Livraison à domicile (3 ème partie)
Le patron s’est allongé sur la table, couché sur le dos. Son ventre faisait comme une colline au pied de laquelle se dressait la poutre de sa bite épouvantablement dure.
- Monte-moi dessus et viens te la mettre dans la chatte. T’es tellement large et mouillée que t’en feras qu’une bouchée !
Je me suis allongée sur son ventre doux comme un édredon de fourrure. La tête de sa bite battait la chamade à l’entrée de ma vulve. C’était quand même un morceau de taille à s’enfiler.
- Antoine, toi qu’es debout et qui ne fais rien, va chercher la bouteille d’huile qu’est dans le placard !
Le commis est revenu avec une bouteille d’huile de colza à moitié entamée.
- Verse-lui en une bonne rasade entre les fesses, ça servira aux deux !
J’ai senti l’huile tiède me couler sur l’anus, le périnée et assaisonner ma vulve et le bout de la queue du patron. Effectivement, avec la sauce, ça rentrait tout seul. Malgré tout, j’ai eu l’impression de m’enfiler une énorme saucisse de Morteau dans le con. Elle prenait toute la place mais c’était loin d’être désagréable. Il m’a pistonnée deux ou trois minutes, façon de dilater le bazar, de prendre ses aises dans mon ventre, puis il s’est arrêté pour laisser Thomas m’enfoncer sa bite dans le cul.
- Vas-y Thomas, à fond, jusqu’aux couilles. Tiens-la par les hanches pour bien la bourrer. T’aimes ça la grosse ?
- Ouiiii … ma voix n’était plus qu’un souffle.
Ils ont d’abord essayé de me fourrer en alternance, mais ce n’était pas concluant, alors le patron s’est calé au fond de mon vagin, la tête de bite glissée sous le col l’utérus, de façon à ce que Thomas puisse y aller de bon cœur.
- Putain, Thomas, t’arrête surtout pas, je sens que ça vient !
J’ai gueulé un grand coup en jouissant. Mon cul a serré si fort la bite de Thomas que ça l’a fait jouir lui aussi et j’ai senti son foutre me noyer l’intestin.
- Salope, putain de salope, grosse poufiasse… répétait Thomas tout en se vidant les couilles.
Mais je n’en avais pas pour autant fini avec mon trio infernal. J’avais à peine repris mon souffle que le patron retirait sa bite luisante d’huile de ma chatte tuméfiée. Avec autorité, il m’a retournée comme une crêpe si bien que je me suis retrouvée couchée sur le dos, vautrée sur son ventre doux, avec la tête huileuse de sa bite entre mes fesses écartées, pointée sur mon rectum encore entrouvert. D’un simple coup de reins bien ajusté, il s’est enfoncé en moi.
- Doucement, salaud, tu vas me défoncer le ventre avec ton gros dard de paysan !
Ça l’a fait rigoler. Il a appelé son commis à la rescousse.
- Alors gamin, tu bandes ? Allez, viens prendre ta part. Tu vois la chatte de cette garce comme elle est ouverte et grasse. Viens-y mettre ta queue et baise-la !
Le commis est monté sur la table. Il s’est agenouillé entre nos cuisses ouvertes et avant de s’y mettre, il est resté quelques instants à admirer le spectacle de l’énorme queue de son patron enfoncée jusqu’à la racine dans mon cul. Il trouvait ça fascinant. Puis il s’est décidé. Sa bite vigoureuse est venue naturellement se glisser dans ma chatte. Il était tout léger, frétillant comme un gardon. Heureusement qu’il avait déjà juté une demi-heure auparavant, comme ça il a pu prendre le temps de m’astiquer, de me sucer les nichons, de m’embrasser à pleine bouche. N’empêche qu’il n’a pas tenu plus de dix minutes. De nouveau, j’ai senti sa bite me vibrer dans le vagin et puis les spasmes de son éjaculation qui m’ont électrisé le ventre. Il s’est retiré aussitôt, me laissant béante, enculée jusqu’à la garde, avec tout son foutre qui coulait de ma vulve et dégoulinait sur les couilles du patron. C’est peut-être cette sensation qui l’a excité ; toujours est-il qu’il s’est mis à me bourrer le cul en me traitant de tous les noms, de salope, de grosse coche, de traînée, de pétasse bouffeuse de bite… Tout ça, c’était pour se stimuler, pour faire monter son foutre qu’il a fini par cracher en grognant et en soufflant comme un bœuf.
Après être ressorti tout flasque et gluant de mon cul, le patron a envoyé Antoine chercher une cuvette sous l’évier. Il l’a posée sur la table et il m’a demandé de m’accroupir au-dessus pour que je me vidange les deux trous devant eux. Mélangés à ma mouillure et à ma merde, des filets de sperme pendouillaient sous mes fesses et tombaient goutte à goutte dans la cuvette en émail. J’ai pissé aussi, pour leur plus grande joie. Et comme j’en avais encore envie, je me suis finie à la main, en me branlant frénétiquement le clito entre le majeur et l’index. J’étais heureuse.
Une fois rhabillés, on a repris un café, sérieux comme des papes. Sur la table, Thomas a laissé la facture, le patron a signé les papiers pour la livraison du frigo juste à côté des traces de sperme et d’huile qui traînaient encore sur la toile cirée.
- Antoine, il faudra me nettoyer tout ça avant que la patronne revienne !
Dehors, il faisait nuit noire. J’ai repris la route avec Thomas. On n’a quasiment pas parlé, comme si on était gênés.
Il m’a déposée au pied de mon immeuble. Je l’ai remercié de sa gentillesse.
- Je vous inviterais bien à prendre le café, mais ça pourrait être mal interprété, lui ai-je dit en rigolant. Ce sera peut-être pour une autre fois.
- Peut-être… On ne sait jamais. Et si un jour vous achetez une nouvelle machine à laver, un congélateur ou une télé, n’hésitez pas à demander Thomas pour la livraison à domicile.
FIN
© Michel Koppera, mars 2014
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