son string, mon ventre rond… Accroupie sur la toile cirée, avec juste mes bottines de cuir, je leur ai montré ma chatte écartelée qui bâillait et suintait de désir.

Ils étaient tous les trois debout au pied de la table, en rang d’oignon, le pantalon aux chevilles, mes trois hommes en érection, la bite à la main.

- Mets-toi à quatre pattes au bord de la table, grosse salope, qu’on fouille ton cul ! a ordonné Thomas.

Ils s’y sont mis dare-dare. Le rayonnement du feu dans la cheminée me chauffait la croupe. Ils m’ont forcée à écarter les cuisses et à bien me cambrer pour m’ouvrir le cul au maximum. Avec mes seins écrasés sur la toile cirée, je devais avoir l’air d’une truie prête à mettre bas. Leurs mains parcouraient mon corps, me trituraient la viande, m’astiquaient le clitoris, plongeaient au plus profond de ma chatte.

livraison2-5- Putain, elle est en chaleur ! a déclaré Antoine en me barattant la moule à quatre doigts.

Maintenant, ils étaient tous les trois à poil. Je pouvais les voir au naturel. D’abord le patron, avec sa belle bedaine, couvert de poils sombres du torse au bas du ventre, avec une paire de couilles de taureau ballotant sous son énorme queue qui sentait fort le mâle. Antoine, le commis, encore presque imberbe, bandait déjà comme un grand. J’ai tout de suite compris qu’il serait le premier à jouir : une goutte de liquide préspermatique suintait du méat et son gland empourpré était sous pression. Si j’avais posé la main dessus, il serait parti sans préavis. Et puis, il y avait Thomas, avec sa belle queue qu’il me laissait caresser alors qu’il me branlait le clito.

- Gamin, donne-moi ta bite que je la suce !

Je voulais prendre les devants. J’ai bien fait. J’ai à peine eu le temps de le pomper qu’il m’a juté dans la bouche de puissantes giclées de foutre juvénile. Et pas qu’un peu, j’en avais la bouche pleine. J’ai tout avalé.

- Ah, la garce, elle suce trop bien !

Avec lui, je ne faisais pas de souci. Il était jeune, avant une demi-heure, il serait de nouveau en état de marche ! Il s’est mis un peu à l’écart pour regarder faire les grands.

- Alors, la grosse, t’en veux encore ? On va t’en donner ! On va te prendre en sandwich, comme dans les films. Lequel tu veux dans ton cul ?

- Je m’en fous, de toute façon, vous y passerez tous les deux…

- T’es vraiment une vraie poufiasse ! Ça te manque tant que ça la bite ? Ton mec t’en donne pas assez ?livraison2-4

- J’en ai jamais assez. Je voudrais passer ma vie à baiser. Bouffer, me branler, baiser… Dormir un peu et recommencer dés le matin parce qu’en dormant j’aurais encore rêvé de parties de cul et que je me réveillerais avec la chatte trempée.

© Michel Koppera, mars 2014

à suivre…

 

 

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 9 mai 2014 5 09 /05 /Mai /2014 09:00

Voici, en trois chapitres, une nouvelle inédite que j'ai intitulée "Livraison à domicile". Ce texte a été écrit sur une idée de Zézette, une lectrice qui souhaitait un texte très hard. Donc ne soyez pas étonné du caractère pornographique des mots et des images.

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LIVRAISON À DOMICILE

 

à Zézette

 

- Pour une fois que toute ma famille était là, t’aurais pu faire un effort ! Au lieu de ça, il a fallu que tu sois désagréable, comme d’habitude…

livraison1-5Je la connaissais par cœur sa rengaine sur l’esprit de famille. Est-ce que c’était de ma faute si sa sœur était une vraie conne et que ses neveux avaient tout hérité de leur mère : bêtise,  autosatisfaction et ignorance crasse.

- Je suis désolée, mais quand j’entends dire des absurdités, je ne peux pas laisser passer !

- Parce que tu crois que toi, t’en dis jamais des conneries ?

- Si, ça doit sans doute m’arriver… mais j’en suis consciente et je le reconnais, tandis que ta sœur, il faut toujours qu’elle ait raison. Et son mari, excuse-moi de te le dire, c’est le même topo ! Ils forment vraiment un vrai couple de beaufs…

- Et toi, tu t’es regardée ! Avec tes fringues de pouffe, ton gros cul et ta clope au bec ! Eux au moins, ils ont l’air classe !

On roulait sur la quatre voies. Encore presque 100 kilomètres à s’engueuler. C’était comme ça chaque fois qu’on passait la journée chez sa frangine. Nadège, elle s’appelait. Une connasse de première. Les kilomètres défilaient comme les reproches. Ça virait à l’aigre.

- Mes neveux, ils sont comme ils sont ! C’est facile de critiquer alors que t’es même pas capable de faire un gosse et encore moins de l’élever. C’est pour ça que t’en veux pas, par égoïsme !

- Ou parce que je n’ai pas envie que mon gamin leur ressemble… Ils sont trop déprimants.livraison1-4

Il s’est arrêté sur une aire de repos, pour « prendre l’air » comme il disait. Mais surtout pour pisser un coup. J’en ai profité pour me dégourdir les jambes et en griller une en douce sous les arbres. Et quand je suis revenue sur le parking, la voiture n’était plus là ! Au début, j’ai cru à une blague mais, au bout d’une demi-heure, il a bien fallu que je me rende à l’évidence : ce salaud m’avait plaquée là, en plein après-midi, à plus de 40 kilomètres de la maison, sans argent, sans papiers, sans téléphone portable. Avec juste un paquet de Benson and Hedges, un briquet, vêtue d’une jupe un peu trop courte, d’une paire de bottines et d’un blouson de cuir noir. C’était un mercredi d’octobre, il faisait presque beau.

Au début, j’ai naïvement cru qu’il allait être pris de remords et faire demi-tour pour venir me chercher, mais une heure plus tard, j’avais perdu toute illusion. Il ne me restait plus qu’une solution : faire du stop.

Moi qui pensais que pour une femme, il suffisait de se planter au bord de la route et de lever le pouce pour que la première bagnole qui passe s’arrête ! Au bout de trois quarts d’heure, que dalle ! Et puis, alors que j’y croyais plus, une fourgonnette s’est arrêtée. Le conducteur a même fait marche arrière pour revenir à ma hauteur. Il a baissé la vitre côté passager.

- Vous allez où ? qu’il m’a demandé.

- À R***

- J’veux bien vous y emmener mais j’ai encore une livraison à faire en chemin… C’est vous qui voyez.

- Ça marche !

Il livrait à domicile des commandes pour une grande enseigne d’électroménager.

- J’ai encore un frigo à décharger et après on rentre. Vous êtes toute pâle, qu’est-ce qui vous arrive ?   

livraison1-3Alors, je lui ai tout déballé, de A à Z, ça me faisait du bien. Il aurait pu en rigoler. Au lieu de ça, il m’a laissée parler. Après, il m’a juste dit qu’il fallait pas en faire une maladie, qu’il y avait des trucs plus importants dans la vie. Et puis, il a mis un CD de Stromae dans l’autoradio. Une vraie thérapie ! Il m’a dit qu’il s’appelait Thomas, qu’il avait 42 ans, une femme et trois gamins… Je me suis sentie presque bien. Même quand il s’est garé sur le bas-côté pour lui aussi pisser un coup, je n’ai pas été inquiète. Il est allé se soulager à l’arrière de la camionnette et, dans le rétroviseur, je l’ai vu de profil, debout devant une haie, la bite à l’air. Avant de pisser, il a tiré sur la peau du prépuce pour bien dégager le gland. Le Thomas, il avait une belle queue, épaisse plutôt longue. Je crois qu’il ignorait que je pouvais l’observer, alors il prenait son temps pour arroser copieusement le talus. Avant de remballer son matériel, il l’a bien secouée jusqu’à la dernière goutte. J’en avais le bout des seins très dur, presque douloureux, et envie de baiser.

 

© Michel Koppera, mars 2014

à suivre…

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Jeudi 8 mai 2014 4 08 /05 /Mai /2014 09:00

Comme à la télé... ou presque.

J'irai dormir chez vous est une série documentaire française diffusée depuis 2004, d'abord sur les chaînes Voyage et Canal +, puis aujourd'hui sur France 5.

Le principe : Antoine de Maximy, voyageur-animateur, part seul dans des endroits du monde plus ou moins éloignés à la rencontre des populations locales. Il tente alors de se faire héberger gracieusement (gîte et couvert) par des familles du pays dont il va partager pendant une soirée et une nuit le mode de vie.

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Mercredi 7 mai 2014 3 07 /05 /Mai /2014 08:30

Quatre, c'est aussi 1+1+1+1. Un ou une d'ailleurs... Voyons cela de plus près !

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Mardi 6 mai 2014 2 06 /05 /Mai /2014 09:01

Quatre, ce n'est pas uniquement 2 + 2, mais aussi 3 + 1. Autant il peut paraître facile pour trois hommes ordinaires de satisfaire une femme...

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... autant, pour un homme seul, la tâche de satisfaire sumultanément trois femmes semble relever plus de l'exploit que de la simple performance ! 

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Lundi 5 mai 2014 1 05 /05 /Mai /2014 11:25

La formule la plus classique du quatuor est la partie carrée qui regroupe deux couples hétérosexuels. Cependant, ce n'est pas si simple. En effet, les ébats peuvent aller du banal côte-à-côtisme...

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... au mélangisme, ce qui est, avouons-le, beaucoup plus intéressant et ouvre de belles perspectives amoureuses.

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Dimanche 4 mai 2014 7 04 /05 /Mai /2014 07:53

Après le trio, passons au quatuor. On commence donc par la formation musicale avant d'explorer les autres combinaisons...

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Samedi 3 mai 2014 6 03 /05 /Mai /2014 08:25

Jacques le Mineur (à ne pas confondre avec Jacques le Majeur, celui de Saint-Jacques de Compostelle) était comme son homonyme un des 12 apôtres. Le Jacques qui nous intéresse aujourd'hui était fils d'Alphée et cousin de Jésus. Il était originaire de Nazareth. Il aurait dirigé l'Eglise de Jérusalem et serait mort en martyr vers 62. Pour des raisons que j'ignore, Jacques est le saint patron des chapeliers

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Vendredi 2 mai 2014 5 02 /05 /Mai /2014 09:31

Mes aventures et mésaventures, # 14

Emmanuelle G* (dite Manou) juillet 1969

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L’été de mes 17 ans. J’ai passé tout le mois de juillet dans un camping de la côte atlantique avec Richard, un copain de lycée. On avait une canadienne pour deux. On n’a pas tardé à se faire des potes pour les parties de volley, de pétanque et les sorties nocturnes. Pour le 14 juillet, nos voisins de camping avaient des invités, dont une fille de notre âge prénommée Emmanuelle, mais tout le monde l’appelait Manou. Elle arrivait de Rouen. Manou était plutôt grande, très mince, avec une peau d’une surprenante blancheur. On ne tarda pas à apprendre que si Manou était si pâle, c’est qu’elle ne supportait pas le soleil. Dès que sa peau était exposée aux UV, elle se couvrait de plaques bleuâtres du plus mauvais effet. Si bien que l’été, Manou menait une existence essentiellement nocturne, passant sa journée de plage à l’ombre des parasols ou des rochers. C’est en assistant au feu d’artifice que nous avons fait vraiment connaissance. Richard entreprit de la draguer et, après le bouquet final, l’entraîna vers la fête foraine. Je les abandonnai et poursuivis la soirée avec des copains. C’est en rentrant à notre tente, vers deux heures du matin, que je tombai sur Manou, toute seule, assise sur le marchepied d’une caravane.keepsake-manou3

- Qu’est-ce tu attends ici, toute seule ? Je te croyais avec Richard…

- Ton copain, c’est un vrai connard… Et collant en plus. T’as vraiment envie d’aller te coucher ?

- Pas plus que ça.

- Alors, viens, on va faire un tour !

Je me souviens que cette nuit-là était très belle, calme, avec un ciel étoilé, le chant des grillons, et plein de vers luisants dans l’herbe. Je croyais qu’on allait retourner à la fête foraine, mais Manou m’a entraîné vers l’océan. Nous avons marché quelque temps au bord des vagues, en parlant de tout et de rien : je lui ai confié mes rêves d’écriture, elle ses projets musicaux. Et puis, plus tard dans la nuit, on s’est éloignés de la mer, on a franchi les dunes, traversé un bois de pins odorants et nous nous sommes retrouvés au bord des marais, dans un coin désert, loin de tout…

keepsake-manou- On va s’allonger là, a dit Manou. Je vais t’apprendre les étoiles.

En fait de constellations, ce que j’ai surtout  découvert, ce fut la carte du tendre de son corps. Dans la nuit, son corps pâle paraissait encore plus blanc que le jour. Les seules taches sombres étaient celles de sa chevelure et de sa petite chatte toute douce sous mes doigts. Ce que j’appris également, c’est qu’en amour Manou était beaucoup plus expérimentée que moi. Elle maîtrisait déjà tout un arsenal technique pour entretenir le désir des hommes. Elle savait caresser, embrasser, lécher, sucer… Elle m’apprit à jouer avec ses mamelons et à ne pas brusquer son clitoris. Nous avons fait l’amour dans l’herbe, moi sur le dos, elle me chevauchant pour mieux contrôler la situation. Je peux dire que ce fut avec Manou, au cours de cette nuit du 14 au 15 juillet 1969, que j’ai vraiment découvert les plaisirs de l’amour. Nous avons joui tous les deux, elle d’abord, moi juste après et, pour la première fois, j’ai ressenti la puissance d’un orgasme intégral qui se répand à travers tout le corps, du crâne au bout des orteils.keepsake-manou1

Manou est repartie pour Rouen dès le lendemain, mais nous avons correspondu pendant quelques mois, au moins jusqu’à Noël. Elle me racontait ses aventures et ses projets musicaux (elle était chanteuse dans un groupe). Je lui envoyais des poèmes et de courtes nouvelles fantastiques. Puis le courrier cessa, comme une source se tarit. J’espère qu’elle a mené à bien ses projets et réussi sa vie. C’était une fille bien.

 

 

 

Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Fantasmes et écriture
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